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Le client 10

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Lue : 1495 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/04/2017

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Après cela, je vais au lit avec lui, il me comble avec sa langue et ses mains, puis je rejoins mon mari que je réveille pour qu'il s'occupe de moi, je n'ai eu qu'un seul orgasme avec chacun, l'après-midi m'avait déjà pas mal usée, le lendemain matin, on va louer du matériel, le client nous emmène au début du parcours, et nous voilà partis pour plus de 30 km, et jusqu'au lendemain onze heures sur la place d'un petit village.

C'est ce qui est annoncé sur le temps pour débutant, étant encore moins que débutante, je ne suis presque pas chargée, je n'ai que les casse-croûtes pour ce soir et les gâteaux secs pour le lendemain matin, une seule tente, trois duvets et un nécessaire de toilette pour tout le monde, avec le minimum, trousse pharmacie, boussole, carte, etc., c'est l'eau qui était le plus lourd.

J'ai souffert, mon mari un peu moins, le jeune lui, ça allait, au point qu'il connaissait, il nous dit qu'on peut s'arrêter, qu'on a fait le plus dur et qu'il ne reste qu'à peine trois heures de marche pour le village, je les ai très peu ralenti, je bois, j'urine, je bois, j'urine, mais j'étais morte, ils montent la tente, une canadienne deux places.

Je pensais qu'elle aurait été plus grande, avant de manger, je vais me laver, c'est horrible, l'eau est gelée, je fais tout au gant de toilette, sans faire nuit, il fait sombre, et nous sommes à l'ombre maintenant, j'avais emmené une paire de dessous et chaussettes propres, quand je reviens, je suis glacée, les hommes chacun leur tout vont au cour d'eau et nous mangeons notre sandwich qui ne ressemble plus à rien, mais qu'on a englouti.

On se couche, comme les poules, mais la fraiche est tombée et je commence à avoir la chair de poule, le jeune a son duvet et le nôtre est mis en double, je me couche la première en string et soutif, les hommes me rejoignent en se déshabillant dehors, restant en slip, mon mari est gelé aussi quand on se colle l'un à l'autre, je jeune aussi dans son duvet fait des brrr.

Nous discutons, il y a peu d'air dans la tente, obligé d'ouvrir un peu, ce qui n'arrange rien, avec mon mari, nos corps se réchauffent mutuellement, ce n'est pas caniculaire mais ça aide, le jeune lui, a la voix de quelqu'un qui grelotte, mon mari lui demande s'il a froid, mais ne voulant pas faire la chochotte, il dit non, mon mari dit attend, il me découvre, je fais brrr, et me met à sa place, il dit au jeune de sortir de son duvet et je ne sais comment il le zippe avec les nôtres, sauf le bout.

Tu gardes ton slip et tu rentres, on aura plus chaud à trois, il proteste, mais il n'a pas le choix, il ne me colle pas, c'est moi qui lui dis, aller viens, exceptionnellement, vite, j'ai de l'air dans le dos, il approche timidement et quand il est en place, je lui dis de venir encore, "allez colle-moi, vite, j'ai froid, il faisait vraiment froid, en fait, il n'avait jamais fait le parcourt sur deux jours, avec ses copains, ils partaient le matin et ils rentraient le soir.

J'avais la meilleure place, nous étions en cuillère, mon mari à ma droite dans mon bras, lui, il a rarement froid, il racontait des histoires, comme il n'était pas tard, le jeune derrière, n'osait pas dire qu'il avait aussi froid que moi, mais petit à petit, nos chaleurs corporelles avaient chauffé le duvet, je sentais bien qu'il cambrait son bassin, pour ne pas que je sente son sexe, je lui dis, "non, laisse le………, ton bras, il ne me gêne pas".

Comprenant ce que le sens de mes mots sans vraiment en être sur, il se redresse tout doucement, me faisant sentir légèrement son slip tendu, puis de plus en plus, jusqu'au contact maxi, son bras droit était le long de nos corps, le pauvre, je sentais son sexe voulant faire des aller-retour, il donnait des contractions.

