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Anniversaire de mariage 2

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Lue : 5513 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Un mari averti en vaut-il deux?

Elle se jette sur le couvre-lit, remonte ses seins en les pressant me demande un baiser sur les tétons durs comme pierre avant même que je ne les touche. Elle pousse ma tête vers le bas, s’ouvre jambes écartelées. Son clitoris est doux sous la langue, mais gonflé de façon anormale. Entre mes lèvres humides il ne grossit plus, mais la succion du petit bouton aux dimensions anormales fait hurler Marie. C’est oui, c’est bon, c’est trop bon, puis c’est trop fort, encore, encore. La moule pas encore attaquée s’entrouvre, bâille pour aspirer un membre attendu, appelle le mâle. En vain je farfouille avec mes doigts, l’envie folle d’être prise l’emporte. Marie me veut, je dois la pénétrer.
-Mets-moi ta bite.

D’habitude elle affuble la chose de mots doux charmants. Dans le vagin lubrifié à l’excès, je m’enfonce sans à coup. J’y baigne dans une mouille épaisse. Marie réclame, elle brûle, elle est bouillante, elle se tend pour faciliter la pénétration, elle crie que je dois aller plus profond, plus fort. Insatisfaite dans sa poursuite du plaisir, elle me veut sur le dos, m’enjambe et s’empale sur mon pieu. Des deux mains, elle tire sur les lèvres et crée un puits aux abords en forme de losange. Sa chatte en feu monte et descend sur mon sexe en fête. Elle tortille son bassin, en contorsions verticales, en secousses rapides d’avant en arrière, elle tourne sa vulve autour du bâton de la joie, elle suit un sens giratoire sans pouvoir en sortir, saute comme un cabri sur ma pine, frictionne mon bas ventre en y appuyant fortement son mont de vénus. Elle souffle, s’essouffle, s’échauffe, s’acharne. Elle rue des quatre fers, va finir par m’arracher le moyeu. Son délire mêle cris de joie et plaintes de douleur.
-Prends- moi en levrette mon amour!

Mais l’orgasme la frappe soudain comme la foudre, elle s’abat sur moi, tétanisée et hoquetant, la peau couverte de sueur. La transpiration crée des ruisselets dans ses cheveux. Son regard se vide. Elle s’endort allongée sur moi. Tout est consommé. Voilà ce que Sylvain s’était préparé, pour lui et ses copains, pas gêné de partager un sexe qui ne lui appartenait pas.

Marie s’est réveillée le lendemain vers dix-sept heures. Elle est hébétée, ne se souvient de rien, ni du bal, ni de Sylvain, ni de ses propres exigences amoureuses au retour. Vit-elle un blocage, son subconscient a-t-il construit un barrage dans sa mémoire ? Est-ce un effet secondaire de la drogue dont parlaient les complices? J’essaie de lui rappeler cette nuit agitée, son engouement pour les jeunes séducteurs, le coup des boissons servies hors notre présence, mon sommeil feint après l’échange des verres, sa conduite plus qu’étrange, son peu d’intérêt pour le mari endormi et son angoisse devant Sylvain frappé du même sommeil, ses bouderies avec moi et la joie étrange d’une femme indécente sur piste jusqu’à l’obscénité sous mes yeux et ses propos révélateurs, au retour, sur les activités des mains de l’individu promu au rang de danseur permanent, tripotant ses seins, chatouillant sans résistance son sexe. Enfin je rapporte les propos des amis de ce Sylvain qui l’a lutinée tout à loisir pour la préparer à l’amour en groupe. Ils avaient le projet de la sortir de la salle pendant que j’aurais dû être endormi. Elle croit que j’invente. Puis elle me fait remarquer que j’en ai habilement profité, que j’ai eu tout le bénéfice si elle a été avec moi aussi chaude, excitée, endiablée, ardente, endurante, exigeante insatiable et épuisante que je le raconte.
-Qui en a profité, mon coquin adoré? Tu aimerais recommencer, j’en suis sure.

Sa plaisanterie s’accompagne d’une pointe de doute qui m’exaspère. Elle ne veut pas reconnaître qu’elle a pu se livrer à ces excès. Ce n’est pas elle. Elle m’aime trop pour pouvoir imaginer s’être conduite de la sorte. Jamais de la vie elle n’aurait pris le risque d’aller se faire « sauter » par trois types à l’extérieur. Et pourtant…
A court d’arguments, je lui montre la petite boîte prélevée dans la veste de Sylvain: je deviens un détrousseur. Sa robe est déchirée: j’aurais pu la retenir autrement. Je commence à penser que sa perte de mémoire est pratique.
-Prends ton sac, explique-moi à quoi correspond le numéro de téléphone. Je suppose que tu as fourni le tien en retour.
-Cesse de te plaindre, c’est avec toi que j’ai fait l’amour, cochon vicieux, homme heureux.
Elle détourne la conversation, ouvre son sac, le renverse sur la table du salon.
-Tu m’as subtilisé mon poudrier en argent en fouillant mon sac? Voilà ce que je fais de ce numéro de téléphone, je le déchire; et cesse de me soupçonner d’infidélité. Où est mon poudrier?

