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Anniversaire de mariage 6

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Lue : 1752 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Tir de barrage.

-Depuis le bal de samedi, j’ai eu des soupçons. C’est la première fois. J’étais toujours convaincu par ses déclarations d’amour. Margot, je vous demande un service. Si Marie réitère sa demande, acceptez, mais posez vos conditions et avertissez-moi. Vous pourriez faire ça pour moi?
-Oh! Oui, avec plaisir. Mais pourquoi? Ce soir je sortirai du travail avec un quart d’heure de retard. Vous pourriez me prendre dans votre voiture et je vous montrerais mon appartement.
Marché conclu. Margot, hôtesse d’un soir, m’offre un café. Tout à coup la jeune femme prend ma main, me regarde droit dans les yeux:
-Si votre femme vous quittait, je serais heureuse de la remplacer. J’admire votre calme et votre sang froid. Si vous voulez de moi, je vous jure de vous aimer et d’être fidèle. Sinon, je pourrais être votre femme de ménage, je laverais votre linge, je ferais la cuisine, les courses, je me contenterais de la chambre d’amis, comme une gouvernante. Vous verrez je saurai vous consoler.

Margot est émouvante, je garde sa main, les larmes aux yeux.
-Ne suis-je pas trop âgé pour vous, Margot?
-Je préfère les hommes mûrs aux dragueurs jeunes et volages. Si vous voulez faire l’amour, je serai à votre disposition. Si vous le voulez, nous pouvons commencer tout de suite. Vous êtes mon coup de foudre. Je suis à toi.
-Merci, Margot, votre soutien me sera précieux. La conduite et les propos de ma femme me révoltent. Mais je veux la confondre le moment venu. S’ils utilisent votre appartement, exigez de pouvoir les filmer sous prétexte de leur constituer un album souvenir de leur première fois. Marie refusera, elle est méfiante, mais Sylvain sera votre allié; le film pourrait lui donner prise sur sa maîtresse si elle se lassait de lui. Saurez-vous utiliser mon caméscope, pourrez-vous regarder de sang froid des amoureux en train de faire l’amour? Soyez inflexible, « pas de film, pas de lit». Faites leur prendre des poses en début de réunion, si vous ne voulez pas assister aux moments les plus chauds. Promettez-leur de disparaître aussitôt après et de leur laisser l’appartement. Ils devront vous avertir de leur départ par téléphone et déposer votre clé dans votre boîte aux lettres. Venez alors chez moi, vous n’aurez pas affaire à un ingrat. Vous serez ensuite ma gouvernante et nous apprendrons à mieux nous connaître. Je ne sais pas si je dois accepter votre sacrifice.
-Quel sacrifice? Ce serait un bonheur de vivre avec un homme aussi gentil.
-Ne vous méprenez pas, je suis comme un animal blessé, je pourrais être cruel avec cette femme qui se vante de m’avoir trompé depuis quatorze ans. Je vais couper « son fil rouge » Comment les filmerez vous? Racontez-moi.

