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Alicia la piscine aout 2022 (3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 07/10/2022

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La main d'Alicia, son poing va et vient en moi de plus en plus vite. Elle ressort totalement et avec un grand soupir elle plonge son poing dans mon anus, je suis ouvert en grand, quand elle se retire mon anus suit et ressort, elle le remet en place à chaise aller retour qui ne s’arrête que quand la pliure de son coude est arrivé au seuil de mon cul. Ma queue est trempée, je mouille, elle me suce salivant abondamment, me prenant au fond de sa gorge jusqu' à , l’instant où elle ne peut plus supporter ma queue qui l’étouffe. Depuis longtemps mes couilles sont grimpées à la base de ma tige, presque entrées dans mon ventre. Je pousse des grognements, des plaintes. Je suis en nage, ma chaleur et l’exercice ont trempé ma peau. Alicia aussi est inondée, luisante, des rigoles de sueur marquent sa peau entre ses seins, son front est luis ses cheveux collés. sa bouche pleine et carmin luit d’un éclat magnifique. Qu'elle est belle, elle donne tout, elle est toute entière à mon plaisir. Sa respiration saccadée indique que son excitation est intense. Malgré la tonalité foncée de son épiderme je vois la rougeur de ses joues et cette rougeur sur la poitrine entre ses seins qui apparaît dans les moments de tension sexuelle chez toutes les femmes. Ses hanches roulent et tanguent en frottant sa chatte inondée contre ma jambe. Par deux fois elle a eu un petit orgasme. Son clitoris est maintenant saillant, sorti de son capuchon, il est rond, rouge une bille de plaisir. Alicia à un clito de taille au-dessus de la moyenne,sans atteindre les proportions monstrueuses d’une de nos amies.

Le fourmillement diffus au départ se fait de plus en plus net et puissant dans mon ventre. Les amples aller-retour du poing d’Alicia dans mon cul, malmènent ma prostate et ma vessie également. Par moment je sens quelques jets très liquides qui s'écoulent sur mon ventre. Quand on est dans ce genre de trips, il ne faut pas croire que l’on va être clean, parfois il faut s'attendre à des débordements. Je me crispe, je tente de retarder encore l’inéluctable. Mais c’est trop fort, je gémis, mes reins se creusent je me contracte, retenant encore un instant le bouillonnement qui monte dans mes couilles, Alicia m’aide en serrant ma queue avec force, elle l’étrangle totalement, mes veines au dessus de sa main semblent saillir exagérément , on croirait qu’elles font exploser.

- Jouis chéri, vas y jouis, crache tout, viens donne moi ton foutre arrose moi gronde Alicia
- Tiens salope !!! prends tout !! oh putain c’est bon !! encore fort !! ouiii

Je gueulais comme un dingue. La majorité des hommes sont silencieux, parfois on se demande même s' il y a eu jouissance ou pas. Moi je ne retiens aucune de mes expressions, Je n’ai pas peur d'être ridicule, même si je sais que c’est le cas pour s'être vu en vidéo dans ces moments là. On a la sensation d’être dans un mauvais porno on se dit non je suis pas comme çà.. on a presque honte et pourtant. Oui je dis des choses idiotes, bateau, réminiscence de ce que j’ai pu voir, entendre ici ou là. Je gueule, j’éructe commente. Mais ma jouissance est pleine, totale.

Alicia desserre sa main sur ma queue, Elle plonge son poing à fond jusqu’au coude. alors que je gueulais comme un putois.

- Oh gicles chéri gicles dit elle
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii est la seule réponse que je puisse donner.

Mon sperme est éjecté avec force, les premières giclées retombent sur mon visage, les suivantes interceptées par la bouche d’Alicia, lui maculent le visage et emplissent sa bouche. Je gicle coup sur coup une grande quantité de jus. Alicia donne de petits coups de poing au fond de mon intestin. Comme pour essorer ce qu’il reste de sperme en moi. Puis elle ressort vivement poing fermé me faisant gueuler à nouveau et lâcher quelques giclées encore. Cette sortie rapide que j’ai accompagnée d’une poussée importante, fait jaillir mon anus hors de mon corps, Alors que sa bouche dévore ma pine ruisselante, la main d’Alicia pousse doucement pour remettre tout a sa place. Moi je suis absent, presque, instant de flottement je ne sais plus où je suis qui je suis. Mon orgasme a anesthésié mon esprit. Je reviens à moi si j’ose dire quand Alicia pose ses lèvres sur les miennes, la bouche pleine de sperme, qu’elle partage avec moi dans un baiser qui dure quelques minutes le temps de s'étaler du sperme partout sur nos visages.

