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Aide-moi à m'habiller (7)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/10/2023

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AIDE-MOI A M'HABILLER 7

La vie peut parfois réserver de bonnes surprises, et ce d'autant plus quand elles sont improbables.
Cet après-midi-là, j'ai envoyé la première version de mon mémoire à l'enseignant qui me suivait. Un moment de break s'amorçait.
Je savais que ma belle-mère allait arriver d'ici une demi-heure. Un bon moment de plaisir en perspective. Dans notre routine, dans nos rituels, quand on allait se séparer après la pause entre midi et deux, elle m'avait proposé :
--Je me déshabille pas. Viens frotter ta bite contre moi.
Après la robe hyper-collante du matin, elle avait opté pour un pantalon en simili-cuir ultra moulant qui soulignait ses rondeurs et le dessin de son sexe avec une précision hallucinante. On voyait même ses lèvres, posées contre la matière.
--Tu as un slip dessous ?
--A ton avis ?
Elle était debout. Je me suis approché, j'ai dégainé une queue en pleine érection, et je suis venu frotter au niveau de son sexe. J'ai eu la sensation, immédiatement, du cuir froid, et de la chair chaude dessous, mais aussi du dessin de son sexe. J'ai lâché un trait de sperme qui a poissé le cuir. Pour elle aussi, ça devait être bon. Elle avait une expression extatique.
Moi je jouissais déjà, crachant du sperme, blanc sur le noir du cuir. Des fois, ça allait très vite.
--C'est du simili ?
--Non du vrai cuir.
Elle a massé le sperme qui a disparu dans le cuir.
--Ca le nourrira.
--On a encore un peu de temps.
Elle s'est assise avant de basculer vers moi. Elle a baladé sa langue sur ma queue, autant pour laper le sperme qui y était encore accroché que pour me caresser.
--Tu veux que je l'enlève et venir dans ma chatte ?
--C'est bien comme ça. J'ai envie d'explorer encore les sensations et plus longtemps.
Elle s'est redressée et cette fois, c'est elle qui m'a frotté contre elle, changeant de rythme, et ne restant pas forcément sur son sexe, remontant sur son pubis, venant dans ses aines, ou me dégageant pour me masturber. La perception de son sexe s'affinait au bout de ma queue, soulignée par le cuir, et je devais me retenir pour ne pas jouir à chaque seconde. Elle a fini par me dire :
--Je vais me défaire, j'ai envie de mettre ce pantalon cet après-midi, mais si je jouis dedans il faudra que je me change.
Elle m'a lâché pour défaire le pantalon, dévoilant qu'elle était cul nu dessous. Sa mouille avait déjà bien trempé l'intérieur du pantalon, sur une large surface. Sa chatte était bien dilatée, toutes lèvres dehors, gorgées de sang, épaisses, avec un gland clitoridien qui dardait comme une mini-bite, tout décalotté. Je l'ai laissée me guider. Elle m'a amené justement contre ce gland, et elle s'est frottée avec. C'était quelque chose que j'adorais, autant parce que, dans cette situation, son clitoris gonflait jusqu'à atteindre des proportions inusitées, que parce que ça me donnait le sentiment trouble, quand justement il était très gros, de frotter ma bite contre une autre bite.
Je n'ai pas tenu bien longtemps et craché des jets copieux de sperme, qui ont recouvert son clitoris et une partie de ses lèvres. Elle n'avait pas joui et elle a plongé ses doigts au milieu de mon sperme pour se tirer sur le clitoris, le tripotant vivement jusqu'à ce qu'elle jouisse comme je venais de le faire.
--Tu veux aller me chercher une serviette, s'il te plait.
Elle s'est épongée, a rajusté son pantalon et elle est partie, emportant de bons souvenirs avec elle.
Je savais que je la retrouverais comme d'habitude, sur le coup de quatre heures, et qu'on aurait un moment de plaisir. C'était une de mes raisons de vivre.
Je ne m'attendais vraiment pas à la surprise, l'énorme surprise. Il était...Pas loin de seize heures...La porte s'est ouverte...J'étais posé tranquillement, lisant, et j'ai vu arriver ma belle-mère. Mais pas seule...