Peut-être la demi-heure suivante, mon mari fini son histoire et dit, on retourne le steak, en clair, on change de sens, on était sur le coté droit, et on se met sur la gauche, le jeune se tourne, je me tourne, mon mari me baisse le string dans la foulée, je me doute de ses intentions, je dis au jeune, "heuuu, et bien, c'est vraiment exceptionnelle, ça ne se reproduira" pas nous sommes dans l'obscurité totale, mon mari se tourne à son tour, sans son slip, personne ne dit plus rien, on entend que le bruit de la faune.

Il est temps de dormir, de mon bras, je force le passage pour mettre mon bras sous sa tête, il me laisse faire, j'ai son torse dans ma main, tout sec, jusqu'à maintenant, je ne l'avais eu que mouillé, derrière, mon mari m'avait juste mis son sexe contre, bien évidemment, il savait que le contact me faisait mouiller, surtout avec le jeune à côté, il me pénètre sans forcer, j'avais des doutes sur cette ballade, je n'en ai plus maintenant.

Mon mari, ne m'impose jamais rien, il manœuvre pour que je fasse comme j'ai envie, il sait qu'il y a des choses que je ne ferais pas, au lieu de me soutenir, il me sert la tentation sur un plateau, ce salopard, (il me lit), sais presque mieux que moi, ce dont j'aimerais, je passe mon autre main sous le bras du jeune, je lui caresse le torse, je lui pince les tétons, je caresse son ventre, je remonte.

Il n'a pas de poils, j'ai l'impression de caresser Jane Birkin, en plus musclé, cela ne me déplaît pas, je bouge mes mains et bouge aussi mon bassin, de façon presque imperceptible, mon mari me baise à l'ultra ralenti, la retenue excite davantage, ma bouche est sur la nuque du jeune, je suis presque à jouir, je peine à attendre mon mari, je caresse le jeune, son corps est sur mes seins, je le presse contre.

Quand je sens mon mari jouir, je me lâche à mon tour, faisant un suçon sur l'épaule du jeune qui a compris ce qui m'arrivait, une fois, vidé, reposé, mon mari m'essuie un peu et se tourne, il met moins de cinq minutes à s'endormir, il sait ce que je vais faire, mon mari a une respiration forte, on l'entend, dans mes bras, je sais que le jeune ne dort pas, je lui dis, "tu ne dors pas", il répond non, je dis, "lui si, bon, parlons peu parlons bien, cette nuit, c'est comme le quart d'heure américain, ce qui va se passer, demain, on l'oubliera, d'accord", il fait ouuuui.

Ma main descend, je lui attrape le sexe à travers le tissu, il se cambre, je lui dis, tu veux, il fait un non, en se tendant le sexe sur ma main, je lui dis, ne t'inquiète pas, il dort, et ne se réveillera qu'au son du canon ou à son quota de sommeil terminé, sans trop bouger, il se met sur le dos en profitant de baisser son slip, j'ai eu un orgasme, mais pas suffisamment violent, cette jeune bite qui est en érection pour moi m'excite.

Au début, je le branlais, maintenant, je le tripote, je le branle lentement, je fais durer, ce qui au départ, devait être une branlette hygiénique, se transforme en échange de plaisir, une petite voix me dit d'en finir vite, une autre beaucoup plus forte, me dit de penser au plaisir que je vais avoir, timidement, il pose sa main sur mon sein, je frémis aussitôt, est-ce qu'il le ressent, j'en sais rien, mais devant mon laxisme, il les tripote.

Qu'est-ce que cela est bon, la petite voix qui me demandait d'arrêter, se noie dans mon sexe inondé, je lâche son sexe et dégrafe mon soutif, je me le défais d'un bras, voyant mon acceptation, il me les malaxe, sa main gauche s'active, et avec sa droite, il me touche du revers, je le branle au ralenti, je veux que ce moment dure au maximum, après s'être enivré de mes seins, je sens sa main droite descendre et me caresser le ventre.

Rien que son geste augmente mon excitation, il n'ose pas aller plus bas, je lâche son sexe, et à l'oreille, je lui dis, "continue", il descend plus bas dans le duvet, se mouvant comme un serpent de façon très lente, se tournant en même temps, il remonte sa main qui allait me caresser le sexe, et c'est son autre main qui descend, il me tète un sein et tripote l'autre, je le presse dessus.