Allongée sur moi ses seins ecrasés contre ma poitirne, son sexe se frotte a ma queue qui reste dure malgré cette éjaculation epuisante. De petits coups de reins permettent à Alicia de placer ma queue a l’orée de son vagin. Avec un mouvement du bassin elle réussit à me faire pénétrer en elle. Une vraie fournaise, ruisselante. Elle sait parfaitement contraxter ses muscles pour que son sexe machouille ma queue. La masse, ainsi elle me fait bander malgré que je sois dans cette période intermédiaire entre deux moments ou je peux disposer de ma puissance sexuelle selon les individus cela peut être plus ou moins long, je pense que la pratique intensive du sexe comme je l’ai toujours fait permet de raccourcir ce temps car en a peine 5 a 10 minutes je peux être a nouveau opérationel. Alicia est habituée, elle sait qu’elle peut me solliciter rapidement après un orgasme. Elle raffole de me faire subir de longues séances de masturbation non stop. Elle prend plaisir à me faire gicler, encore et encore. C’est épuisant souvent et elle ne me lâche que qiand je suis incapable de lui donne la moindre goutte d sperme. Onn est là dans des jeux qui sont entre plaisir et torture.

Mon sexe est de nouveau dur, Alicia me chavauche, je caresse ses seins, titille ses pointes, les pince. Elle apprécie et geint doucement sous les caresses tandis que ses reins impriment une cadence lente à ma pénétration. Je me laisse faire quelques instants pour laisser retomber les sensations de mon orgasme qui fut violent j'avoue.
Une fois “reposé”, je me reléve, Alicia empalée sur mon sexe, elle est légére. J’ai encore assez de force pour me relever et la relever assez aisément. Elle me donne un profond et fougueux baiser, sa langue joue avec la mienne à “pousse toi de là”. Je la repose sur le transat, doucement. Je sors de son sexe brulant et m’allonge entre ses cuisses couleur caramel. Sa chatte est largement ouverte, les petites lèvres brunes sont épanouies dévoilant un rose tendre et nacré, totalement luisant, trempé de sa liqueur intime qui coule en un petit ruisseau vers son anus à la pointe de l’ogive que forment les lèvres, le capuchon ne cache plus son protégé, le clitoris qui est exposé, saillant, rose sombre, petite perle sensible, déclencheur de plaisir. Alicia est très clitoridienne, Elle raffole des long cunilingus que je lui prodigue sans compter car elle aime et que j’adore. Avoir le nez dans une chatte est ma position préférée. Je suis un admirateur des sexes féminins. J'en ai contemplé je ne sais combien. Il n’y en a pas deux semblables. Tout est important, la forme, la couleur, l’odeur, la saveur. J’aime énormément celui de ma femme, épicé, poivré, odeur légére mais dont je ne me lasse pas.Sa mouille est douce, souvent épaisse et laiteuse, elle devient créme quand l’exitation est forte.

- Lèches moi chéri, donne moi ta langue , fais moi crier mon amour.
- Chutt, ferme les yeux laisse toi aller.

Elle obéit, les mains sous sa nuque. Je commence par frôler son sexe, souffler légérement sur ce rose soyeux qui m’attire, j’aimerais plonger ma bouche tout de suite lécher tous les recoins mais je veu la faire languir. Avec mes pouces je fais remonter ses petites lèvres, dévoilant encore plus totalement son clitoris, ce gland miniature. Ma langue l’effleure. Un frisson, un petit cri. La crispation de ses muscles a fermé totalement son sexe, mais il s’ouvre a nouveau grotte sombre au milieu de ce rose nacré. Cette contraction a amené une mouille abondante qui s’écoule lentement vers le bas de son con. Ma langue lappe cette offrande liquide, remonte le sexe et se perd dans l’orifice sombre que le taquine, pénétrant ma belle/ Je la baise avec ma langue, puis je remonte lentement, passant sur son clitoris. Ses muscles se tendent, ses mains viennent se poser sur ma tête. Elle pousse un soupir et un cri de plaisir. Et le manège recommence, chaque fois sa mouille vin du fond de son sexe, coule, je lappe en taquinant le clito. Cris, gémissement. Sur le ventre ma queue est contre la toile du transat, je bande à nouveau comme si rien n’était arrivé.. Mes lèvres et ma moustache commencent à être trempées. Ma barbe ne tardera pas à s’impregner de l’odorante humidité sur sexe de ma femme. Je suis assez pervers pour ne pas faire partir cette odeur. C’est trop agréable de regarder des tiers qui vous agacent souvent, avec l’odeur de la chatte de ma femme sous les narines. Puéril oui, mais tellement agréable.

