Une dominatrice déchue

Ce soir, Marjorie et Marc pendent la crémaillère. A l’occasion, ils ont invités quelques amis, dont leur nouveau voisin, Tess, une superbe femme de vingt ans, accompagnée de son mari Damien. Ils sont mariés depuis une semaine.
Au total, une dizaine de couples, se trouvent installés autour d’un copieux buffet.

-Allez, tout le monde à l’eau, lance Marjorie.
-Mais je n’ai pas de maillot, murmure Tess à son oreille.
-C’est pas grave, viens à la chambre, on a peu près la même taille.

Tess réapparait dans un deux pièces fleuries, dont le bas ne cache pas grand chose, et dont les seins débordent des bonnets. Une vraie bombe.
Dès que Tess plonge dans la piscine, un, voire deux mâles se précipitent à l’eau, l’entourent. Pas féroce pour deux sous, elle leur sourit, repousse leurs avances. Soudain, des mains, plus aventurières, la saisissent par la taille.
Tess, surprise, ne réagit pas. Elle se retourne, et se trouve nez à nez avec une sculpturale femme de type italienne. Elle est paralysée par le regard foudroyant de cette belle inconnue, d’autant qu’un doigt s’insinue dans le maillot.

-Bonjour, je m’appelle Francesca.
-Heu…bonjour, moi c’est Tess…mais que faites-vous ?
-Chut…n’attirez pas l’attention.
-Mais enfin, vous essayez de caresser ma petite chatte.

Tess parvient à se dégager, nage vers l’échelle. Francesca est de suite sur elle, lui barre l’accès. Tess repart du côté opposé, mais la belle italienne insiste.
De loin, Marjorie a suivie la scène, et vient à la rescousse de sa voisine. Elle connait bien Francesca, pour avoir eue une courte, mais sulfureuse liaison avec elle. C’est une femme qui aime les femmes…une dominatrice. Aucune ne lui résiste, même pas les femmes mariées.

-Alors les filles, dit-elle, on fait connaissance.
-Oui, répond Francesca en lui prenant les lèvres.
-Hey, la repousse Marjorie…
-Je t’ai connu plus câline, ajoute la belle italienne.
-Heu…c’est du passé, dit Marjorie en s’éloignant.

Tess se retrouve seule avec Francesca, toujours aussi entreprenante. Tess ne veut surtout pas que les invités s’aperçoivent de quoi que se soit.

-Alors ma chérie, murmure Francesca à l’oreille de Tess. Enfin seule.
-Mais enfin, dit Tess, je n’ai jamais fais ça…si mon mari apprend que…
-Chut…il ne s’apercevra de rien si tu m’obéis…aller, quitte ton maillot.

Paralysée, Tess ôte le bas de son maillot, tandis que Francesca quitte le haut Tess se retrouve entièrement nue, devant la belle italienne, qui lui caresse les seins, fait rouler les bouts entre ses doigts. Puis une main va plus bas, s’invite entre les cuisses. Un doigt pénètre la chatte, un autre excite le clitoris. Tess sent le désir monter en elle, et s’écarte d’avantage, pour facilité le passage. Elle atteint l’orgasme dans un cri de plaisir, étouffé par la main de Francesca.

-Hum, c’est bon ça, sourit la belle italienne.
-Mon dieu…qu’avez-vous fait à ma petite chatte.
-Pas grand-chose, ma chérie, je te l’ai juste branlée…t’as bien aimé je crois.
-Oh oui, c’était vraiment bon.
-Allez, viens, il ne faudrait pas que les autres se doute de quelque chose.

Arrivé au bar, les deux jeunes femmes son accueillies par une coupe de champagne. En voyant la tête de Tess, Marjorie comprend qu’il s’est passé quelque chose. Aussi, prend-elle Francesca à part dans la cuisine, pour la sermonner.

-Je ne veux plus que tu t’approche d’elle, compris.
-C’est un ordre, dit Francesca en plaquant Marjorie, face contre le mur.

Ni une ni deux, la belle italienne lance une main entre les cuisses de son hôte.
Elle écarte la culotte, et caresse son intimité. Marjorie se débat, essaie de se dégager, en vain.

