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Anniversaire de mariage 5

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Lue : 1920 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Cruelle révélation

-Mais qu’est-ce qui te prend? Tu deviens fou, tu ne vas pas me sauter comme un sauvage. Tu vas me dépeigner et nous allons être en retard au travail. Paul, non.
Elle gigote pour me désarçonner. Trop tard, j’ai ouvert la crevasse et je me projette violemment dans ce con ouvert aux courants d’air. Elle mollit, me reçoit, son postérieur quitte la laine épaisse du tapis, son ventre se tend vers moi. Je me fais des souvenirs pour remplacer ceux que mon endormissement m’a volés. Marie ne tarde pas à gémir, se met à trembler et part de façon aussi inattendue que rapide dans des exclamations, des appels puis se laisse retomber inerte. Habituellement il lui faut des préliminaires, elle sait patienter. Veut-elle se débarrasser de moi en simulant? Je prolonge mes efforts, n’entends pas son rappel de l’heure. Je ramène ses pieds sur mes épaules, je me pousse en avant. Dans cette position mon pilon frappe verticalement la cavité, j’emballe la cadence, cogne mon pubis contre la vulve enflée et écartelée par la position, je me sens grossir dans la grotte. Marie entonne son hymne au plaisir. Cette fois elle chante plus juste. Je la mènerai au sommet, les contractions de son vagin ne me trompent pas. Je jubile, notre quatorzième anniversaire de mariage lui laissera un souvenir impérissable: il y a bien longtemps que je ne m’étais pas jeté sur elle pour la baiser sur le tapis du salon. Le tapis reçoit le sperme qui déborde du sexe béni. Il faudra le nettoyer à la vapeur.
-Vraiment, mon chéri, tu n’as pas fini de m’étonner. Merci, la surprise a été merveilleuse.
-Quand j’ai vu ton cul nu, je n’ai pas pu résister.
-Oh! Comment ai-je fait pour oublier ma culotte? Tu m’as tellement malmenée hier soir. Vite, je vais réparer cet oubli. Si d autres réagissent comme toi, je risque de me faire violer à longueur de journée.
Marie est heureuse, elle me gratifie d’un baiser de femme amoureuse.

Vers neuf heures trente, une jeune femme frappe à la porte de mon bureau. C’est une très jeune collègue, déjà croisée et que j’ai vue l’une ou l’autre fois en conversation avec Marie. Elle me signale que mon épouse vient de partir pour notre maison, victime d’une forte migraine. Son chef la voyant en pleurs l’a renvoyée. Il serait bon que je m’en inquiète, dit Margot.
-Si vous le voulez, je peux vous accompagner à votre domicile. Vous pourriez avoir besoin d’aide pour appeler un médecin, pour aller à la pharmacie. Je pourrais aussi la veiller si vous deviez vous absenter de la maison. J’aime beaucoup Marie et je m’inquiète pour elle.

Le temps de ranger mes affaires, de poser une permission et de régulariser la situation de Margot, nous roulons vers ma maison. Je suis trop préoccupé pour m’intéresser à la jeune femme. Elle est assise à côté de moi, ombre neutre, discrète, silencieuse. Sa sollicitude pour ma femme, le souci qu’elle a montré pour me seconder, sont touchants. Souvent les rivalités et les jalousies rendent égoïste. Voilà une fille soucieuse de la santé des autres.

