Derrière mon air sage... Chapitre 2 : les règles du jeu

Derrière mon air sage…
Chapitre 2 : Les règles du jeu

Je ne me lasse pas de regarder les vidéos de Mattheur. Il m’a comblée en me doigtant et en m’obligeant à le sucer. En regardant ses vidéos la 1ère fois, je n’avais pas imaginé sa queue aussi grosse et longue. Je n’ai pas réussi à la prendre entièrement dans ma bouche et j’en suis frustrée. Mes doigts ne suffisent pas à satisfaire mon besoin. J’ai envie de sa queue, dans ma bouche, dans ma chatte… et pourquoi pas dans mon cul… Je n’ai jamais été sodomisée, mais j’aimerais offrir mon anneau de chair à cet homme. Je rougis à cette idée. Mais assez de fausse pudeur, j’aime le sexe, je n’ai pas à en avoir honte.

Malheureusement, il ne s’est pas reconnecté depuis notre courte rencontre à la bibliothèque. Cela fait maintenant 3 jours. J’ai continué à me prendre en photo à la bibliothèque. Je ne mets plus de dessous et ne porte que des jupes courtes avec un bustier. J’ai même fait une séance photo dans l’ascenseur quand celui-ci est resté bloqué 30 minutes. Ça a été un moment très excitant, car je ne savais pas quand les dépanneurs allaient intervenir. J’aurais aimé qu’ils me surprennent nue dans la cabine et qu’ils me soumettent à leurs désirs les plus pervers. Mais je n’ai pas eu cette chance.

Assise dans mon fauteuil, les cuisses écartées et posées sur les accoudoirs, je fixe l’objectif noir de mon portable. L’écran me renvoie l’image de ma chatte grande ouverte et de mes gros seins, aux mamelons bruns et aux tétons gonflés. Je prends plusieurs clichés, dont deux où mes doigts écartent un peu plus ma vulve. Avec la télécommande, je bascule en mode vidéo, filmant mes doigts, entrant et sortant de ma chatte humide. J’envoie le tout sur mon profil.

J’obtiens beaucoup de commentaires, mais aucun de Mattheur.

Queutard > tu m’excites ! regarde !
Queutard > [photo de sa bite en érection]
Queutard > j’vais te la mettre bien profond !

Langue Agile > je passerai des heures à te lécher !

Et autres joyeusetés du même genre. Mais seuls les messages de Mattheur pourraient m’exciter.

Arrive la fin de semaine, et celle de mon contrat par la même occasion. Ma collègue semble un peu triste. Il est vrai que nous nous entendions bien toutes les deux. Elle m’a apporté une magnifique orchidée en cadeau. Je suis assez émue.

— Ah, au fait, on t’a déposé un paquet pendant que tu rangeais la section enfant.
— Ici ?
— Oui, le voilà.
— Merci.

Elle sort une enveloppe matelassée de sous son bureau. Je le prends, un peu surprise. Il est assez léger. Ma collègue me regarde d’un air curieux, je suis certaine qu’elle se demande de quoi il s’agit. Je lui souris et lui dis que je vais en salle de pause. Installée à la table, je tourne et retourne l’enveloppe plusieurs fois entre mes doigts. En la palpant, je sens un objet dur, dont le contour me fait penser à un jeu de clés. Je regarde le nom de l’expéditeur, mais il s’agit d’un cabinet d’avocats parisien que je ne connais pas. Cela m’inquiète. J’hésite à ouvrir l’enveloppe.

Des avocats, sûrement de mauvaises nouvelles.

Je tire 2 feuilles, l’une pliée en 2 et l’autre en 4 et un jeu de clés de l’enveloppe. Le jeu comporte 4 clés, ont une vieille en fer forgé. Les 3 autres sont très récentes et portent chacune une gravure : portail, verrou haut, verrou bas. Je les pose à côté de moi et déplie la feuille.

« Chère Anne P.
Monsieur Matthieu S est ravi de vous proposer le poste d’intendante intérimaire, qui se concrétisera sous la forme d’un contrat à durée déterminée de 3 mois. Vous commencerez le lundi 4 septembre 2023, sous réserve de passer les contrôles préalables tels que la vérification des antécédents judiciaires, un dépistage de drogues, un courrier de recommandation de votre dernier employeur.
En tant qu’intendante, vous serez responsable de l’entretien de la maison et de l’inventaire complet des objets s’y trouvant avant sa mise en vente début janvier 2024.
Vous dépendrez de Maître Matthias S à qui vous transmettrez l’avancée de l’inventaire une fois par semaine. Les horaires de travail sont fixés comme suit : 8h30 – 12h30, 14h – 17h. En-dehors de ces horaires, vous devrez disponible au téléphone, du lundi au vendredi.
Le salaire mensuel de départ de ce poste est de 2 000 euros brut, soit 1540 euros nets. Le paiement est effectué le 25 du mois par virement bancaire à partir du 25 septembre 2023. De plus, vous serez logée et nourrie par nos soins.
Notre cabinet vous assure un programme d’avantages complet comprenant une assurance-maladie et vos congés payés.
Veuillez donner votre accord en signant et en la remettant en main propre à Maître S, mercredi 30 août 2023, à l’adresse indiquée ci-dessous, à 15h30.
Bien cordialement, »
Etc.

