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Amour et sexe chez les gilets jaunes

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Lue : 2314 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/12/2018

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C’est le deuxième samedi que ça a vraiment démarré.

On a, pour ce qu’on a baptisé l’acte 2 du mouvement, décidé d’aller rejoindre nos camarades du rond-point le plus important, celui à l’intersection de trois arrivées sur la ville. On hésitait, on ne savait pas trop quoi faire, mais le matin, les coordonnateurs des mouvements des cinq rond-points de cette ville moyenne de province s’étaient contactés, et on avait fait ce choix de se retrouver tous au point de passage le plus fort, de ralentir la circulation, et de parler aux automobilistes de notre cause pour qu’ils nous rejoignent.

On devait bien être deux cent sur le rond-point. Et ça se passait bien. Mais il faisait vraiment froid, et Raymond, celui qui supervise notre rond-point a dit :
—On va aller chercher du bois de palette pour alimenter le feu !
Il y avait plusieurs bidons dont montaient des flammes, et on allait se réchauffer à tour de rôle.
—J’y vais, j’ai dit. Je prends ma camionnette.
—Et moi aussi !

Je suis artisan et j’ai une camionnette bien pratique. J’ai rejoint les gilets jaunes le premier jour du mouvement, et je suis avec eux dès que j’ai un moment de libre. Je suis plombier, mais je peux vous dire qu’on est étranglé par les taxes. C’est ma raison d’être là. D’autres en ont tout autant, aussi bonnes, ou peut-être meilleures.
Je l’ai regardée, surprise. Je savais qu’elle s’appelait Stéphanie, et je la voyais depuis le premier jour sur le rond-point, enfin quand je les rejoignais le soir après le travail. Sur le rond point au croisement entre la RD 532 et la RD 619, où on se trouvait, il y avait pas mal de filles. C’était assez féminisé.
Bien sûr, j’avais remarqué Stéphanie. Elle avait à peu près le même âge que moi, une trentaine, et elle était vraiment jolie. Plutôt grande, brune, des cheveux noirs avec une frange, un visage joliment dessiné, toujours souriante. On passait pas mal de temps à discuter entre nous et elle m’avait expliqué qu’elle était au chômage depuis plusieurs mois, sans parvenir à retrouver un métier, alors qu’elle avait une tonne de diplômes. C’était ce qui l’avait conduite ici.
J’ai été rejoindre ma camionnette, garée un peu plus loin. Elle a avancé à côté de moi.
—Merci de ton aide, mais j’aurais pu me débrouiller tout seule.
—On réussit les choses toujours mieux ensemble. C’est la raison d’être de nos communautés de gilets jaunes, non ?

Elle a grimpé à côté de moi. Quand elle s’est calée sur le siège, sa jupe en jean, courte, s’est retroussée. Oh, je ne risquais pas de voir grand-chose, dessous, elle avait un collant en laine bien épais, noir. On était en décembre, et sur le rond-point, on pensait surtout à s’habiller chaudement. J’ai quand même remarqué, à nouveau, parce que je l’avais déjà apprécié, qu’elle avait de jolies jambes, longues et fines.
J’ai démarré. On n’avait pas très loin où aller, il fallait remonter la RD 619 sur une longueur, un virage une autre longueur et on y était, mais ça aurait été trop compliqué d’aller chercher les palettes à pied.
J’ai démarré. On laissait passer les véhicules au compte goutte et l’avenue était vide. Par la fenêtre entrouverte, j’ai entendu un agriculteur que je croisais, sur son tracteur, me gueuler :
—On est tous avec vous !
J’ai ralenti. On s’était installés en peu de temps sur le rond-point, parce qu’il y avait un large espace, en construisant, en un temps record, une cabane. Dedans, c’était devenu un véritable lieu de vie avec des tables des chaises, mais aussi un frigo et un four, amenés par quelqu’un qui nous soutenait, avec un groupe électrogène. Les palettes, elles, étaient entreposées de l’autre côté de la route.
—T’as envie d’en voir plus ?

