Je soupçonne ma mère

A l'époque, ma mère avait 44 ans et moi tout juste 19 ans. Ma mère est une femme que beaucoup qualifient de "séduisante", ni sexy ni classique son style est "petite bourgeoise".
Auparavant elle allait +_ 1 fois/mois rendre visite à un ami (François) de ses parents qu'elle connait depuis son enfance et qui avait perdu sa femme quelques années plus tôt.
En général c'était le vendredi fin d'après-midi et elle revenait chez nous vers 20 h.
Mais un jour, arguant être souffrante, elle m'a demandé de me rendre chez François à sa place car elle ne voulait pas qu'il pense qu'elle l'abandonnait. Je connaissais déjà François, l'ayant, en compagnie de ma mère, rencontré quelques fois au supermarché.
Ce jour-là, alors que je m'apprêtais à partir, elle m'a stoppée et m'a dit d'aller me changer. Je portais un vieux jean et un sweat large qui, selon elle, manquait carrément de classe.
- "François est un homme d'un certain standing, je ne suis pas sûre qu'il apprécie recevoir un épouvantail".
C'est donc vêtue d'une jupe "normale" et d'un beau tee-shirt que je m'y suis rendue. N'ayant aucune arrière-pensée, dessous j'avais une lingerie banale et un collant nylon.
Arrivée chez lui qui attendait à l'entrée, je lui ai expliqué que maman étant souffrante elle m'avait demandé de la remplacer. Il m'a faite entrer et nous sommes allés au salon.
J'étais un peu embêtée, je ne savais pas de quoi parler. Il m'a demandé si je voulais à boire et j'ai accepté un coca-cola. Lorsque j'ai avalé la première gorgée j'ai constaté qu'il s'agissait d'un whisky-coca. Je lui ai dit que je n'avais pas l'habitude de boire de l'alcool et il s'est excusé en me disant que maman boit toujours ça lorsqu'elle lui rend visite et m'a proposé de me donner un verre sans alcool. J'ai dit que ça allait, que ce n'était pas désagréable.
Notre conversation était entrecoupées de nombreux passages silencieux, pas facile de trouver des sujets de conversation entre un homme de 74 ans et moi qui venait d'en avoir 19.
Et plus le temps passait plus j'étais mal à l'aise. Pourquoi ? Parce-que je voyais que son regard était souvent dirigé sur mes jambes.
Il devait y avoir 20 minutes que j'étais là lorsqu'il me dit: "Ta maman joue toujours un petit jeu devant moi, elle t'en a déjà parlé ?".
Moi: "Non, ou alors je ne m'en souviens pas".
Lui: "Je ne sais pas si je peux t'en parler, pourtant j'aimerai que tu joues comme elle".
Moi, ne voyant rien venir: "Pourquoi pas, mais je dois rentrer avant 20 h ".
Il sortit un billet de 100 euros qu'il déposa sur la table de salon juste devant moi et: "Le jeu consiste à ce qu'elle se déshabille et se promène dans la pièce en passant régulièrement devant moi, rien de plus".
J'étais estomaquée, ma mère se mettait nue devant ce vieil homme !
Voyant mon air ahuri et craintif, François s'est empressé de me dire que ce qu'il venait de déposer sur la table serait pour moi si je jouais, ajoutant même: "Mais tu ne dois rien craindre, vu mon âge je ne suis pas un danger pour toi".
J'étais tiraillée entre le dégout de la proposition et la vue sur le billet qui représentait une petite fortune pour moi qui n'avait presque pas d'argent.
J'ai finalement craqué, ai pris le billet et l'ai mis dans mon sac en lui demandant comment cela allait se passer.
Lui: "Tu te déshabilles lentement et une fois nue tu vas et viens en t'arrêtant parfois devant moi".
Moi: "Vous ne me toucherez pas, c'est sûr ?".
Lui: "Je n'ai jamais profité d'une femme sans son accord, n'aie pas peur".
Lui: "Commence par ta blouse, ensuite ta jupe puis ton collant en finissant par ton soutien-gorge et ta petite culotte".
Tremblante, je me suis déshabillée comme il l'avait demandé. C'était la plus grande gêne que j'aie jamais vécue. Quand je m'arrêtais devant lui il me soufflait sur le sexe, c'était vraiment bizarre.
Quelques minutes plus tard je lui ai demandé si cela suffisait et si je pouvais me rhabiller.
Lui: "C'est toi qui décides", mais il sortit un billet de 50 euros et s'exprima à nouveau, "Ce billet est aussi pour toi si tu t'allonges sur la grande table et écartes les jambes au maximum afin que je puisse bien voir ton minou".
Holà, la tournure de ses exigences prenait un air fort spécial. Mais encore une fois j'ai accepté pour la récompense.
Je me suis allongée sur la table et ai écarté les jambes.
Lui, assis sur une chaise juste devant moi: "Plus que ça, je ne vois pas grand-chose".
J'ai encore écarté mais il trouvait toujours que c'était fort peu.
Lui: "Ecoute, mets tes pieds sur la table et prends tes genoux en main afin de me rendre la vue totale".
J'ai obéi.
Lui: "C'est mieux ainsi, mais je ne vois toujours pas l'intérieur de ton minou, je vais t'aider".
Joignant le geste à la parole, c'est aidé de ses 2 mains qu'il m'a "grande ouverte".
Moi: "Vous aviez dit que vous ne me toucheriez pas, je vous croyais sincère".
Lui: "Oui mais c'est juste pour mieux voir, ça fait longtemps que je n'ai plus vu l'intérieur d'un minou aussi jeune que le tien, il est magnifique".
2 minutes plus tard j'ai dit que cela suffisait et me suis relevée.
Je me suis rhabillée, ai pris le billet que je méritais amplement et me suis dirigée vers la porte.
Lui: "Je vais te donner mon numéro de téléphone, si tu as envie ou besoin tu seras toujours la bienvenue".
Franchement, je n'avais aucune envie de retourner chez ce vieux cochon, mais il ne faut jamais dire: "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau".
Et j'y suis retournée quelques fois, allant même jusqu'à lui faire quelques fellations alors qu'il se régalait à ma source.
Ma mère ne m'a jamais questionnée, mais je suis certaine qu'elle savait et qu'elle n'était pas étrangère à tout ça.
Plus tard je vous raconterai quand j'ai avoué tout ça à mon mari, nous étions déjà candaulistes et il n'a pas manqué de...
Lucrèce