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Nouveau départ 2

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Lue : 3546 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/04/2017

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Il m'aura fallu peu de temps pour devenir la maîtresse attitrée de mon patron. Sa jeunesse me fait du bien, je revis dans ses bras et je découvre peu à peu des plaisirs insoupçonnés.

Cela fait désormais 3 mois que je travaille dans cette société. Marc et moi avons une relation régulière mais uniquement au travail, souvent le soir après le départ de tous le monde mais aussi parfois en pleine journée, ajoutant à mon excitation la peur d'être surprise. Marc est un amant viril et très directif, il fait ce qu'il veut de moi. J'aimerais parfois qu'il soit plus doux et qu'il fasse preuve de tendresse. Je ne sais pas quels sont ses sentiments pour moi. De mon côté, c'est plutôt flou mais j'ai tout de même le sentiment d'être tombé amoureuse de lui, et ce malgré nos 18 ans d'écart. J'essaie de ne pas trop lui montrer de peur qu'il cesse tout.

Un soir, alors que je m'apprêtais à aller le rejoindre dans son bureau, j'ai eu le plaisir de voir arriver Carole. Elle avait accouché depuis deux mois, et c'était la première fois qu'elle revenait nous voir à l'entreprise. Jérôme était resté à la maison avec le bébé et elle venait signer des papiers que Marc avait dû lui préparer.

Ce dernier arriva à sa rencontre.
- Carole, quelle bonne surprise!!! je vois que tu as bien récupéré et que tu as récupéré ta ligne, c'est super !!! Je t'ai tout préparé dans mon bureau... Tu peux y aller Brigitte, je fermerais!

Il avait dit cela un peu sèchement et je fus un peu choqué de me faire renvoyer chez moi avec aussi peu de tact. J'attrapais mon sac et un peu agacée, je quittais le bureau. Quel mufle pensais-je en quittant la zone industrielle!! Je me rendis soudain compte que j'avais oublié mon téléphone et décidais de faire demi-tour. Je me garais devant l'entrée, Il avait fermé à clé derrière moi. Je rouvris et récupérais mon portable. Des petits cris provenant du bureau de Marc m'interpellèrent. Je tendais l'oreille et me rapprochais de la porte entrouverte.
Ce que je découvris me dégoûta. Marc était entrain de sauter son ancienne secrétaire sur son bureau. Je voyais les fesses de mon amant aller et venir, son bas-ventre allant claquer sur les fesses de sa partenaire.
- elle t'a manqué ma bite, hein salope... hummm... prends ça !!!
- oh oui continues mon chéri, baises moi bien...

Les deux amants n'avaient pas mis longtemps à retomber dans les bras l'un de l'autre et j'étais écœurée de leur comportement.
Je quittais brusquement les lieux et rentrais chez moi, anéantie par cette révélation. La nuit porta conseil et dès le lendemain, je décidais de ne rien changer à mon comportement mais de stopper toute relation avec Marc... après tout, il n'avait pas besoin de moi!!

Je croisais Jérôme pour lequel j'avais de la compassion, connaissant les secrets de sa femme. Il semblait heureux et je n'aurais jamais pu lui dire la vérité. Amed vint également me voir pour, comme d'habitude me taquiner, et alors que j'avais toujours refusé une quelconque invitation, ce soir là, à sa grande surprise j'acceptais. Il en resta bouche-bée et fut complètement décontenancé.
Du coup au moment où tout le monde est parti, j'ai suivi le petit groupe sous le regard stupéfait de Marc.

Rachid et Eric sont montés avec Amed et j'ai suivi derrière en voiture. Ils m'ont emmené dans un bar où à priori ils avaient leurs habitudes. Il était encore tôt et l'endroit était plutôt calme. On s'est assis à une table et on a commandé des cocktails. Les trois garçons étaient ravis de m'avoir avec eux et on discuta de tout et de rien.
Chacun y alla de sa tournée et les mojito commençaient à sérieusement m'émècher, si bien que je ne me voyais pas conduire pour rentrer. Bien entendu, Amed sauta sur l'occasion et proposa de me raccompagner. Ses deux amis ramèneraient sa voiture.

