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Anniversaire de mariage 7

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Lue : 1856 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Je partagerai ma femme, elle tient à son amant.

Nous quittons la chambre quatorze. Marie a fait la liste des magasins à visiter. Je me dirige vers le plus éloigné. Dans mon rétroviseur je repère une petite voiture rouge.
-Non, je ne reste pas dans l’auto. As-tu honte de moi? Ma présence à tes côtés te gênerait-elle?
Elle n’ose pas l’avouer. Sylvain peut nous suivre, il n’aura pas l’occasion de lui parler. Elle s’isole dans une cabine d’habillage après m’avoir confié la mission de choisir une cravate pour moi et vérifié que je suis à bonne distance. Au hasard je saisis une cravate horrible et me rapproche de son refuge. Dans le brouhaha, je l’entends parler. Elle s’est acheté un téléphone mobile! Ce « maudit fil à la patte », disait-elle. Elle évolue avec son temps et avec ses envies de sexe. Je collerai à elle jusqu’au soir.

-Ma chérie as-tu remarqué la voiture rouge qui nous suit. Elle stationnait devant le restaurant, elle nous colle depuis notre sortie de l’hôtel, elle s’est posée sur chaque parking à proximité de notre auto. J’en ai marre, au prochain arrêt je vais voir ce qu’on me veut.
-Mais non, si ça fait plaisir au conducteur, qu’il perde son temps.
Comme annoncé, j’aborde la voiture suiveuse et je découvre celui que je m’attendais à voir. Il fait semblant d’être absorbé par la lecture d’un journal.
-Sais-tu qui nous surveille. Devine; c’est ton admirateur, Sylvain. Est-ce qu’il te harcèle? Veux-tu que je lui fiche une trempe?
-Ne te salis pas les mains, il n’en vaut pas la peine. D’ailleurs, il reste à distance, je ne l’ai pas revu depuis son renvoi, il ne m’a pas importunée.
-Tu connais ma décision. Je ne veux plus de contact entre vous deux. Si tu le reçois encore, je te mettrai à la porte et nous divorcerons. Mais comment a-t-il su que nous étions dans ce restaurant?
-Mais arrête, mon amour. Je ne peux pas lui interdire de nous suivre. Viens terminons nos achats, nous rentrerons et nous irons danser.
-Non, ça ne me dit rien d’aller danser, je ne ferai plus l’idiot qui attend.
-Je te jure de ne danser qu’avec toi, mon chéri.

Son insistance est louche.
-Quelle salle choisis-tu? La même que samedi? N’oublie pas ta promesse, un seul cavalier, ton mari.

Elle laque ses cheveux, je suis allergique aux gaz de l’Oréal. Mais dans la salle de bain, porte close, elle téléphone. Elle se prépare, abandonne son sac à main sur une chaise. Je subtilise le téléphone. Au retour elle le trouvera sur notre lit. Elle n’osera pas réclamer, par peur de m’apprendre qu’elle a cédé à la mode du mobile. Je suis distrait et j’aboutis à un bal.
-Ce n’est pas ici!
-Excuse-moi, je suis désolé. Mais c’est un bal. Nous danserons aussi bien ici.

Elle part aux toilettes, revient déboussolée. Sans téléphone dans son sac, pas moyen de convoquer Sylvain. Elle l’a envoyé dans une autre salle où il doit se morfondre. Je crois que s’il était présent, elle tenterait de m’attendrir pour « partager » les valses. Il y a un téléphone au bar. Je la verrais appeler. Or, elle ne va pas perdre le bénéfice de ses efforts, mensonges et tromperies de mercredi. Ils ont si bien joué leur comédie. Je commande à boire, fais tomber un somnifère dans son verre au moment où je la guide vers le plancher. Elle ne tarde pas à s’ennuyer, elle bâille. L’orchestre n’est pas bon, dit-elle, il y a trop de monde, les gens sont désagréables et la bousculent, bizarrement l’envie de danser lui passe.
-Non, tu valses bien, l’ambiance ne me plaît pas. Si on rentrait, je suis fatiguée.