Devant moi, il y avait Tiphaine, sa collègue. La jeune et ravissante blonde que j'avais croisé dans son bureau et que je semblais intéresser. Elle était séduisante même avec un simple jean et une chemise dessus. Là aujourd'hui, d'évidence, elle s'était apprêtée pour être ultra-désirable et mettre en valeur ses charmes. Je me suis d'ailleurs dit que Teresa était pour quelque chose dans sa métamorphose, et les secondes et les minutes qui ont suivi me l'ont bien confirmé. Elle en avait pour ainsi dire fait sa chose. Elle l'avait séduite. Elle avait la capacité de convaincre, d'emporter une cause, mais aussi, au-delà, de séduire de la manière la plus animale et la plus sexuelle qui soit, et de faire tomber des hommes et des femmes dans ses rets. Elle m'avait dit une fois qu'elle avait eu de nombreuses relations avec des femmes, et expliqué que ce qui comptait pour elle, c'était la personnalité de la personne mais son appartenance à un sexe ou à l'autre n'était pas l'élément majeur, loin de là.
Cela faisait une semaine que j'avais rencontré la jeune femme. Je me suis demandé quel était leur degré de complicité, depuis combien de temps les deux femmes se rapprochaient. J'avais bien senti quelque chose la semaine précédente. Sans y prêter vraiment attention.
Mon regard a glissé sur Tiphaine. Tout en elle inspirait le désir. Elle avait arrangé ses cheveux en une sorte de chignon, accumulant ses cheveux en une pile dorée. Elle avait une robe en lainage rouge, qui lui arrivait à mi-cuisses, ce genre de robe que j'adorais, parce qu'elle semblait floue, mais elle était en fait extrêmement collante, mettant en valeur le corps d'une fille, et soulignant malheureusement ses défauts. Mais Tiphaine n'en avait pas. Ses jambes étaient prises dans des cuissardes en daim rouge et gainées de nylon.
Ce qui me plaisait, c'était la structure de son corps. Contrairement à Teresa dont le corps tout entier était équilibré sur des formes voluptueuses, voire très voluptueuses, elle était fine, avec ces deux points ultra-saillants, ses doudounes et ses fesses...
Tiphaine a tourné le visage vers ma belle-mère, et, peut-être parce qu'elle voulait me faire comprendre la nature de leurs relations, ou peut-être plus simplement c'était une envie irrésistible, en tout cas elles ont l'une comme l'autre sorti leurs langues et elles les ont frottées l'une contre l'autre, dans quelque chose d'aussi troublant qu'obscène. J'ai cru que j'allais me jouir dessus.
Ce qui est venu ensuite aurait pu tout autant faire que je me jouisse dessus.
Teresa s'est penchée pour attraper l'ourlet de la robe, et elle a commencé à la remonter.
Je crois bien que rien n'aurait pu me faire détourner le regard. J'étais tout entier dans la découverte de ce corps. Elle a bien sûr fait exprès d' y aller très lentement. La robe s'arrêtait juste au-dessus des cuissardes, révélant quelques centimètres de nylon. Elle avait vraiment de jolies jambes, très fines. Parce qu'elle a remonté encore plus, j'ai compris qu'il s'agissait du nylon de bas stay up.
Elle a encore remonté, Un slip blanc, entièrement transparent enveloppait son intimité. J'ai vu des boucles blondes, la fente d'un sexe dont dépassaient ses lèvres...La robe, tirée vers le haut, a poursuivi son chemin, remontant le long de ses hanches, sur son ventre légèrement bombé. On est arrivé sur ces deux seins que tenaient un soutien-gorge assorti au slip, lui aussi entièrement transparent, laissant voir deux nénés ronds et volumineux, dont aréole et téton venaient s'écraser contre le tissu.
Ca a vraiment démarré quand Teresa a glissé ses mains dans son dos et dégrafé le soutien-gorge. Le tissu a perdu de sa résistance et ses seins se sont retrouvés projetés à l'air libre. Ils étaient lourds, mais ils résistaient parfaitement à la pesanteur terrestre, ovales, bien dressés.
--Viens en prendre un, m'a proposé ma belle-mère, je vais m'occuper de l'autre.
Il y a des propositions qui ne se refusent pas. Celle-ci a en tout cas enclenché un rapprochement qui n'a plus eu de limites par la suite. Teresa et moi on s'est retrouvés visages très proches, quasiment visage contre visage, léchant un sein puis descendant pour travailler un téton. Ca devait être bon, à en juger par la réaction de Tiphaine, cambrée, tendue comme un arc, gémissant sans retenue et faisant un commentaire, unique mais répété : 'C'est bon !' qui pouvait laisser penser que ça l'était vraiment. Je n'aurais pas même rêvé, une semaine plus tôt, pouvoir poser ma bouche sur ces deux seins aussi attirants qu'un aimant.