Les deux places de stationnement dans mon jardin sont occupées. Ah! ? Par force je m’arrête derrière la haie de thuyas. Une petite voiture rouge occupe ma place. Un médecin serait présent? Non, il n’y a pas de caducée sur le pare-brise. Marie utilise la clé de la porte avant, je passe par la buanderie comme toujours. De l’entrée nous arrivons au salon. Le bel ordonnancement du matin a disparu. Quatre chaussures dont une paire de 43 ou 44 de pointure, blouse, soutien-gorge, jupe ont été négligemment éparpillés sur le sol en une ligne irrégulière dirigée vers notre chambre, comme dans un jeu de piste. Que fait là près du string en boule ce jeans inconnu? Je n’en porte pas et je ne laisse pas traîner mes affaires au salon. Cette voiture, ce jean: l’explication ne tarde pas. Marie est au lit, je l’entends gémir. Son mal est plus grave que je ne le pensais.
-Oh! Heu… Ho, heu; Ho! Ho! Haaaaa! Ouiiihi.
Je retiens par la main Margot prête à voler au secours de la malade. Je connais ce chant, je l’ai entendu ce matin, je connais la différence entre des cris de douleur et les exclamations de volupté de Marie. Elle pousse la chansonnette, elle gravit les pentes du plaisir. Ses onomatopées sont de plus en plus bruyantes, toujours plus expressives, précipitées et haletantes, longues plaintes secouées de tremblements, trémolos et inspirations profondes, mêlées d’injonctions:
-Oh! Sylvain, vas-y, frappe plus fort, prends moi, baise-moi. Encore, ooooh! Je n’en peux plus. Viens avec moi. Han, han,hhehe.

Cette expression de son plaisir, aussi étrange que soit la situation, me fait frissonner, je sens ma verge en mouvement, malgré ma rage.
-Ça vient mon amour, je pars, heu. Prends ça, c’est cadeau. Je t’aime, han…..!

Je tire mon accompagnatrice vers la chambre mitoyenne, un index sur la bouche pour réclamer le silence. Les amants tout à leur passion ne peuvent pas nous entendre, alors que leurs envolées me brisent les oreilles et le cœur. Je n’ai pas besoin d’un dessin pour comprendre ce qui se passe de l’autre côté de la mince paroi.
-O, mon chéri, j’ai cru que tu allais me tuer. Quelle entrée en matière, quelle fougue et quelle vigueur sensationnelle. Tu es un étalon, donne moi ta bouche. …Je demande une suspension. Laisse-moi respirer quelques minutes. Hier, avant le retour de Paul, tu m’avais éblouie par ton ardeur et ton savoir faire. Là, tu t’es conduit comme un sauvage… Tu m’as épuisée…Tu n’as pas pris le temps de mettre un préservatif. Il faut que je fasse un peu de toilette.
-Va, je te suis, j’adore regarder tes fesses animées quand tu te déplaces. Ce mouvement alterné d’une fesse qui gonfle quand l’autre se dérobe me fascine. Tu as un cul magique. Avance
-Non, arrête, tu me chatouilles.
-Ton cul est bien susceptible. Un doigt sur la raie ne doit pas te faire bondir comme une chèvre en chaleur. Tu as aimé mon doigt dans le cul au moment de jouir, je m’en doutais. Quand je t’enculerai tu jouiras encore mieux. Tu verras, il n’y a rien de meilleur, une bite dans le cul, un doigt sur le clitoris et deux ou trois autres dans la cramouille. Je te promets des expériences inédites et formidablement explosives, des révélations révolutionnaires dont tu ne pourras plus te passer.

Marie protège son sexe d’une main, elle ne veut pas perdre en route le sperme qui l’habite soit pour le garder soit pour ne pas tacher le parterre. Elle avance à petits pas pressés en direction de la salle de bain. De la main droite elle repousse les mains baladeuses de Sylvain qui essaie de pincer le gras des fesses. Elle rit et en même temps elle proteste pour la forme. Je pousse la porte, ils pourraient nous voir au retour en marchant en direction des chambres. Porte fermée les échos de leur chahut arrivent à nous. Margot est dans mon dos. Elle se mord les doigts, des larmes glissent sur ses joues rouges de confusion.
-Excusez-moi. Je ne savais pas J’ai vraiment cru qu’elle était malade. Je n’aurais pas dû vous attirer ici. Vous…?
-Marie est malade, mais elle a trouvé le remède qui la guérit.
-Vous laissez faire? Ce matin elle me racontait qu’elle avait organisé une belle fête pour votre anniversaire de mariage. Elle semblait si amoureuse de vous.
-Effectivement, hier elle s’est fait plaisir. Vous avez entendu, ils avaient déjà fait l’amour avant mon retour et avant le repas. Ensuite pour donner le change, elle a chassé son amant, motifs à l‘appui. Et j’ai cru qu’elle m’aimait. Chut, ils reviennent.

