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La bonne amie de ma fille

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Lue : 9017 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/11/2013

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Cette aventure s'est déroulée l'été dernier.

Depuis 4 ans je consacre une partie de mes vacances à la restauration de plusieurs maisons dans un charmant petit village du sud-ouest. La région est magnifique, le relief légèrement vallonné permet d'admirer des champs cultivés et des espaces boisés.

Pour parfaire ce panorama de carte postale une rivière serpente paresseusement dans la vallée.

Je suis accompagné de ma fille cadette, Pauline 17 ans, qui vient m'aider depuis 2 ans.

Elle est, tout comme moi, passionnée pour les vielles pierres et projette de devenir une architecte-paysagiste. Cette année elle a invité une amie, Céline qui est un peu plus âgée qu'elle. De taille fine et plutôt élancée elle a les cheveux noirs mi-longs. D'allure sportive avec une petite poitrine. Son visage est de forme ovale-rond, les pommettes légèrement saillantes, des lèvres fines qui dessinent un large sourire, un nez court et de mystérieux yeux couleur noisette en forme d'amande. Elle a aussi un petit grain de beauté juste au-dessus de la lèvre supérieure qui, je vous l'avoue, m'a attendris la première fois que je l'ai vu. Céline, avec ce visage de jeune femme et ce corps d’adolescente doit faire tourner plus d'un regard de mâle, qu'il soit jeune ou plus mûr comme c'est mon cas. D'un caractère jovial et avec un franc parler, elle m'a plu dès les premiers moments.

Ma petite Pauline ne lui ressemble pas vraiment. Blonde, de taille un peu plus arrondie, le visage allongé, elle garde encore un peu son air de fillette avec son petit air d'ingénue que j'ai toujours connu. Très studieuse elle a un caractère plus secret.

Mon travail consiste à coordonner les différents intervenants sur le site. Je gère aussi le petit groupe, environ une quinzaine, de jeunes volontaires qui nous aident. Ma fille, son amie et moi logeons dans une petite maison de plein-pied qui est presque entièrement restaurée. C'est pas le confort d'un 4 étoiles mais l'essentiel y est. Une grande pièce commune qui sert de salon et cuisine et un authentique feu-ouvert. 2 chambres, une salle de bain et un espace bureau qui se trouvent en périphérie de la pièce principale. Chaque espace a accès sur un jardin ombragé qui entoure la bâtisse. Le groupe de jeunes loge sous tentes à quelques dizaines de mètres. L'horaire de travail des bénévoles est de 8h-13 h, puis un repas collectif et ensuite l'après-midi libre.

Chaque matin je passe parmi les jeunes pour leur donner les directives concernant le travail à faire en donnant aussi des conseils et astuces.

Ce premier matin j’aperçois Céline habillée d'un short en jeans et d'un débardeur court fines bretelles qui s’arrête au nombril. J'admire sa silhouette et je m'approche d'elle.
- Alors ? Le début n'est pas trop difficile ?
- Non, je pense que cela va l' faire me dit-elle en me regardant dans les yeux et accompagné d'un magnifique sourire.
- Courage ! Vas-y mollo quand même ... à toute à l'heure,

Elle se remet au boulot et je peux apercevoir quelques gouttes de sueurs sur son cou. L'heure du repas sonne et avec joie et enthousiasme tout le monde s'attable. Les conversations vont bon train et les rires fusent autour de la grande table. Pauline retrouve des connaissances de l'année précédente et présente Céline. A la fin du repas plusieurs groupes se forment pour participer aux différentes activités possibles.

C'est alors que les 2 filles viennent vers moi.
- Papa je crois qu'il y a un problème avec Céline. Elle me dit qu'elle ne sent pas bien.
- Dis-moi ce qui ce passe ?
- Je me sens fébrile et j'ai un peu la tête qui tourne.
- C'est probablement un petit coup de chaleur, une insolation. Tu n'avais pas de casquette ni de foulard pour te protéger la tête quand je t'ai vu ce matin. Ce n'est pas grave mais il faut prendre une douche fraîche, boire de l'eau et te reposer.
- Papa tu veux bien t'occuper d'elle ? Moi j'ai prévu de descendre à la rivière avec les copains.
- Oui pas de soucis. Viens avec moi Céline, je vais m'occuper de toi.