Ça y est, je l’ai couchée, elle s’est endormie pendant le trajet retour. Dans la nuit un merle siffle sous nos fenêtres. Siffle Sylvain, Marie n’ouvrira pas ce soir, elle dort. Je relève tranquillement les coordonnées du mobile de Marie. Tard le dimanche matin elle fait triste mine au lever.
-Marie, tu m’inquiètes. J’ai appris que tu avais fait un malaise au travail jeudi et que tu étais venue te soigner à la maison. Pourquoi ne m’en as-tu pas parlé? Et hier tu t’es endormie bien vite dans la voiture. J’espère que tu n’abuses pas de somnifères.

Le ciel est gris de plomb, le temps est triste, Marie est maussade. Je lui annonce mon intention de reprendre les séances de gymnastique du lundi et de natation du mardi pour lutter contre un embonpoint naissant.
-Il serait temps. Regarde-moi, je garde ma ligne. Le jour où j’en aurai besoin je t’accompagnerai.

Lundi, jour de travail.
-Paul, c’est Margot. Je fais vite, ta femme vient de quitter le bureau. Elle veut venir discuter chez moi ce soir. Elle dira que c’est pour me mettre au courant du dernier logiciel.
-Souviens-toi, tu veux assister sans participer et leur faire cadeau de l’album de leur premier rendez-vous.

Je quitte la salle de gymnastique, passe devant ma maison. La voiture rouge n’est pas à côté de celle de Marie. Je vais chez Margot. Elle a joué l’étonnée en apprenant le but de la visite. Marie veut rencontrer un jeune homme. Margot a versé des larmes. Marie a assuré qu’elle pouvait fort bien aimer à la fois un homme et une femme. Pour la bonne cause Margot s’est laissé embrasser à pleine bouche, a frémi quand Marie a passé ses mains sous son chandail et caressé ses seins. Elles feront l’amour à deux le lendemain des rendez-vous avec son amant. Margot a refusé de partager Sylvain avec son amie Marie. Elle a posé ses conditions pour favoriser leur union. Elle exige de constituer un album de photos pour les amants. Elle ne restera pas plus d’une demi-heure, le temps de poser. De plus elle gardera pour elle les photos ou séquences où seul apparaîtra le corps de sa chère maîtresse. Celle-ci a hésité, puis admis de faire ce plaisir à sa petite chérie, en imposant comme condition de disposer de l’appartement le mardi de 17 à 19 heures dès la semaine suivante. Elle veut utiliser le temps de ma séance de natation. Elle a programmé une deuxième rencontre le mercredi pour compléter la formation au logiciel. Elle souhaite aussi disposer à l’avenir du lundi et du mardi pour ses cinq à sept. Margot chagrine a obtenu pour elle un rendez-vous le samedi après midi.

Ma serviette est mouillée, je raconte ma transpiration et mon essoufflement. Dès la fin du repas, j’irai me coucher. Marie veut voir un film à la télé. La porte de la chambre s’est ouverte, j’ai émis un ronflement, Marie a refermé la porte. Elle téléphone en utilisant son portable, sans doute pour ne pas faire apparaître le numéro de Sylvain sur ma facture de la ligne fixe. Je me relève et m’assois dans mon fauteuil, je me suis réveillé et il faut que je lui confie un souci.
-Marie, il est important que nous ayons une explication franche. Pourquoi ne m’as-tu pas parlé de ta migraine de jeudi matin?
-Je ne voulais pas t’alarmer pour si peu.
-Admettons. Je suppose que tu avais une autre raison et notre conversation est destinée à te permettre de m’éclairer. S’il te plaît ne m’interromps pas. Je me sens fautif, mon refus catégorique de te partager avec Sylvain creuse un fossé entre nous.

