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Lettre à ma femme 4

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Lue : 1330 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Post-scriptum 2 : Ton amie.
dévoile sa nature, tu comprends

En lisant devant « tes amis », tu découvres avec stupeur les oublis d’Annie à propos de sa conduite, il y a vingt ans. Ses intrigues pour trouver un père au fruit de ses nombreuses relations sexuelles, sa tentative pour nous séparer dès notre première rencontre constituent une première révélation. Tu le sais désormais, c’est ta meilleure amie qui m’a dépucelé, elle s’était gardée de s’en vanter à l’époque, et tu découvres enfin, puisque tu n’avais pas lu ma lettre auparavant, comment elle m’a attiré dans son piège. Je t’ai préférée malgré ses efforts de séduction. Elle connaissait Léon avant son mariage, Léon et quelques autres: autant de pères putatifs d’Odile. Peux-tu m’assurer que tu ne savais pas? Serais-tu déjà assez pervertie pour souhaiter l’union d’Odile et de Jean, peut-être nés du même père. Pourras-tu coucher avec Léon, violeur et père incestueux? Tu aurais dû lire plus tôt. Regarde ta copine et Léon. Ils ne protestent pas pendant que tu lis ces horreurs. Ils ronronnent de volupté calme bien entretenue.
Tu lis.
Ta meilleure amie a dépucelé ton fils après avoir séduit ton futur mari. Elle fait l’amour avec toi, elle te procure son mari comme amant. Ce qui te fait le plus pleurer c’est d’apprendre que je vous ai vues et entendues toutes les deux au lit: Je suis au courant de votre complot pour me mettre hors jeu. Tu t’effondres. Annie réussit à s’en réjouir en riant haut et fort. Elle compte encore t’éblouir par l’étalage de ses turpitudes. Oui je sais tout et tu comprends pourquoi je n’ai plus envie de toi depuis un certain temps.

Tu ne peux pas avoir oublié cette longue séance de lecture et ce qui a suivi.
Léon dans les mains de Gaby, la prostituée, arrive au sommet de l’excitation, hurle que nous sommes de beaux salauds. Sa semence devait t’emplir le ventre, elle coule sur ses cuisses poilues. Ce n’est pas juste! Je fausse le jeu. Il espère en vain un temps de repos, car il ne désespère pas de te posséder séance tenante. La joie d’Annie le rassure. Sans doute lui a-t-elle réservé une surprise. Va arriver un moment où sa patience sera récompensée. Imprévisible Annie qui a su me retourner pour corser la partie. Sur une chaise, assise face à lui tu vois le sperme que tu convoitais il y a moins d’une heure se perdre une fois, deux fois, trois fois. Souviens-toi, tu l’avais en bouche, tu t’enivrais de son odeur, tu te gavais de sa chair, tu le caressais, tu partageais avec Annie ce sexe…
Mieux, il avait commencé à franchir l’entrée de ton vagin. La chaleur de son gland enflammait tes sens. Je te propose de donner un coup de main à Gaby. Car il est possible que mon texte te paraisse farfelu, incroyable et que tu souhaites malgré tous mes efforts te livrer à ces saturnales maintenant que tes complices ont échauffé ton sang. Tu me regardes, effarée. Annie ironise, te demande d’y aller, de me faire plaisir, de baiser sans retenue puisque l’occasion t’en est fournie par ton mari converti à la licence et à l’échangisme par son travail de sape. Tu pleures: de honte, de dépit ou d’envie. Pour la faire taire je connais un bon moyen.
-Ahmed, mets -la à genoux sur le sol, à côté du tapis, laisse la place à Igor et donne lui ta bite à nettoyer avec la bouche. Si elle mord, tu cognes.
Elle proteste, elle ne mordra pas, deux hommes bien membrés ne lui font pas peur, elle ne te demande pas de la secourir, au contraire, prends en de la graine. Vois comment une vraie femme se fait servir. Tu restes assise, muette. Du pied Igor sépare les deux genoux, il se baisse, se met en place, se masturbe un peu, fait grossir l’extrémité de sa monstrueuse massue.
