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Anniversaire de mariage 8

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Lue : 3246 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Une de perdue, deux de…

Au cours de la nuit, je sens un mouvement dans mon lit. Marie renifle, pleure, veut m’attirer en elle. Elle me tient par la queue. Je suis inflexible, je ne suis pas un bouche trou. Elle devra se contenter d’occuper sa chambre quand elle voudra se reposer de ses excès sexuels au cours de son séjour chez l’autre. Je la chasse vers son lit, plutôt me masturber que de coucher avec une femme qui brûle pour un autre.
Le mardi matin elle n’a pas préparé mon petit déjeuner. Est-ce pour m’habituer à ma prochaine période de célibat choisi? Elle ne m’a pas adressé la parole. Le soir j’ai repris mon entraînement de natation. Je soupe au restaurant et reviens chez moi à 21 heures. Douche, brosse à dents; je me couche dans la chambre d’amis. Le mercredi Marie a soigné le petit déjeuner, attend un remerciement. Malaise.
-As-tu préparé tes affaires? N’as-tu rien oublié, auras-tu de quoi tenir jusqu’à dimanche? Sylvain sera-t-il au restaurant vers dix-neuf heures? Sait-il de quoi il retourne? Donne-moi ta clé de la maison, n’oublie pas ton chéquier et ta carte bancaire. A ce soir donc.
Elle murmure des oui, me regarde comme si elle partait en expédition dans les terres australes, écrase une larme. Chacun monte dans sa voiture.

Qu’a-t-elle raconté exactement à Sylvain? La liberté accordée, l’acceptation du partage le grisent. Il me félicite de faire partie de l’élite des esprits éclairés. Quel crétin. Quand il apprend que ma maison n’abritera pas leurs amours, il déchante. Son appartement chez ses parents est petit. Je lui rappelle qu’il aime les lieux insolites pour ses prouesses amoureuses, y compris les capots de voiture. Il fait des yeux étonnés.
-Marie aura le temps de t’expliquer.

Si Marie cherche le confort, il y a sur place des chambres d’hôtel. Je leur recommande la quatorze que Marie a étrennée samedi avec moi. Je paie le repas et les laisse au bonheur des retrouvailles. Sylvain me serre la main, Marie est émue et m’embrasse sur les joues, pas sur la bouche. Par pudeur soudaine?
Me voilà seul pour de bon, je n’ai pas à m’inquiéter, Marie est accompagnée, il ne peut rien lui arriver. Le téléphone me tire de ma mélancolie rêveuse. C’est Margot. Marie vient de l’appeler pour savoir si elle pouvait la loger cette nuit. Margot lui a demandé un court instant de réflexion, pour examiner ses possibilités d’accueil.
-Qu’est-ce que je dois lui répondre?
-Refuse et si tu veux rejoins-moi. Dis lui que tu n’as qu’un lit, que ça peut aller pour un cinq à sept à la rigueur, mais que tu dors dans ton lit et que ton appartement n’est pas conçu pour loger trois personnes.
-Je lui réponds et j’arrive.

Margot gare sa voiture dans le garage. Aussitôt après on sonne à ma porte.
-Qui est là?
-C’est Marie, je t’en prie, ouvre et prête nous la chambre d’amis pour cette nuit. Sylvain veut préparer ses parents à mon arrivée.
-J’ai bien dit que pendant le mois d’essai, cette maison n’abriterait pas vos galipettes. Débrouillez-vous, va te faire empapaouter loin de moi, je veux bien qu’il te baise ou t’encule mais pas ici. Appliquez vos idées modernes, mais hors de ma vue. Les hôtels ne manquent pas. Vous êtes des adultes, assumez.

