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Anthologie de mes plaisirs (2/5)

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Lue : 2193 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/04/2017

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Chapitre 2 : l’adolescence (16-18 ans), la vraie.
L’année de mes 15 ans, j’étais seule au collège. Romain, Théo et Estelle étaient au lycée. Je savais depuis l’année passée qu’Estelle appréciait mon frère mais rien ne s’était passé entre eux alors que moi j’avais encore en mémoire le baiser de Théo…

Nous avions continué Estelle et moi à nous faire jouir de temps à autre mais nous sentions l’une et l’autre d’autres envies. J’ai commencé l’été seule, les garçons ayant les premières épreuves du bac et Estelle étant partie quelques jours chez une tante. C’est lors d’une de ces fins d’après-midi où, comme je sortais de l’eau, j’ai vu Théo arriver seul ; il était passé en premier pour les épreuves orales. Je lui ai demandé s’il voulait se baigner avec moi mais il m’a répondu qu’il n’avait pas son maillot. Je me suis donc allongée sur mon rocher préféré et il est venu s’asseoir à mes côtés. Nous parlions de tout et de rien et, tout en parlant, il s’est allongé à côté de moi et a promené le bout de ses doigts sur mon ventre ; très vite je me suis contractée sous le plaisir de la caresse. Il s’est aussitôt arrêté croyant que j’étais gênée et que je ne voulais pas. J’ai pris sa main et l’ai posée sur mon ventre en lui disant que j’aimais beaucoup sa douceur. Il a repris ses caresses descendant jusqu’à l’élastique du bas du maillot et remontant jusqu’au décolleté du soutien-gorge sans jamais pour autant s’aventurer sur mes seins. Il m’a alors demandé si je lui en voulais toujours pour le baiser osé qu’il m’avait infligé 3 ans plus tôt. Je lui ai répondu que non et, sans réfléchir, lui ai dit qu’il pourrait réessayer. Il s’est aussitôt penché vers moi et m’a embrassée. Quand il s’est arrêté pour voir ma réaction, je me suis redressée et lui ai mis sa main sur mon soutien-gorge. Ses yeux ont pétillé puis il s’est empressé de m’embrasser en me malaxant les seins ; je lui ai vite demandé d’arrêter mais l’ai rassuré en lui disant qu’il fallait juste me caresser. Il a recommencé et a très vite rentré la main dans le haut du maillot ; c’était délicieux mais comme la journée se terminait et que les autres allaient nous chercher je lui ai dit qu’il fallait rentrer. J’ai commencé à m’essuyer mais n’ai pas voulu me mettre nue devant lui et nous sommes rentrés sagement main dans la main. Il semblait être sur un petit nuage et j’ai alors découvert l’effet que je lui faisais.
Le lendemain nous étions tous les quatre dans l’eau mais Théo n’osait pas trop me toucher devant mon frère. Il n’y eut pas d’autre baiser, mon frère étant tout le temps avec nous.
Quelques jours plus tard, Estelle nous a rejoint. Après notre première baignade commune, j’ai dit à Estelle qu’elle devait rester avec moi pour parler. Nous sommes rentrées lentement, laissant les garçons aller de l’avant et je lui ai raconté mon baiser avec son frère craignant qu’elle n’en soit fâchée… Au contraire, elle s’est montrée ravie et m’a aussitôt demandé si je lui permettais de draguer mon frère. Quand j’ai acquiescé, elle m’a embrassée à pleine bouche et m’a juste dit que l’été allait être fantastique.