J'ai laissé ma main glisser sur son ventre. Elle avait la peau douce et chaude. En baissant les yeux je me suis rendu compte que l'espace entre le tissu du slip et sa chatte était occupé. Il y avait une main, celle de ma belle-mère, qui avait entamé une caresse circulaire sur ses parties intimes. Dommage...J'aurais du occuper la place le premier. Mais j'avais deux filles à ma disposition. J'ai tendu la main vers le pantalon de cuir de Teresa, j'ai défait le bouton qui le tenait à sa taille, tiré la fermeture-éclair. Contrairement à ce que j'avais pu penser, elle avait un simple slip blanc et ultra-fin trempé par des jus d'excitation qui étaient montés de son sexe. J'ai descendu le pantalon à mi-cuisses et j'ai fait suivre le même chemin à la petite culotte. Je connaissais ce sexe par cœur, l'autre m'était inconnu, mais j'avais bien dans l'idée que j'allais en découvrir plus dans les secondes qui suivaient. Tout en continuant de bouffer le téton de Tiphaine, j'ai caressé ses chairs. Je connaissais son corps par cœur, et pourtant je le redécouvrais à chaque fois. Je ne m'en lassais pas. Même si j'avais justement envie de découvrir un autre corps, celui de Tiphaine.
On a lâché ses tétons, et, nos bouches se sont rejointes. Trois langues sont sorties, qui se sont entremêlées et caressées frénétiquement. C'était le genre de moment qui faisait que la vie valait la peine d'être vécue. Passé les premières minutes, on était partis sur un accord muet et quasi télépathique, qui a fait qu'on s'est calés de manière naturelle, sans avoir un mot à échanger.
On a entraîné Tiphaine vers le living et le canapé. C'est Teresa qui a descendu son slip. Je regardais et j'ai eu la vision intégrale d'une chatte bien appétissante. Déjà bien dilatée, on pouvait voir ses muqueuses internes, parce qu'elle était entrouverte, mais aussi ses lèvres qui s'étaient gonflées et allongées. Elles étaient incroyablement fines et longues, je n'en avais jamais vu de pareilles.
Ce qui me plaisait sans doute le plus, c'était qu'elle ait choisi, au lieu d'une épilation intégrale, de garder sa toison, en la retravaillant bien sûr, rasant ses aines, et les poils qui pouvaient encadrer son sexe, gardant donc un triangle de poils blonds, épais, comme un coussin sur son pubis.
Elle s'est laissée tomber en arrière dans le divan, et elle s'est ouverte autant qu'elle le pouvait, pour nous offrir son sexe. On avait eu un sein chacun, là on avait une chatte unique, et on est venus la caresser, joue contre joue, je crois qu'on avait la même envie de l'honorer avec nos langues et nos bouches. Fasciné par ses lèvres, je les ai doucement prises entre les lèvres de la bouche, et je les ai étirées doucement, sentant la peau fine et chaude contre ma muqueuse buccale. Teresa avait elle choisi de se concentrer sur le gland clitoridien de la jeune femme. Celui-ci était encore invisible, recouvert par une peau. Elle l'a décalotté, mettant à nu un morceau de chair délicat, qui, dès qu'elle s'est mise à le caresser de la langue, s'est allongé, fin et long. Une chair délicate, à l'image de ses lèvres.
Pour Tiphaine, était-ce parce qu'on était deux, ou aurait-ce était aussi fort s'il n'y avait eu qu'un seul partenaire pour honorer sa chatte, c'était le Nirvana le plus absolu. Appuyée contre le dossier du canapé, elle s'abandonnait totalement au plaisir et ruisselait sur nous.
Ce qui m'a plu c'est que Teresa ne négligeait pas pour autant notre plaisir à nous deux. Elle venait prendre ma bouche régulièrement, frottant ma langue de la sienne, au milieu des liquides intimes de Tiphaine qui trempaient nos bouches, et elle caressait ma queue, dilatée d'excitation à ce moment que je n'aurais pas imaginé.
--J'ai envie d'aller plus loin, a finalement dit Teresa en se redressant. Toi aussi Tiphaine ?