De retour à la maison, elle file dans la salle de bain. Après quelques minutes je la vois sortir enroulée dans une serviette de bain. Quel beau spectacle ! La voir les cheveux humides, les épaules nues et ses longues jambes fuselées. Je n'ai qu'une envie : la prendre dans mes bras et lui faire un gros câlin.
- ça va mieux ?
- Un peu oui me répond-elle d'une voix douce.
- Couche toi, je t'apporte une bouteille d'eau.

Après un coup de fil impromptu j'entre dans la chambre, elle est étendue sur le lit sur son côté et un peu recroquevillée. Le drap la couvre en partie, elle est vêtue d'une nuisette courte ornée de petites dentelles et une superbe décolletée dans le dos. Je dépose la bouteille d'eau et un verre sur la table de nuit. Je fais le tour du lit pour fermer les volets et les rideaux. Dans la pénombre de la chambre je m'approche d'elle.
- Il faut que tu boives, c'est important. Ne t'inquiète pas cela va passer, essaies de dormir un peu.

Céline se redresse, se penche et avale une gorgée d'eau puis se recouche. Mon instinct paternel, pour la rassurer, me fait pencher sur cette fragile jeune fille et je dépose un tendre bisou sur sa joue. La douceur de sa peau et son parfum me font un effet divin Un petit soupir sort de sa bouche. Je me relève.
- Dors maintenant, je passerai toute à l'heure pour voir si cela va bien.
- Merci, me dit-elle dans murmure, j'aime que tu t’occupes de moi.

Je sors de la chambre dans un drôle d'état. C'est comme si je marchais sur un nuage et je me refais le film de ces quelques secondes de sensualité. Cela fait tellement de temps que je n'ai plus enlacé une femme, je suis cruellement en manque !

Mais le quotidien me rattrape aussitôt : téléphone, mails, rendez-vous sur le chantier... Ces obligations remplies je me précipite à la maison. Je frappe doucement à la porte de sa chambre et n'entend pas de réponse. J'ouvre et je la vois endormie. Je me rapproche près du lit, sa respiration est calme. Elle est couchée sur le côté et remue doucement. Le drap de lit qui la couvre glisse et j'admire ses épaules et son dos. Elle a vraiment un corps magnifique. Je profite de cet instant et me met à genoux à côté d'elle. Une envie irrésistible m'envahit, j'effleure son cou, son épaule dénudée, le haut du dos. Un frémissement de son corps, un murmure me font arrêter. Le calme revient. Je dépose un baiser sur son dos et son parfum m'enivre. Ma main fait glisser la bretelle de sa nuisette cm par cm. J'ôte le tissu qui recouvre son sein jusqu’à découvrir son téton. Je le titille un peu et j'ai l'impression qu'il enfle. Un gémissement de la belle endormie me rappelle à l'ordre et c'est avec une grande frustration que je me relève et quitte la chambre.

Je me remets au boulot sans conviction, mais à dire vrai le souvenir de ce trop court instant me poursuit. Ma Pauline rentre en fin d'après-midi visiblement ravie de son excursion avec ses copains. Nous commençons à préparer le souper quand Céline nous rejoint.
- T'as une meilleure mine que ce midi, lance Pauline, la forme revient ?
- oui oui tout va bien, répond son amie. Ton papa s'est bien occupé de moi dit-elle en me regardant avec un grand sourire.

En fin de soirée au moment où les filles vont se coucher, je suis assis au bureau devant le pc, Céline passe derrière moi et se penche pour me donner un bisou, je peux sentir la pression de sa poitrine contre moi. Elle me susurre : merci pour cet après-midi, bonne nuit et à demain.