Deux jours plus tard, alors que nous prenions le chemin de la crique, Estelle m’a demandé de trainer un peu en gardant Théo. J’ai discrètement attrapé la main de Théo et l’ai ralenti pendant qu’Estelle se mettait en grande conversation avec Romain. Théo semblait ravi mais craignait qu’Estelle et Romain ne nous remarque. Je lui ai alors demandé s’il avait toujours envie de m’embrasser. Il s’est immédiatement tourné vers moi et, après s’être assuré que nul ne nous voyait, m’a enlacée pour me prendre à pleine bouche, une main sur mes fesses. Nous sommes allés ainsi à petits pas et, en arrivant à la crique, avons pu surprendre Estelle et Romain, déjà en tenue, en train de s’embrasser. Mon frère semblait gêné en me regardant. Je me suis alors pendue au cou de Théo et l’ai embrassé, dissipant ainsi tout malentendu. Nous avons éclaté de rire ensemble. La baignade a été plus joyeuse et les chahuts beaucoup plus appuyés ; Théo a même osé mettre une main sous le maillot, sur mes fesses… Sortis de l’eau nous nous sommes allongés, Estelle et moi au centre, sur le dos, nous tenant par la main, Théo à ma droite tourné vers moi et observant mon corps et mon frère, Romain à la gauche d’Estelle, appuyé sur un coude, tourné vers elle. Alors que la conversation commençait à languir, mon frère a commencé à caresser le ventre d’Estelle qui m’a serré la main pour me faire comprendre qu’elle aimait ; c’était le signal qu’attendait Théo pour en faire autant. L’après-midi tirait à sa fin et, comme je pensais qu’il allait être temps de se changer, Estelle s’est levée en demandant à Romain s’il voulait bien lui sécher le dos ; il l’a suivie derrière notre rocher vestiaire. J’ai alors proposé à Théo de m’en faire autant ; je lui ai tourné le dos et ai défait mon haut ; j’ai levé mes bras au-dessus de ma tête en lui disant qu’il pouvait faire mes aisselles… je n’ignorais pas qu’il aurait une jolie vue… Le bout de ses doigts, dépassant de la serviette comme par hasard, a caressé le côté de mes seins, que c’était doux ! Avant que ses gestes ne s’enhardissent, je lui ai dit qu’il pouvait baisser ma culotte et m’essuyer les fesses mais sans me toucher ! Il s’est exécuté et j’ai levé mes jambes une à une, les écartant un peu pour qu’il me retire ce bas de maillot. La serviette est descendue sur mes cuisses, légèrement entre elles mais ses doigts sont restés sages. Je lui ai alors demandé s’il avait envie de me rhabiller en restant toujours derrière moi. Il m’a dit oui avec une voix que je ne lui connaissais pas… Il a attrapé ma culotte et l’a remontée très lentement ; au moment de finir, il m’a dit que j’avais de jolies fesses et a passé sa main dessus ; je l’ai laissé faire car il n’a pas insisté. Il s’est ensuite saisi de mon short qu’il a remonté en mettant ses mains à l’intérieur de manière à être obligé de me caresser les jambes, toujours sans insister et j’ai aimé qu’il n’aille ni trop vite ni trop loin. Au moment où il s’emparait de mon soutien-gorge, je me suis retournée vers lui et lui ai demandé s’il voulait que je le sèche avant qu’il ne finisse de m’habiller. Il est resté sans voix fixant mes seins ; souriant, j’ai posé un baiser sur ses lèvres et me suis emparée de sa serviette. Je suis passée derrière lui, l’ai rapidement déculotté et ai commencé à l’essuyer, sans jamais le caresser ; arrivée à ses fesses, j’ai continué comme si tout était naturel et lui ai essuyé les jambes n’hésitant pas à passer entre… Il restait immobile et silencieux. Je me suis mise devant lui en plaquant la serviette sur son torse et lui ai demandé si je continuais. C’est dans un souffle rauque qu’il a acquiescé. Je suis descendue lentement et me suis emparée de son sexe à travers la serviette. A ce moment-là, il m’a arrêtée, m’a prise par le bras pour me relever et m’a embrassée fougueusement en me caressant les seins. Mes tétons n’ont pas tardé à réagir. J’ai alors fait cesser ce baiser, me suis éloignée d’un pas et lui ai dit que nous devrions nous habiller non sans me rincer l’œil sur son sexe que je découvrais ; il semblait raide et turgescent… Une fois habillés, nous nous sommes embrassés, c’est alors que Romain et Estelle sont réapparus, les yeux brillants. Mains emmêlées, nous sommes rentrés heureux. Peu avant d’arriver chez nous, Romain a demandé à Estelle et Théo s’ils avaient une tente que nous pourrions monter à côté de la nôtre au fond de notre grand jardin ; les parents seraient d’accord dès lors qu’il y avait une tente pour les filles et une pour les garçons. Aussitôt proposé, aussitôt adopté.