Je suis abasourdie par la lecture de ce contrat. Je ne connais aucun avocat à moins que Matthias S ne soit… la lecture du 2d feuillet confirme mon hypothèse.

« Ma très chère Emilie, ou Anne, devrais-je dire en réalité,
J’ai appris par ta collègue que ton contrat arrivait à son terme. Attristé par ta situation car je t’apprécie vraiment beaucoup, je te propose ce poste. Il ne s’agit que d’un contrat de 3 mois, mais il t’aidera à te retourner, le temps de trouver un autre emploi.
Il s’agit précisément d’entretenir la maison et de procéder à un inventaire complet de tous les objets qui se trouvent dans la maison de mon père, installé en maison de retraite depuis 2 semaines.
Outre les conditions citées dans le contrat, je souhaite en ajouter quelques-unes, qui, tu le comprendras à la lecture, ne peuvent figurer dans un contrat. Si tu les acceptes, rends-toi au rendez-vous selon les directives qui suivent. Tu es en droit de les refuser, et je te rassure, cela n’influencera pas ma décision de t’embaucher, car je sais que tu es une personne aussi méticuleuse que sérieuse.
Cordialement, Mattheur. »

C’est bien ce que je pensais. Mon intimité s’excite à la lecture de ses lignes manuscrites. Le connaissant, je me doute des conditions qu’il souhaite me voir accepter. Je retourne le papier.

« Conditions optionnelles : Tu devras :
- m’appeler Maître,
- se mettre à ma disposition 24h/24,
- ne porter aucun vêtement hormis ceux indiqués chaque matin,
- obéir à chacun de mes ordres,
- avoir une hygiène irréprochable,
- ne consommer aucune drogue durant les 3 prochains mois,
- n’avoir aucune relation sexuelle hormis celles que je te proposerai,
- me faire part du moindre doute, de la moindre difficulté,
Tu ne pourras pas mettre fin à ce contrat avant la fin de ton CDD.
Si tu acceptes toutes ces conditions, qu’elle se vienne au rendez-vous fixé vêtue d’un manteau noir et rien d’autre. Tu te débarrasseras de ton manteau à l’entrée de la propriété. »

C’est clair, il veut faire de moi sa soumise, son jouet… je plie nerveusement le courrier et le range dans l’enveloppe. La situation est très excitante. Outre l’offre d’emploi intéressante, ce bonus en nature est plus qu’alléchant. Je m’imagine déjà nue, à ses pieds, attendant le moindre de ses ordres.

Je glisse une main sous ma jupe pour caresser mon sexe nu. Il est poisseux d’excitation. Je prends mon portable et le photographie pour le poster sur ma page de nude avec le commentaire :

Toute excitée pour vous, M.

Aussitôt, un message arrive.

Mattheur > Petite perverse.
Moi < oui, monsieur. Pour vous plaire.
Mattheur > Continue. Montre-moi.
Moi < Je suis dans la salle de pause… je vais ailleurs.
Mattheur > Non, ici, maintenant.

J’hésite. Mais je suis trop excitée pour attendre. Je recule ma chaise et pose le téléphone sur la chaise d’en face, gros plan sur ma chatte baveuse. Je l’écarte bien avec mes doigts, en étirant les lèvres le plus possible. J’y glisse mon majeur puis mon index, faisant de rapides allers-retours profonds. Les bruits mouillés de mes doigts, à peine couverts par la ventilation, semblent résonner dans la pièce. Je suis tellement excitée que je ne mets pas longtemps à jouir. Mon jus goutte sur le carrelage alors que ma chatte palpite. J’envoie rapidement la vidéo à mon futur maître.

Sa réponse ne se fait pas attendre.

Mattheur > C’est très bien. Une vraie petite chienne obéissante.
Moi < Merci, Maître.
Mattheur > Tu seras récompensée. À mercredi.

J’ai à peine le temps de fermer son message que la porte de la salle s’ouvre sur ma collègue.

— Rien de grave, j’espère, me demande-t-elle en coulant un regard sur l’enveloppe.
— Non, bien au contraire.

Je range l’enveloppe et les clés dans mon sac et retourne dans la bibliothèque, finir de ranger les derniers libres, l’esprit léger.

Dans 2 jours, je vais avoir un nouveau travail.

Dans 2 jours, je vais avoir un homme qui va satisfaire mon appétit sexuel.