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Amour au désert

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Lue : 1650 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/11/2013

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Arij disparait dans la poussière du désert, sans un regard pour moi. Pourtant nous avions tellement eu de plaisirs à nous rencontrer la première fois. Elle venait d’être larguée, je la consolais comme je pouvais en l’abritant d’abord du vent chaud, en lui donnant à boire l’eau fraiche de la séguia. Etre rejetée par les siens pour une histoire mal placé d’honneur familial.

Le soir tombait vite, le froid arrivait. Elle venait enfin près de moi se réchauffer. Nous avons passé la nuit à parler, plutôt elle parlait pour m’expliquer avec ses mots son calvaire.

Mariée, contre son gré très jeune, comme c’est la coutume, Arij rencontre un bel étranger. Son mariage n’existe plus, son mari, elle l’oublie. Il est beau, noble, élégant, pauvre peut être, qu’importe, elle tombe amoureuse. Elle peut tout oublier, son ventre n’a jamais rien mis au monde.

Ils partent chacun sur un chameau avec de maigres bagages. Ils fuient loin le plus vite possible. Au matin, les montures fatiguées les laissent près d’un petit oasis inhabité. Le nouveau paradis. Ils se jettent nus dans l’eau douce, se frotte sans penser à mal. C’est en sortant de l’eau, ruisselants qu’ils se rendent compte de leur nudité. La révélation pour Arij : un corps d’homme bien bâti à comparer à celui du vieux mari avachi.

Arij sent sourdre dans son ventre un besoin qu’elle ignorait. Ayoub l’attire. Elle remarque un sexe beau selon ses gouts, qui devrait bien remplir son sexe. Ayoub la regarde aussi. Ils ont l’un est l’autre envie de s’unir. Ils n’osent pas, c’est interdit. Mais dans l’amour physique, les interdits ne résistent pas longtemps. Il hésite, elle n’hésite pas, elle se comporte en éducatrice, en femme tout simplement.

Quand leurs corps sont réunis, leurs lèvres engagées dans un long baiser, le sexe de Ayaoub se dresse contre le ventre d’Arij. Elle le sent contre elle ce sexe qu’elle désire. Le ventre se coule contre celui de son futur amant. Il bande encore plus : le but recherché par cette femme. A l’ombre des palmes, les corps sont soudés. Ayaoub renverse Arij sur le dos. Il relève tous les vêtements de cette fille. Son corps est une illumination pour Ayaoub. Elle se love contre lui, elle veut encore sentir la bite contre elle, elle la veut même en elle, là où il viendra, n’importe où. Des amies lui ont dit que c’était aussi bien d’un côté que de l’autre. Son vieux mari l’ignorait vu son âge.

Elle espère connaitre enfin tout sur ces mystères de l’amour. Elle se donne facilement, elle veut se faire baiser.

Et lui, encore jeune ne sait pas qu’il faut qu’il invente des façons inédites pour lui. Il se laisse prendre la queue par cette femme. Elle le conduit là où elle sait que c’est possible. Sa chatte est mouillée, la bite y entre trop vite. Elle aime la sentir coulisser dans son ventre, elle aime moins quand il lui donne le sperme rapidement.

Il est jeune, il récupère vite, elle le caresse pour le faire durcir encore. Elle sait que la prochaine fois sera la bonne.

Elle reprend la queue dure à nouveau. Elle la fait mettre encore au centre de son minou. Cette fois, elle peut le faire prisonnier en l’enfermant entre ses jambes. Enfin elle sent ce fameux plaisir arriver depuis sa chatte au cerveau, en redescendre à nouveau sur son con. Si elle pouvait elle resterait là, sans bouger avec un sexe dans le sien.

Elle se souvient qu’il peut aller ailleurs. Elle se retourne en levrette. Ayaoub comprend enfin qu’il peut la visiter par ailleurs. Sa bite encore pleine de foutre, il vient sur l’anus qu’offre Arij. Elle pousse un cri et de surprise et de légère douleur quand il entre dans son cul. Elle ressent ce que ressentent les femmes à la première sodomie. C’est inutile les première secondes. C’est bon et jouissif ensuite. Elle ne voudrait pas qu’il quitte ses fesses.

Malgré la jeunesse de l’amant, il faut cesser. Ils ne se séparent pas de la nuit. Avant de partir c’est Arij qui a besoin de le sentir, cette fois dans sa bouche. Un essai entre autre. Il lui donne sa queue : il bande bien, rien eu te savoir ce qu’elle va faire. Elle en mouille d’avance.

Elle prend le bout de la pine, dégage le gland avec ses doigts, lèche le bout, légèrement. Elle le met dans la bouche, lèche un peu, aspire et frotte contre ses joues. Sa langue caresse ce qu’elle peut de bite. L’inévitable arrive quand il jouit dans sa bouche. Elle le garde en bouche jusqu’à la fin. Quand elle sent qu’il a bien jouit, elle ne garde pas le sperme, elle le crache au sol. Le sable l’absorbera bien.

Les chameaux sont reposés, ils ont mangé, but, prêt à repartir. Le couple ne pense qu’à cet instant à l’endroit où aller se cacher. Ils laissent les chameaux trouver le chemin du salut. Le chemin est long, Ayoub a envie de jouir. Arij lui suggère de se masturber. Il fait ce qu’elle dit : la queue dehors, sur le chameau, il n’a aucune peine à prendre son plaisir guidé par les mouvements particulier de la bête. Sa jouissance de la faire devant son amante est source de plaisir supplémentaire.

Un autre oasis, une autre halte. Une autre nuit de baise. Il s’est branlé en route, au tour d’Arij de le faire. Elle se couche nue devant lui, elle passe sa main délicatement entre ses jambes, se caresse les seins, redescend encore vers la chatte. Cette fois c’est la bonne, ses doigts se meuvent sur les endroits sensibles pour se fixer sur le clitoris. Les caresses presque en rond lui font atteindre son propre paradis. Elle est ensuite disponible pour se faire mettre par la queue bien bandée.

Cette fois, en levrette, elle se fait mettre. Elle se caresse encore en supplément. Le couple est attiré par le désir et la satisfaction de ce désir. Elle se fait baiser une dizaine de fois. Au matin, il faut fuir. Mais le lâche, l’infâme Ayoub la laisse en route : il a fui pendant la nuit.

Arij sait qu’elle a fauté contre l’honneur de son mari de sa famille, de sa caste. Je la recueille plus tard dans mon oasis. Je passe mon temps à la consoler, la rassurer. Jamais à la baiser, si une fois sur les joues.

Et puis elle est partie vers son destin que je ne connais pas.
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Histoire de baiserjouir

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