Il baise sa maman dans un club

Mika est très fusionnel avec sa maman Louise. Ce jeune homme de 25 ans vit encore chez ses parents, qui le chouchoutent comme un bébé. Devant la télévision, il se blottit contre sa maman, la serre très fort contre lui, elle, heureuse, ronronne comme une chatte, et cela devant les yeux amusés du papa Paul. C'est samedi, Paul, très tôt, est parti avec ses amis à la pêche. Louise est déjà levée. Vêtue d'une blouse mal boutonnée, elle prépare le petit déjeuner. Mika en boxer, s'étire en descendant l'escalier. Il en regarde sa maman qui s'affaire devant l'évier.

Le coquin, comme cela se produit souvent, a une terrible érection matinale. Il s'approche de sa maman, l'enlace, se plaque contre elle, et en lui disant bonjour, lui donne une multitude de baisers sur le cou et la nuque. Elle ne peut ignorer la verge tendue qui lui laboure le bas des reins. Louise soupire profondément en répondant au bonjour de son fils. Le coquin ondule du bassin en frottant bien son membre contre les fesses maternelles. Habilement, comme il le fait presque chaque matin, il lui caresse les flancs, les hanches. Il sait que sa maman est nue sous sa blouse, pour cela, il la plaque encore plus fort contre lui. Louise frémit, puis habilement réussit à lui faire face. Il l'attire contre lui, en lui faisant bien sentir sa verge raide comme du bois. Et en lui donnant un baiser très appuyé sur les lèvres, dit :

— Tu as bien dormi, maman chérie !

Jugeant la position inconfortable et immorale, Louise lestement s'esquive :

— Oui très bien mon chéri, bon passe à table, tu dois mourir de faim !

Au passage, elle regarde discrètement le membre qui gonfle affreusement le boxer de son fils. Elle ravale sa salive et ajoute :

— Tu devrais, Mika, avant de descendre, enfiler un pantalon, c'est indécent une tenue pareille !

Il remarque le trouble de sa maman et, en saisissant à travers le boxer sa verge, dit en souriant :

— C'est ça qui te gêne, maman !

Louise, outrée, écarquille les yeux et réplique :

— Mais qu'est-ce que tu fais Mika, tu deviens fou !

Mika baisse son boxer et exhibe son membre en l'agitant. Louise reste un instant sans voix et puis réussit à dire :

— Mika, cesse de faire l'idiot, je suis ta maman, pas ta copine, range ça veux-tu, c'est insensé ce que tu fais, tu cherches quoi ?

En souriant, Mika remonte son boxer et commence à manger, sous le regard menaçant de sa maman. Louise commence le ménage, les pans de sa blouse mal fermée dévoilent de temps en temps une bonne partie de ses cuisses. Mika ne les quitte pas des yeux, sa verge n'est pas prête à dégonfler, au contraire, elle prend du volume. Louise monte sur une chaise pour épousseter le dessus d'un meuble, elle doit se mettre en équilibre sur la pointe des pieds pour œuvrer. Mika se lève, s'agrippe à elle, et passe ses mains sous la blouse.
Et en s'accrochant à ses cuisses, dit :

— Tu vas tomber, maman, fais gaffe !

En disant cela, il lui donne plein de baisers bruyants sur les fesses à travers le fin tissu de la blouse. Louise sursaute. En descendant de la chaise, son corps frotte obligatoirement contre celui de son fils. La queue tendue de celui-ci, malgré qu'elle soit emprisonnée dans son boxer, s'accroche aux boutons de la blouse, en, les faisant sauter au passage. Les pans s'ouvrent en découvrant le bas-ventre de Louise qui devient rouge comme une pivoine. Mika, reste bouche bée devant la fine toison de sa maman, que sa blouse n'a pu cacher. Louise, confuse, referme rapidement les pans de sa blouse, et s'enfuit à la salle de bain.

Elle en ressort quelques instants plus tard, vêtue d'une jupe et d'un corsage qui mettent en valeur sa poitrine généreuse. Mika la dévore des yeux, il admire le déhanchement félin de sa maman lorsqu'elle se déplace. Sa verge est toujours dressée, il n'en peut plus, il se dirige vers la salle de bain, baisse son boxer, et entreprend une masturbation vigoureuse. Il dit, qui dit en grognant :

— C'est pour toi, maman chérie, tiens, tiens !

Sa verge expulse plusieurs jets de liquide blanchâtre, qui retombent lourdement dans le lavabo. S'est apaisé, qu'il prenne sa douche et monte dans sa chambre s'habiller. La journée se passe normalement. Paul rentre de sa pêche avec quelques prises, qu'il étale fièrement sur l'évier. Louise, souriante, indique :

— Eh bien voilà le repas de ce soir !