-De quoi tu t’occupes, dit Francesca. Tu ne vas jouer les saintes ni touche. Tu te régalais quand je te baisais et t’enculais avec mes doigts. Tu as oubliais…tu me suppliais de te faire jouir.
-Arrêtes, geint Marjorie, on était plus jeune, je suis mariée maintenant.
-Et ton mari, il sait qu’il a épousé une gouine.
-Non, il ne le sait pas, s’il te plait, ne dis rein, supplie Marjorie.

Un doigt pénètre le petit trou, la chatte, remonte jusqu’au clitoris. Marjorie résiste à l’appel du désir. Elle est prête à succomber aux vicieuses caresses. Finalement, elle parvient à réagir.

-Je t’en prie, pleure Marjorie, arrêtes ça…je ne suis plus comme çà.
-A bon, est pourquoi tu es mouillée…salope !
-C’est toi avec ton doigt qui me fait mouiller…arrêtes.
-Ok, a une condition, poursuit Francesca. Je veux qu’on passe la nuit toutes les trois…Tess, toi et moi.
-Mais…comment veux-tu que j’organise un truc pareil…
-C’est ton problème, dit Francesca…bon allez, je vais me baigner.

Tard le soir, Marjorie prétexte une grosse fatigue, pour aller se coucher.
A peine dix minutes se sont écoulées, que Francesca et Tess rappliquent. Elles ferment la porte à double tours. Au bout d’un cours instant, les trois femmes se retrouvent entièrement nues, sur l’immense lit. En dominatrice avertie, c’est Francesca qui prend les initiatives.
Elle oblige Tess et Marjorie à se gouiner, se faire un soixante neuf. La première qui jouit à perdu. C’est bizarrement Marjorie qui atteint l’orgasme la première, dans un cri de plaisir. C’est donc elle qui va servir de jouet sexuel aux deux autres. Et quand on connait les jeux pervers de la belle italienne, on peut s’attendre au pire. Du reste, elle a emmené ce qu’il faut dans son sac.
Elle demande à Marjorie de s’allonger sur le dos, de bien écarter les jambes. Elle sort un énorme gode, qu’elle met au contact de la chatte. Elle appuie sur un bouton, et la tête de l’appareil se met à tourner.
Marjorie se tord comme une anguille, au contact de l’appareil, elle devient hystérique, hurle de plaisir.

-Oh oui…oui…encore…plus vite.
-T’aimes ça, hein salope…regarde, mon jouet est plein de mouille…
-Ouah, fait Tess, comme elle bouge son cul…elle se régale la pute…
-Bien sur qu’elle se régale, poursuit Francesca, hein…dis le que tu te régales…
-Oh oui…c’est bon…mon petit trou…je le veux dans le cul…
-La cochonne, sourit Tess, je peux le lui mettre…j’aimerais bien l’enculer.
-Mais bien sur ma chérie, dit Francesca, moi je m’occuperais de sa petite chatte.

Marjorie pousse un cri quand la rotative dilate le petit trou. Elle envoie des coups de reins sur le vicieux objet, qui lui donne tant de plaisir.

-Oh putain, souffle-t-elle…vous me rendez folle, vous allez me faire mourir…
-Ben profites en alors…tu sens ce que je fais à ton petit bouton…je l’ai entièrement décalotté…comme il est gros…il est tout rouge…
-Salopes…je jouis…oh oui…je suis une grosse pute, une grosse salope…me faire baisser et enculer par deux femmes…je suis une vraie gouine…

Marjorie ne compte plus les orgasmes. Elle n’en finit pas de jouir. Le seul moment de répit qu’elle a, c’est quand Francesca s’amuse avec Tess.
Francesca est une vraie dominatrice. Elle fait allonger les deux femmes, jambes écartées, leur branle la chatte, pendant que ces dernières se défient avec leur langue. Francesca veut que Marjorie, son ancienne amante, se soumette.

-Tu ne veux pas que Tess s’amuse avec toi, dit Francesca.
-Faites ce que vous voulez, souffle Marjorie, mais je vous en supplie, baisez moi.
-Tu seras obéissante ? Poursuit la belle italienne.
-Oui…je te le promets…

Tess demande à Marjorie de se mettre à quatre pattes, de bien s’écarter. Lentement, elle caresse la fente, le clitoris hors de son capuchon.