-Un instant, Igor, Mimi a peut-être envie de tâter ton bâton de berger. Elle n’a jamais vu un gourdin de cette taille et se demande si elle pourrait prendre en bouche un engin de ce diamètre. Veux-tu approcher?
Je m’adresse à toi
-Mimi, compare. Qui a la plus grosse. Léon ou Igor. Tu veux le prendre en main et le sucer pour comparer?
Tu caches tes mains dans ton dos, tu pinces les lèvres. Tu pleures plus fort.
-Tu as le droit de choisir, ou il te baise ou il baise Annie. Que choisis-tu? Tu ne réponds pas? Cela signifie que tu n’oses pas avouer que tu le veux pour toi? Dans ce cas, on va coucher Annie sur le dos, te coucher sur elle et Igor vous prendra à tour de rôle, comme Léon l’aurait fait, un coup dans un trou, un coup dans l‘autre. Il trempera sa queue en toi, puis dans Annie, reviendra chez toi, retournera chez elle et ainsi de suite. Tu veux bien Igor?
-Ce sera un plaisir.
Je te tends la main pour te conduire sur le ventre de ta meilleure amie. Enfin tu te décides en voyant Ahmed disposer Annie sur le dos.
-Paul pitié, pas ça.
Je feins de ne pas comprendre.
-Tu refuses de soulager Annie? A deux contre son bélier, ce serait moins fatigant.
-Non, je ne veux pas coucher avec ces hommes. Fais ce que tu veux à Annie. Elle n’attend que ça. J’ai bien compris ta lettre. Je t’aime, pardonne mes erreurs.
Annie, allongée nous insulte, pourquoi la faisons-nous attendre, merde. Qu’ils viennent ces deux là, elle n’en fera qu’une bouchée. Quelle vulgarité. Gaby en est surprise, elle croyait ce vocabulaire réservé aux filles de sa profession.
-Bien, je prends note. Igor et Ahmed, sur ordre de Mimi, faites du bien à Annie.
La meilleure amie se retrouve à quatre pattes. Ahmed lui presse sur la mâchoire inférieure. La furie serre les dents. Ahmed a empoigné la tignasse, propose sa longue tige, elle l’accepte et il pénètre jusqu’à la luette. Igor se prépare à l’autre extrémité.
-Mimi, ouvre les yeux et regarde, sinon tu devras la remplacer. Ce que tu n’auras pas vu, tu le sentiras Voilà comment tu m’as transformé. Ma rage fait de moi un bourreau. La présence de ces mercenaires, leur entière soumission à mes ordres te donnent à réfléchir.
Le hurlement de douleur et de jouissance d’Annie t’effraye et me glace le sang. Igor vient d’introduire un quart du bélier, le plus gros, dans son vagin. Et pourtant, il avait bien dégagé les petites lèvres en les tirant vers l’extérieur, mais malgré la mouille héritée d’Ahmed, la pénétration s’est faite en forçant. Du coup elle a craché le bâillon d’Ahmed pour crier sa douleur. Puis elle défie Igor:
-Allez, fainéant, vas-y, fais moi jouir.
Léon proteste aussi, il ne faut pas abîmer Annie, Igor est trop gros! Par pure amitié je lui colle mon poing sur le nez. De quel droit ce porc, ce violeur odieux se permet-il de donner des ordres. Tu es horrifiée. Le sort de tes complices et amis n’est pas enviable, mes promesses de te livrer à mes hommes ne te rassurent pas. Ma soudaine violence te terrifie. Tu regardes avec effroi la poussée d’Igor, sa progression lente dans le conduit vaginal. Les grognements de douleur d’Annie étouffés par la bite qui lui bourre la bouche te font trembler de peur et de commisération
-Paul, arrête ça et je te serai fidèle.