Je me suis tourné vers elle. En quelques secondes, j’étais reparti dans mes pensées, sans plus penser à regarder la belle Stéphanie, à la chance que j’avais d’être près d’elle. J’avais été d’autant plus stupide que Stéphanie, je ne l’avais pas encore réellement compris, nous les hommes on est souvent stupides, avait très envie que je la regarde et que je m’intéresse à elle.
Sur l’épais et large siège en cuir, elle avait bougé, se tournant plus vers moi.
—En voir plus ?, j’ai dit, tout à fait stupidement.
—Comme ça, par exemple.
Elle s’est cambrée pour se soulever du siège. Ce faisant, elle a remonté jusqu’à sa taille sa jupe en jean et été chercher le bord de son collant en laine.
—Il y a plein de choses intéressantes sous ce collant…Tu as envie de les voir ?

J’ai dit oui d’une voix cassée. C’était incroyable comme les filles pouvaient nous tenir totalement avec leur corps.
Elle a lentement descendu le collant. Le temps s’est dilaté, on ne pensait plus à rien qu’à ce moment entre nous. Et il n’y avait pas que le temps qui était dilaté, ma queue aussi, de désir. Dessous, elle avait une très jolie culotte fuschia de satin qui collait à son pubis, rentrait dans la fente de son sexe, et qui était marquée par une tache d’humidité qui devait être récente.
—Ma culotte te plait ?, j’ai un soutien-gorge assorti. J’aime bien être jolie dessous, même sous des vêtements d’une totale banalité. Ca plait toujours aux hommes qui te déshabillent.
Elle a descendu son collant lentement, le temps de dévoiler ses cuisses. Ce que promettaient les vêtements qu’elle portait, ses jeans, ses leggings, depuis le début, était tenu. Elle avait vraiment de jolies jambes. J’ai eu envie de porter mes mains dessus, de les caresser, mais j’avais plutôt compris qu’on était dans quelque chose d’autre, où je la regardais, mais je la laissais faire. Même si je ne savais pas trop où on allait arriver. Elle était dans la séduction, et ça marchait d’une manière implacable.
—Tu sais que tu es vraiment très attirant…Je t’ai remarqué dès les premières secondes où tu es arrivé sur le rond-point. J’ai mouillé ma culotte. Et toi, tu m’as remarquée ?
—Comment en aurait-il été autrement ? Tu es vraiment très belle.
—Mais Natacha et Sophie le sont autant que moi, non ?

Elle faisait référence à ses deux copines, avec qui elle avait abordé, la première semaine, les automobilistes, pour leur faire signer des pétitions. Natacha était une blonde longiligne, avec de très beaux yeux d’un bleu tendant vers le violet, Sophie elle était plutôt petite et ronde, avec quelque chose de très sensuel.
—Qu’est-ce que tu veux me faire dire ? Que je les trouve attirantes elles aussi ? Oui, c’est le cas, je ne vais pas le nier.
—Tu sais que je me suis déjà caressée plusieurs fois en pensant à toi. Tu veux que je te montre comment je fais ?
Elle a baissé les yeux sur son ventre, désignant la tâche d’humidité sur le satin.
—Quand je suis montée j’étais encore sèche, mais je me suis mise à mouiller près de toi. Tu m’excites terriblement.
Je ne pouvais pas lui dire qu’elle, elle ne m’excitait pas. Ma queue me faisait mal à force d’être dure. Elle a descendu sa culotte, non pas centimètre après centimètre, mais millimètre après millimètre, me laissant voir petit à petit ce qui trouble le plus un homme. Peu à peu, son sexe est devenu un dessin précis. J’avais lu un jour sur un manuel consacré à la sexualité que chaque sexe féminin était unique… Le sien bénéficiait de lèvres qui, de manière aussi troublante qu’élégante, se sont dépliées devant moi d’excitation et de désir, longues, et brillantes du jus qui coulait déjà d’elle.
—Je vais te faire le cadeau le plus intime qui soit.

Elle a tiré la culotte au même niveau que son collant. Je pouvais voir l’intégralité de son intimité.
—Regarde bien. Profite de chaque seconde. Quand tu seras seul et que tu te branleras, tu repenseras à ce que je t’aurai montré.
Adossée contre la portière, elle a glissé ses deux index dans son sexe, et elle s’est ouverte, en les écartant, me donnant ainsi l’occasion de voir une partie de son intérieur, une muqueuse toute rose… Elle est restée ainsi suffisamment longtemps pour que l’image soit gravée en moi pour l’éternité. Dans mon pantalon, ma queue suintait, comme son sexe.

