Anna et la baby sitter - La rencontre

Je m'appelle Lucille et à ce moment j'ai tout juste 18 ans. Je viens d'avoir mon bac, c'est le début de l'été et des la rentrée je commencerai mon BTS. Je suis à la fois excitée et angoissée et je compte bien sur cet été pour profiter. Mes parents m'ont parlé de cette famille : Les D. Ils sont parisiens et viennent d'acheter une maison de vacances à quelques minutes de chez nous. Ils ont deux filles et veulent nous inviter à manger pour faire connaissance.
Le soir venu, nous voilà, mes parents et moi chez les D. Le père est un homme d'une quarantaine d'année : classique, de taille moyenne, châtains aux yeux clairs. Sa femme en revanche est grande élancée, de longs cheveux noirs attachés en chignon et une taille de guêpe. Les deux filles arrivent plus tard : Lola, qui a 4 ans. Petite les cheveux bouclés et les yeux clairs comme son père. Et Anna, 19 ans, le portrait craché de sa mère 20 ans plus tôt. Les D. nous expliquent qu'ils ont passés des années à essayer d'avoir des enfants avant de passer par des méthodes plus médicales. Les miracles que sont leurs filles sont donc un cadeau du ciel et ils le font ressentir.
Le repas se passe sans encombre, nos parents s'entendent à merveille. Lola s'extasie de tout ce que ma mère dit et Anna... Anna ne nous écoute pas. Mais je la regarde. Elle pourrait faire de l'ombre à n'importe quel mannequin sans soucis. Ses lèvres pulpeuses et ses grands yeux me rappellent à quel point je suis banales. Madame D. me demande au milieu du repas si je serai intéressée pour baby sitter Lola. Ils compte beaucoup sortir pendant les vacances et la petite doit garder un bon rythme de sommeil. J'accepte sur le coup, je ne vais pas refuser de l'argent après tout.
La soirée s'achève et nous rentrons chez nous.
Trois joies après, madame D., de son prénom : Isabella, appelle ma mère. Lola est fiévreuse et ils doivent sortir tous les trois ce soir. Ma mère assure que je peux garder la petite et moins de 15 minutes plus tard je suis en route. Ma mère m'emmène, j'ai le permis mais pas encore la voiture alors pour l'instant je dois compter sur mes parents.
- Les D. te ramèneront ce soir, ils ne rentrent pas tard, assure ma mère.
Arrivée dans leurs magnifique maison, Isabella m'explique la marche à suivre, rien de compliqué. Lola sera au lit dans 30 minutes.
23h45, la porte s'ouvre. Ils sont de retours, je tombe presque de sommeil.
- Anna tu peux ramener Lucille chez elle ?
Anna ne se prive pas de montrer sa réticence mais accepte finalement. Nous montons côtés à côtés dans la Mercedes de son père. Elle ne dit pas un mot du voyage, je n'attends qu'une chose : arriver chez moi. Elle se gare à l'endroit que je lui indique, mais les portes restent fermés à clés. Je la regarde, sa jupe courte laisse voir la totalité de ses cuisses. Je me demande quel genre de sous vêtements elle met. Son visage se tourne et elle me regarde. Un frissons me parcours, l'idée même qu'elle me porte de l'attention m’émoustille. Elle humecte ses lèvres en regardant ma bouche. Je déglutis. Puis sans un mot elle vient me voler un baiser. Je ne saurai pas dire comment mais en une dixième de secondes elle m'a envoûté. Sa langue caresse la mienne et j'en veux encore. Sa main passe sur mes seins, je l'embrasse plus sensuelle ment encore.
- Viens à l'arrière, ordonne-t-elle.
Je ne cherche pas à comprendre et passe entre les sièges pour la rejoindre. Elle baisse mon débardeur et laisse ma poitrine nue se libérer. Elle la regarde, émerveillée.
- Ils sont incroyables, murmure-t-elle.
J'ai une poitrine plutôt imposante, beaucoup de gens me complimente t dessus en vérité. Je suis touchée qu'une fille aussi belle et sexy qu'Anna me dise une chose pareil. Elle les caresse et les embrasse. Elle dirige sa langue sur leurs extrémités et les titillé. Je ferme les yeux et profite des sensations que ça me procure. Elle laisse un de mes seins pour de boutonnée mon short. Je frissonne : de froid et d'excitation. Elle lèche toujours mon téton et se fraie un passage dans mon short, posant sa main sur le tissus de ma culotte.
- T'es déjà mouillée, fait-elle remarquer.
Ses doigts bougent de façon circulaire sur le mince tissus qui la sépare de mon intimité. Je commence à gémir doucement. Voyant l'effet qu'elle me fait Anna passe ses doigts sous l'élastique de ma culotte. À peine a-t-elle touché mon clitoris qu'un petit cri sort de ma bouche. Elle sourit, satisfaite. Et fait tourner ses doigts sur mon clitoris en mordillant mon téton. Je ferme les yeux et serre la mâchoires. Ses mouvements sont de plus en plus rapides, je sens mon orgasme arriver. Ses doigts accélèrent encore et je jouis son prénom, laissant mon orgasme exploser.