Elle part en bougonnant. J’ expose à Margot la situation. Je veux que Marie ait une vue complète de la situation de Sylvain. Si son amour lui fait supporter les difficultés de la vie d’un chômeur, je saurai que son amour n’est pas une passade. Je faciliterai notre séparation.
-Te souviens-tu de ta proposition? Si elle tient toujours, tu es à partir de maintenant ma gouvernante, mais de façon intermittente. Si Marie se partage vraiment, tu devras libérer la chambre d’amis pendant le premier mois à raison de trois jours par semaine. Au bout du mois, j’aurai trouvé le moyen de la faire déguerpir. Je souhaite qu’elle veuille me quitter, sinon je l’y obligerai. En acceptant de se partager, elle piétine ses vœux de mariage, je ressens son escapade comme une insulte: elle n’aurait pas dû me laisser seul. Elle réfléchit avec son sexe, c’est son affaire. Elle m’a brisé le cœur, ne s’en rend pas compte, agit égoïstement sans se soucier de mes sentiments; je ne l’aimerai plus jamais. Je refuserai désormais de partager sa couche. Elle m’a juré de ne pas rencontrer Sylvain quand elle logera chez moi: si malgré ce serment elle vient à me tromper, j’aurai une excellente raison de la chasser. La maison m’appartient.
-Et moi, que fais-je dans votre histoire? Je suis le bouche trou du mois?
-Pendant ce mois tu pourras m’observer de manière à te persuader qu’en t’offrant à moi tu ne t’es pas trompée. Ensuite, je te demanderai si tu veux prendre définitivement la place libérée. Un mois c’est court pour prendre une décision aussi grave, s’il te faut plus de temps, tu me le feras savoir.
-Je réponds tout de suite: « Je t’aime ». Laisse-moi t’embrasser.

Je résiste à la tentation de l’emmener dans mon lit. Je la sais dégourdie, mais rien ne presse. Je lui réclame la plus grande discrétion si elle souhaite la réussite de mon plan. Chacun dort dans sa chambre. Mon déjeuner du lendemain m’est servi avec un sourire heureux. Nous nous retrouverons le soir. Le samedi soir Margot retourne dans son appartement; je l’appellerai après le départ de Marie. Tout s’est bien passé, c’est une excellente ménagère. La seule difficulté consiste à garder les distances, à l‘examiner de près, je la trouve appétissante. Je cours au devant des complications. J’ai exigé que Marie partage la vie de ce jeune effronté, n’est-ce pas avec l’espoir inavoué de la voir revenir au galop? Que faire de Margot alors?

Le dimanche matin débarque Marie, fière de me faire remarquer qu’elle tient parole. Elle vient de vivre pleinement son amour, dans des conditions de conte de fée. L’idée du partage est formidable. Elle est heureuse de me rejoindre. Elle sera toute à moi pendant trois jours
-Ça va mon chéri, je ne t’ai pas trop manqué?
-Il serait temps de t’en soucier. Mais ne t’inquiète pas, c’est une question d’habitude, je vais m’accoutumer à tes absences. Ton retour m’étonne plus que ton départ. Pourquoi quitter ton paradis et venir t’ennuyer ici?
-Je vais prendre un bain. Déjeunerons-nous au restaurant ce midi?
-Tu as vite pris des habitudes de luxe avec ton chéri. Non, je me suis mijoté hier un pot au feu, il me reste des pâtes, j’avais cuisiné pour deux car j’avais oublié que tu étais chez l’autre en train de te faire défoncer la cramouille ou élargir le trou du cul. Je rôtirai deux escalopes de poulet. Pour le dessert j’ai des pommes. Je n’ai pas acheté de vin pour éviter de noyer mon chagrin dans l’alcool, nous boirons de l’eau du robinet. Je vais suivre un régime draconien et avec le sport je compte redevenir présentable.