-T’aimes ça, hein, salope…t’aimes de faire branler…avoue.
-Oui, gémit Marjorie, c’est trop bon…je veux jouir encore…

Francesca assise sur une chaise, suit la scène. Ca l’excite de voir Marjorie se soumettre aux ignobles caresses de cette jeune mariée. Elle aussi veut sa part de gâteau. Elle se lève, attend que Marjorie ait atteint l’orgasme pour intervenir.

-A moi, petites gouines, vous allez me lécher la chatte. Celle qui me fera jouir en premier pourra choisir celle qui finira la nuit avec elle.

Francesca s’allonge sur le lit. Tess et Marjorie la rejoignent, bien décidées à relever le défi. Tess s’occupe de la chatte, Marjorie du petit trou. Même si elles sont maladroites, elles ont au moins le mérite d’essayer de déstabiliser la belle italienne, qui d’ailleurs, commence à gémir de plaisir.
Soudain, Francesca se cambre sur ses pieds, envoie des coups de reins sur les doigts qui la baisent, qui l’enculent. Elle hurle de plaisir quand elle atteint l’orgasme.
Elle retombe sur le lit, les bras en croix.

-Oh mon dieu souffle-t-elle, petites vilaines, qu’est-ce que vous avez fait à ma petite chatte…salopes.
-Et qui t’as faite jouir en premier demande Tess.
-je crois bien que c’est toute les deux, à même temps, répond Francesca.
-Tu vois qu’on est arrivé à te donner du plaisir, dit Tess.
-Hum…venez mes chéries, venez vous allonger avec moi. J’ai encore envie

Marjorie se met à genoux, enfouit sa tête entre les cuisses de Francesca, lui lèche la chatte, aspire le clitoris. Tess, elle, s’assoit sur le corps somptueux de la belle italienne. Elle décalotte son petit bouton, lui soulève la tête, et…

-Vas-y, suces moi le clito, petite gouine. Je veux crever de plaisir…après, tu boufferas ma petite chatte… oh la salope…oh putain…je jouis…oui…je jouis.

Tess apprend vite. Elle repousse Marjorie, s’allonge sur Francesca, pour faire un cunit. Malgré le poids de Tess, Francesca se cambre quand elle atteint l’orgasme, en hurlant de plaisir.
Marjorie à un sourire en coin, en voyant Francesca, la dominatrice, se faire dominé par sa jeune voisine, mariée depuis une semaine.

-Alors salope, tu fais moins la belle, sourit Tess…tu en veux encore.
-Oh oui, s’il te plait, gémit Francesca…gouine moi encore.

Marjorie préfère se retirer, laissant les deux femmes entre elles. Dans le couloir, elle reconnait les cris de plaisir de Francesca. Elle l’entend même couiner quand Tess lui donne la fessée.

Le lendemain, les trois femmes se retrouvent autour d’un copieux petit déjeuner. Francesca a mis des lunettes de soleil, pour cacher les cernes apparus sous les yeux.

-Au fait Francesca, dit Tess, j’ai vu dans ton sac, un stylo, et une espèce de bague, et une grosse queue fixée sur une ceinture. Ca sert à quoi ?
-C’est pour exciter le clitoris, bégaie Francesca, et baiser, ou enculer sa partenaire.
-Ok, j’ai compris, poursuit Tess, je t’attends dans ta chambre, ne tarde pas trop. Ne m’oblige pas à venir te chercher.
-Oui ma chérie, répond timidement la belle italienne…je viens de suite.

Marjorie, l’oreille tendue, assiste à la déchéance de Francesca.

-Oh oui ma chérie, souffle-t-elle, vas-y, baises moi, encules moi…je suis à toi…
-Tu vois, salope…on va bien jouer avec toi maintenant que tu es soumise.


Marjorie met sa main devant sa bouche pour ne pas éclater de rire.
Elle aussi, a soif de vengeance. Cet après midi, c’est à elle que Francesca va se soumettre. Elle veut la branler, la doigter, la niquer, la faire jouir jusqu’à l’épuisement.
La dominatrice est devenue la dominée.