-Je porte un loup, je ne veux pas être reconnue par Sylvain. Je leur demande de suivre mes recommandations afin d’écourter la séance de prises de vues pour les laisser plus longtemps en tête à tête, ou en tête-à-queue, hi, hi. Au début ils posent habillés et s’embrassent comme des amoureux. Je souhaite voir leurs langues passer en frétillant d’une bouche à l’autre. Debout, Sylvain passe ses mains sous la blouse de sa maîtresse et presse les seins. Marie soulève les bras, enlève sa blouse vers le haut. Le mouvement fait apparaître les mains en train de libérer les seins de leurs bonnets. Ici Sylvain suce un téton et introduit sa droite dans le string de Marie avant de lui chatouiller le clitoris. Elle gigote. Gros plan sur le visage: Marie se pâme d’aise au contact des doigts. Le string descend sur les genoux, deux doigts disparaissent entre les jambes. Il faut suivre leur itinéraire jusqu’au franchissement des petites lèvres et montrer leur tourbillonnement dans le vagin investi. Ensuite je les embarque dans une fellation, ma présence ne les gêne pas. Marie a du mal à lâcher le sexe embouché. J’ordonne donc un soixante neuf sur mon canapé, lui couché sous elle. On voit bien la tête de la mangeuse de bite, on lit sur son visage l’effet troublant du cunnilingus. Sylvain lèche la fente, pointe sa langue sur la rose. Elle sursaute, se mord les lèvres. Je dois les arracher à leur plaisir pour filmer la suite des positions: Marie allongée sur le dos, jambes en M tire sur les lèvres de son sexe, Sylvain dirige son pieu dur vers la vulve ouverte. Il pénètre, va au fond, amorce un va et vient. Il n’est pas heureux de devoir changer encore de position sur mon ordre. L’annonce de la levrette le console. Il prend son sexe en main et avance vers la chatte rasée entre les fesses blondes, très lentement, il entre, progresse dans la mouille. Stop, à l’étape suivante Marie pieds de chaque côté du corps gisant, plie les genoux, descend vers le pieu dressé. De derrière je filme sa main qui imprime un mouvement au braquemart, le dispose au contact de son losange rose. Je prends en détail les positions successives du vagin avalant le manche. Le plus difficile sera sans doute de les séparer et de les mettre en route dans des positions autres. Par exemple, Marie de dos sur le bord de ma table, jambes tenues aux chevilles et dans l’attente de l’attaque de l’engin, ou Marie, penchée en avant, torse sur la table, présente sa fente et creuse le dos. Sylvain ne peut pas manquer cette cible. Ensuite ils refusent d’accomplir dans la même position une sodomie. Je les menace de les chasser, ils font semblant, le gland ne pénètre pas vraiment le cul de Marie, Sylvain voudrait franchir le passage étroit. Marie veut garder cette gâterie pour clore la rencontre. Ils ont hâte de se retrouver seuls dans mon lit. Je les y conduis, leur rappelle où mettre la clé au départ. Sylvain la domine. Je le laisse agir à sa guise afin de saisir les signes d’une éjaculation normale au bout d’une demi-heure de frottements en tous genres. L’écoulement d’un filet de liquide blanchâtre du vagin vers le sillon des fesses serait la cerise sur le gâteau. Je me serai appliquée à filmer les visages. Dans la levrette il faut que l’homme s’allonge sur le dos de sa partenaire et pose son visage à hauteur de l’autre visage.
-Quelle imagination, insoupçonnée chez une jeune fille apparemment aussi innocente. Si je m’attendais à avoir une collaboratrice aussi douée! Alors là! Bravo, je vous embauche.

Cette petite promet, elle m’inspire. Je dois la quitter. Margot me donne la main puis de façon inattendue, elle m’enlace et dépose sur mes joues deux gros bisous. Je n’ai pas prévu le baiser qui suit, sur la bouche. Mes larmes l’émeuvent. Le baiser se prolonge, délicieux et frais. J’y mets fin à regret. Cette petite mérite que je m’intéresse à elle. Mon cœur est libre désormais, la compagne neutre devient une femme possible, mes yeux découvrent une silhouette agréable, un visage intéressant, une âme qui est conquise. Nous nous reverrons.

La maison est rangée, plus rien ne traîne, même pas un slip. Marie est aimable, affectueuse. Elle veut rattraper ce soir, dit-elle, ce qu’elle a perdu hier. Je bois de l’eau du robinet, je me méfie du champagne truqué et des boissons au soporifique. Je n’ai plus envie de coucher et de baiser, encore moins de m’assoupir, ma femme m’écœure. Je suis le roi de la cafetière électrique. Elle a droit à un café servi de ma main, au somnifère pris dans sa pharmacie, puisque nous partageons. Elle n’a pas un mot sur sa migraine, sur sa demi-journée de congé maladie. Elle lève sa jupe, me montre ses fesses charnues, ses hanches qui commencent à s’alourdir, sa superbe chute de reins, se tourne et rit de ma surprise: elle n’a pas remis de culotte tant elle est pressée de m’accueillir dans sa chatte. Depuis quand rase-t-elle ses poils, est-ce pour se rajeunir? Elle veut savoir où j’ai mangé à midi… J’aurais dû l’inviter au restaurant, le self commence à la lasser. Sitôt après le repas ses paupières se ferment. Je la déshabille, la vue de son corps nu me laisse de glace. Je la couche, la couvre et vais tuer le temps à la télé.