Pendant que Romain et Théo partaient chercher la seconde tente, Estelle et moi montions la première. C’est à ce moment-là qu’elle m’a demandé jusqu’où j’étais allée… Je lui ai tout raconté en lui précisant que je ne me sentais pas prête à faire l’amour. Elle m’a dit qu’elle en avait fait un peu plus puisqu’elle s’était montrée entièrement nue et avait autorisé Romain à la caresser mais qu’elle ne savait pas encore s’ils feraient l’amour, les deux hésitant.
Les garçons sont revenus en disant qu’ils avaient une autorisation pour une semaine et que si nous voulions une deuxième semaine, il faudrait changer de maison pour que mes parents n’aient pas à tous nous nourrir tout le temps.
Nous avons passé une bonne soirée dans la maison en jouant à un jeu de société puis, après un passage par la salle de bain, nous sommes partis rejoindre nos tentes où nous nous sommes mis en pyjama ; à peine étions nous prêtes que Romain est venu dans notre tente et m’a demandé si je voulais bien rejoindre Théo ce que je fis volontiers mais avec quand même un peu d’appréhension. Arrivée dans l’autre tente, Théo m’attendait, torse nu en ayant enfilé un short de pyjama. Je me suis mise à genou devant lui et ai enlevé mon haut avant de l’embrasser, ses mains se promenant sur mes seins aussitôt en érection… Je me suis vite arrêtée et lui ai dit qu’avant de continuer, je voulais une mise au net. Je lui ai expliqué qui j’aimais son contact, ses baisers, ses caresses mais que je n’avais pas envie de faire l’amour, seulement de le sentir jouer avec mon corps et, moi, de jouer avec le sien. Il a mis une main sur ma joue et m’a promis qu’il ne ferait que ce que je l’autoriserai à faire. Heureuse et lui faisant confiance, je me suis allongée sur le ventre, en appui sur mes coudes et ai placé une de ses mains sur le sein le plus proche qu’il s’est empressé de caresser. Je lui ai dit qu’il pouvait aussi me caresser les fesses et il a aussitôt passé sa main dans mon short ; j’attendais plus. Je lui ai dit que s’il avait aimé les voir, je l’autorisai à m’enlever mon short à la condition qu’il soit nu lui aussi. Il a retiré ses mains, s’est déshabillé et a passé les pousses dans l’élastique de mon short ; j’ai aussitôt levé le bassin pour qu’il me déculotte. Il s’est remis à genoux à côté de moi me caressant un sein d’une main et les fesses de l’autre mais ne prenant aucune initiative ; en penchant la tête je pouvais découvrir son sexe en érection. J’ai vite compris qu’il ne ferait que ce je l’autorisais à faire et qu’il était encore plus novice que moi, vu mon expérience avec Estelle. J’ai alors pris en silence la décision de le guider et lui ai demandé s’il voulait me voir nue de face. Il a acquiescé, les yeux brillant de convoitise. Je me suis retournée, couchée sur le dos et ai mis une main sur sa cuisse, peu loin de son sexe que je voyais mouillé. Je lui ai dit qu’il pouvait toucher tout mon corps et lui ai demandé si je pouvais en faire autant ; tout en parlant, j’ai pris une de ses mains et l’ai posée sur ma foufounette. Son sexe coulait de plus en plus et je suis allé y mouiller mes doigts puis je les ai léchés ; il haletait. J’ai alors mis ma main autour de ce sexe qui me fascinait me demandant comment c’était