Margot a mis une main dans la mienne, je lui fais pitié. Le chahut renaît sur le lit Ils font du bruit, Marie rit sous les chatouilles et agaceries, amuse Sylvain.
-Non, pas de suçons ni de bleus, Paul les verrait. Plutôt deux doigts, fouille ma zézette, hum, oui vite, oh! Embrasse-moi…fort, je vais gicler.
-Tu ne m’as pas dit comment vous avez terminé hier soir, demande l’amant.
-Vite en réalité. Pendant que Paul te mettait à la porte, fier de t’avoir vaincu, je lui ai préparée une coupe de champagne au somnifère dissous, je me suis posée sur ses genoux, j’ai joué du popotin nu et nous avons trinqué. Il ne s’est douté de rien. J’ai des cachets pour mon usage personnel dans ma pharmacie: j’ai doublé la dose pour un effet rapide et durable. A l’avenir je les utiliserai quand je n’aurai pas envie de lui. Pour conclure je l’ai mené au lit. Comme tu es partisan du partage, il a reçu des caresses, nous avons fait l’amour, j’allais jouir quand il s’est endormi sur moi. Sa queue a mis quelques minutes à se rétracter et à sortir de mon vagin. J’ai couru dans la rue dans l’espoir que tu ne serais pas parti. Si tu avais attendu nous aurions pu nous aimer toute la nuit. Paul a dormi comme un loir.
-Ce n’est pas grave, je suis là et j’ai encore une heure pour te serrer dans mes bras. Tu veux venir placer ta vulve au-dessus de ma bouche, je veux te lécher, puis tu iras t’asseoir sur mon piquet et tu me referas la danse autour de mon totem, comme tu l’as si bien exécutée hier.

Margot me secoue.
-Vous n’allez pas les séparer et casser la figure à ce salaud? Il mérite une sacrée correction.
-Lui est dans son rôle de séducteur, il est célibataire. C’est Marie la coupable, l‘adultère est de son fait, elle oublie ses engagements. Elle s’est bien moquée de moi. J’en suis malade. Il faut que je réfléchisse à la conduite à tenir. Je devrais…
Quoi au fait?
-J’entends grincer le sommier. Nous sommes rassurés sur sa santé, nous allons partir.

Marie arrête sa cavalcade, toujours plantée sur la hampe du garçon. Un coup d’œil à la porte m’a permis de voir ses reins se creuser et sa croupe s’élever autour de la queue prise dans l’écrin large de la vulve béante, distendue par la position des cuisses à cheval sur celles de mon rival et par la courbure forcée de la bite malmenée. Et là, retombée vulve contre poils du pubis de Sylvain, reprenant son souffle avant de se démener de plus belle, Marie fait des plans:
-Chéri, nous ne pourrons pas toujours nous voir ici, en raison des horaires de travail de Paul. Je ne peux pas m’absenter du boulot chaque jour pour raison de santé. Samedi je ferai des courses. On pourrait se retrouver à l’hôtel de la forêt. Ça te va? Je prendrai une chambre et je t’attendrai à l’entrée. Tâche d’être là à quatorze heures.
-Comme quatorze ans de mariage? Tu aimes les symboles, prends donc aussi la chambre quatorze si elle est libre. Ca te rappellera tes quatorze longues années de prisonnière d’un mari ennuyeux. Mais on peut aussi s’aimer dans la nature ou dans ta voiture: ça me plairait assez de varier, de te faire voir les feuilles à l’envers, de te voir assise sur un levier de vitesse ou une poignée de frein, de te prendre allongée sur le capot de ta voiture.
-Je préfère le confort, disposer d’un bidet et d’une douche. Paul ne doit pas savoir que j’ai transpiré avec toi. Je me méfie, il a un odorat assez fin. Une fois j’ai failli me faire prendre. Oh! J’aime sentir ta jeune bite dans mon con, oui bouge lentement à l’intérieur, c’est si bon.
--Tu as failli te faire attraper? Quand, avec un autre? Tu me trompes?
-Hé doucement, tu prétends aimer les partages, tu n’as pas le droit d’être jaloux. Et puis c’est de l’histoire ancienne.
-Tu as eu d’autres amants? Quand, combien, tu en as encore?
- Cesse de jouer au jaloux. J’ai toujours eu un amant, avant le mariage et depuis. Combien? Il faudra que je les compte un jour. Mais je ne pourrais pas me contenter de la monogamie. Il me faut du sexe pour être épanouie.
-Et Paul ne l’a jamais remarqué?
-Je ne pense pas. Il m’aime aveuglément. C’est pour ça que je l’apprécie, c’est le mari idéal. Il est si gentil. Des fois j’ai des remords. Il baise bien, aussi bien et mieux que toi. J’ai le diable dans le sexe, je veux de la nouveauté, du changement Quand tu seras fatigué de moi, je chercherai un consolateur. Mais Paul sera toujours là, c‘est mon fil rouge. Il m’est aussi indispensable que l’air. Dommage qu’il ne veuille pas me partager.
-Je t’aimerai toujours!