Pour la première fois en presque quatorze années de mariage, je doute de la sincérité des sentiments de ma femme. La drogue n’explique pas tout. Il y a eu un avant, trop de danse avec les autres. Et pourtant au coucher elle est chatte, amoureuse et renouvelle en pleine conscience ses exploits sexuels de la veille, sans adjuvant cette fois

Ce mercredi, en fin d’après midi, je remarque sur le trottoir à proximité de la cabine téléphonique démodée une silhouette trop connue. Sylvain, un bouquet à la main, fait le pied de grue à proximité de mon domicile. Ma télécommande ouvre mes portes, je referme le garage. La distance et les vitres fumées ne lui ont pas permis d’identifier le conducteur de la voiture. Je laisse passer la première sonnerie de téléphone. Quelques instants plus tard, je décroche.
-C’est toi Marie? Bonjour, c’est Sylvain. Je rapporte un poudrier que tu as oublié au bal et je viens te demander de m’excuser pour ma faiblesse inexplicable pendant le bal. Peux-tu me recevoir?
J’imite une voix féminine,
-« Viens! »
C’est court, je ne veux pas me trahir. Marie fait des courses et ne reviendra pas immédiatement. Quand j’ouvre ma porte, l’oiseau est surpris de me trouver devant lui, ne sait pas quoi faire de son bouquet. Je le saisis, remercie pour Marie puisqu’il lui est certainement destiné, le porte dans la salle de bain, fais couler un robinet, discute comme si Marie était à sa toilette. Je reviens en souriant. L’autre frétille. Je le cuisine. Il profite de son mercredi après-midi. Notre numéro de téléphone lui a permis de trouver notre adresse sur internet. Il est en admiration devant ma femme, une femme d’exception. Il ignore que je sais à quel point il a été entreprenant avec la créature droguée par ses soins.

« Une femme d’exception »: J’approuve, je lui tire les vers du nez. Il reconnaît être amoureux de Marie. Ah! Oui, si je la quittais il ferait volontiers un bout de chemin avec elle. Marie est la femme idéale, sexy, intelligente, sociable, ouverte aux idées modernes. Il ose lui prêter un tempérament de feu, me confie, à moi le mari, son impression d’avoir rencontré un corps exigeant et souhaite m’entendre confirmer que c’est une amante formidable. Ce serait une maîtresse adorable pour un homme pas vraiment adepte du mariage, de ses contraintes et de ses chaînes inutiles.
-Le concubinage accorde des libertés appréciables, facilite les séparations en cas de lassitude. Avec bonheur il a constaté que la divine Marie partage ses idées en la matière.

Eh! Bien, il en sait plus sur les idées de Marie à propos du mariage et du concubinage que moi, le mari. En gros, si je lis entre les lignes, je suis ringard. La si moderne Marie s’est confiée, a livré ses pensées intimes sur le sexe, sur l’amour pendant qu’il lui triturait le clitoris sur la piste de danse et finalement elle lui a donné ses coordonnées. Sylvain peut la joindre. Elle a déchiré le papier de l’adresse téléphonique devant moi l’autre jour, ça ne lui a rien coûté. L’amoureux possédait de quoi prendre contact à mon insu. Mon attitude apparemment bienveillante fait tomber sa méfiance. Par maints détours, j’encourage l’amoureux à déclarer sa flamme au plus tôt. Je céderai ma femme si elle souhaite me quitter et partir avec lui vivre sa modernité. Qu’éclate la vérité. J’ai comme lui envie de savoir qui Marie aime vraiment. Il serait plutôt partisan d’un partage: Je resterais le mari, il serait le confident et l’amant; à moi les charges, à lui la jouissance!
-Sans vous retirer complètement, précise le dragueur, vous pourriez vous mettre momentanément en retrait. Comment dire…partager, de manière que Marie et moi puissions mieux nous connaître et nous apprécier, pour savoir si nous sommes véritablement faits pour vivre ensemble: vous resteriez son mari et elle et moi pourrions nous fréquenter sans briser nécessairement votre ménage.

Généreusement il propose un arrangement favorable à tout le monde sur la base d’un accord commun à Marie, à lui et à moi. Arrangement révisable. Le compromis devrait me satisfaire: ce type est fou. Il ne me demande pas de tenir la chandelle pendant qu’il fera l’amour à ma femme, il est délicat et saura ménager ma susceptibilité. Son audace est ahurissante, il s’adresse à moi comme à un vieux copain, serait presque sur le point de plaindre le mari en train de constater que l’épouse lui échappe et manifeste des besoins amoureux nouveaux.