quand un garçon jouissait… Je n’ai pas eu longtemps à me poser la question car à peine j’avais effleuré ce joli sexe qu’il a laissé échapper de puissants jets d’un liquide tiède et visqueux qui est venu s’étaler sur mon ventre. Théo est devenu tout rouge, honteux et j’ai cru qu’il allait tout arrêter pour s’enfuir. Je lui ai alors demandé si c’était bien ; il m’a alors regardée, étonné que je ne sois pas dégoûtée. Je me suis redressée et l’ai embrassée. Ce baiser fini, il m’a dit qu’il m’aimait et ça m’a fait chaud ; je lui ai répondu : « caresse-moi, partout » et me suis allongée passive. Il m’a essuyée, a légèrement caressé mes seins, mon ventre et s’est attardé sur mon pubis. J’ai écarté les jambes pour qu’il ait un libre accès à mon sexe qu’il est venu effleurer et il a continué mais sans éveiller vraiment mes sens qui étaient pourtant demandeurs… C’est alors que j’ai entendu la fermeture éclair de l’autre tente. J’ai remis mon pyjama, ai embrassé Théo et suis partie en disant bonsoir à mon frère.
Quand je suis rentrée dans notre tente, Estelle était allongée nue. Je lui ai aussitôt demandé comment c’était tout en caressant ses seins que j’aimais beaucoup. Elle m’a dit qu’ils s’étaient beaucoup caressés et qu’ils avaient joui tous les deux. A son tour elle m’a demandé de lui raconter mais en exigeant que je sois aussi nue qu’elle car mes caresses commençaient à lui donner des envies et qu’elle aimait voir mon corps. Je lui ai expliqué l’accord que j’avais conclu avec son frère et la suite des évènements ; elle s’est redressé, m’a allongée et m’a dit qu’elle ne pouvait pas me laisser m’endormir dans ces conditions. Elle m’a alors embrassée et sa bouche a parcouru tout mon corps jusqu’à ce que jouissance s’en suive. Nous nous sommes endormies nues dans les bras l’une de l’autre.
Le lendemain, le réveil fut heureux et le petit déjeuner avec les garçons très gai. La matinée a été occupée à aider mes parents (ménage, vaisselle, cuisine, courses dans le village…) et nous avons tous participé avec entrain. L’après-midi nous sommes passés dans la salle d’eau pour nous préparer pour la plage et sommes partis ensemble, main dans la main avec nos ‘’hommes’’ dès que nous fûmes hors de vue des parents. Arrivés sur la plage, alors que nous étions en maillot, j’ai dit à Estelle, suffisamment fort pour que les garçons entendent, qu’il me semblait logique que l’on soit comme eux torse nu et j’ai aussitôt enlevé mon haut. J’ai vu Romain lorgner sur mes seins, presque gêné ou fâché mais, comme Estelle a enchaîné, il a changé de point de vue. La baignade et les jeux dans l’eau furent très agréable et plus sensuels pour les garçons. Au moment de s’essuyer et de se changer, j’ai pareillement pris l’initiative en disant qu’il n’y avait plus besoin de s’isoler puisque nous étions nus en couple dans les tentes le soir. Là encore Estelle m’a suivie et s’est aussitôt déshabillée en commençant à s’essuyer ; comme Romain voulait l’aider, elle lui a dit en riant « tu toucheras ce soir ». Sur le coup les garçons semblaient un peu plus gênés car face à nos corps nus ils bandaient mais ils n’ont pas osé paraitre moins courageux que nous pour assumer leur corps et ont suivi en accélérant pour s’habiller.