Ca n’était que le début. Devant moi, elle s’est mise à se caresser. Je me suis demandé si elle était guidée par son instinct que j’avais toujours trouvé si fort chez les filles, qui leur permettait de sentir les choses. En effet, chacun a ses fantasmes, j’avais toujours été troublé de penser, d’imaginer, ou de voir qu’une fille puisse se caresser. Quand je regardais du porno, comme tous les hommes bien sûr je n’en regardais jamais, j’allais souvent sur les onglets masturbation, sur les sites. J’aimais voir une fille aux prises avec elle-même, seule, sans queue, promenant ses mains sur elle et se donnant du plaisir. Et Stéphanie me donnait à voir exactement ce dont j’avais envie et ce que j’aimais le plus.
Elle a commencé à faire tourner sa main sur elle, dans un mouvement circulaire. Venant sur ses lèvres, et aussi plus haut sur son clitoris, encore couvert par son capuchon de chair. Ce n’était pas du chiqué, elle se donnait à fond, autant parce qu’elle était excitée que pour me donner un spectacle que je garderais en moi. Elle avait les yeux fixes, et ses caresses masturbatoires lui procuraient du plaisir. Le témoin le plus indéniable, c’était la manière dont elle inondait ses chairs ainsi que le siège.
J’ai vu son clitoris émerger, tout gonflé, de la chair qui le cachait. Autre témoignage de son excitation.
Elle est passée à une étape supplémentaire et qui paraissait logique. Elle a réuni deux de ses doigts, et elle les a glissés dans son sexe. Je n’oublierai jamais le bruit que ça a fait, un bruit gras, de succion, extraordinairement excitant. Le fait que ses doigts rentrent en elle a éjecté du liquide, qui a atterri sur ses chairs…

Elle s’est basculée encore plus en arrière, faisant monter sa jambe gauche contre le dossier du siège. J’ai pensé aux consignes grossièrement écrites à la peinture sur un panneau de bois disposé au fond de la cabane rudimentaire : ICI, PAS D’ALCOOL, PAS DE DROGUE ET PAS DE SEXE. Mais on n’avait rien à se reprocher, on n’était pas dans la cabane, mais garés sur le côté de la route. Piètre excuse.

Elle est venue planter son regard dans le mien, et pas une seconde il ne l’a quitté, avant qu’elle ne jouisse. Je pouvais y lire plusieurs messages…Et me tromper totalement…’Regarde bien, je vais jouir pour toi…’ ‘Je te fais un beau cadeau, tu devrais en être conscient…’ ‘J’ai mes doigts en moi, mais j’aimerais que ce soit ta queue…’ ‘La prochaine fois tu viendras en moi…’ Je pouvais chercher à analyser, sans trouver d’ailleurs… La seule certitude que j’avais, c’était ce que je voyais, de manière très nette. La montée vers le plaisir qui la transformait, la manière qu’elle avait de trembler et de frémir… Elle a fini par jouir, se cambrant et se figeant, laissant échapper une sorte de gargouillement, les doigts plantés au fond de son vagin, le ventre agité de spasmes, crachant de multiples jets de liquide qui sont sortis d’elle autour de ses doigts, ont taché ses cuisses, sa culotte, son collant, et le siège… Je me suis dit qu’à défaut de l’avoir elle, je pourrais respirer son odeur la plus intime qui flotterait encore quelques temps dans le camion. J’avais appris une chose avec les femmes au fil du temps, c’était qu’elles ne donnaient pas facilement d’elles-mêmes, et que le ‘c’est mieux que rien’, était malheureusement souvent la règle…