J’ai réfléchi et voici ce que je te propose. La semaine a sept jours. Pendant le mois qui vient, tu me consacreras trois jours ici et tu disposeras de quatre jours et nuits pour vivre avec Sylvain puis quatre jours avec moi et trois avec lui et ainsi de suite. Actuellement tu as des RTT à prendre, je suggère que tu réserves à Sylvain le jeudi le vendredi le samedi et le dimanche qui viennent. Vivez ensemble quatre jours complets mais en un lieu que vous choisirez, soit chez lui, soit à l’hôtel, à vous de voir. Pour l’instant il me serait insupportable de vous voir et entendre roucouler devant moi dans cette maison; les bruits du sommier malmené sous vos ruades ou tes cris de plaisir me donneraient des envies de meurtre. Je dois d’abord m’accoutumer à l’idée de te savoir entre ses bras. Tu ne peux pas me demander de but en blanc de tenir la chandelle. Je souhaite réussir un jour à vous entendre ou regarder faire l’amour. Ce n’est pas pour tout de suite. Qu’en dis-tu?
-Pourquoi ce revirement? J’ai chassé ce jeune homme. Le problème est réglé, je n’aime que toi.
- Mettons les points sur les i, puisqu’'il le faut. A force de non dit, de mensonges par omission ou de mensonges énoncés, comme celui que tu viens de proférer, tu détruis notre union. Si c’est le but que tu poursuis, il sera vite atteint.

Jeudi, on m’a averti de ton malaise et on m’a recommandé de voler à ton secours. Je suis venu, j’ai trouvé la fameuse voiture rouge à ma place dans la cour, cette voiture conduite samedi par Sylvain. J’ai cru qu’il s’agissait de la voiture d’un médecin ou d’un infirmier. Je suis entré, j’ai suivi les vêtements jetés à la hâte et j’ai constaté que ta migraine n’était qu’un prétexte pour un rendez-vous galant avec ton chéri.
-Non, ce n’est pas vrai!
-Tu avais plus mal à la moule qu’à la tête. Je vous ai vus, entendus: vous étiez accouplés dans mon lit et meniez votre sabbat. J’ai appris pas mal de choses: Je suis ton fil rouge, tu as toujours eu des amants. Je t’ai suivie des yeux quand tu es allée nettoyer ton vagin après un rapport non protégé. Cette preuve de ma présence est-elle suffisante?
-Je te demande pardon. Ça n’arrivera plus.
-Ah, encore, la veille, mercredi, pendant que dans une salle de cinéma j’imaginais que vous vous donniez l’un à l’autre, vous couchiez réellement ensemble: désormais je croirai à la transmission de pensée. Sylvain bien conseillé n’a pas voulu l’admettre mais jeudi tu lui as révélé qu’il t’avait éblouie avant le repas d‘anniversaire. Au passage note comme cela vous a plu de me cocufier spécialement ce jour anniversaire, ta délicatesse ne connaît pas de limites. Enfin je pourrais te parler de l’usage de somnifères dans mon champagne pour m‘endormir plus vite afin de passer la nuit avec ce nouvel amant, de ta conversion au téléphone mobile pour l‘envoyer vers la salle de bal samedi. Tu dois comprendre maintenant pourquoi je t’ai emmenée au restaurant de la forêt puis dans la chambre quatorze où tu avais donné rendez-vous à ton coquin. Je comprends que tu sois atterrée d‘être démasquée. Averti de l’endroit où vous deviez vous retrouver, je me suis amusé à contrarier votre projet. Cette vie de fourberie devient insupportable. Tu attentes à ma santé avec tes somnifères, j’ai peur de boire des breuvages ou de manger des aliments préparés par toi; tu me mens effrontément et tu me trompes sans vergogne avant de me déclarer: « Je n‘aime que toi ». Comment oses-tu? En premier j’ai pensé divorcer. Si tu le souhaites, nous pourrons d’ailleurs nous séparer de cette façon.