La soirée à la maison s’est vite passée, impatients que nous étions tous les quatre de recommencer nos petits jeux : jouir est addictif. A peine les pyjashorts enfilés que je partais dans la tente des garçons tout en croisant mon frère aussi pressé de rejoindre la nôtre où Estelle l’attendait nue. A peine entrée, je vis que Théo était nu lui aussi et je me suis empressée de me déshabiller avant de me plaquer sur lui pour l’embrasser ; tandis qu’il me rendait mon baiser, une main caressant mes fesses et l’autre sur un sein (savait-il faire autre chose ?), j’ai aussitôt senti son sexe durcir contre ma cuisse. J’ai alors décidé de prendre des initiatives en me disant que si Estelle aimait mes baisers sur son corps il pourrait en être de même pour Théo. Ma bouche a quitté ses lèvres et est descendue sur sa poitrine faisant durcir ses tétons tout en caressant doucement son sexe. J’ai continué mon cheminement buccal vers sa source de plaisir. Arrivée à sa verge, je ne savais pas trop quoi faire mais comme j’avais trouvé agréable le goût de mes doigts la veille, j’ai ouvert la bouche et l’ai sucé comme une glace. Il m’a alors appuyé légèrement sur la tête et je l’ai gobé plus avant tout en continuant mes mouvements de langue. J’ai senti son plaisir monter, son souffle se faisait court et il montait les hanches vers ma bouche. Craignant qu’il ne gicle dans ma bouche, je l’ai lâché et ai repris sa bite dans ma main. Il a alors entouré ma main et l’a faite monter et descendre sur son sexe pour me montrer le mouvement que j’ai aussitôt continué. Il n’a pas tardé à lancer de puissants jets qui sont retombés sur son ventre sauf quelques gouttes qui m’ont touchée le nez. Il s’est alors redressé et m’a embrassée fougueusement en me disant merci. Je me suis assise et, pendant qu’il s’essuyait, je lui ai demandé de m’en faire autant avec sa bouche. Il s’est penché vers moi et m’a embrassée tendrement en me couchant puis ses lèvres ont à leur tour parcouru mon corps ; je les ai guidées sur mes deux seins et sur mon ventre ; quand il est arrivé à mon pubis, j’ai forcé sa tête vers l’intérieur de mes cuisses. Là déjà je mouillais ; je lui ai alors expliqué comment il devait me lécher le sexe d’abord et remonter jusqu’à mon clitoris tout en mettant des doigts dans mon vagin. Vu son inexpérience, ce n’était pas aussi bon qu’avec Estelle (la sensibilité féminine permettant de comprendre rapidement une autre femme), mais sa tendresse et sa volonté palliaient ce manque de savoir et il m’a fait jouir. J’ai vu alors, dans son regard, le bonheur qu’il avait à m’emmener sur ce chemin de plaisir. S’en est suivi un tendre câlin. Je ne me suis pas rhabillée pour rejoindre notre tente, mon frère a fait semblant de s’offusquer en me croisant nue et, au passage, m’a claqué les fesses. J’ai éclaté de rire. Arrivée dans la tente, je me suis jetée dans les bras d’Estelle qui était, comme la veille, restée nue et nous nous sommes racontées la soirée en nous caressant ; le sommeil nous a emportées après avoir à nouveau joui.