Elle s’est rajustée, remontant la culotte, le collant, sur ses chairs humides.
—C’est un beau cadeau, je lui ai dit, alors qu’elle se redressait. C’est le seul que j’aurai ?
—C’était juste… Un teaser, on dirait en langage de cinéma.
Tease ça veut dire exciter…Elle avait parfaitement réussi son coup. La meilleure preuve, elle ne s’en était pas rendu compte parce que je l’avais masqué, c’était que je m’étais joui dessus, remplissant mon caleçon de sperme. Il faudrait que je me change, mais j’avais ce qu’il fallait dans la camionnette.
Elle a ouvert la portière, et elle a atterri sur le macadam. Ensemble, on a chargé le maximum de palettes à l’arrière.
—Tu me plais terriblement. La prochaine fois, ce ne sont pas mes doigts qui rentreront dans ma chatte, mais ta queue.
—C’est un souhait ou une promesse ?
—Les deux. J’ai terriblement envie de toi.
—Mais tu te souviens de ce qu’il y a d’écrit sur le panneau ?
—Pas de sexe ?
—Bah, on ira chez moi. J’habite à deux minutes d’ici… De toute façon, il y en a qui ne se gênent pas pour transgresser cette règle.
J’ai été surpris. Je n’avais rien vu… Il faut dire que je n’étais pas forcément là au bon moment… Ou au mauvais…

On est remontés pour le véhicule. Elle s’est penchée sur moi et a collé sa bouche sur la mienne. Ca a été tout naturellement que mes lèvres se sont ouvertes. Nos langues se sont accrochées et frottées. J’avais oublié à quel point c’était bon de s’embrasser ainsi. Elle a glissé la main vers mon pantalon. J’ai voulu l’en empêcher, mais il était déjà trop tard. Elle a senti que ce contact me faisait redurcir à vitesse grand V, mais aussi que je m’étais trempé.
—Oh, mais je vois que tu bandes… Et… Tu as joui comme moi…
Je ne sais pas pourquoi, je lui ai répondu :
—J’ai un caleçon de remplacement dans la boite à gants…Tu veux m’aider à me changer ?

Elle a pris la direction des opérations, dans une attitude qui avait un rien de maternel, ce qui m’a touché. Elle a fait glisser mes baskets sans lacets, puis est remontée plus haut pour défaire ma ceinture, le bouton de mon pantalon… Elle a descendu le pantalon, puis le caleçon, et ma queue a jailli a l’air libre, à nouveau raide de désir bien que j’aie joui quelques secondes plus tôt. Mais elle me plaisait énormément, et l’exhibition, quelques minutes plus tôt avait poussé mon désir à des sommets dont il n’était pas vraiment redescendu.
—Tu veux que je te soulage ? Je peux te caresser.
J’ai acquiescé. Elle a récupéré mon caleçon, après l’avoir fait descendre le long de mes jambes, et elle l’a enroulé autour de ma main, un peu comme un gant. Avec, elle est revenue frotter ma queue, en souriant.
—Je sais bien branler les garçons… A vrai dire, je sais faire beaucoup de choses…
Tout près de moi, me remplissant de sa présence et de son odeur, de sa chaleur et de son sourire, elle a fait aller et venir sa main sur ma queue, tantôt rapidement, tantôt plus doucement, me procurant, par cette simple masturbation, un immense plaisir. Ma queue s’est dilatée jusqu’au point de non-retour et j’ai eu un orgasme qui m’a rempli alors que je crachais de multiples jets de semence, me surprenant moi-même, parce que je m’étais déjà vidé. Il fallait croire que j’avais des réservoirs auxiliaires… Ce qui m’a surpris aussi c’est qu’elle a approché son visage de ma queue, quand elle a senti que j’allais éjaculer, et qu’elle s’est laissée maculer par les traits de sperme qui sont sortis de mon ventre, et qui se sont répartis au petit bonheur la chance sur elle, ses joues, en travers de sa bouche, ses cheveux.
—J’adore me faire gicler sur le visage… Le sperme, c’est chaud, et puis…

Elle a donné un coup de langue pour recueillir le trait de sperme en travers de sa bouche et l’a avalé sans autre forme de procès.
—…Ca a bon goût.