Finalement j’opte momentanément pour la solution du partage. Tu peux en modifier les conditions, accorder plus de jours à ton amant qu’à ton mari ou inversement. Je ne te demande pas une réponse immédiate, à toi de peser le pour et le contre. Je résume: je sais que tu ne peux pas te passer d’un deuxième homme depuis toujours, ton amant actuel s’appelle Sylvain. En dehors des trois jours que tu me conserveras, tu vas aller vivre avec lui. Cette vie en commun vous rapprochera et je risque de te perdre complètement. Mais au moins j’aurai tenté l’impossible, même si je présume de mes forces. Je n’ai pas l’intention de passer ma vie à te fliquer.
-Ce que tu as vu et entendu est irréfutable. J’ai voulu éblouir Sylvain en inventant des amants. Je prenais de l’importance à ses yeux et simultanément il était noyé dans la masse, ne pouvait pas se vanter d’être le premier. Il n’avait pas besoin de s’enorgueillir d’avoir réussi là où personne ne l’avait devancé. Je te jure que c’est ma première aventure. J’ai connu des tentations, c’est ma première chute. Penses-tu sage de partager?
-L’idée si moderne n’est pas de moi mais de toi ou de Sylvain. Certains, paraît-il, s’en accommodent. Je tente l’expérience. Je n’ai rien d’autre à proposer pour garder une part de toi. Peut-être te détermineras-tu, choisiras-tu de quitter l‘un en faveur de l‘autre. Je ne sais. Peut-être me reviendras-tu, guérie de cette passion. Ce n’est pas de gaîté de cœur que j’entre dans cette voie. Je veux nous éviter les soupçons, le doute, les mensonges, l’espionnage, l’empoisonnement, la boucherie. Je fais de mon mieux, mais je ne suis pas certain de pouvoir tenir longtemps le rôle du mari complaisant. Je ne serai un cocu non pas heureux, mais triste: pourras-tu supporter de me côtoyer dans cet état? L’expérience m’apprendra si je serai capable de faire l’amour avec une femme sortie toute chaude des bras d’un autre. Pendant un mois de partage en période de trois jours d’un côté ou de l’autre, je voudrais que tu puisses me dire
« Tel jour je vais chez lui, je reviendrai à telle date ».

Choisis. Mais si tu t’amuses à sortir de notre accord quand nous aurons fixé ses modalités d’application, si tu multiplies les rencontres secrètes les jours qui me sont réservés. si tu continues à te payer ma tête comme tu le fais depuis une dizaine de jours au moins, la seule issue sensée sera le divorce. C’est peut-être la meilleure solution. J’aviserai.

Enfin, à partir du moment où de façon régulière tu laisseras la place libre, je m’octroierai le droit de me partager entre toi et une autre femme si j’en ai l’occasion. Le droit de partage doit être réciproque. Et si mon intermittente de la vie en couple y prend goût, si elle me convainc de la garder, après le mois d’essai de partage, si tu n’as pas choisi le retour complet au bercail assez tôt, il se peut que je lui signe un cdi matrimonial.
Si tu m’aimes un tout petit peu encore, tu vas accepter une règle provisoire mais inviolable sous peine de rupture immédiate et définitive: à partir de la minute présente, tu t’engages solennellement à me prévenir des dates et lieux de tes rencontres adultères avec le dernier en date des tes amants, pour que le partage soit équitable. En corolaire nous compterons chaque rendez-vous comme une journée complète et la nuit qui suivra se déroulera pour toi en dehors de notre toit.