L’été s’est vite passé sans que jamais nos jeux sexuels ne débordent ce cadre, Estelle ayant jugé, comme moi, préférable d’attendre avant de faire l’amour. Seuls les jeux de main à la plage ont été plus coquins, certaines baignades se terminant nus, les garçons attrapant les seins et les fesses aussi bien de leur copine que de leur sœur, les filles n’hésitant pas à s’emparer de la verge du premier des deux à portée de main…
La rentrée a vite stoppé nos jeux pris que nous étions par le travail ; Théo et Romain étaient en terminale, Estelle en première et moi en seconde. Mais notre amitié était forte et nos ‘’couples’’ s’affichaient comme existant vis-à-vis des autres : nous n’éprouvions pas le besoin d’autres aventures, pas encore devrais-je dire ! Seule petite différence, la liberté que nous avions de nos corps. A titre d’exemple, mon frère est arrivé un soir dans ma chambre, discrètement, et il m’a expliqué qu’il avait envie de jouir mais que son imagination ne lui suffisait pas à visualiser Estelle ; il m’a demandé si je voulais bien rester nue sur mon lit pendant qu’il se branlait en me regardant. Je l’ai fait mais ne suis pas restée immobile car, moi aussi, je me suis masturbée. Cela ne nous a pas gênés car nous savions qu’entre nous il n’y aurait que des regards…
L’été suivant fut plus court. Les garçons avaient réussi leur baccalauréat et partaient en études supérieures à deux cents kilomètres de la maison. Ils ont donc passé une partie de l’été avec les parents à chercher un appartement ; ils se sont mis en colocation étant dans la même ville, mon frère en IUT génie civil et Théo en licence de langue à la fac. Estelle et moi étant restées seules, nous avons vécu cette période ensemble, nous baignant nues dans la journée et couchant ensemble dans un même lit. Quand tout le monde est rentré, nous avons repris notre camping à deux tentes avec échanges nocturnes… Nous connaissions mieux nos corps et Théo et moi devenions plus adroits à faire jouir l’autre mais nous sommes restés aussi sages. Ce n’est qu’à la fin de l’été, alors que nous sortions de l’eau nus comme nous en avions pris l’habitude, que j’ai eu envie de faire jouir Théo devant sa sœur et mon frère. Il a d’abord repoussé ma main mais ça n’a pas duré quand il a vu sa sœur en faire autant avec Romain. Je me suis mise en 69 au-dessus de lui et ai commencé une fellation comme je savais qu’il les aimait tout en abaissant ma chate sur sa bouche. Estelle m’a aussitôt imitée. Les garçons ont vite joui et nous n’avons pas tardé à suivre. Après un rinçage dans l’eau de mer et nous être habillés, nous sommes rentrés, Estelle et moi main dans la main. Ce soir-là, quand j’ai regagné notre tente, nue comme d’habitude, et que je me suis allongée à côté d’Estelle, elle m’a demandé de me mettre sur le ventre. Et là, me reparlant de l’après-midi, elle m’a dit que je devenais une vraie cochonne et, simultanément, elle m’a claqué les fesses. J’ai voulu me retourner pour protester mais elle s’est allongée sur moi et m’a fessée. Quand mes fesses furent rouges, elle m’a fait l’amour et c’était délicieux. C’était ma première fessée coquine. Elle m’a menacé de recommencer mais devant les garçons si je réitérais mes exercices sexuels en groupe. Dès le lendemain, j’ai voulu la défier ; mais, à peine avais-je posé la main sur le sexe de Théo qu’Estelle et Romain m’ont saisie, posée à l’envers sur les genoux de Théo et, me maintenant chacun d’une main, m’ont fessée ensemble. Sur le coup j’ai commencé par contester mais ce fut peine perdue, les coups pleuvaient à qui mieux mieux. Très vite mes fesses ont chauffé et j’ai senti mon plaisir monter. C’est Estelle qui, me voyant mouiller, a décidé l’arrêt des hostilités et a pris la main de Théo pour la poser sur mon sexe. Il ne lui a pas fallu longtemps pour m’arracher des cris de plaisir ; c’était merveilleux. Théo était abasourdi, Estelle et Romain se caressaient tant mon plaisir avait fait monter leur envie. Mais la soirée s’est finie avec une tente par couple.
Tout au long de mes deux dernières années de lycée, je suis restée sage avec seulement quelques bisous échangés avec des prétendants qui, voyant les garçons partis, me pensaient libres. Seuls nos étés étaient chauds mais tout aussi sages, je ne me suis plus faite fessée, voulant rester dans l’intimité de Théo.
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