Quelques minutes plus tard, après qu’elle ait remonté mon caleçon, et fermé mon pantalon, puis gobé tout le sperme qu’elle avait sur le visage, on est retournés sur le rond-point, et on a déchargé les palettes.
J’avais un client à voir dans l’après-midi, et je suis parti à regret, après qu’on ait partagé un repas commun. J’avais aidé pour maintenir le feu, mettre la table, mais j’avais l’esprit ailleurs, bien loin de nos luttes. Je la regardais en douce, et elle aussi. On se plaisait, c’était une évidence. Une tonne de fantasmes tournaient dans ma tête.
Quand je me suis éloigné, à quatorze heures, elle m’a jeté un regard qui voulait clairement dire :
—Reviens vite !
Mais les choses ne se passent jamais vraiment comme on le prévoit, et j’ai du rester chez le client bien plus longtemps que prévu. Il était près de vingt heures quand je suis revenu sur G… La physionomie des ronds-points avait radicalement changé. Les gilets jaunes s’étaient repliés sur leurs cabanes de fortune, certains étaient rentrés chez eux, d’autres s’étaient regroupés là où nous étions ce matin.

J’ai pénétré dans la cabane du rond-point croisement entre les deux départementales en espérant la trouver. Il n’y avait que quatre personnes pour le moment. Deux couples qui faisaient l’amour, Natacha et Gilles et Sophie et Pierre. Assez ironiquement, ils étaient installés dans des vieux canapés dont on nous avait fait don, pile sous le grand panneau en bois sur lequel était écrit PAS D’ALCOOL, PAS DE DROGUE, PAS DE SEXE. J’avais déjà remarqué qu’il y avait de l’attirance entre eux. Ce soir, ils avaient décidé de passer à l’acte. Qu’est-ce qui les avait poussés ? Que la journée ait été bonne ? Un pas supplémentaire l’un vers l’autre ? Ils étaient en tout cas à pleine action. Natacha, la belle blonde, était installée sur les genoux de Gilles. Elle avait déposé une culotte blanche et une jupe sur l’accoudoir du canapé pour mieux accueillir, le bas-ventre nu, le sexe en pleine érection de Gilles, fiché dans son vagin. Il avait les mains posées sur sa croupe pleine, et il la faisait monter et descendre sur sa queue. C’était troublant de voir le membre tout dur disparaitre entre les lèvres dilatées, puis réapparaitre…Ca plaisait en tout cas énormément à Natacha, qui gémissait et poussait de petits cris, en plein trip… Sophie, elle, la petite brune, avait choisi de prendre la queue de son compagnon entre ses seins volumineux. Elle était assise sur le canapé, et lui debout. Il avait une belle queue, mais la poitrine de la jeune femme n’était pas en reste. Bien que volumineuse, elle était bien ferme, et le galbe de ses seins était, dans leur rondeur ferme, impeccable. Ses tétons pointaient, bistre et fermes. Elle tenait ses seins de ses deux mains, seins avec lesquels elle avait enveloppé la queue qu’elle caressait doucement. Ca devait être vraiment très bon, parce que Pierre se tordait en gémissant.

Je me suis figé, pris dans un voyeurisme malsain. Mais ils n’avaient même pas conscience que j’étais là, sans doute parce que j’étais en partie dans l’obscurité.
—Ca te plait ? C’est bon, non ? a interrogé Sophie…
Elle aimait bien parler, commenter tout. Y compris, je le découvrais, ses actes sexuels. Vu comme le type se tordait et haletait, effectivement, ça devait être bon.
—Les mecs adorent que je les branle avec mes seins… Mais rassure-toi, il n’y a plus qu’à toi que je ferai ça… Et tu pourras venir aussi dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul..
Est-ce cette perspective qui a fait exploser le garçon, ou plus simplement l’habileté de sa partenaire ? Il a balancé un premier trait de sperme, copieux, qui est venu balafrer le visage de Sophie, laquelle a plongé de la bouche pour entourer la queue et avaler le sperme qui sortait. On voyait bien, ça se dessinait contre ses joues, la queue aller et venir à chaque nouvelle éjaculation.
J’ai senti une présence derrière moi. Un parfum surtout. Je n’avais pas besoin de me tourner pour savoir qui c’était. Elle s’est collée contre moi, entourant ma taille. J’ai senti ses seins s’écraser contre mon dos.
Sophie et Pierre se sont rajustés, ils ont chacun passé un gilet jaune et sont sortis sans regarder l’autre couple ou nous. Stéphanie a descendu sa main jusqu’à ma queue, la trouvant dure.
—Qu’est-ce qui t’excite le plus, que Sophie fasse une cravate de notaire à Pierre ou que Natacha soit assise sur la queue de Gilles ?
—De te sentir contre moi.