Le bain dure. Elle quitte la salle de bain nue comme Ève, se déhanche, tourne dans la pièce, s’expose, étudie mes réactions: il n’y a pas grand’ chose à lire sur mon visage. Je ne me jette pas sur elle, je prends mon journal et je l’ignore.
-Quoi, après quatre nuits d’abstinence, c’est tout l’effet que produit ma nudité? J’espérais un accueil chaleureux. Je suis là pour toi, faut-il te le rappeler? Oh!
-Excuse-moi, je t’avais prévenue. Je ne me sens plus attiré par ton corps qui a été pris et repris par un autre homme dans toutes les positions . Certes ça ne se voit pas en dehors des suçons dans ton cou et sur ta cuisse gauche à hauteur de frifri. Je regrette de t’avoir imposé trois jours avec moi. J’ai dormi seul, j’ai cuisiné seul, seul j’ai lavé et repassé mon linge pour tuer le temps. Les femmes qui se donnent à n’importe qui courent les rues, certaines se font payer, d’autres sont contentes de trouver un compagnon. Elles ne viennent pas me parler du plaisir qu’elles ont pris ailleurs, du conte de fées qu’elles viennent de vivre, elles ont de la retenue, ou si tu préfères de la pudeur.
-Grognon. Tu étais d’accord, que me reproches-tu?
-Rien. Ce que tu ne sens pas, peut-être, ce qui te permet de passer aussi légèrement de l’un à l’autre, de te faire défoncer indifféremment par Paul, Sylvain, Robert, Joseph et compagnie; une inconscience et un égoïsme que je ne te connaissais pas. Un amour dilué dans le nombre. De n’être plus pour toi qu’un parmi tant d’autres, et je me demande pourquoi tu es revenue. Ma réponse te convient-elle? Je te fais part de mes idées rétrogrades, ça soulage ma bile.
-Il ne fallait pas accepter de partager.
-Au moins n’as-tu plus besoin d’ajouter des mensonges à d’autres mensonges. Tu te partageais avant d’avoir mon accord, Ce n’est pas moi qui t’ai offerte à ton drôle. J’ai protesté au bal, en as-tu tenu compte? Au contraire, à la première occasion tu as écarté les jambes et tu as joui avec lui dans notre lit. Et tu as remis le couvert le lendemain, à cru, sans préservatif. Ton escapade de quelques jours est un aboutissement normal de ton premier faux pas au bal. Ton amant partageur a dû t’offrir en partage à ses copains. Vous avez organisé des partouzes? Et tu voudrais émouvoir mes sens. J’imagine les flots de foutre qui ont envahi ta gorge ou qui se sont déversés dans ta foufoune assoiffée. Ta chagatte souillée ne m’inspire plus de désir. Un berlingot sucé par une armée de jeunots n’a plus de saveur pour moi. Quatre jours et quatre nuits à te vautrer avec la troupe de Sylvain, à te faire culbuter dans la nature, à te faire grimper par tes bonobos, ensemencer par des irresponsables au nom de vos idées modernes, t’ont transformée pour moi en éponge à sperme. Oui, une éponge qui absorbe le tout venant.
-Si j’avais su je ne serais pas revenue.
-Je t’autorise à t’en aller. J’allais te le demander.
-Chéri, tu ne m’aimes plus? Moi je t’aime toujours autant. Viens au lit, fêter mon retour. Entre mes cuisses tu vas retrouver ta bonne humeur. Tu as besoin de câlins et ta petite femme va te gâter. Lâche ce journal. Non? Seigneur, faut-il que je m’agenouille et que je te supplie! Regarde, c’est moi, ton épouse, mon corps est toujours le même. Mes seins restent fermes, mon sexe te désire, il n’a pas changé. Mes bras te sont ouverts. Ma parole, tu veux m’humilier, tu refuses d’accomplir ton devoir conjugal?
-C’est bien à toi d’employer cette expression. Es-tu partie vivre plusieurs jours avec Sylvain au nom du devoir conjugal? Ces mots n’ont pas le même sens pour toi et pour moi. Gave-toi de l’idée de partage, tu n’es pour ton mari cocu qu’une femme infidèle, pour une autre je dirais une salope ou une putain. Je refuse de fréquenter un vagin enragé, mal hanté. En un mot comme en cent, je ne t’aime plus.
-Mais c’est de ta faute, c’est toi qui as voulu….
-J’ai juste régularisé une situation préexistante. Tu recueillais sous notre toit un passager clandestin, il te fourrait illégalement. Maintenant il est en situation régulière, te reçoit chez ses parents, te saute avec ma bénédiction, te fait vivre « un conte de fées ». Que veux-tu de plus? Tu as trois jours devant toi pour reposer ton sexe et ton cul avant de te faire bourrer par devant et enfiler par derrière par une ou des pines plus jeunes que la mienne. Tu seras toute neuve mercredi pour accueillir sa queue extraordinaire et pour supporter les charges de sa bande. « Femme d’exception », c’est vrai désormais. Tu devrais me remercier d’avoir aménagé, par pitié, une aire de repos au milieu de tes débordements sexuels. En même temps, je te ficherai une paix royale, l’occasion de réfléchir à tête reposée, sans pression extérieure, au sens de ce que tu as fait et aux suites probables de la situation d’une femme au cœur d’artichaut et au vagin insatiable.