Son autre main va entre mes cuisses, le ralenti et la délicatesse de tous nos gestes rendent ceux-ci plus sensuels, avant chaque acte, il y a plus d'attente de celui-ci, son manque d'expérience m'excite autant que l'expérience de mon client, il m'enfonce son doigt, c'est bon, mais j'aimerais qu'il me titille le clito d'abord.

Au diable les convenances, je lui attrape la main, puis le doigt, et je lui fais sentir mon bouton, une fois qu'il l'a senti, il me le fait rouler sous son doigt, comme je le serre contre moi, il ressent le plaisir qu'il me donne, j'ai envie de me lâcher, mais je ne veux pas qu'il sache, que mon mari est d'accord, au moment où je jouis, je lui chuchote de me mettre ses doigts maintenant, et je jouis, j'ai envie de m'empaler sur son sexe, mais il ne le faut pas et l'endroit rend cela impossible.

Je le serre contre moi, contre mes seins, il me sent jouir, la jouissance me fait oublier toute réserve, j'inonde ses doigts, et je lui murmure des "encore" à l'oreille, je consomme pleinement mon orgasme, une fois fini, ma respiration reprise, il remonte un peu, je descends un peu, et je lui embrasse le poitrail en le masturbant.

Il me tripote les seins, puis l'explosion arrive, il veut retenir sa semence, mais je lui dis de tout lâcher, il y a le paquet, j'ai compté cinq soubresauts, son ventre était inondé, j'avais senti ou mon mari avait mis la serviette, je l'attrape pour l'essuyer, une fois notre libido apaisée, la réalité revient à nous, la fraicheur nous rappelle à l'ordre, je me tourne sur mon mari après avoir retiré complètement mon soutif.

Le jeune vient se coller à moi, il m'enlace de ce qu'il peut, me touchant les fesses, je le laisse faire, la chaleur revient, il s'endort, s'en l'avoir vu venir, moi, j'ai dû dormir deux ou trois heures, il fait encore nuit, mon mari à bouger, on se fait face, il dort, je me mets sur le dos, le jeune me tourne le dos, j'essaie de me rendormir, mais la faune est bruyante, je n'y parviens pas, mon mari se retourne encore, je me mets contre lui, dans le même sens.

Dans le même sens, mais plus cambrée, mes jambes sont sur le jeune, il finit par se tourner vers moi, il se réveille, je reste immobile, il vient me coller, sa main sur ma fesse comme avant de dormir, je voulais lui dire que c'était fini, mais sa main était agréable, dans le même temps, je sens aussi, qu'il n'y a pas que lui qui est réveillé, son sexe aussi, il bute entre mes cuisses, il tente de forcer le passage.

N'étant pas en bois, je finis par céder en écartant suffisamment pour qu'il passe, son sexe est sur le mien, cela me fait me cambrer un peu, il le remarque, il fait des aller et venus, son sexe est dur, je suis en train de perdre pied, dans un réflexe ultime, je me dégage en me retournant lentement, il ne fait rien pour m'en empêcher, pendant que je me tournais, il était descendu pour avoir sa tête sur mes seins.

Le contact m'électrise, ma volonté s'amenuise, sa caresse m'excite de plus en plus et quand sa main descend, je pense, "non, il ne faut pas", mais en écartant légèrement ma cuisse, comme la veille, je l'enserre dans mes bras, caressant son corps, sa main est sur mon sein et l'autre sur mon bouton, une troisième main se pose sur ma fesse, mon mari est réveillé et sait ce qui se passe.

Sans crier fort, je suis audible dans mes propos, j'encourage le jeune, je décris ce que je ressens, la situation accentue mon excitation, son doigt sur mon clito s'active suivant ce que j'indique, quand l'orgasme m'arrive, je souffle bien plus fort que la veille.

Avant que je ne sois complètement apaisée, je lui dis de façon à ce que mon mari entende aussi, de se tourner, j'enserre son corps de mes bras, j'adore son corps, connaissant la musique, j'enlace sa main droite, la seule qui peut me tripoter, afin qu'il ne touche pas mon mari, qui profitant de la situation glissante, m'enfile aussi facilement qu'un stylo dans un vase.