Je m'installais sur le siège passager et le laissais démarrer. La tête me tournait et je la laissais choir en arrière. Le ronronnement de la voiture me berçait mais la main d'Amed se posant sur ma cuisse me sortit de mes rêves. J'ouvrais les yeux et le regardais. Concentré sur la route, il avait pourtant glisser sa main sur mon genoux et remontait lentement entre mes cuisses. Machinalement je les ouvris, lui laissant tout loisir de poursuivre.
Il ne tarda pas à trouver un coin tranquille à l'écart de la route. Sitôt le moteur coupé, il reprit son exploration et ouvra plus largement mes cuisses. Le fin tissu de mon string fut rapidement écarté et ses doigts se mirent à me caresser. Je fermais les yeux, me concentrant sur la douce chaleur qui m'envahissait. Il repoussa mon siège au maximum et dégrafa mon chemisier, faisant jaillir mes seins. Il les embrassa, les triturant avec ses deux mains. Il se rassit au fond de son siège et descendit son pantalon sur ses chevilles. Je ne lui laissais même pas le temps de dire ouf et me jetais littéralement sur son sexe dur et gonflé. Il était de belle taille et je m'appliquais dessus, caressant par la même occasion ses bourses velues.
Il gémit sous les assauts de ma bouche. La position était inconfortable et je décidais de sortir de la voiture. Il resta un instant sans réaction puis me rejoint dehors. Je pris appuis sur le capot et relevais ma jupe, tapotant mes fesses en signe d'invitation.
- bordel, quel cul... je vais te défoncer salope... murmura-t-il

Ces mots crus m'excitèrent et je le sentis me pénétrer d'un coup. Il me remplissait bien et se mit à me pilonner avec force. Je plongeais ma tête dans mes bras et subissais ses assauts avec délice. Je sentis soudain ses giclées chaudes inonder mon ventre ce qui déclencha immédiatement ma jouissance. Il s'écroula sur moi et m'embrassa dans le cou.

On remonta dans la voiture et il me ramena chez moi. Il garda ma voiture et rentra à son tour chez lui.
Le lendemain il passa me chercher et m'emmena au travail. Marc me vit arriver avec Amed. Son regard me jaugea rapidement et il tourna les talons.
En milieu de matinée, je décidais d'aller le voir et de mettre tout cela sur la table.
Je lui avouais l'avoir surpris avec Carole l'avant veille et qu'il venait juste de recevoir le retour de manivelle.
Il rigola, amusé par la situation. Il s'approcha de moi. J'étais assise et se colla contre moi. Il baissa le zip de sa braguette et me présenta sous les yeux son sexe ramolli. Je lui fis ce petit plaisir et le suçais avec délectation.
Il jouit dans ma bouche et j'avalais tout, lui montrant ainsi l'emprise qu'il avait sur moi.

A partir de ce jour, le regard d'Amed et de ses deux camarades avaient changé. Il avait dû se vanter de m'avoir posséder et je voyais dans le regard de Rachid et Eric l'envie d'y goûter aussi.
Avoir tout ces hommes autour de moi qui me désiraient, me rendait heureuse et m'excitait.

Dans l'après midi, en sortant des toilettes, je tombais sur Rachid qui m'empêcha de sortir. Je le regardais surprise et le poussais gentiment.
- bah alors... je suis pas assez bien moi??? Amed et Marc ont droit à tes faveurs et pas moi?
Je le fixais un court instant et fis un pas en arrière, le laissant pénétrer dans les toilettes. Il ferma la porte à clés derrière lui. Il défit sa ceinture et fit glisser d'un coup son pantalon, dévoilant un caleçon bien rempli. Je l'observais avec un petit air moqueur mais lorsqu'il baissa son sous-vêtement, je restais un instant bouche-bée devant le sexe qu'il venait de dévoiler. Un sexe long pendait entre ses jambes, d'épaisses veines serpentaient dessus et des bourses lourdes pendaient en dessous.
Il le prit à pleine main et me brandit vers moi. Il vit mon air surpris devant ce spécimen de la nature.

- elle ne mord pas... au contraire!! dit il en riant

Je me mis à genoux et ouvris la bouche pour y faire glisser la hampe désormais tendue. Je m'appliquais à le sucer, manquant de m'étouffer avec. Il grossit encore dans ma bouche et une fois tendu à son maximum, il m'aida à me relever et me souleva, posant mes fesses sur le rebord du lavabo. Il écarta mes cuisses et mon string et frotta le gland violacé à l'entrée de mon vagin. Il s'enfonça lentement, profondément. Je le sentais qui m'écartait complètement. Il me fit l'amour lentement, tendrement me faisant rapidement jouir. Je m'accrochais à son cou tandis que son bassin allait et venait en moi. Il me fit jouir deux fois coup sur coup, grâce à un rythme régulier et lent. Il se retira enfin et se caressa avec la même lenteur. Il s'arrêta soudain et de puissants jets de sperme jaillirent, s'écrasant sur mon ventre.

Il se rhabilla rapidement et quitta les lieux sans autre mot.

Fin chapitre 2
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Histoire de LN78

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