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Anniversaire de mariage 4

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Lue : 2506 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Mari humilié

-Tu te demandes ce que Sylvain fait ici en cette occasion? C’est tout simple. Il t’aurait révélé mes idées sur le mariage et le concubinage et déclaré qu‘il est follement amoureux de moi. Tu lui aurais conseillé de déclarer sa flamme sans tarder. S’il n’est pas l’élu, il accepterait un plan de partage de ta femme entre toi et lui, par roulement. Tu lui as suggéré d’obtenir le plus rapidement possible la communication de mes décisions sur le sujet. J’ai donc décidé de vous réunir ce soir autour d’un bon repas et de vous indiquer mon choix. Il vous faudra passer par une série d’épreuves avant de savoir quel sera mon préféré, ou si l’idée de partage m’agrée. Si je choisis de faire l’amour ce soir avec l’un ou avec l’autre il saura qu’il m’a gagnée. Si je veux expérimenter le partage je m’offrirai aux deux, mais successivement. Ainsi le premier au lit avec moi devra attendre que je refuse de recevoir l’autre avant d’être certain de me posséder seul. Comme vous attendez tous deux de pouvoir m’aimer, il serait possible de choisir une autre solution avec votre accord: j’imagine que nous pourrions vivre à trois sous le même toit, dans la même chambre et dans un lit plus grand à acheter. Débutons par l’apéritif au champagne pour clore ces quatorze ans de vie commune. A notre santé.

Quelle humiliation pour l’époux que cette mise en balance! La coupe est pleine! Je bous de devoir subir des comparaisons avec ce morveux de dix ans mon cadet. Je suis malheureux de constater que Marie a besoin de nous soumettre à des épreuves pour se déterminer. Sylvain avait raison de partager ses idées modernes dont j’ignorais tout. Si Marie hésite, je suis par avance le vaincu. Quitte à passer pour vieux jeu, je n’admettrai aucun partage, sauf celui de notre table ce soir.
-Le champagne est bien frais, c’est une noble cuvée digne d’un anniversaire. Mais avant de me soumettre à tes épreuves, j’ai une question à formuler. Puis-je m’isoler avec Sylvain deux minutes?
-Oui, je veux bien. Sylvain veux-tu accompagner Paul.

-Cher concurrent, si tu peux me certifier que tu as couché avec Marie pendant mon absence, elle est à toi, sans partage, tu en disposes immédiatement, sans passer par des épreuves.
-Hélas, je n’ai reçu d’elle aucun signe, aucun avantage physique. A mes demandes pressantes, elle a répondu invariablement par un renvoi à cette séance de qualification. Elle tenait à te remercier pour votre longue vie commune avant de déclarer son choix. Mais je suis optimiste, elle a brisé les tabous et je vais bénéficier de son revirement et de son désir de changement.
-Si tu avais insisté, elle t’aurait donné une indication. Quoi, en deux heures, tu n’as pas même réussi à lui rouler une pelle? Tu me rends de l’espoir.

Le repas du soir est simple, comme d‘habitude. Sylvain surenchérit avec volubilité, couvre la cuisinière d’éloges répétés à chaque plat. Pour commencer les épreuves, Sylvain et moi devons nous mettre en caleçon. Assis nous avons été aveuglés par un bandeau solidement fixé par Marie. Elle vient le retirer et se montre vêtue uniquement d’un joli string, fière d’étaler sous les yeux admiratifs de l’intrus ses si jolis seins. Elle prend des poses, de face, de profil, de dos J’ai souri à l’agréable spectacle. L’autre s’émerveille, vante l’harmonie de ce corps épanoui, arrivé au summum de sa grâce. Il bave ses compliments. Marie boit ses flatteries avec joie. L’angoisse me serre la gorge.
-Je ne veux pas de bousculade. Si vous me permettez de vous attacher à votre chaise, j’enlève le bas.
- Oh! Oui, de grâce, attache-moi vite que je voie enfin ton sexe merveilleux. Quel bonheur!

Il l’a demandé haut et fort. Marie lui fait plaisir. Elle ne ménage pas le rouleau de toile souple collante. Sylvain est scotché aux barreaux de chaise, jambes nouées, pieds à dix centimètres du sol, bras liés dans le dos entre eux et à la chaise.
-Et toi Paul?
-Pas question de m’attacher, je ne suis pas un sauvage, je ne me jetterai pas sur une femme que je vois nue depuis quatorze ans. Pas question! Pas question de te partager, pas question de faire ménage à trois, pas question de te prendre en sandwich. Tes idées modernes me révulsent. Cet anniversaire me dégoûte. Va faire la chienne hors de cette maison si ça te chante. Ton cirque est humiliant, ton hésitation est humiliante, j’en ai marre et je vais me coucher.
-Attends, s’il te plaît, j’ai fait une promesse, je vais la tenir. Ne me dis pas que ma nudité te fait peur ou qu’elle te dégoûte.