Après l'avoir caressé pour mon plaisir, j'attrape son sexe pour le sien, ma bouche est à son oreille, je chuchote de façon audible, du genre, "tu aimes, c'est bon, dis-moi-le", en me dandinant comme si je le baisais, je lui indique que j'aime me frotter à lui, en fait, j'ondule pour la baise de mon mari.

Avec mon mari, nous sommes toujours en phase, nous savons ce que nous aimons, même si souvent, nous profitons de l'ignorance de nos partenaires de jeu, nous avons bonne conscience de penser que ceux-ci n'ont pas à se plaindre de la façon dont nous abusons d'eux.

Le jeune apprécie ce que je lui fais, j'apprécie ce que je lui fais et ce que fait mon mari, quand je sens qu'il va tout lâcher, je lui dis de se laisser aller, et je calque sa jouissance avec la mienne, mon mari en fait autant, tous les trois, nous jouissons ensemble.

Le jeune crie doucement son plaisir, je l'accompagne, mon mari ne dit rien, il se laisse aller, il aime aussi de temps à autre, juste ne penser qu'à sa jouissance, une fois la folie passée, mon mari retire sa limace, le jeune a cracher dans le duvet, il y en a partout, il se sent mal, moi, je continue à caresser son corps.

Mon mari prend la position pour se rendormir, me tournant le dos, la jeune retourne a mes seins qu'il tripote pendant que je caresse son dos, nous nous sommes rendormis ainsi, quand le jour s'est levé, on a eu froid, on s'est plus serré en discutant, il faisait sombre dans la tente, on ne voyait que la fermeture éclair défaite.

J'étais serré contre le jeune que je tripotais, mon mari serré contre moi pour me chauffer, on est resté comme ça pendant une demi-heure, j'ai senti le jeune frissonner, j'ai contrôlé, il bandait à nouveau, on discutait, puis mon mari mettant son slip, dit, je vais me faire un brin de toilette, tu iras après en s'adressant au jeune.

Une fois sorti et éloigné, je me suis mise sur le jeune, l'embrassant au corps toujours, lui me tripotait les seins, je n'ai pas voulu qu'il me suce, j'étais pleine du sperme de mon mari, mais j'ai eu envie de le sucer, en lui disant, ne te retient pas, on n'a pas le temps, il a giclé comme s'il n'avait pas eu d'éjaculation depuis plusieurs jours, quand j'ai senti qu'il venait, je lui ai arrosé le torse.

Après cela, je lui ai dit de se mettre un slip, moi, j'ai fait pareil, le jeune a voulu faire comme mon mari, sortir dehors en slip, mais il ne faisait pas chaud, il grelottait, quand cela a été à mon tour, j'y ai été habillée et je n'avais pas chaud, quand je suis revenu, tout était prêt pour repartir, on n'a pas traîné, la marche nous a réchauffées.

On a déjeuné en marchant, des petits gâteaux secs, nous sommes arrivés au village avec une bonne heure d'avance, nous avons pris thé et café, notre nuit glaciale était derrière nous, le client est arrivé en avance, le jeune était fier de sa nuit, et nous de notre "performance" de ballade.

Le client a voulu rester pour déjeuner le midi, mais je n'ai pas voulu, je me sentais trop sale, on est rentré, j'ai pris un bain, mon mari la douche, le jeune a été chez lui, le téléphone sonne, le client tel un valet, m'apporte le téléphone dans le bain, mon mari était sortit, il veut sortir aussi, mais je lui dis de rester, en lui faisant comprendre de me frotter, il comprend de suite et s'y attelle.

C'était la mère du jeune qui nous demande si nous acceptons pour ce soir, son invitation à dîner, je regarde le client qui me laisse décider, je lui demande, (à sa mère), si notre ami l'est aussi, elle dit évidemment, je dis ok, je raccroche, le client me caresse, mon mari, croyant que je suis seule, rentre comme chez lui, le client, stoppe en reculant, ne sachant pas quoi dire, mon mari sent qu'il a une petite crainte, il lui dit, elle n'est pas belle ma femme, continuez, ne la laissez pas languir, et il repart aussitôt.