Le souvenir de ces quelques minutes penché sur cette nymphette n'a cessé de me poursuivre jusqu’à mon endormissement.

Le lendemain matin chacun vaque à ses occupations et les 2 filles partent après le repas faire une promenade avec leurs copains. Céline revient en fin d'après-midi.
- T'es toute seule ? lui dis-je
- Oui, Pauline est partie au village pour acheter quelques trucs à manger. Moi j'ai envie de me reposer un peu. Si tu as besoin de moi, tu sais où me trouver me dit-elle avec un air malicieux.

Au bout d'un moment de la savoir couchée, probablement assoupie je n'ai qu'une envie c'est de revivre les moments de voluptés que j'ai vécu hier. Je colle mon oreille contre la porte et j’entends juste de la musique. J'ouvre et je la découvre étendue sur le dos, visiblement elle dort. Le drap qui la couvre à moitié me laisse voir sa poitrine. Elle porte un soutien-gorge corbeille qui met en valeur ses petits seins. Cet instant est merveilleux, je suis comme un peintre ébahit devant tant de beauté. Graver cette vision dans ma mémoire est ma seule préoccupation, ou presque... Je me décide à approcher de cette déesse et je pose mes doigts fébrilement sur son ventre plat. J'effleure sa peau, cet attouchement m'enivre. Mes mains se dirigent vers sa délicieuse poitrine et son soutien, je découvre que ce modèle est à ouverture sur le devant. J'écarte les 2 bonnets et mes paumes encerclent les fruits tant désirés. La charmante juvénile remue et un soupir languissant sort de ses lèvres entre ouvertes. Je retire mes mains le souffle coupé. Céline bouge, se tortille et le drap qui recouvre le bas de son corps se dérobe. J'admire son shorty qui galbe en douceur ses formes et met en valeur sa féminité. Céline ne bouge plus et mon exploration continue. Mes lèvres enferment son joli téton et je commence à téter comme un nourrisson, quelle magnifique sensation ! Ma main s'aventure sur son triangle intime, et glisse sur le fin tissu. Mon majeur descend doucement et je m’arrête au bord de sa rosette, je remonte en augmentant ma pression et je discerne le relief de ses lèvres intimes. Son bas-ventre se soulève un peu, un soupir de plaisir et son corps bouge franchement maintenant. Je me redresse précipitamment et sort de la chambre.

Ces quelques minutes d'érotisme m’obsèdent le reste de la journée. En fin de soirée je suis dans la salle de bain pour me rafraîchir avant d'aller dormir. Au moment où j'enfile mon boxer la porte s'ouvre et dans le reflet du miroir je vois Céline.
- Oh pardon je pensais qu'il n'y avait personne, je suis désolée.

Je fini de remonter mon sous-vêtement et me retourne vers elle en disant :
- Pas de soucis, j'ai fini, je vais m'abandonner dans les bras de Morphée.
- Elle a de la chance celle-là me dit-elle avec un petit rire coquin.

La splendide jeune damoiselle juste vêtue d'un petit débardeur top noir et d'un tanga en dentelle rouge me regarde de la tête aux pieds.
- Wouah, pas mal du tout me dit-elle dans un murmure langoureux.

Je reste sans voix, incapable de bouger. Elle s'approche de moi, prend mon visage entre ses mains, son corps frôle le mien et elle dépose un tendre baiser à la commissure de ma bouche. Dans un réflexe je dépose mes mains sur sa taille la presse doucement contre moi et l'embrasse dans le cou. La chaleur de ce contact, sa fragrance m’enivre et la réaction de mon sexe est perceptible. Cette merveilleuse étreinte prend fin, elle jette un regard sur mon boxer.
- Bonne nuit, me dit-elle, je me douche et ensuite j'irai faire de beaux rêves. Pauline a beaucoup de chance d'avoir un papa comme toi.
- T'es gentille, dors bien ma belle, on se voit demain.