Après le diner, comme chaque samedi, Louise, comme un rituel, va rendre visite à ses parents et ne rentre que très tard. Mika le week-end ne pense qu'à faire la fête, et pour cela, il embarque avec lui son meilleur copain Ludovic. Après avoir fait écumer quelques bars, et éclusé quelques verres. L'ami de Mika lui suggère de terminer la soirée en beauté. Il connait un club, et avec l'approbation de Mika ils s'y rendent. La particularité de ce lieu est que souvent des thèmes sont imposés. Ce soir c'est l'anonymat, tous les visiteurs doivent se masquer et se prendre un pseudo. Mika c'est galant, Ludo Arsène. Au bar des masques sont fournis. Les deux hommes se prêtent volontiers au jeu. Il commande une bouteille et vont prendre place à une table autour d'une piste de danse.

Sur la piste évoluent quelques couples, les corps se frottent effrontément, et des mains s'égarent. Les femmes attifées comme des putes sont vite la proie des hommes en rut. Mika regarde un couple, la femme agenouillée devant un homme lui fait une fellation monstrueuse. La coquine semble une experte, elle suce et tète en faisant gémir l'homme de plaisir. Mika et son ami bandent comme des cerfs. Ludo, se lève et invite son pote à le suivre. Ils s'avancent vers le couple en oubliant les autres. La femme très active s'acharne sur la queue de son partenaire en lui arrachant des grognements de bête. L'homme se cabre et remplit la bouche de la suceuse avec son sperme épais. Le type semble connaitre la femme, il lui dit entre deux souffles :

-Toi, Greta, tu es toujours aussi efficace, je me régale avec toi ma salope, viens dans l'alcôve !

La femme se lève, s'essuie les lèvres d'un revers de la main. Arsène lui retrousse la jupe qui est ultra courte et lui découvre les fesses, et en donnant une tape dessus, dit :

— Regarde, Galant, le cul qu'elle a cette salope, il ferait bander un mort !

Timidement, Mika, alias Galant, caresse les lobes en poussant de nombreux soupirs. L'homme regarde les nouveaux venus et dit :

— Venez avec nous, il ne faut pas lui en promettre à Greta, il faut lui en donner, nous ne serons pas de trop à trois. C'est une sacrée gourmande la salope, à chaque fois, avec mes mais, elle nous épuise !

Les quatre entrent dans l'alcôve, Greta est vite mise nue. Les hommes l'imitent. Les queues tendues sont vite accaparées par Greta qui les suce l'une après l'autre. Mika est aux anges, c'est la première fois qu'une femme lui suce la bite avec autant de voracité. Greta les fait décharger à tour de rôle, la salope adore avaler. Un homme s'allonge sur le sol, Greta s'empale sur sa queue et commence une danse orientale en ondulant du bassin. Ses gémissements prouvent qu'elle prend beaucoup de plaisir. Mika lui malaxe les siens pendant qu'elle s'agite sur le pieu de chair en couinant comme une bête malade. Il lui roule les mamelons, les étire, les tord fortement. Il se penche et gobe les mamelons qui ne cessent de prendre du volume. Dans le feu de l'action, il les mord jusqu'au sang en faisant rugir la femme. Elle pousse un long râle, lorsque Ludovic lui enfonce sa verge dans le rectum. Prise brutalement, la femme, en se mordant le poignet, dit :

— Faites de moi votre pute mes salauds !

Greta subit les assauts à répétition de ses amants, ses jouissances sont extraordinaires. Jamais, Mika n'a connu une femme aussi chaude et gourmande, c'est un vrai volcan. Il lui bouffe la chatte, lui mord les grandes lèvres et les seins. Greta semble aimer ce genre de traitement spécial. Elle lui dit en soufflant comme un dragon :

— Tu es un monstre mon cochon, vas-y fais-moi mal, j'adore être traitée comme une salope, continu oh putain que c'est bon !

Pendant de longues heures, elle se donne à ses amants sans aucune retenue.
C'est plein de sperme, radieuse et euphorique, qu'enfin, ils la libèrent. Il est tard, les deux amis, avant de rentrer, vont boire un dernier verre. Ludovic dit en souriant :

— Putain ce soir, nous sommes tombés sur une sacrée, elle avait le feu au cul la salope, je n'en reviens encore pas!



Mika le confire en ajoutant :

-Oh ouais c'était une bonne pute bien chaude, et quel cul, je me suis régalé !

Fier de sa soirée, Mika enfin entre chez lui. Il entend du bruit dans la douche, s'approche doucement, la porte est entrouverte. Il la pousse et reste figé. Sa maman nue devant le miroir regarde son corps meurtri, il voit nettement des traces de morsures sur ses seins. Il frémit, sa maman se caresse les seins en grimaçant.

Elle écarte avec ses doigts sa chatte, et en se pinçant les lèvres, et se croyant seule, dit doucement :

— Oh putain, il ne m'a pas ménagé le salaud !

Elle sursaute en voyant dans le miroir son fils, elle tente de cacher ses parties intimes et, honteusement, dit :

— Mika, mais que fais-tu là, tu m'espionnes ?

Ahuri, et en déglutissant bruyamment, répond :

— Mais tu es Greta, maman, c'est toi que nous avons baisée tout à l'heure ? Oh la vache, je n'ose le croire !

Louise baisse les yeux et, prenant son courage à deux mains et une grande aspiration, répond à son fils :

— Oui, c'est moi !