Et c’était la vérité. Ma semi-érection s’était renforcée de la sentir contre moi. Je la désirais intensément, j’en étais sûr maintenant. Elle m’attirait et me plaisait énormément. On pourrait faire un bout de chemin ensemble.
Marlène s’est soulevée encore une fois, elle a sorti la queue de sa chatte, en a arraché le préservatif, et elle a plaqué le membre dilaté contre sa raie. Le gland arrivait là où sa raie prenait naissance dans sa chair. La semence a jailli en traits copieux qui ont souillé ses fesses, et dégouliné dans la fente profonde qui coupait sa croupe charnue en deux.
—On peut faire aussi bien qu’eux, tu ne crois pas ? Viens, allons chez moi, je te l’ai dit, c’est à deux pas. On sera mieux qu’ici.
Nous avons quitté le terre-plein dans la nuit fraiche, pour nous engager sur une rue plus étroite qui rentrait dans la ville. J’ai remarqué qu’elle était enveloppée dans un imper, qui lui arrivait aux genoux, laissant le reste de ses jambes nues. J’avais senti la boucle contre mon dos. Elle avait de simples mais élégant escarpins noirs avec des talons fins aux pieds.
—Tu vois, elle m’a dit en prenant ma main, on peut trouver l’amour sur les ronds-points. Déjà trois couples qui sont formés…Tu imagines, même s’il n’y en a qu’un ou deux sur chaque rond-point, tout ce que ça peut représenter dans tout le pays ?
—Cet après-midi, en lisant les actualités en ligne, j’ai vu qu’un site, Adopte un gilet jaune avait été créé… Les revendications et l’amour, c’est un bon programme…

Nous sommes arrivés devant chez elle. Elle habitait un immeuble bas, de trois étages, vieillissant, comme pas mal de bâtisses de ce quartier populaire. Elle a débloqué la lourde porte d’entrée en tapant un code. C’est dans le hall, éclairé par une lumière blanche une fois qu’elle a eu appuyé sur l’interrupteur qu’elle s’est tournée vers moi,
—J’ai une surprise pour toi. Je voulais d’abord mettre une robe de soirée, et puis je me suis partie sur quelque chose de tout à fait différent…Et rendre hommage à la cause qui nous a réunis sur le rond-point, cause sans laquelle on ne se serait pas connus…

Elle a lentement écarté les pans de l’imper. Dessous, en guise de vêtement, elle avait un simple gilet jaune. Elle avait choisi un gilet grande taille qui masquait l’essentiel de ses charmes.
—Ca te plait ?
—Il me tarde d’en écarter les pans.
—Oh, pas la peine d’attendre…

Elle a écarté le gilet et a commencé par me présenter sa partie face. Ma queue a frémi de désir. Certes, elle m’avait montré sa chatte quelques heures plus tôt, mais c’était autre chose que de la voir totalement nue. Et de constater à quel point elle était désirable. Elle avait des seins hauts perchés, mais plus pleins que je ne l’aurais pensé, d’un bel ovale, une taille fine, des hanches marquées. Mon regard a glissé vers son sexe, encore clos, dont elle m’avait donné un aperçu complet ce matin. Elle s’est retournée, a soulevé le gilet, m’a présenté sa croupe, haute, ronde et ferme. Elle était vraiment magnifique.
Elle s’est engagée dans l’escalier devant moi, moins sans doute pour passer la première que pour m’offrir son cul. J’en ai eu la certitude quand elle s’est pliée en deux, sur le palier entre le premier et le deuxième étage, et qu’elle m’a dit :
—Lèche-moi le cul, j’en ai envie, là, et maintenant.
Elle me donnait tout. Sa croupe était ouverte sur son anus, et plus bas, il y avait le boursouflement de sa vulve, qui se dilatait sous mes yeux. Je ne savais pas où donner de la tête. Je me suis dit que le plus simple était sans doute de commencer tout en haut, là où sa croupe prenait naissance, où la chair de son dos cessait d’être plate pour se renfler et laisser la place au volume de sa croupe, et où la déchirure de son sillon s’amorçait pour devenir plus profonde à mesure qu’il progressait. Elle a poussé un long frémissement quand la pointe de ma langue s’est posée sur la naissance de sa fente, frémissement qui est devenue un long gémissement…Elle avait chié plus tôt, je ne savais pas quand, elle ne s’était sans doute pas lavée. Le goût âcre de sa merde m’a envahi, mais ça m’a plu. Je suis resté un moment à tourner sur son anus. Apparemment, elle était très sensible de ce côté-là, son corps se tendait, et j’ai remarqué, en reculant, qu’en quelques secondes, son sexe qui était encore clos s’était largement ouvert, ses lèvres sorties, et que des sécrétions avaient coulé le long de ladites lèvres, finissant en filets gras qui pendaient de ses lèvres. J’ai choisi de rester sur son anus puisque cela lui procurait tant de plaisir. Elle s’est dégagée.
—Je ne veux pas jouir dans l’escalier. Viens, allons jusqu’à mon appartement.