-C’est-ce qu’on dit au début. Pour nos rendez-vous, je vais trouver un endroit à l’abri des regards. Une jeune collègue habite un petit appartement dans les environs. Je la crois amoureuse de moi. Je vais l’entreprendre. Des bisous, un broute minou, un soixante-neuf, des chattes en contact, du parfum, je sais comment l’embobiner. Tu devras me partager avec elle. Elle ne voudra pas être privée de bisous, de caresses et de jeux lesbiens. Et nous pourrons appliquer avec elle ta théorie du partage, tu pourras te la faire devant moi et avec moi. Ça te chante, voyou de mon cœur? Elle pourra nous donner ses clés pour des rencontres.
-Tu aimes les femmes en plus? Je devrai te partager avec une lesbienne! Bof, si tu crois que ça peut marcher, d‘accord, mais j‘assisterai à vos coucheries. Il faut s’instruire. Et si on s’amusait encore un peu? Tes mains me font bander.
-D’accord, tiens mes hanches, ta queue va aimer ma danse autour du manche. Après je retournerai bosser, guérie par une matinée de repos. J‘espère que Paul n‘aura pas remarqué mon absence. Rien de meilleur pour guérir les migraines qu’une goulée visqueuse pompée à la source. Ah! Aujourd’hui je veux goûter ton sperme. Chacun a sa saveur. Je reconnaîtrais n’importe lequel de mes amants en buvant son jus. Fouette cocher. N’oublie pas, tu éjacules dans ma bouche. Quand tu sens le bouillonnement du sperme retire-toi et présente ta lance, je t’achèverai dans ma bouche. Ce sera plus facile si tu es au-dessus. J’ai soif de toi, mon mignon.

Aux premiers miaulements, j’emmène Margot. Pour midi je l’invite au restaurant. Me montrer avec elle à la cantine ferait jaser. Ma femme serait mise au courant avant le soir. Notre conversation est orientée par l’événement. Je ne sais pas ce que je ferai. En gros, si. J’aimerais connaître la jeune fille amoureuse de ma femme et qui accueillera leurs amours. Si Margot pouvait ouvrir les yeux et trouver une piste.
-Ne cherchez pas, Marie m’a demandé lundi si je pourrais lui prêter mon lit pour une aventure. Elle m’a flattée puis embrassée. J’ai aimé ses caresses sur mes joues et sur mon pull. Ça me faisait plaisir, parce que je vis seule. J’ai souffert d’une rupture. La confiance de Marie m’a réjouie. Je pensais qu’elle comptait se lier à moi. Mais maintenant elle me dégoûte. Elle vous trompe, elle vous a toujours trompé, elle veut m’utiliser et abuser de ma naïveté pour le faire sans risque. Ce sera non. J’ai reconnu la voix de son amant. Ce Sylvain a essayé de me draguer autrefois. C’est un voyou, un bon à rien.
-Vous faites erreur, il est instituteur.
-Pas plus instituteur que moi. C’est un chômeur professionnel qui vit au crochet de ses parents. Vous me faites mal au cœur. Elle est pitoyable. Ce n’est pas juste. C’est vrai que vous n’avez jamais rien su?
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