Alicia gémit doucement, mais crescendo. Son con est largement ouvert et c’est un vrai marécage rose, du rose tendre au rose sombre presque rouge dans les petits plis de l’intérieur de son sexe. Ma langue fouille tout les recoins mais revient invariablement mourir sur son clito que je maintiens accessible en le décapuchonant autant que possible. Je dois pourtant m’arranger pour le tenir dehors tandis que ma main gauche descend pour pousser deux doigts dans la cavité brûlante qui palpite à quelques cm de mon nez. Les doigts de ma femme sont crispés dans mes cheveux. Mon index et mon majeur trouvent sans recherche cette zone si innervée et légèrement bombée et plissée chez Alicia, j’ai pu constater que cet endroit est plus lisse chez certaines femmes. Dès que je commence à masser doucement l’endroit , son vagin palpite, se serrant sur mes doigts inquisiteurs pour s’écarquiller ensuite. Mouvements incontrôlés, mais qu’elle peut limiter ou accentuer si elle le souhaite. Elle m’offre une alternance de fermetures et de béances, qui me laissent penser que ma chère ét tendre adore mon traitement. Mais aucun mérite depuis toutes ces années je la connais par coeur. Alicia se donne totalement dès qu’il s’agit de sexe. C’est vrai avec moi mais aussi avec tous nos partenaires. Rien n’est retenu ou interdit. Parfois certaines petites choses me dérangent pourtant. Quand elle embrasse un autre homme, de façon profonde, durable et passionnée, j”ai une pointe de jalousie. Moi je n’embrasse pas de cette façon mes partenaires féminines, il y a une retenue dans l’intensité de mon fait. Il n'y a guère qu’une ou deux amies avec lesquelles je me lâche mais on se connait depuis si longtemps qu’il ne peut y avoir aucune équivoque. Je ne suis pas d’un naturel jaloux mais quand on aime un être aussi profondément que j’aime ma femme. La moindre ombre mal interprétée fait mal. Je doute qu’un jour je sois dans cette situation avec un des lecteurs ou lectrices de mes textes mais la vie est tellement étrange. Allez savoir!

Alicai est gourmande et comme moi une adepte des pénétrations importantes. Mes deux doigts dans sa chatte sont un peu une sorte d’indigence. Deux autres se joignent à la fête pour son plus grand plaisir. Ses reins se creusent elle lance son pubis contre ma bouche par petits coups alors qu’elle ne cesse de répéter

- Oui chéri, oui bouffes moi, ou là comme çà encore..

Que voulez-vous répondre? Rien, ma bouche et ma langue occupées en sont incapables. Un seul de mes doigts est inoccupé, mon pouce que je glisse dans son anus tellement trempé, qu’il pénètre dans aucun effort.

Mon sexe frotte contre la toile du transat et mon gland gonflé coincé entre mon ventre et le tissu est très sollicité. Le roulement des hanches d’Alicia indique que l’orgasme est proche. Je continue et insiste, mes caresses se font plus rapides, ma langue plus cajoleuse. Les mains de ma femme, se crispent sur mon crâne, elle geint, respire de plus en plus vite., sa tête oscille de droite à gauche. Je sens son vagin palpiter de plus en plus fort et rapidement.. Soudain elle pousse un grand cri, s’arc boute sur les épaules et les talons j’ai du mal a rester en contact avec son sexe, dont l’humidité est soudain une inondation.


- Ouii Ouii Ouiii je jouis, hurle Alicia

Son corps est parcouru d’un frisson qui ne cesse pas, elle tremble comme prise par la fièvre. Ses mains essaient de faire exploser ma tête, ses ongles s’incrustent dans mon cuir chevelu.Trois ou quatre spasmes la secouent avant qu’elle se laisse lourdement retomber sur sa couche. Moi j’ai le nez, les joues, moustache et barbe trempés de sa liqueur qui coule encore abondamment de son con béant, grotte d’amour toujours agitée de spasmes et frissons en autant de réplique de son orgasme.