On est arrivés à monter la volée de marches jusqu’à chez elle. Elle occupait un appartement coquet, mais à vrai dire, je n’y ai prêté qu’un œil distrait. Me prenant par la main, elle m’a emmené jusqu’au lit. Elle a basculé à quatre pattes. Je suis revenu sur son anus et je l’ai fouillée de la langue. Sa muqueuse s’est ouverte. J’ai senti un mouvement plus bas, j’ai baissé les yeux, et j’ai constaté que sa main bougeait sur son sexe au niveau de son clitoris. Elle se masturbait avec fébrilité.
—Je suis très sensible du cul, elle a haleté…Ce que je voudrais… Ce serait le plan parfait…Ce serait que tu viennes longtemps dans ma chatte, et après dans mon cul…Tu rentreras bien parce que tu seras couvert de mes jus…
Le plan m’excitait terriblement. Je me suis reculé. Elle a basculé en arrière, se tendant vers la commode au pied du lit.
—J’ai des capotes là…Mais ces derniers temps, je ne m’en suis pas beaucoup servi. Je vais rattraper le temps perdu avec toi…Viens, je vais te la mettre dessus…Ce sera l’occasion de revoir ta queue…Elle est trop belle…

Elle m’a mis à nu à nouveau. J’étais au maximum de mon érection. Elle a fait filer la capote de long de ma queue d’un mouvement souple avant de revenir à quatre pattes. Rien n’aurait pu m’empêcher de rentrer en elle, et c’est bien ce que j’ai fait, venant me ficher dans sa muqueuse qui m’a accueilli comme un gant accueille une main. Ainsi gainé par son sexe, par sa chaleur et sa douceur, j’étais totalement transporté. Ce qui me plaisait surtout, c’était ce sentiment d’harmonie qui existait entre nous. J’ai bougé en elle un moment, puis elle a pis la suite, faisant aller et venir son vagin sur ma queue, d’un mouvement d’avant en arrière, avant qu’elle ne m’extraie de mon sexe, et ne vienne appuyer mon gland contre sa muqueuse anale. Je suis rentré sans même m’en rendre compte.
Ca a été sans doute la première fois, depuis que je faisais l’amour à une femme que nous avons joui quasiment en même temps, et que j’ai réellement eu la sensation que nous étions deux personnes faisant l’amour ensemble, avec un but commun, et pas deux partenaires, chacun cherchant à tirer du plaisir de l’autre sans trop se soucier de sa personne.

Plus tard, on a été dîner. On était bien ensemble. J’étais plus heureux que je ne l’avais été depuis longtemps.
En revenant dans le living mon regard s’est posé sur le gilet jaune qu’elle avait accroché à une chaise. C’était grâce à lui que nous nous étions connus et que nous ferions un bout de chemin ensemble…Je lui devais beaucoup. Je n’avais pas imaginé, en venant protester contre l’injustice sur un rond-point et enfilant cette tenue ‘jaune, moche mais qui sauvait des vies’, pour reprendre une citation célèbre, que je trouverais Stéphanie sur ma route.
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Histoire de JamesB

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