La porte de la chambre a claqué. J’entends des sanglots. J’aimerais lui inspirer une folle envie de se sauver. Pourquoi reste-t-elle? Sa foi dans les bienfaits du partage et son espoir de m’avoir converti à leur philosophie de libre échange sexuel viennent de voler en éclats. Mon humeur exécrable du matin, mon accueil froid et mon refus de copuler avec une femme instable devraient lui donner le courage de me plaquer pour de bon. En cas de divorce, l’abandon du domicile conjugal est un argument de poids dont la matérialité ne laisse aucun doute. Qu’elle s’en aille, je gagnerai Margot, fraîche, amoureuse de moi.

-Tu sais, j’ai réfléchi. Tu fais le méchant, mais je te connais, c’est parce que tu es malheureux. Je te dois trois jours, je resterai trois jours. Et après les trois jours je m’incrusterai. Je suis ta femme et je veux rester celle à qui tu as promis fidélité et assistance. Allez, embrasse-moi. Tu te moques, deux bisous sur les joues, c’est tout?
-Comment m’as-tu embrassé en me quittant mercredi.
-C’était devant Sylvain. Pardon, j’étais tellement embarrassée.
-Imagine que Sylvain pense à toi et agis comme s’il te voyait. Devant lui, tu ne me traites plus comme ton mari, je suis ton cocu pitoyable, méprisable. Quand tu es avec lui tu n’as plus besoin d’assistance et tu te moques de la notion surannée de fidélité, tu fais avec lui ce que tu avais promis de me réserver, tu te dénudes, tu caresses son corps, tu te livres, il te palpe, te met et j‘ai vu le plaisir que tu y prends. Alors révise le sens des mots que tu emploies. Oublie de parler de fidélité et d’assistance, ça ne colle pas à ta conduite.
-Sais-tu où j’ai dormi depuis mercredi?
-Au paradis si j’ai bien écouté ton récit ce matin.
-Sylvain, m’a révélé qu’il n’avait qu’une petite chambre chez ses parents, qu’il était impossible d’y vivre à deux et que la meilleure solution serait de loger à l’hôtel, en attendant que je puisse louer un appartement. Lui n’en a pas les moyens car il est victime du chômage. En réalité il n’a jamais eu d’emploi stable. C’est juste un frimeur. Devant son refus de me présenter à ses parents je me suis énervée.
-Je le savais au chômage. Voilà pourquoi je tenais à ce que tu ailles vivre tes amours ailleurs. Tu pourras l’entretenir jusqu’au jour où il dénichera une autre greluche qui aura le feu au cul et des revenus supérieurs aux tiens, assez poire pour croire qu’elle est unique et aimée. Ne l’aimes-tu plus parce qu’il est fauché?
-Il t’est facile de m’enfoncer, je me suis mal conduite, je le regrette sincèrement. Donc, mercredi j’ai voulu trouver un refuge pour la nuit. J’ai appelé une amie, elle n’a pas voulu nous héberger.
-Ce ne serait pas une dénommée Margot?
-Mais tu m’espionnes. D’où tiens-tu cette information? Ce n’est pas possible. Passons. Je suis venue à proximité de la maison au moment où tu faisais entrer une voiture conduite par une femme dans le garage. J’ai voulu t’empêcher de coucher avec elle, j’ai sonné et je t’ai demandé l’asile pour la nuit. Tu as refusé sous prétexte que nous avions un accord. Tu n’as même pas vu que je revenais seule. De retour devant l’hôtel, je me suis disputée avec Sylvain, je lui ai reproché ses mensonges, il m’a traitée de grosse salope, la situation s’est envenimée. Je lui ai demandé de partir. Il est monté dans sa voiture. J’ai pris une chambre pour une personne, tu pourras le contrôler si tu ne le sais pas déjà par ton réseau d’informateurs. Depuis Sylvain a voulu s’excuser. Il me harcèle au téléphone, dort dans sa voiture devant l’hôtel. Tu as devant toi une femme humiliée, brisée, consciente de son erreur, de sa faute, qui te supplie de pardonner tout le mal qu’elle t’a fait, résolue à ne plus recommencer. Garde-moi. Si je te dégoûte, relègue-moi dans la chambre d’amis, je serai ta bonne, ta femme de ménage, je ferai tout ce que tu voudras, je serai l’ombre de ton ombre. Mais ne me chasse pas. Le risque de te perdre m’a révélé combien je t’aime et combien j’ai besoin de toi pour être heureuse.
Elle est la deuxième à faire cette proposition d’être ma servante pour demeurer avec moi.
-Comment as-tu pu?
-Pourquoi m’as-tu laissée seule en face de ce jeune loup? J’aurais dû être plus forte; si tu étais resté à mes côtés, j’aurais résisté. Je ne t’accuse pas de ma faute, mais un couple affronte les difficultés uni. Quand tu as quitté la maison, j’ai cru que tu ne m’aimais plus. Quand Sylvain m’a appris que tu lui avais conseillé de foncer pour me conquérir, je me suis sentie trahie. Abattue, j’ai cédé. Le lendemain, il m’a convoquée en menaçant de me dénoncer. Aujourd’hui je ne sors pas des bras de Sylvain, nous avons rompu mercredi soir. Tu ne dois pas craindre de noyer ta verge dans son sperme.
-Tu as aussi rompu avec moi en quittant cette maison pour aller filer le parfait amour avec ton escroc. De mon côté, j’ai pris des engagements envers une autre femme, celle que tu as vue entrer par le garage. Accepteras-tu de me partager avec elle? Elle est jolie, intelligent, travailleuse, sensible et amoureuse de moi.
-Comme je vois tu n’as pas tardé à me remplacer. Il y a longtemps que tu la connais? C’est pour elle que tu m’as jetée dans les bras de Sylvain!
-Cela soulagerait ta conscience! C’est une collègue des impôts. Elle est venu m’avertir de ta migraine, était inquiète pour ta santé, a voulu m’accompagner pour m’aider à te soigner et a découvert avec moi quel remède tu utilisais pour guérir. Comme moi elle vous a vus gigoter, vous mélanger, elle a vu Sylvain te planter sa seringue entre les cuisses, elle t’a vu courir vers ton bidet, poursuivie par un amateur de belles fesses, et elle a entendu vos râles de plaisir et votre conversation. En même temps que moi elle a appris que tu avais des amants depuis toujours, que j’étais, mari constamment trompé, ton fil rouge.
-Tu as entendu ces propos. Je t’ai déjà expliqué que je me vantais pour me donner de l’importance aux yeux de Sylvain. Mais c’est faux, je n’ai pas eu d’autres hommes.