-Paul, ton partage n’est qu’une caricature. Ne serait-il pas plus simple de me laisser une ou deux fois deux heures de liberté par semaine. Je serais avec toi tout le reste du temps…
-C’est trop simple, tu irais tirer ton coup et tu reviendrais le ventre plein de sperme. Je serais autorisé à le pomper à la source et à te laver la chatte avec la langue? Et quoi encore? Si tu as des sentiments pour ce garçon, tu dois passer une partie de ton temps avec lui, tu dois apprendre à le connaître au quotidien pour apprécier toutes ses qualités et pas seulement ses coups de queue. Tu m’avais promis de m’aimer, de vivre tous les jours avec moi, tu as connu des choses décevantes en vivant constamment ainsi et tu t’éloignes de moi. Je te perds à moitié, je suis malheureux et impuissant à empêcher ta passion. Il ne serait pas juste que tu ne voies que les bons aspects d’un baiseur. Partage donc sa vie, ses bons et ses mauvais moments.
-Je ne veux pas te quitter. Dès que possible j’arrêterai cette relation
-Dès que possible? C‘est déjà trop tard. C’est pourquoi je t’autorise à jouer au pigeon voyageur. Tu es fatiguée de moi, tu n’as pas le courage de te l’avouer. Acceptes-tu la règle de transparence absolue sur vos rencontres?
-Mais bien sûr, cette règle et toutes celles qui me permettront de rester ta femme.
-Tu devrais consulter Sylvain le plus rapidement possible et lui présenter ma proposition, en discuter avec lui. Je sais que tu as les moyens de lui parler au téléphone. Il attend ton appel pour te souhaiter une bonne nuit et pour te conseiller de penser à lui à l’instant où je voudrai te faire l’amour. Sur ce point communique lui la première bonne nouvelle: il t’aura trois ou quatre nuits entièrement à sa disposition par semaine, j’y consens, et surtout précise lui que nous ne coucherons peut-être plus dans le même lit ni dans la même chambre; il sera ravi de l’apprendre. Mercredi soir, venez me chercher à deux, nous irons manger à trois au restaurant et, en terrain neutre, nous règlerons les modalités pratiques de ta « vie amoureuse partagée ». Par prudence pose tes RTT demain au bureau pour profiter pleinement de ton amoureux 24 heures sur 24, et prépare-toi à vivre trois jours ou quatre ou plus, sans mettre les pieds dans le domicile conjugal. Fais tes valises et sois prête à ne pas rentrer ici dès mercredi soir. De mon côté je m’engage à ne pas essayer de te rencontrer les jours où tu lui appartiendras. Cela devrait te paraître équilibré.
-Crois-tu facile de me trouver une remplaçante à mi-temps? Tu vas vite déchanter.
-Serais-tu la seule capable de te couper en deux? Suis-je à trente cinq ans impossible à caser, trop vieux, trop moche, trop sinistre, ou trop con, trop pauvre ou trop malade? Ma position sociale me condamne-t-elle à vivre en célibataire à vie? Suis-je trop nul au lit, sexuellement impuissant au point de voir toutes les autres femmes t’imiter et me fuir? Veux-tu prendre le pari que ta remplaçante ne tardera pas.
-Je ne te vois pas comme cela, n’exagère pas. Je ne te fuis pas. Mon cœur aime deux hommes, c’est ma malédiction puisque tu le supportes si douloureusement; j’en suis bouleversée. Si je te jure que je ne verrai plus Sylvain, que je ne veux plus me partager, me croiras-tu?
-Non! Il y a cinq jours tu as fait l’amour avec lui et tu m’as lâchement endormi en espérant l’héberger et forniquer durant mon sommeil. C’est la deuxième fois en quatre jours que vous avez joué aux amants diaboliques dans notre lit. Rien ne garantit que vous n’essayerez pas de me supprimer. De plus j’ai observé tes efforts répétés pour lui téléphoner. Donc stop aux mensonges Je te jugerai aux actes, ta parole d’honneur n’a plus qu’une valeur relative à mes yeux de mari bafoué.
-Pourquoi ne veux-tu pas croire que je cherchais juste à ne pas te blesser en cachant cet écart?
-Duquel de tes écarts parles-tu? Tu possèdes tous les éléments nécessaires pour bâtir ton projet d’avenir avec un célibataire amoureux de toi. Voyez ensemble. Je ferai changer les serrures jeudi. Je serai à la maison dimanche, pour t’ouvrir la porte, si tu veux encore passer une partie de ton temps avec moi. Je regrette de ne pas partager tes idées modernes sur le mariage et le concubinage.
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Histoire de Veilleur

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