Mes trois salariés me fixent. Ils seraient déçus de devoir s’arrêter au début de l’action. Je tiens à en avoir pour mon argent. Et ta fidélité, Mimi est sujette à caution. Tu me l’avais jurée dans la joie. Tu m’as trompé. Que vaudrait un serment donné dans les circonstances présentes. Donc je n’entends pas.
-Va soigner ta migraine, prends un cachet et dors. Ces deux là n’ont que ce qu’ils souhaitaient, ils ne sont pas au bout de leur satisfaction et je veux bien t’épargner le spectacle de ce qui les attend. Continuez, mes amis!
Tu n’as pas vu la suite, mais si tu n’as pas dormi tu as dû entendre des cris, des plaintes, des supplications; après les cris de révolte des demandes de pardon. J’avais laissé les portes ouvertes pour rester maître de la situation et te surveiller.
Léon, par crainte d’une crise cardiaque à la suite du traitement de faveur prodigué par Gaby, m’a supplié d’accepter un chèque pour le dédommagement de mes frais de location de services à condition que le supplice prenne fin immédiatement pour lui. Son chéquier était dans sa poche. J’ai refusé et Gaby pour le persuader a joint sa bouche à ses mains sur une bite en état de décrépitude. Il m’a fourni les codes d’accès à son compte en banque sur internet et j’ai effectué un virement de son livret A sur son compte chèque, puis j’ai procédé à un virement de ce compte sur notre compte joint. La somme m’a remboursé entièrement et comme ils avaient usé et peut-être abusé de toi, je t’ai payé tes services sur la base des tarifs de Gaby: nous pourrons partir en vacances, ensemble ou pas, selon ce que tu décideras. Nos comptes sont renfloués, c’est justice. Internet, c’est formidable.
Ils chercheront leur prochaine victime en dehors de ma maison.

Gaby m’a demandé de pouvoir reporter ses talents sur Annie. Il ne faut pas oublier la situation: Igor passe son écouvillon de canon mortier dans le vagin d’Annie et Ahmed joue à la brosse à dents. Annie s’est adaptée, ses cris de douleur deviennent plaintes de plaisir, son dos ondule de joie, la punition tourne à la récompense. Ses yeux me remercient. Le spectacle indigne le pauvre Léon; sa femme jouit devant lui et sans lui! Gaby ajoute sa touche au tableau: elle se couche sous Annie et se met à lécher le clitoris. Ses cheveux chatouillent les couilles d’Igor et pour l’exciter elle les saisit d’une main et les triture. Le taureau rendu furieux redouble d’ardeur, fait hurler Annie. Hurler n’est pas le mot, la trique d’Ahmed limite considérablement l’expression de son bonheur. La râpe du russe écorche ses chairs, Ahmed la bâillonne en collant ses bourses contre les lèvres. A trois ils ont du mal à maîtriser ses mouvements convulsifs. L’orgasme la secoue. Ils se retirent pour se concerter
Annie est traînée, toujours agenouillée, jusqu’au Voltaire où Léon se remet de ses émotions antérieures et rumine sa déception de ne pas t’avoir fourrée. Il vient d’apprendre qu’il n’est probablement pas le père d’Odile, que le viol n’est donc pas incestueux: la nouvelle peut soulager sa conscience s’il en a une. Mais il est aussi évident qu’il s’est fait berner par Annie quand elle a obtenu sa main en prétextant sa paternité, calendrier en main. Sa mine déconfite laisse voir le choc de ces révélations et la colère d’avoir en sus à payer de ses deniers les fausses bonnes idées de sa femme. Aussi quand Gaby plaque la bouche d’Annie sur la faillite de sa verge proteste-t-il et m’accuse-t-il de ne pas respecter ma parole. J’ai promis de le délivrer de Gaby, d’Igor et d’Ahmed. Mais si sa femme lui taille une pipe, ce n’est pas de mon ressort. Annie n’a pas le choix, sa tête obéit à des mains étrangères et la menace d’une privation de bite la rend docile.