--Plus que tout.
Elle s'est éclipsée un instant. Tiphaine m'a dit :
--Donne-moi ta queue...J'ai envie de la prendre dans ma bouche.
Je suis venu me caler sur le dossier du divan. Elle a regardé avec convoitise ma queue que l'excitation avait figé dans une dilatation extrême. Elle a baladé sa bouche et sa langue dessus. C'était certain, elle n'avait pas l'expérience de Teresa, mais elle se débrouillait bien, et sa caresse m'a donné du plaisir.
Teresa est revenue avec une boite de préservatifs. Elle s'était définitivement débarrassée de son pantalon de cuir et du slip, et elle arborait quelque chose qui m'a intrigué. Comme elle percevait mon interrogation, elle m'a expliqué :
--C'est un jouet nouvelle génération. L'équivalent d'un gode-ceinture mais sans ceinture.
Il y a la queue de plastique et la deuxième partie c'est un bloc qui a été modelé sur une chatte, tu l'insères dans la tienne, quelle que soit la chatte ça bloque totalement la queue de plastique. C'est super bon...Tu as vraiment l'impression que tu as une queue qui est vraiment la tienne, plus qu'avec un gode-ceinture. Ce qui est identique c'est le plaisir. Le moindre mouvement, tu vibres avec la queue. La première fois que je l'ai essayée, j'ai du apprendre à me contrôler, j'avais orgasme sur orgasme.
Mais Tiphaine, elle connaît déjà bien la question. Elle en a profité déjà plusieurs fois.
Voilà qui m'en disait un peu plus sur leurs relations.
Pour contrebalancer la queue de chair que je lui proposais, Teresa lui a mis sous le nez le pénis factice. Long mais épais, de couleur chair, il ne cherchait pas à imiter une queue, contrairement à certains godes, mais il était troublant. Contre ma queue, parce que le membre réel et l'artificiel ont inévitablement frotté, j'ai senti la manière, souple et chaude, je n'avais absolument aucune idée de quel type de matériau il pouvait s'agir, quelque chose de plus agréable sans aucun doute que bien des godes les plus classiques.
Elle a pris les deux queues dans la bouche, les a faites frotter l'une contre l'autre. Si ça me faisait de l'effet de sentir cette queue artificielle contre moi, la sentir bouger en elle en procurait de manière très visible à Teresa, qui inondait sa chair, et se tortillait. Il se serait fallu d'un peu, sans aucun doute, pour qu'elle jouisse.
Elle s'est écartée pour reprendre un peu le contrôle d'elle-même. Elle avait toujours au creux de la main le préservatif pas encore déballé. Elle a déchiré l'alu, et a extrait la capote baignant dans du lubrifiant, qu'elle a fait glisser d'un seul mouvement le long de ma tige.
--Tiphaine a déjà l'habitude de sentir ma queue en elle, ce serait bien que tu viennes en elle, ça la changera. Et puis je crois qu'elle en a très envie.
On s'est calés avec une souplesse qui ne m'a pas vraiment surpris. Je me suis laissé glisser sur le canapé, elle est venue au dessus de moi, me tournant le dos, son cul sous mes yeux, cambré à l'extrême, son volume projeté vers moi, elle a attrapé ma queue et elle l'a guidée vers sa vulve. C'est rentré tout seul et je me suis retrouvé enveloppé par la muqueuse souple et chaude que Teresa connaissait déjà. Elle n'était en tout cas avare, ni de son plaisir, ni des manifestations de celui-ci. Ses liquides intimes arrosaient littéralement ma queue, ruisselaient sur moi et sur le divan.
--Je suis entrain de jouir, elle a dit...
Elle s'est tendue, s'est mise à se secouer dans tous les sens. Elle a éjaculé, le divan serait bon pour un petit nettoyage.
Ce qui m'a le plus troublé, cependant, ça a été de voir comment ca se passait avec Teresa. Cette dernière s'était positionnée devant Tiphaine, et lui offrait la queue postiche. La jeune femme la dévorait avec une avidité qui disait à la fois son habileté, son envie, mais aussi que ce n'était sans doute pas la première fois qu'elle suçait le pénis artificiel, qui faisait d'évidence partie de leurs jeux intimes. Je voyais parfaitement, en tout cas la scène se dessinait nettement dans ma tête, Tiphaine se précipitant dans le bureau, attendant ce moment jusqu'à l'obsession. Teresa bien sûr toujours prête, soulevant une robe, une jupe, descendant un pantalon, lui offrant le postiche, elle même détrempée d'excitation en attendant ce moment, et Tiphaine plongeant sur la queue et la suçant avec avidité, comme si sa vie en dépendait, bouffant la queue et précipitant la jouissance de Teresa, elle-même en feu.