Le samedi elle annonce des courses longues. En réalité elle a rendez-vous; je sais où et avec qui. Cette façon d’agir, de me prendre pour un imbécile, me déplaît. Je veux contrarier les complices. J’insiste pour l’accompagner; je saboterai son rendez-vous avec Sylvain.
-Mais non, repose-toi.
-Ah! Non, depuis l’anniversaire de notre mariage mon amour est rafraîchi, revigoré. Je tiens absolument à t’aider.
- Tu vas t’ennuyer dans les magasins.
-Je ne m’ennuie pas quand je suis avec toi.
Elle ne réussira pas à se défaire de moi. Je l’invite au restaurant pour treize heures, je veux me faire pardonner mon oubli de jeudi. La perspective l’enchante, elle me suit mais se renfrogne en se retrouvant au restaurant de « l’hôtel de la forêt ». A l’heure du dessert et du café, vers quatorze heures, il faut qu’elle aille aux toilettes. Moi aussi. Après elle voudrait aller prendre l’air sur la porte. Prévenant je retarde l’arrivée du café et je l’accompagne.
-Si tu savais comme je te suis reconnaissant de nous avoir débarrassés de ton soupirant casse pieds.
Devant le restaurant, je réprime mon dégoût et je l’embrasse avec la ferveur d’un jeune fiancé, car j’ai aperçu son « rendez-vous » dans une voiture rouge.
-Attention, chéri, on va nous voir.

C’est précisément ce que je veux. Partageons, camarade: je la place dos à un arbre et m’amuse à fournir le spectacle de notre entente, je l’embrasse, je la pelote de façon indécente, visible, comme je n’aurais pas osé le faire jusqu’à jeudi matin. Je fais cadeau du spectacle au galant convoqué pour jouer mon rôle et cantonné dans celui de voyeur. Marie doit savoir que Sylvain nous observe. Elle est prise à son piège; elle n’aime que moi, elle ne peut pas se soustraire à mes caresses. Je la chauffe. Des clients toussent en passant à côté de nous.
-Il y a des individus sans gêne. Ils pourraient prendre une chambre au lieu de s’exhiber!

Café bu, je déclare une envie subite de faire l‘amour. Le passant scandalisé m’a soufflé une idée. Je loue une chambre: la quatorze est libre. C’est parfait. J’imagine la torture des deux amants, lui en train d’attendre et de se demander si Marie n’a pas trop le goût du partage, incertain de l’issue de ses efforts, dans la crainte de la voir encore amoureuse de moi, lui tourner le dos; elle dans l’impossibilité de refuser sauf à éveiller des soupçons, craignant que son jeune amant dont elle a senti poindre la jalousie ne se lasse d‘attendre ou ne fasse un scandale.
-Tu te rends compte, ma chérie, chambre quatorze, comme quatorze années de bonheur avec toi.

Se souvient-elle de la suggestion de Sylvain. Je remue le couteau dans la plaie. Le balcon donne sur la rue. J’attends que Marie ait retiré ses vêtements et je la pousse sur le balcon en soutien-gorge. De sa voiture Sylvain n’aperçoit que le torse, je m’amuse pendant un baiser bouillant à faire baisser les bonnets sous les seins et prends en mains les deux pigeons de la poitrine libérée. Marie se tortille, veut aller se cacher, je ris de sa pruderie exagérée. La démonstration n’aura pas échappé à l’amant. Il sait que nous sommes en chambre, que ce n’est pas pour enfiler des perles. A chacun son tour, le partage est à double sens.