Igor se place sous son ventre, tâtonne longuement à l’entrée de son vagin. Gaby le guide charitablement, ouvre au maximum la cramouille endommagée et l’aide à y retourner. Igor soulève ses fesses sous lesquelles Gaby glisse un épais coussin de canapé. Il est installé profondément dans le Mezytout de la jouisseuse et attend sans bouger. Gaby fait approcher Ahmed, réveille sa lance en quelques succions et manipulations de qualité professionnelle puis elle le pointe sur l’anus. S’il était encore vierge (j’ai des raisons d’en douter) il ne l’est plus. L’article d’Ahmed gagne en longueur ce qui lui manque en diamètre quand on le compare au marteau piqueur d’Igor. Pour l’instant Igor immobile se prélasse bien serré dans le con soumis. Raffermi par la gaine enveloppante des deux mains de Gaby, Ahmed perfore l’œil du trou du cul qui regarde le plafond. Annie a-t-elle rêvé pareil bonheur? Le mari occupe sa bouche, encore un peu mou, mais lui touche les amygdales, elle est élargie à la limite par une grosse, une énorme gaule de cheval et une tige longue lui sonde les intestins. La composition se met en mouvement. Léon impliqué dans l’affaire malgré lui sent les mouvements alternés de la tête lui redonner force et dimensions et des picotements insupportables le remplissent d’inquiétude. Il pleurniche:
-Je vais mourir.
Il s’endort assis, malgré les bons soins de sa femme. Je confie le trio à Gaby. Que faire du dormeur: Il n’est pas pensable de l’allonger dans mon lit, ni dans celui de Jean suffisamment souillé par sa mère et son amie. Il marche comme un somnambule vers la chambre d’amis où tu viens de t’endormir. Dans son état, il ne te fera aucun mal. Il est tombé à l’horizontale les yeux clos, nu à côté de toi nue. J’ai délié ses bras tellement il parait inoffensif, dans le cirage.
Ma salive est amère, le pire a été évité, les risques sont écartés, son zizi pend lamentable, tout petit, ridicule et inapte pour longtemps, il lui rentre dans le ventre! A l’autre bout de la maison Annie pousse un jappement de chienne. A mon arrivée je comprends pourquoi. Le trio a adopté une nouvelle tactique. Igor est couché. Annie descend en grimaçant sur la matraque, seins en pendules, penchée en avant pour regarder l’intromission du sexe à la place quittée par le cierge d’Ahmed. C’est une autre histoire, Gaby est accroupie, les yeux rivés sur la performance, donne des conseils à résonnances d’ordres. Enfin Annie est assise, plantée par derrière sur l‘énorme pieux russe. Gaby la pousse en arrière, omoplates au contact de la poitrine d’Igor, anus bouché par la bite d’amarrage et la chatte bâillant au-dessus. Sur un signe de l’experte, Ahmed lui pénètre la chagatte en bouillie, prend son temps pour trouver la bonne position. Gaby lui claque les fesses pour lancer le mouvement et me regarde pour obtenir un bravo. En réalité cet accouplement me soulève le cœur et je suis furieux de voir Annie, un peu sonnée, prendre de plus en plus de plaisir à cette effroyable double pénétration. En cuisine je bois une bière, en offre une à Gaby. Elle se croit obligée de me proposer une passe gratuite. Je la remercie mais décline l’offre.
Annie annonce un nouvel orgasme. J’en ai marre.
-Stop, vous allez reconduire la dame chez elle et vous pourrez continuer le cirque là-bas. Rhabillez-vous. Gaby reconduira Léon quand il tiendra debout. Merci les gars. Ils approchent de la porte, un cri inhumain les change en statues. Mimi, toi, tu hurles
-Au secours! Au secours!