Tiphaine était prise dans un double mouvement, dans un double plaisir. Allant et venant sur ma queue, la caressant avec sa chatte qui s'était modelée sur ma queue, et en même temps dévorant la verge artificielle.
--Je crois que Tiphaine a envie de plus. Si elle est venue, ce n'est pas pour faire du tricot. Pas vrai, ma belle?
Tiphaine a lâché un gémissement qui pouvait tout et rien dire à la fois.
Je ne voyais pas trop ce que ce plus pouvait signifier, mais il était probable que ma belle-mère avait une idée précise de la chose. Ce qui était imprécis pour moi s'est en tout cas mieux défini dans les secondes qui ont suivi. Elle a attrapé Tiphaine, qui se laissait faire, par les hanches, la soulevant. Ma queue est sortie de son sexe avec un bruit de succion. Enveloppée d'un latex trempé, elle s'était dilatée au contact délicat de sa muqueuse vaginale.
Teresa était pour ainsi dire le metteur en scène du moment de sexe qu'elle avait choisi, forcément plus fort, plus troublant, et bien évidemment nous impliquant tous les trois. Elle s'est faite glisser sur le canapé qui en avait déjà vu pas mal, prenant Tiphaine sur ses cuisses. Sous mes yeux, j'avais la croupe de la jeune femme, que cette position ouvrait, laissant voir sa muqueuse anale, et, juste en dessous, sa chatte, dans laquelle j'étais encore quelques secondes plus tôt, bien ouverte, autant à cause de l'excitation de la situation que parce que ma queue la fouillait. Mouillant les cuisses de Teresa.
Cette dernière a amené la queue postiche, jusqu'à ce moment encore collée à son ventre, à ma vue, raide contre les fesses de la jeune femme. Elle l'a guidée de la main vers la vulve qu'elle a remplie. La muqueuse rose a été masquée par le membre artificiel.
--Encule-là. Je ne l'ai jamais encore prise par là, c'est toi qui auras cette primeur.
Le regard que m'a jeté Tiphaine m'a fait clairement comprendre que ce n'était pas la forcer que d'aller dans le sens du commandement de ma belle-mère, mais au contraire l'expression d'une envie qu'elle n'aurait pas forcément formulée.
Je suis arrivé derrière elle, pris par le désir pour la jeune femme et excité par cette situation, qui, si me permettait d'assouvir mon désir pour cette magnifique blonde que je n'aurais jamais espéré avoir dans cette position, ni même dans une autre lorsque je l'avais croisée une semaine plus tôt. Comme quoi les miracles pouvaient arriver. Surtout quand il y avait Teresa qui aidait le Destin.
Je suis venu poser mon gland contre sa muqueuse anale...J'aimais ce dessin, à la fois universel et unique des plissements d'un anus. J'ai frotté mon gland contre, et elle s'est mise à gémir. Sa chair était souple, elle s'était encore assouplie alors que je la frottais, jusqu'au moment où, appuyant légèrement, j'ai senti que je glissais en elle. J'ai bien remarqué que Teresa avait planté la queue artificielle en elle, mais pour le moment, elle ne faisait rien, sans doute pour me laisser le temps de me caler. J'ai avancé dans le conduit plus serré que celui d'une chatte. En même temps que je progressais dans la muqueuse souple, je me suis rendu compte, je découvrais, c'était la première fois que j'étais dans cette position, que je sentais bien au-delà du rectum de la jeune femme. C'était cela que voulait me faire découvrir Teresa, c'était en tout cas ce que son expression semblait vouloir dire. Et effectivement, pour une découverte, ça en a été une belle que de sentir cette présence, si proche, bien qu'engagée dans un orifice différent. Je me suis mis à bouger en elle, sentant en même temps le frottement que la queue artificielle contre moi, qui suivait un rythme proche ou totalement différent.
Une expérience intense, à marquer d'une pierre blanche.