Elle se racle fortement la gorge et ajoute :

— Donc c'est avec vous que j'ai passé une partie de la nuit ?

En faisant une moue affreuse, Mika veut en savoir plus. Lentement avec des trémolos dans la voix, sa maman révèle les raisons de ses délires :

— Tu sais, Mika, ton papa n'est plus l'amant qu'il était autrefois, il ne bande que rarement et moi j'ai besoin de beaucoup de sexe. C'est pour cela que chaque samedi, je trouve l'excuse d'aller chez ta grand-mère, pour m'envoyer en l'air avec des hommes !

— Surtout pas un mot à ton papa, cela serait catastrophique. Je suis prête à faire tout ce que tu veux, si tu promets de garder le silence !


En se redressant, il toise sa maman et dit :

— Tu as bien dit, tout, tout, ce que je veux, même à devenir ma pute ?

En ravalant sa salive, Louise répond :

— Oui promis, si tu gardes ce secret, je serai une pute, oui ta grosse pute mon chéri !

Mika, en souriant, réplique :

— Ok, alors commence immédiatement à être une pute. Branle-toi et suce-moi en même temps !

Louise regarde son fils, qui rapidement ôte ses vêtements. Il se cambre, Louise se pince les lèvres et saisit la verge endormie. Elle l'agite, la triture pour qu'elle redresse la tête. Louise connait son affaire, la verge se durcit dans sa main. Elle la décalotte et gobe le gland et, comme pour se faire pardonner, commence une fellation comme jamais elle n'en a fait. Pendant qu'elle suce, de sa main libre, elle se maltraite le clito. Elle gémit en même temps qu'elle sur le membre. Mika ne peut s'empêcher de dire :

— Oh maman, j'ai découvert en toi ce soir une amante merveilleuse qui ne rechigne sur rien. Je vais faire profiter mes copains de ton expérience, tu es d'accord ma chérie !

Entre deux succions, elle dit :

— Oui mon chéri, je suis prête à toi pour jouir !

Elle reçoit dans la bouche une puissante décharge de sperme, elle recrache le gland et, en regardant son fils, avale la crème onctueuse. Elle déclare en arborant un large sourire :

— Ce que ton sperme est bon, mon chérie, tu sais que j'en suis friande, alors il faudra lui en offrir le plus possible à ta maman salope !

Louise s'agite, son clito est gonflé, elle le branle en grimaçant. Mika est excité de voir sa maman se masturber devant lui, il dit :

— Jouis, jouis, ma petite salope de maman, allez prends ton plaisir !

Un orgasme fabuleux la fait cabrer. En bafouillant, Louise dit :

— Oh mon chéri, c'est trop bon, baise-moi, baise-moi !

Louise s'allonge à même le sol et écarte les jambes. Mika regarde la chatte ruisselante et dit :

— Tu es une sacrée chaudasse, maman, j'aime ça, nous allons faire de grandes choses ensemble. Il prend place entre les cuisses ouvertes et enfonce dans le ventre de la demandeuse sa bite jusqu'aux couilles. Il s'accroche à ses hanches, et commence une formidable destruction de chatte. La bite voyage dans le ventre de Louise en la faisant gémir de plaisir, elle s'agrippe à son fils en marmonnant :

— Oui, oui, mon chéri, détruis la chatte de maman, c'est merveilleux, oh comme tu es puissant mon chéri, vas-y défonce bien cette salope !

Pendant de longues minutes, Mika travaille la chatte de sa maman. La coquine s'agite en donnant des coups de reins violents. La jouissance tant recherchée arrive enfin. Louise se cabre en poussant un hurlement. Mika lui plaque sa main sur la bouche et dit :

— Ne crie pas si fort, papa pourrait nous entendre !

En marmonnant, elle demande :

— Prends-moi le cul, mon chéri, ta bite est si vigoureuse que je la veux dans tous mes orifices, vas-y, vas-y, encule maman !

Elle replie ses jambes sur son ventre et les maintient bien ouvertes. Mika n'a aucune difficulté à pénétrer l'anus maternel. L'anus a tellement reçu de bites que Louise en a oublié le nombre. Bien ancré en elle, le fiston se démène comme un beau diable. La verge infatigable entre et ressort du temple de Sodome, en arrachant à la maman salope des gémissements d'agonisante. Louise grogne, couine, en agitant sa croupe. Soudain une douce chaleur l'envahit. Mika vient de lui remplir le cul de sperme. Louise se manifeste :

— Oh, Mika, c'est trop bon, donne tout ton jus au cul gourmand de maman, mon chéri !

Elle s'agite de plus en plus vite sur le pal de chair, pour atteindre le nirvana. Sa jouissance anale est grandiose, elle se mord le poignet pour tenter d'étouffer le cri qu'elle pousse.


Il est très tard, une douche est nécessaire pour nettoyer les traces de l'ébat. Les deux amants, avant de se séparer, s'embrassent goulument. Les langues se nouent, les salives se mêlent. Le baiser est très long. Les souffles sont bruyants, les respirations rapides.