Premier arrivé je ne vois d’abord qu’un amas de chairs. Léon est arrivé à grimper sur toi, s’est mis en place pour te pénétrer, mais reste immobile et t’écrase de ses 95 kilos. Tu hurles, tu essaies de le repousser, tu cries qu’il est mort en râlant son dernier souffle. Annie pleure, accuse le viagra cause de crises cardiaques. Gaby avec sang froid annonce qu’il n’a pas franchi la vulve.
Les deux gros bras te dégagent, j’appelle le SAMU. Le médecin diagnostique une crise cardiaque, procède à une injection et Léon part pour les urgences sans saluer. Tu trembles de tout ton corps, je te conduis dans notre lit. Je raccompagne nos hôtes.
Quand je veux te rejoindre, tu as fermé la porte à clé et tu me cries que tu ne veux plus jamais me voir. Tu as trop honte de toi, de moi. Un bon mari n’aurait pas laissé les choses se dégrader depuis longtemps.
Cela fait huit jours que ça dure. Tu te nourris quand je travaille, tu t’enfermes quand je suis là, tu m’accuses d’avoir essayé de te faire violer par Léon! C’est un comble. J’ai rencontré Ahmed. Avec Igor ils soignent le moral d’Annie et logent chez elle. Léon va quitter le service de réanimation pour partir en cure de repos. En attendant Annie a besoin de deux chauffeurs, pour sa voiture et pour son lit: ça roule. Mais Annie t’a certainement raconté tout ça sur ton portable. Je t’écris puisque tu refuses de m’écouter. Ton silence est insupportable. Si à 20 heures tu n’as pas ouvert ta porte, tu ne me verras plus. Adieu.


AJOUTE A LA DEMANDE DE MIMI

A 20 heures la clenche de la porte de la chambre résiste à ma main. Le coin de l’enveloppe du post scriptum qui dépassait dans le couloir a disparu. Donc tu as trouvé mes écrits. Mais tu te mures dans ton silence. Sur la table de la cuisine, j’ai versé une vingtaine de cachets: ceux que tu me faisais ingurgiter comme fortifiants et que tu appelais viagra avec Annie. J’ai ouvert un champagne, j’ai bu deux coupes. Je porte le quatrième cachet à la bouche, je savoure mes derniers instants. Tu me tombes dessus:
-Mais tu es fou. Pas plus de deux cachets de viagra par jour, tu veux aussi faire une crise cardiaque. Crache ça. Avale ce verre d’eau, ouvre la bouche, idiot!
Tu me surprends, tu plonges tes doigts dans ma bouche, au fond et tu provoques un vomissement chaotique et nauséabond. Les rejets aux relents de vinasse inondent la table, trempent mes vêtements. Je tousse, je crache, mes yeux pleurent. Le médecin arrive, calme ton débit de paroles, m’examine, prend en main le flacon, regarde un cachet.
-Qui vous a fourni ce médicament?
-Annie, une amie
-La femme de Léon? Evidemment, elle s’est procuré ça sur internet. Ce n’est pas du viagra. Vous avez été victimes d’une arnaque. Ce produit est pratiquement inoffensif; vous risquez juste une diarrhée carabinée si vous en avez gardé dans l’estomac. 12/8, votre T.A. est normale, même excellente. Permettez que j’examine votre sexe, je serais étonné qu’il ait subi une transformation, vous ne risquez pas d‘avoir une érection avec cette poudre. Il faudra consulter si vous avez des pannes. Allez-vous allonger sur votre lit. Madame veuillez dégager le corps du délit.
Trois semaines d’abstinence contredisent le pronostic du médecin. Entre tes doigts jaillit une gaule formidable.
-Oh, pas croyable!
Sa main quitte ta fesse. Il était prêt à te consoler et posait déjà ses marques en te pelotant par derrière. Il nous quitte en oubliant de réclamer ses honoraires. Porte close, tu te jettes sur Popol avec dévotion. Le téléphone sonne dans ta poche, tu regardes l’écran
Annie! Zut. Qu’elle aille se faire…

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