-Cette jeune femme a compati, a voulu me consoler. Elle a été très déçue d’apprendre que tu comptais utiliser son appartement pour vous envoyer en l’air. J’ai cru comprendre qu’elle te vouait une forme d’amour fort mal partagée.
-C’est Margot!
-Tu l’as blessée gravement. Elle occupe en ton absence la fonction de gouvernante délaissée par une épouse en goguette en compagnie d’un amant. Elle s’est retirée hier pour trois jours. Mercredi elle reprendra place dans la chambre d’amis. Je ne peux donc pas t’attribuer cette chambre.
-Autrement dit, elle n’est pas ta maîtresse?
-Elle a vocation à le devenir puis à m’épouser après notre éventuel divorce.
-J’accepte de te partager avec elle, même si tu ne m’accordes qu’un jour de temps à autre dans ton lit.
- Encore tes foutues idées de partage, tu es contaminée. Que décider? Si Margot garde la chambre d’amis, je n’ai qu’une place pour toi. Viens dans mon lit fêter ton retour, j’en prends le risque. Margot comprendra, elle veut mon bonheur. Mon bonheur c’est un peu toi, malgré les cahots. Tu m’as donné tant de plaisir en quatorze ans. Je vais te faire l’amour, te baiser, te sauter, te tringler, t’enfiler, te culbuter, te défoncer, te mettre, te prendre, te posséder, te faire jouir jusqu’à plus soif. Je ne pourrais pas vivre sans toi, tu es irremplaçable. Mais effectivement tu devras me partager avec Margot. C’est à prendre ou à laisser.

Etrange: qui n'a pas su garder une femme pourrait en satisfaire deux? Prétentieux, les cornes se portent par paires.
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Histoire de Veilleur

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