Je ne risque par d'oublier les mouvements qui ont suivi. On a été tous les trois pris dans un maelstrom de sensations et de plaisir qui nous a tous les trois poussés de plus en plus haut. Nos muqueuses à vif on était vraiment à trois dans l'intensité du moment,sans décalage. Quelque chose s'était amorcé que je n'avais jamais connu avant. Je sentais Tiphaine fondre de plaisir, comme c'était certainement le cas avec Teresa au bureau, et je découvrais une nouvelle manière de faire l'amour, avec une nouvelle configuration, caressé à la fois par la muqueuse anale mais aussi le gode. Teresa était elle aussi en plein trip, le gode semblait conducteur, comme peut l'être une vraie queue.
Dans cet espace de liberté qu'était la maison, plus qu'au bureau sans doute, elles ont pu crier et jouir sans retenue.
--J'en peux plus, a confié Teresa,
Tiphaine, au bout des deux queues, la réelle et l'artificielle, s'est mise à jouir, son corps secoué de soubresauts, criant...Quand elle jouissait, ce n'était pas du chiqué. Et ça durait. Elle se tordait sur nous. C'était excitant de la voir jouir, de l'entendre jouir, Elle éjaculait un liquide abondant qui trempait nos chairs.
Un orgasme contagieux et j'ai bien senti que je n'allais pas tenir très longtemps...L'orgasme m'a traversé alors que je ne m'y attendais pas, et j'ai commencé à balancer mon sperme dans la capote, puis à jouir deux secondes plus tard. Chaque orgasme est différent, celui-là était très bon et dans des circonstances que je ne voulais pas oublier, et que j'avais envie de revivre, identiques mais différentes.
Seule Teresa n'avait pas encore joui, mais c'était intentionnel. Elle s'est retirée de la vulve de Tiphaine, et elle s'est basculée en arrière. J'ai compris qu'il s'agissait d'un rituel établi entre les deux filles. C'était une évidence.
Tiphaine a enserré la queue artificielle, et elle l'a masturbée. Le sexe de ma belle-mère était dilaté, on voyait son intérieur, ses lèvres et son gland clitoridien étaient congestionnés, littéralement gorgés de sang, et on voyait son intérieur, ses muqueuses roses, même si le socle restait en place.
Je me suis allongé près de Teresa. Tiphaine a aussitôt réagi et sa main libre est venue encercler ma queue. Avec une expression radieuse sur le visage, elle a masturbé nos deux queues, la vraie et la fausse, mais dans ce contexte, ça ne faisait pas vraiment de différence. Elle m'avait enlevé le préservatif. Je n'avais même pas débandé, au contraire, je me dilatais encore. Quant à Teresa, l'effet en retour du gode sur elle était dévastateur...Elle s'est mise à crier, et elle a joui, éjaculant autour du bloc inséré en elle, en grands jets copieux. Je l'ai rejointe quelques secondes plus tard, balançant mon sperme comme si je n'avais pas joui. Je n'en finissais pas d'éjaculer.
Tiphaine s'est rapidement rajustée et s'est éclipsée sans même un au revoir. On est restés seuls tous les deux, retrouvant une intimité qu'on avait momentanément cassée et qui nous ouvrait de nouvelles perspectives.
On s'est regardés.
On a eu la même pensée au même moment, je crois.
Ca avait été un bon moment, mais il existait entre nous une complicité unique et intense, qui faisait que, même si on ramenait Tiphaine dans notre cercle, on préférait ce qu'on partageait à deux.
Elle est venue envelopper ma queue de ma main. J'étais encore dur, et mon désir pour elle est monté en flèche en quelques secondes. Elle est venue balader sa langue sur mon gland, avant de se poser au-dessus de moi, et de guider ma queue vers son sexe dilaté, vraiment béant, comme je ne l'avais jamais vu, sur son intérieur. Elle s'est laissée descendre sur moi. J'ai senti qu'elle m'enveloppait, chaude et caressante et elle s'est mise à bouger sur moi. Au bout d'un moment, elle s'est soulevée et elle m'a posé contre sa muqueuse anale, en même temps qu'elle glissait deux doigts dans sa béance qui ne s'était pas refermée. On a joui comme si rien ne s'était passé avant, avec force et intensité...J'ai craché trois litres de sperme dans ses muqueuses anales, et elle a bloqué ses doigts en elle, éjaculant autour en hurlant.
Il était temps de se nettoyer et de finir la soirée autrement.

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Histoire de JamesB

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