Annette

Nous étions deux couples amis, Gaby et Annette. Un jour, sur un coup de tête Gaby est parti, sans que l'on sache où il pouvait être parti. Il laissait se femme seule, sans un rond, sans travail. Nous étions désolés avec Julie. Sur un coup de bol Annette trouve du boulot dans une moyenne surface. Nous l'avions presque perdue de vue quand Julie, en faisant ses courses la retrouve. C'est ainsi qu'après un coup de déprime Annette se trouve pour un soir chez nous.

Nous dînons ensemble en bavardant. Je ne sais comment la conversation est venue sur la sexualité, toujours est-il que Julie décrit nos étreintes. J'ai beau faire du coude à ma compagne qui, comme souvent, s'est lâchée sur un terrain miné : parler de plaisir de la baise devant une femme privée elle de bite depuis un bon moment.

Un peu gênée Annette répond par des souvenirs forcément nostalgiques.

Au fond de moi je sens son envie de recommencer, non plus seule , comme c'est probable, mais avec une autre personne. Je n'ose pas faire d'avance, Julie étant assez jalouse. Là, surprise c'est ma propre femme qui me propose comme étalon. D'accord je suis assez résistant, mais de là... Annette en rougit.

J'avoue qu'on fond de moi, je me paierais bien cette femme bien en chair, avec ce qu'il faut là où il faut, particulièrement un cul de Vénus. Julie insiste. Je n'en peux plus des gaffes.

Je suis sérieuse, si Annette est en manque, je te prête.
J'ai mon mot à dire, réclame Annette. Je ne peux pas rompre un ménage.
Tu ne romps rien du tout, je participerais aussi.
Ainsi Julie me donne avec une condition : sa participation. Les deux femmes ne s'en rendent pas compte : je commence à développer une belle gaule.
_ Tu sais continue Julie, tu serais ma première femme.

Pour moi aussi.
Les voilà d'accord pour me partager, sans rien me demander. Pour que je sois vite d'accord Julie pose sa main sur la bite. Si elle pouvait elle la sortirait pour la montrer. Je n'ai rien d’exceptionnel, alors. Annette intéressée, malgré son regard égaré, jette un petit regard vers moi, vers la braguette. Julie me fais un petit baiser rapide sur les lèvres. De là où elle est, elle trouve la main d'Annette, l'attire vers moi. Nos lèvres sont réunies grâce à mon épouse qui dans je ne sais quel but me donne comme ça, sinon pour faire une partouze, ce qu'elle refuse depuis toujours. Nos langues sont vite réunies. Nos têtes sont caressées par Julie. Elle se lève, face à nous commence à se dévêtir. Bientôt nue, elle vient près de nous.

Je ne savais pas que me femme aimait se donner ainsi en spectacle, ni qu'elle irait jusqu'au point où nous en sommes. Je ne peux m'empêcher de lui prendre la taille. Je descends main sur ses fesses. Quand je lui caresse cet endroit elle remue toujours pour que je passe entre les deux globes, pile comme elle fait.

Sans me poser de question je passe la main là où elle aime, sur son anus qui s'ouvre, comme toujours.

Il me tarde qu'une main prenne la bite : j'explose. Annette suit l'exemple de ma femme. Elle est nue elle aussi. Je la savais bien faite, pas à ce point. Elle a oublié ma bouche, elle cherche celle de Julie. Il ne faut pas me demander comment, elles le font par désir. Enfin leurs mains glissent sur moi, elles vont vers ma queue qu'elle libère à deux mains. Un ressort fait que ma bite se dresse aussi sec.

Nous nous levons pour que j'aille dans un fauteuil. Je perds le pantalon dans la marche. Elles me poussent vers le bord, ma bite bien en vue. J'attendais deux mains, j'ai droit à deux bouches. Que Julie le fasse, j'y suis habitué, par contre je ne savais pas comment agissait Annette dans son intimité.

Julie a pris la queue entre le gland et le pubis comme pour me mordre. Annette prend la virilité dans sa bouche ouverte largement. Elle fait descendre le prépuce avec les lèvres, sa langue venant après lécher. Julie devant moi ose poser sa main sur la chatte d'Annette qui se laisse faire.

Si Julie la branle, Annette semble attendre son tour. Elle m'aspire volontiers, je ne peux même pas me retenir, je jouis dans cette gorge. Je sens le plaisir partout en moi. Je retiens même la tête pour qu'elle n'abandonne pas, la dernière goutte.

Elles m'oublient quand elles s'embrassent sur la bouche. Je vois que leurs langues se mêlent. Si elles restent encore à genoux, c'est pour le pas perdre ce que la main de Julie fait à Annette. Leurs corps se rapproche, ce qui au départ me semble une lubie se transforme en véritable recherche de sensations nouvelles. Leurs soupirs simultanés montrent qu'elles arrivent au même but : l'orgasme.

Je sais bien comment jouit Julie quand elle se branle devant moi, assez souvent pour me faire bander. Alors là, je vois les deux nanas se gougnotter, s'envoyer en l'air, ma queue se dresse.

Quand elles jouissent je les lève. C'est moi qui les dirige vers la chambre, en étant entre les deux, ma bite ballottant en marchant. J'ai envie de la nouvelle, d'Annette. Je veux la baiser, je veux sucer ma femme en même temps. Ou alors je les veux toutes deux enlacées, moi sur elle pour mettre ma pine dans le cul à peine entrevu d'Annette. Je couche d'abord Julie, Annette sans que le la guide se met sur elle, les pieds à la tête. Cette position de 69 me convient, surtout qu'elle écarte les deux fesses à deux mains. Je sais donc qu'elle aime se faire sodomiser. Je comprends que son cul soit impatient de trouver une pine, même nouvelle. Je n'ai pas la peine de cherche l'anus, la main de Julie me guide vers ce nouveau paradis.

Je me rends compte à cet instant que je suis au fond de moi heureux d'avoir ces deux femmes dans le lit. Je m'enfonce dans Annette, comme je le fais dans Julie. Mon plaisir est supérieur quand je lâche une bonne dose de purée dans ces boyaux neufs pour moi.

En sortant du cul, ma queue donne encore un dernier jus qu'elles se partagent, elles se disputent presque la queue encore molle pour un moment. Je n'arrive plus à les satisfaire, elles reprennent leurs jeux de langues ou de doigts.

La morale de l'histoire est que nous commençons à avoir un drôle de manque dans le ventre dès le Lundi, en attendant le vendredi soir, juste pour faire un peu de rentre dedans comme demande les deux femmes en attendant le samedi soir.