Si je comprends, je ne suis plus dans la course, je suis hors jeu pour les plans cul, disqualifié par mon engourdissement dans des habitudes lassantes pour une femme aussi vivante. L’usure du temps, la monotonie de la vie conjugale, l’envie de découvrir de nouveaux horizons, de connaître toute l’étendue de la volupté dans les bras d’un jeune homme fort et habile expliqueraient les encouragements qu’elle n’a cessé de lui prodiguer en dansant. Il parle en conquérant apprécié et invité à reprendre contact avec la belle subjuguée. Magnanime il estime que je dois me tenir pour un homme heureux, car il a refusé de suivre mon épouse à l’extérieur de la salle de bal pour faire ce que je peux aisément imaginer. Il n’a pas voulu abuser de sa disponibilité parce qu’il n’avait pas mesuré à quel point elle s’était enamourée en si peu de temps. Ce comportement surprenant serait d’ailleurs le signe évident que Marie s’ennuie avec moi. Ou Marie lui a réellement fait ces révélations et souhaite me quitter, ou le jeune audacieux a mal interprété des propos lâchés sous l’emprise d’une drogue et a pris sa vessie pour une lanterne. D’ailleurs je sais qui voulait sortir de la salle de bal. Ce garçon a sa façon toute particulière de raconter l’événement. Ce n’est pas à moi de le dissuader. J’abonde dans le sens du « vainqueur » autoproclamé, je lui laisse ses illusions. Je pousse même à la roue:
-C’est clair. Marie devrait apprécier votre plan, si elle vous a déclaré être favorable à l’idée de partage. Vous avez bien de la chance, cher ami de ma femme.

Il se rengorge
- Sans vouloir vous offenser, j’ai senti en dansant avec Marie une réelle complicité des corps, et sans me vanter je crois qu’elle était prête à passer un bon moment avec moi, si vous ne vous étiez pas endormi. Je n’ai pas voulu profiter de votre moment de faiblesse pour abuser d’elle. Au moment crucial, j’ai fait appel à la tendresse qu’elle conservait pour son mari en détresse. Elle était sur le point de m’entraîner à l’extérieur pour se donner à moi, je l‘ai déjà dit. Ses roucoulements et ses marques d’affection ne permettaient pas d’en douter. Dans d’autres circonstances elle aurait insisté davantage pour tenter l’expérience, elle me l’a dit et redit, mais elle m’a par la suite laissé des espoirs. Hélas j’ai eu ensuite une faiblesse, que j’attribue au coup de foudre réciproque qui nous a frappés.
-Si donc elle vous a donné de telles espérances, vous auriez tort de tergiverser: Foncez, exposez lui vos projets audacieux et originaux, que nous soyons tous deux informés sur notre avenir. L’expérience est nouvelle pour moi, je croyais vivre avec une femme fidèle, sage bien qu’ardente dans notre lit. Je découvre qu’elle était sur le point de se livrer à vous, en dehors du bal, dans des conditions inhabituelles, un peu à la sauvette, dans un coin d‘ombre, contre un arbre ou dans l‘herbe. Oui, comme vous le dites, je l’imagine appuyée à un mur et offrant son sexe au votre ou à celui de vos deux compères, ou couchée sur le capot d’une voiture, prise par vous, hurlant de plaisir. Ciel, vous me la montrez sous un jour nouveau, femelle en chaleur, telle que jamais je ne me l’étais représentée.

-Elle ne s’intéressait qu’à moi. Mes deux collègues ne comptaient pas pour elle.
-Ses idées modernes me condamnent. Le mariage lui pèse, elle veut des liens moins contraignants. Au lieu d’un ancrage fixe, elle cherche une succession d’aventures variées avec des compagnons nouveaux, à la vigueur éveillée par la chance de posséder une « femme d’exception » comme vous le dites si justement. Il lui faut du frais, du jeune, du fort, du costaud, de l‘exceptionnel, de l’ardent. Votre flamme saura la combler. Bonne chance. Son ouverture d’esprit aux idées modernes, telle qu’elle vous l’a confiée sans jamais m’en parler, ébranle mes certitudes et sonne le glas de son amour pour moi. Précipitez-vous dans la brèche. Il lui sera plus facile de vous proclamer son amour que de me faire de la peine en m’annonçant la fin de notre mariage. Dès son apparition, je vous laisserai en tête à tête. Profitez-en pour l’enlever. Mais gardez à l’esprit que je l’aimerai toujours, même si elle me délaisse. Merci de m’avoir parlé aussi franchement et de m’avoir fait découvrir une nouvelle facette de mon épouse. Je comprends mieux le flou entre elle et moi au début du bal. Toutefois ne craignez-vous pas qu’elle veuille un jour partager avec d’autres que moi et vous les joies de la vie et de l’amour? La voici, allez l’accueillir au jardin. Attendez, vos fleurs vont la mettre dans les meilleures dispositions. Un dernier mot: Si vous l’emportez ce soir, je serai malheureux, mais je réglerai les questions financières à l’amiable. Marie gagne bien sa vie, elle ne sera pas un fardeau pour qui me l’enlèvera.
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Histoire de Veilleur

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