Le lendemain les filles m'annoncent qu'elles sortent le soir au resto avec les amis.

Je connais bien mon adorable fille, cela signifie un retour tard dans la nuit. L'épisode nocturne d'hier me hante toute la journée. Je n'ai qu'une envie c'est de toucher son corps à nouveau, de respirer son odeur à plein poumons. Je me rappelle ses paroles et me dis que cette jouvencelle m'apprécie bien. Peut-être que dans l'avenir une relation charnelle est possible.

Au moment d'aller dormir, j’entends la porte d'entrée s'ouvrir et je vois Céline, seule, avec un grand sourire et la démarche un peu hésitante.
- T'es seule ? Où est Pauline ?
- Elle avait envie de continuer la fête, elle rentrera plus tard.
- Je suis crevée et un peu pompette, je vais me coucher. Salut à +

Couché sur mon lit je n'arrive pas à trouver le sommeil. La sachant seule à quelques mètres de moi me trouble. Ma verge est tendue. Mais si ma douce fillette rentre pendant que je suis dans leur chambre et me découvre en train de peloter son amie ce serait une situation vraiment très embarrassante. Je fini par craquer en me disant juste quelques minutes ce serait possible.

Je frappe doucement sur la porte, pas de réponse. J'ouvre prudemment et dans l'obscurité, je la vois endormie couchée sur le dos. Pas de drap sur elle cela me donne la vision de son corps tout entier offert. La poitrine nue elle ne porte qu'un petit string transparent noir avec deux ficelles de chaque côté. Ce petit triangle masque à peine son pubis. Je me délecte de moment d'enchantement, ma virilité est en érection maximum. Mes doigts caressent ses seins, je visite chaque centimètre, je titille les tétons. Je sens un léger frémissement de son corps et un murmure à peine perceptible se fait entendre lorsque ma bouche se pose tendrement sur sa peau douce. La paume de mes mains enveloppe le galbe des seins, mon étreinte se fait un peu plus insistante et je perçois leurs fermetés. Le velouté du touché, le goût suave sous mes lèvres, l'arôme qui émane de son épiderme me transportent au septième ciel. Plus rien d'autre n’existe que ici et maintenant. Son corps tressaille plus souvent, les gémissements sont plus audibles.

Une pensée me rappelle à la réalité : Pauline pourrait me surprendre à tout instant. La raison me dit de m'arrêter tandis que mes sensations en redemandent encore et encore. Je pose mon visage sur son ventre en me disant : juste quelques secondes encore. J'embrasse son nombril, ma langue explore ce petit creux. Ma figure descend, mes lèvres et mon nez sont en contact avec le tissu soyeux du string. L'émanation de son arôme intime augmente mon excitation, j'accentue la pression, son bassin se soulève comme pour intensifier cette liaison. Conjointement mes doigts et ma langue écartent le triangle de tissu je me délecte de savourer son domaine très privé. Le bout de ma langue s'introduit dans le sillon que forme ses lèvres et remonte vers son bouton d'amour. Cette fois-ci un soupir bruyant emplit la chambre. Ses cuisses s'ouvrent, son bassin se soulève franchement et je sens tout son corps se tendre. Quel instant délicieux.

Cette fois-ci c'est cri de plaisir qui me fait revenir à la réalité : attention Céline va se réveiller, Pauline risque de renter ... il faut s’arrêter tout de suite !

Cet avec un intense sentiment de frustration que je quitte la pièce avec un dernier regard vers la désirable jouvencelle.

A peine couché sur mon lit je ne peux faire qu'une seule chose, je commence à me masturber avec dans la tête toutes les images du corps de Céline. Je suis ensorcelé par cette adolescente. Le bruit de l'ouverture de la porte d'entrée résonne. Je me fige. J’entends Pauline qui se balade dans le salon. Mon désir de jouir est trop fort, je recommence mon plaisir solitaire. Alors que suis sur le point d'éjaculer, un trouble violent m'arrive. L'image de Céline et celle de Pauline se supposent. C'est le visage de ma fille qui est dans mon esprit au moment de l'orgasme. Je ne peux m’empêcher de pousser un râle de jouissance très sonore. Je ne me souviens pas d'avoir éprouvé un tel moment de bonheur. Je désire plus que tout faire l'amour à Céline et pour la première fois j'ai envie du corps de ma jeune et jolie fille. C'est avec cette révélation que je m'endors.