La haine au ventre, je fais l’amour, la succession des somnifères m’a reposé, m’a refait une santé. Marie l’a dit à Sylvain, au lit je vaux ses amants. Au début, elle ne montre pas beaucoup d’enthousiasme. Au fur et à mesure que mes doigts réveillent ses sens, sous l‘influence de ma langue qui lèche la plage du pubis fraîchement dénudée et lisse comme une peau de gamine, puis parcourt les nymphes juteuses, je constate une réaction favorable. Non, mon cœur ne craint rien, que Marie se rassure. Elle oublie Sylvain, elle me reçoit en elle, me serre sur elle et m‘encourage à lui donner son plaisir. Ma forme et mon envie de lui fournir le meilleur souvenir font des miracles. Je ne fatigue pas, je lime inlassablement, je la pénètre en vrille, je la fais bouillir. Je lui mets une main sur la bouche pour contenir ses cris. Après sa jouissance, elle souhaite écourter le repos.

Elle vient de se souvenir de la présence de Sylvain à proximité de l‘hôtel. D‘elle-même, enveloppée dans une serviette de bain, elle avance prudemment sur le balcon. Veut-elle lui faire signe, lui annoncer la fin de leur séparation. Derrière elle, au moment où elle se penche, je tire un coup sec sur le linge. Sylvain, debout en face de notre fenêtre, la voit toute nue se retourner et assiste au baiser prolongé qui nous unit sur le seuil de la chambre. Je connais les points sensibles de Marie, je la chatouille, elle se tord et rit aux éclats. Il suffit d‘une légère poussée pour la faire choir sur le matelas, en position pour une levrette. La surprise la fige, fesses en l‘air. Son sexe se fend en deux, mes doigts préparent le vestibule, ouvrent la voie à mon brandon déployé. Quelques allers retours dans les plis de la vulve, quelques coups de gland sur le clitoris et je me réfugie au chaud dans son ventre.
-Mon chéri fais attention, tu n’as pas de préservatif.
-Ne penses-tu pas qu’il serait temps d’avoir un rejeton. Ce serait merveilleux.
-Tu te décides enfin! Je désespérais, oh! Que je t’aime.
-Donc, puisque nous sommes d’accord, ne nous retenons plus.

Jeudi, dans notre lit, Sylvain n’a pris aucune précaution, je n’ai pas à être plus prudent que ce coucou qui va pondre dans mon nid. Sous mes jets de sperme Marie m’appelle, réaffirme son amour. Il me reste à accomplir une chose à laquelle je tiens. Marie veut se partager. Je vais partager tout ce qu’elle peut offrir. Nous avions fait quelques essais de sodomie pendant les premiers mois de vie conjugale. Ni l’un ni l’autre n’avions un penchant prononcé pour cette activité. J’ai entendu Sylvain promettre un feu d’artifice anal. Il est donc normal que soit partagé également le cul de l’infidèle. Elle est restée allongée sur le ventre. Ses fesses forment un monticule proéminent qui s’évase sous la taille fine Je prends position entre ses jambes
-Quoi, encore! Veux-tu que je me soulève? Tu consommes du viagra? Depuis quand?
-Depuis que tu rases ton pubis pour me plaire. Pourquoi pas? Place les coussins sous ton ventre, j’atteindrai plus facilement mon but, ou ton but en anglais.

Je fais aller et venir mon pénis dans la mouille de la vulve, me lubrifie au contact de mon sperme qui reflue, le mouvement de mon nœud s’allonge d’une extrémité du sillon à l’autre. Mes doigts ouvrent le chemin, séparent les deux hémisphères. Je bloque ma queue sur le cratère de l’anus élargi par mes pouces. Marie se contracte, trop tard, j’ai passé le sphincter, je suis au chaud mais à l’étroit. Mes mains vont s’occuper du clitoris et du vagin. Les frottements sur les extrémités nerveuses du clitoris et du vagin seront plus déterminants que la fouille anale, l’ensemble produira la montée de la jouissance. Sylvain a prévu ce programme, je l’exécute avec un malin plaisir. Le conduit se dilate, je m’y plais, je le rudoie. La conjugaison de l’action de mes doigts à l’avant et des assauts de mon pieu entre les fesses et dans le rectum a raison des réticences premières de ma femme. Elle approuve, demande de la vigueur, trouve que c’est formidable Je n’arrêterai que lorsque je ne pourrai plus marteler la rondelle. Marie s’envole, geint, reproduit les han, heu, ohoo. Des cernes entourent ses yeux, je peux encore, j’insiste.
-Oh! Toi, Oh!
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Histoire de Veilleur

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