Mon coup d’éclat réjouit Sylvain. Il réclame son dû, il veut voir la partie cachée du corps de Marie. Il sait que je viens de perdre la partie. Marie tient mon bras, se penche, baisse sa culotte sans gêne devant cet étranger. Elle pivote sur la pointe des pieds joints. Je suis debout, outré, sur le point de les laisser à leurs turpitudes. Marie pose ses talons sur le sol, me fait face, se jette à mon cou et me donne un fougueux baiser, un baiser d’amour, long, voluptueux. Je n’en reviens pas.
-Comment as-tu pu douter de moi? Quatorze années de mariage c’est un capital, quatorze années d’amour tracent le chemin à suivre. Je t’aime, mais toi, m’aimes-tu encore? Je suis un peu rassurée par ta révolte. J’ai eu si peur de ta fuite, de ton silence et de ta quasi indifférence depuis ton retour. Mais ce jeune Sylvain est touchant de naïveté. Je veux le récompenser en lui offrant le spectacle de notre amour.
Ses deux mains font tomber mon caleçon, dévoilent mon sexe tendu et pas si mal que ça.
-Regarde petit, je chéris cette verge que j’honore depuis quatorze ans, je la caresse et je la gâte. Mais la tienne ne prendra pas sa place. Je ne connais pas de façon plus enivrante de célébrer un anniversaire de mariage que de faire l’amour avec mon mari. Voudrais-tu y assister?

Je proteste vigoureusement:
-Marie, pas de partage!
-Tu vois, Paul ne veut pas t’inviter. Tu as entendu, il ne veut pas partager. Es-tu sportif?
-Détache-moi et je te le prouve sur l’heure!
-Non, je te détache. Va cacher ta gaule, je n’en veux pas. Puisque tu es sportif tu vas pouvoir parcourir à pieds les quinze kilomètres jusqu’à ton village. En route réfléchis. Le GHB plongé et dissous dans de l’alcool s’il désinhibe en produisant une sensation de chaleur, s’il affaiblit la résistance aux entreprises amoureuses, ne fait pas naître l’amour. Le somnifère destiné à Paul t’a endormi, la drogue sur laquelle tu comptais pour abuser de moi avec tes copains t’a déconsidéré à mes yeux. Si elle a un effet aphrodisiaque, seul Paul en a bénéficié. Habille-toi et tchao, esprit moderne.

Marie toujours nue me demande de raccompagner jusqu’à la porte un Sylvain déconfit, qui vient d’entendre le verdict. Pour avoir tenté de m’endormir et de la droguer dans le but évident d’abuser d‘elle lors du bal de samedi, il est condamné à ne plus jamais la revoir. Il faut dire qu’il a vu l’essentiel de ce que peut montrer une femme, et beaucoup trop selon moi. Marie déambulait en tenue d’Ève sous ses yeux, au moment de le libérer, pour défaire les liens. Accroupie, pieds rapprochés mais genoux ouverts, elle a tourné autour de la chaise où elle l’avait immobilisé avec son accord. C’était déjà offrir une vue particulière à un étranger. Malheureusement elle a heurté un obstacle et, de la position accroupie, elle est tombée sur le dos, battant des pieds et des jambes avant que je ne l’aide à se relever, juste en face de Sylvain placé aux premières loges pour contempler le sexe convoité qu’elle venait de lui interdire et en fixer en mémoire le dessin et l‘odeur fauve. Aurait-elle pu faire mieux pour le rendre fou de désir, si elle en avait eu l’intention?

Je suppose qu’elle est délibérément partie en arrière afin de punir l’insolent en lui exposant l’objet de sa chasse de façon impudique destinée à lui donner des regrets. Mais je suis heureux de la conclusion de cette affaire et je me moque de savoir qu’il s’est rincé l’œil en observant les seins, les fesses ou le sexe ainsi étalés de mon épouse. Elle a proclamé que j’étais son amour, le seul depuis quatorze ans. Il ne m’est même pas passé par l’esprit que cette culbute les quatre fers en l’air et le sexe bien visible peut être un cadeau ou une promesse de jours meilleurs. A l’heure où je rédige cette histoire, je suis persuadé que cette chute, le battement des jambes dans le vide et l’exposition crue de son intimité avaient une signification spéciale, étaient une invitation à ne pas désespérer.