Je lui dis, attention, si vous lui désobéissez, il va se fâcher, il reprend son "travail" en disant, "vous avez un mari en or et il a une femme en diamant", cela se voit qu'il a eu peur, je le rassure en lui disant, qu'il ne faut pas, pour me caresser, me faire du bien, il vous remerciera, il n'y a que si vous me faites du mal que là, il sera à craindre, il répond que dans ce cas-là, il ne fera que de me remercier.

Je le sens quand même tendu, (au sens propre), je lui dis de fermer la porte, cela lui convient, je me remets dans le bain et je ressors d'un coup en disant, le jeune, je lui ai dit de revenir, sortez, on reprendra ce soir, j'ai bien réagi, moins de cinq minutes après, il était là, nous avons été dans un petit restaurant, ou c'est mon mari qui a payé plus vite que lui, nous avons visité l'arrière-pays, même le jeune était content, au-delà du fait qu'il était avec moi.

Mon client ne me l'avait pas dit au début, mais il n'était pas rassuré qu'un jeune rentre chez lui, mais il a pu s'apercevoir que j'avais un bon jugement, les deux générations s'entendaient bien, même si parfois son langage n'était pas bourgeois, il restait plus que correct, de plus, il nous a proposé un rafraîchissement et a payé de ses deniers, on n'a pas osé refuser pour ne pas le vexer.

À l'aller, le jeune était derrière avec moi, je m'étais mise au milieu pour regarder la route et discuter, il ne m'a pas touché, au retour, le client lui a laissé la voiture à conduire, il était content, arrivée à la maison, il restait plus d'une heure avant d'aller à notre invitation, le jeune est parti, mon mari a été dans la piscine et à la muscu, j'ai pris mon client par le bras en lui disant qu'il avait un travail à faire et que ça se passait dans sa chambre, il a dit qu'il adorait quand je commandais.

Mon envie n'était pas à ce point, mais je trouvais que j'abusais, que je le délaissais, j'ai pu jouir en criant, sans aucune retenue, le temps nous était compté quand même, il m'a donne deux orgasmes avec sa langue et le gode, je l'ai soulagé d'une fellation, je ne pus m'empêcher de comparer avec le jeune, bandé dur avec recharge rapide, ha vieillesse ennemie.

Nous sommes allé à notre soirée, le jeune avait dit à sa mère que j'allais venir habillée et qu'elle doive faire pareille, elle avait prévu déjà de nous inviter et avait été au coiffeur le matin, quand nous arrivons, le jeune était bien habillé, sa mère sexy sans être trop, le père était en costume également, le client, comme toujours, seul mon mari était décontracté.

Entre femmes, nous nous sommes complimentées, la soirée était très conviviale, le jeune était monté sur ressort, quand il manquait quelque chose sur la table, il se levait avant sa mère, à leur air, il se demandait ce qui se passait, son père à dis pendant qu'il était parti, "vous avez une influence positive", je n'ai pu répondre, il revenait, nous avons beaucoup discuté, à un moment, il s'est senti mal, sa mère lui demande s'il n'a pas eu peur, seul dans sa tente, j'ai répondu aussitôt, que je ne l'ai pas entendu crier.

Ma position resta sérieuse, je n'ai pas voulu faire d'ombre à sa mère, contrairement à mon mari qui l'a maté et ou elle l'a vue et sourie, même si je n'étais pas habillée très sexy, son mari me matait très fréquemment en douce, cela aussi, elle l'a vue, je sentais le couple tendu, cela m'est confirmé quand en nous raccompagnant dehors, quand il a voulu suivre, elle lui a dit, "tu viens pour faire quoi là".

Nous avons pris congé ensuite, mon mari et le jeune, se donnent rendez-vous le lendemain, pour une promenade moto, en rentrant, je dis au client à demain matin, mon mari m'a complètement mis sur les genoux le soir, les aventures sous la tente l'avait excité.

A suivre.
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Histoire de annizette

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