- Ohhhh que c’est bon mon amour, j’adore ta langue !! Dit Alicia
-Je crois oui, comme ça répondis je touchant son clito du bout de cette langue
- Ahhh nonnnn !! trop fort crie - t - elle coinçant ma tête entre ses cuisses.

Je savais qu’elle allait avoir cette réaction. Dans l’instant après l’orgasme son clito est bien trop sensible pour que je puisse continuer. Du moins là elle n’est pas entravée. Attachée elle à déjà eu droit à des non stop mémorables et des séries d’orgasmes ininterrompus, hormis par sa défaite qui se traduit en un état comateux, voir un évanouissement.

Je me suis mis à genoux entre ses jambes, elle voit mon sexe tendu et gonflé. Mon gland est presque violet et un long fil transparent pend au bout du méat. Je mouille vraiment beaucoup, des gouttes filent le long de cette rampe et tombent sur la toile de notre lit de fortune.

Alicia me regarde, sourit tends ses deux mains vers moi en relevant et écartant largement ses cuisses, elle me dit.

- Viens prends moi mon chéri, viens jouir en moi, donne moi ton jus vite.

Vite, ah oui là ce sera vite, elle le sait également. Je suis trop excité pour faire un marathon ce sera un sprint, ou un faux départ pour anticipation.
Mes mains sur ses cuisses je la tire légérement vers moi alors que mon gland touche son sexe toujours grand ouvert.. Je fais un énorme effort pour ne pas gicler au contact de cette fournaise, ouff premier pas gagnant, lentement j’entre en elle, j’ai toujours adoré cette sensation que procure la pénétration.La chaleur moite, l’effet soyeux du contact. Alicia est douée et me laisse pénétrer sans me contracter. Elle me laisse aller au plus loin, en elle. Quand je touche le fond du vagin mon sexe n’est bien sur pas totalementen elle. Encore une fois un effort pour ne pas m’épancher dans ce sexe brulant. Elle a croisé ses mollets sur mes reins et me presse contre elle. Je commence lentement à aller et venir dans son con offert. Je ne sais combien de fois je me suis trouvé dans cette position avec elle, mais c’est toujours aussi fort que notre première fois. J’avoues que je suis un homme idiot qui adore faire l’amour a sa femme et je pense que c’est avec elle que mon plaisir est le plus total. Avec les autres cela peut être plus ou moins fort, surprenant, nouveau. Mais la plénitude du plaisir c’est toujours avec Alicia que je le trouve.
Lors de nos soirées en groupe, je termine toujours la soirée en lui faisant l’amour doucement. Je ne peux me résoudre à faire l’amour avec, un ou une autre en dernier dans la soirée. Il me faut ma femme. Et en duo, elle et moi. Sans doute la concrétisation de l’amour que j’ai pour elle.

Là mon amour est très concret , il fait 20 cm , est tendu au maximum, mes couilles sont douloureuses tellement j’ai bandé longtemps. Elle sait que j’essaie de durer le plus longtemps possible. Mais désolé ce ne sera pas la longue chevauchée, la pression monte en moi et je ne peux plus retenir le bouillonnement qui galope dans mon ventre. C’est Alicia qui donne le coup d’envoi, la coquine sait bien que mes tétons sont sensibles au possible. Elle les attrape et les pince fortement, les tourne. C’est comme un bouton start. Je Donne deux coups de reins me plante à fond en elle et j’éjacule violemment en elle.en gueulant

- Oui oui oui salope, prend moi tout je jouisssss

Je l’ai déjà dit, je suis très expansif, pas forcément bavard mais je grogne éructe, cela fait partie du plaisir.
Encore une fois j’atteins mon Nirvana en me répandant en elle. A chaque fois j’ai un petit pincement au cœur car je sais que jamais cet acte d’amour , point culminant de notre relation, ne portera de fruits. Et je ne peux m’empêcher d’y songer subrepticement et fugacement chaque fois que nous faisons l’amour. Parfois c’est plus dur il peut arriver que des larmes viennent ternir ce moment de plénitude, mais il faut accepter. Hé oui je ne suis pas si intouchable et fort, parfois on est fragile, il ne faut pas en avoir honte.

Je me laisse aller sur elle, ses seins servent de coussins moelleux et je profite de ses baisers. Je reste longtemps en elle. Goutant la sensation des fluides qui s’échappent, baignent et caressent nos sexes. Encore une belle tâche sur le transat ( pas la première non plus)
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