Dès mon réveil une seule obsession me poursuit : comment faire pour dévorer à nouveau le corps de Céline ? La réalité de la restauration du site me ramène à la raison. C'est une journée éprouvante, déplacer de lourdes pierres, être attentif aux engins de chantier. Je suis vanné quand arrive le souper. Ce soir c'est avec le groupe au complet que nous partageons un repas aux chandelles. Il y a une ambiance franchement enjouée et la boisson aidant les rires, les cris se font de plus en plus bruyants. Harassé par ma journée je quitte la table pour aller profiter d'un repos amplement mérité. Douche, lit, dodo.

Pendant la nuit je me réveille dans un demi-sommeil, j'ai la sensation d'une présence près de moi. J'entre-ouvre les paupières engourdies de somnolence, j'aperçois une silhouette. Je reconnais les formes de Céline qui se penche vers moi. Je suis sur le point de réagir mais l'effleurement de ses doigts me surprend et je décide de faire semblant de continuer à dormir. Maintenant une de ses mains caresse mon torse et l’autre entreprend de voyager autour du nombril et sur le côté de mes hanches. La délicatesse de ses attouchements, la chaleur et la douceur de ses menottes provoquent une rapide et pleine érection. Son visage touche mon épiderme et elle entreprend de poser des multiples bisous sur la surface de mon ventre. La perception des cheveux qui bougent tel des vagues, le souffle de sa respiration me procure comme une irréelle béatitude. Rester immobile devient difficile, d'autant plus que ses deux mains se placent sur le tissu de mon sous-vêtement et enserrent mon attribut. Un soubresaut de mon bassin et je sens son visage juste au bord du boxer. J'ouvre légèrement les yeux, contemple sa chevelure et j'imagine son expression de désir. Céline écrase son nez, sa bouche sur ma virilité, un spasme me secoue. Surprise elle se relève et je la vois se diriger vers la porte. Le spectacle de ses fesses aux courbes parfaites et à la fermeté juvénile est parfait. Je ne peux que terminer ce qu'elle a si bien commencé, je me branle un peu c'est presque un cri qui sort de ma gorge en même temps que ma semence jaillit. Je suis au paradis. C'est décidé je la veux entièrement et sans artifices.

J'essaye plusieurs fois de la voir seul à seul au cours de la journée, mais il y a toujours un empêchement. Ce soir nous mangeons à trois. Nous nous répartissons les tâches et je trouve enfin le moment propice pour déclarer mon désir à Céline. Les deux filles sont dans la salle de bain, moi aux fourneaux. Pauline sort, traverse la pièce pour aller dans sa chambre.
- Dis ma puce la cuisson est presque prête il est temps de dresser la table.
- Je fini de m’apprêter et j'arrive papa

Je frappe sur la porte de la salle de bain et entre immédiatement. Enfin seul en présence de ma charmante et tant désirée adolescente. Je prétexte de venir prendre un médicament dans l'armoire pharmacie. Elle est devant le miroir occupée de se sécher les cheveux. Je prends une boîte de médocs , ferme l'armoire et fais mine de sortir. Nos regards se croisent dans le reflet du miroir. Je m'arrête et lui dis :
- J'ai quelque chose à te dire, c'est très important.
- Oui vas-y je t'écoute.
- C'est important pour moi et en même temps c'est vraiment délicat à dire.