Mon cauchemar est fini, je ferme ma porte derrière le vaincu. Je retrouve Marie au salon. A moi, elle n’a rien à cacher et puisque nous avons commencé à fêter, nous mettons à profit la débandade du séducteur insatisfait et le retour à une intimité retrouvée. A mon tour de me mettre en tenue d’Adam. Marie a ouvert le cadeau de circonstance, trouve que j’ai fait une folie mais va vite s’habiller du collier et sautille, imprimant à sa croupe et à sa poitrine le même sautillement qu’au bijou. J’ai droit à un baiser de remerciement à la hauteur de la valeur de l’ornement apprécié, et dans la paume de sa main mes bijoux de famille se gonflent d’orgueil. Marie s’assied sur mes genoux, son postérieur chaud conforte mon envie de lui faire l’amour dans le climat serein rétabli. Elle me tend une coupe de champagne, lève la sienne à l’avenir de notre couple uni. La coupe vidée, elle me tire avec impatience sur notre lit. Tout à l‘heure, Sylvain a vu, moi j’embrasse la vulve parfumée, je pénètre le vagin terriblement huilé, je possède le corps chaud. Je mets en scène les divagations érotiques qui m’ont torturé pendant la séance de cinéma. Les émotions ont été rudes, je me détends en faisant monter le plaisir de Marie. Elle m’aime, elle scrute amoureusement mon regard, son sourire affectueux me comble de bonheur. Une étincelle passe dans ses yeux, m’éblouit, je ressens une grosse fatigue, mes paupières se ferment, je lutte contre le sommeil qui gâcherait nos retrouvailles…

Le réveil matin sonne, il me fait mal au crâne. Mes paupières sont lourdes, j’émerge difficilement d’un sommeil de plomb sans rêve. Je reçois un baiser savoureux de Marie. Elle a mal dormi, et moi? Elle me remercie: Je me suis surpassé; que ferait-elle d‘un amant, son mari est un satyre à pieds et à sexe de bouc, inépuisable ou presque. Je lui ai raboté le vagin comme jamais, elle a connu des délires indescriptibles. Je suis son héros. Elle était en pleine ascension vers un nième orgasme fulgurant quand j’ai été victime, dit-elle, d’un petit malaise sur elle, encore palpitant en elle. C’est, pense-t-elle, le résultat probable de mon énervement des derniers jours à cause de cet imbécile de Sylvain. Notre fête de l’amour s’est éteinte quand, comblée et au bord de l‘épuisement, elle a constaté que mes excès m‘avaient endormi. Le plus important n’est-il pas que je sois en bonne santé. Je devrais prendre du repos et ne pas abuser des bonnes choses, modérer mes transports amoureux pendant un certain temps. Marie tient à me garder en vie.

Ce jeudi matin, le salon est parfaitement rangé, les traces du repas et des libations de la veille se sont envolées comme par enchantement. Devant ma stupéfaction Marie explique:
-Contrairement à toi, j’ai eu du mal à m’endormir. J’ai essayé de me fatiguer en terminant seule l’ouvrage que tu avais mis en route, je me suis chatouillée, masturbée à pleine main, je me suis donné un orgasme assez faible, sans comparaison avec ceux que tu venais de me procurer. Mes doigts m’ont déçue. J’ai donc mis mon insomnie à profit pour faire du rangement.

Je suis chagrin de n’avoir gardé absolument aucun souvenir de mes exploits nocturnes. Mon sexe n’a gardé aucune trace, pas d’irritation ou de rougeur imputable à des abus. Je n’ai rien entendu, ni bruits de vaisselle, ni ronronnement de l’aspirateur, c’est étonnant. Plus étonnant encore, mon érection matinale est impressionnante.
-Marie, tu ne peux pas me laisser partir au travail dans cet état. Apporte-moi ton aide.
-Mais tu es atteint de priapisme. Après tes exploits de la nuit, c’est ahurissant. Viens que je te prenne en mains; je vais te faire cracher ton trop plein, ça t’évitera de violer une collègue ou une contribuable au bureau.
-Tu as peur de me prendre en bouche? Je sors de la douche, mon zizi est propre, pompe-moi.

La brave épouse s’accroupit devant moi, comme elle l’avait fait pour détacher Sylvain. En baissant les yeux, je vois la toison brune entre les cuisses écartées comme lui a pu la contempler avant de nous quitter. Oh! Elle n’a pas de culotte, elle irait travailler dans cette tenue, cul nu? Les contribuables qui viendront la consulter, avec un peu de sens de l’observation, vont découvrir sous la table un minou troublant tassé sur fond de chaise. Avec malice je fais un pas en avant. Comme hier Marie part en arrière, fait la culbute, se retrouve sur le dos, les quatre fers en l’air, bat des jambes pour se redresser et fait remonter l’ourlet de sa minijupe. La vue de son frifri fait courir dans ma colonne vertébrale une décharge électrique, je me jette sur ce ventre découvert, provocant, mes genoux entre ses genoux et ma queue durcie par les caresses de Marie va buter contre la vulve fraîche de ma « sans culotte».
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Histoire de Veilleur

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