Céline pose le sèche-cheveux, se tourne vers moi
- Aller accouche ! C'est pas trop grave au moins ?
- Si ça l'est
- Mais c'est quoi? J'ai fait quelque chose de mal ? Dis-moi
- Tu n'y es pour rien. Cela vient de moi. Ce que je veux t'avouer changera à jamais notre relation. Tu es belle, attirante et je veux te combler de plaisir. Tu as l'entière liberté de refuser mon offre. Fais-moi confiance je respecterai ta décision. Voilà en résumé mon sentiment envers toi : je te veux

Le silence se fait et nous restons face à face sans bouger. Elle me demande :
- S'il te plaît, tu veux bien répéter ce que j'ai cru entendre.
- Je te veux. Je te désire comme jamais je n'ai désiré une femme. Je ne te demande pas une réponse immédiate. Réponds-moi quand tu seras prête et quel que soit ta décision je l'accepterai.

Je m'approche et dépose un tendre bisou sur sa bouche puis je sors.

Au début du repas pendant que Pauline nous sert elle regarde son amie en disant :
- T'as une drôle de tête, on dirait que tu as croisé un fantôme, ça vas pas ?
- Pas grave j'ai juste eu des vertiges dans la salle de bain et je sens mon estomac noué.
- Ooh ooh cela ressemble à un début de grossesse, t'es enceinte ? Dit ma fille en rigolant.
- T'es folle ! Non c'est juste un coup de fatigue je crois, j'irai dormir de bonne heure.

Après avoir débarrassé la table, Pauline s'installe devant la télé, Céline se rend dans sa chambre en nous souhaitant une bonne nuit et je m'installe devant le pc pour lire mes courriels. Je fini ma lecture, vérifie les rendez-vous du lendemain et je vais me coucher en laissant ma fille devant la boîte à troubadours.

Sans cesse je repense aux paroles que j'ai prononcé à Céline. C'était dingue de faire cela mais en lui avouant mon désir je me suis libéré d'un poids. Advienne ce qui pourra cela clarifie la situation. Je ne pouvais plus continuer mes attouchements interdis. J’attends sa réponse avec fébrilité. Le silence s'est fait dans la maison, je lis encore quelques pages d'un roman commencé au début des vacances. L'endormissement me gagne peu à peu, je m’apprête à éteindre la lampe de chevet lorsque j’entends la porte s'ouvrir. La belle que je désire entre, ferme la porte et s'avance de quelques pas s’arrête et me dit :
- J'ai réfléchis à ce que tu m'as dit toute à l'heure. C'est la première fois qu'un homme me parle comme tu l'as fait. Cette sincérité jamais je ne l'ai vécue avec les garçons de mon âge. Ton aveux me trouble et me fait peur. Voici ma réponse : je te veux aussi.

Je me redresse, vais vers elle, passe derrière et je me colle contre son dos. Je l'embrasse fougueusement dans le cou tout en l’enlaçant à la taille lui dit :
- T'es sûre, c'est ta volonté ?
- Oui, j'ai envie de toi.

Nos lèvres se rejoignent dans un baiser tendre et intense.
Ce ne sera plus jamais comme avant, nos vies basculent à cet instant précis.

Je me décolle un peu de son dos et remonte doucement le tissu de sa nuisette, elle comprend mon intention et lève les bras pour que je puisse l'enlever. Ensuite je passe à côté d'elle, lui prend la main et la couche délicatement sur le lit. Je la sens un peu crispée et elle tremble un peu. Je me penche, l'embrasse et lui dis :
- Ne sois pas inquiète, je vais te donner du plaisir et beaucoup de tendresse. J'ai encore une chose à t'avouer : la nuit quand tu es venue dans cette chambre, j'ai fait semblant de dormir. Tu m'as donné un immense bonheur. Jamais je ne l'oublierai. Elle se détend et avec un grand sourire me dit :
- Moi aussi je veux te dire un secret : toutes les fois où tu es venu me visiter, moi aussi j'ai fait semblant de dormir. J'ai découvert avec toi les délices de la sensualité. Viens, je suis à toi, je te désire, donnes moi toute ta tendresse, mon papounet.
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