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Anthologie de mes plaisirs (4/5)

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Lue : 1717 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/05/2017

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Le lendemain, j’avais fait de menus achats en vue du diner dont une bouteille de rosé pouvant servir aussi bien d’apéritif que de vin pendant le repas. Coralie étant aussi allée faire des courses, elle est rentrée un peu après moi et est aussitôt venue pour m’aider. Je l’ai alors interpellée :
- Pourquoi restes-tu habillée ? Tu connais mes règles !
- Mais… tu m’as dit que ton copain venait. Mon corps c’est pour toi.
- Non ! La règle c’est en culotte dans l’appartement !
- S’il te plait Aude a-t-elle gémi, les larmes aux yeux.
- Désires-tu que je te punisse ?
Vaincue, elle s’est déshabillée et est venue m’aider à préparer le repas et la table. Quand Théo est arrivé, Coralie est partie vers sa chambre. J’ai fait comme si je ne voyais pas. J’ai accueilli Théo et l’ai embrassé langoureusement. J’ai alors appelé Coralie pour qu’elle vienne le saluer. Elle n’avait pas osé se rhabiller et est venue, le visage baissé, rouge de la tête aux pieds. Je l’ai attrapée par la taille et ai fait les présentations en leur disant de s’embrasser. Comme Théo se penchait pour lui faire la bise sans la toucher, je lui ai dit que j’aimerais qu’il l’embrasse en la caressant et ai claqué les fesses de Coralie en même temps pour lui éviter tout refus. Théo, toujours aussi tendre, l’a enlacée puis l’a embrassée en lui caressant les seins ; j’ai tout de suite vu les tétons de Coralie se redresser. J’ai alors débarrassé Théo de son blouson et nous sommes allés nous asseoir à table. Je tenais toujours Coralie par la taille et je l’ai arrêtée pour l’embrasser en lui caressant les fesses que j’avais dénudées. Comme Théo regardait, je lui ai demandé s’il trouvait qu’elle avait de jolies fesses. Il a acquiescé, enthousiaste. J’ai dit à Coralie qu’elle était très jolie et que j’étais heureuse que Théo la trouve belle. Elle m’a adressé un timide sourire mais s’est empressée de remonter sa culotte.
- Tu n’aimes pas qu’il contemple ton joli cul ?
- C’est… c’est vraiment gênant.
- Veux-tu que nous soyons à égalité avec toi ?
- Si tu veux…
J’ai alors proposé à Théo que nous nous mettions tous les deux en petite tenue. Il s’est exécuté. Nous sommes passés à table ; je suis restée debout pour servir le vin. Théo en a profité pour me caresser les fesses en les dénudant et j’ai souri. Théo m’a demandé les toilettes. En revenant, il s’est arrêté derrière Coralie et s’est emparé de ses seins en lui disant qu’ils étaient très beaux. Elle était interdite, ne savait quoi faire et restait immobile. Théo s’est assis et j’ai demandé à Coralie si elle voulait bien apporter le plat chaud. Quand elle l’a posé, elle était à côté de Théo qui lui a aussitôt caressé les fesses en lui disant qu’il était impatient de la découvrir plus. Une fois de plus elle a rougi mais l’a laissé faire. Quand Coralie est allé chercher le dessert, Théo s’est levé pour venir m’embrasser, j’en ai profité pour lui caresser les fesses en les dénudant aussi afin que Coralie les voit bien. J’ai aidé Coralie à débarrasser et nous sommes revenues vers Théo qui s’était levé. J’ai alors demandé à Coralie de me retirer ma culotte. Je lui ai ensuite dit de retirer la sienne et de bien se montrer à Théo. Nouvelle crise de rougeurs mais acceptation. Je devinais l’érection de Théo et ai dit à Coralie qu’il fallait qu’elle le dénude aussi. Elle osait à peine le toucher. Je lui ai dit de s’agenouiller devant lui et de lui retirer son boxer. Quand le boxer a été enlevé, Théo a présenté son sexe à Coralie en lui demandant de le sucer. Après m’avoir demandé la permission d’un regard, elle a obéi. J’en ai profité pour embrasse Théo qui me caressait de façon insistante. J’ai pris Coralie en main et, après l’avoir allongée, ai commencé un joli cunnilingus pendant que Théo s’occupait de sa bouche et de ses seins. Elle est rapidement montée en puissance, oubliant toute pudeur. Je lui ai alors demandé si elle acceptait d’être pénétrée par Théo ; si elle avait dit non, nous ne l’aurions pas forcée. Mais son oui, en me regardant dans les yeux, a été franc et massif ; elle était en transes, proche du paroxysme… Théo a enfilé rapidement un préservatif, s’est placé entre ses jambes et, sans forcer, l’a pénétrée. Quand il a été à fond, sans qu’elle ait bougé, il a commencé un lent va et vient. Très vite Coralie s’est déchainée du bassin et a joui avec force. Théo s’est retiré sans avoir joui et s’est allongé à ses côtés. J’ai changé moi-même le préservatif et ai enfourché Théo qui a su rapidement faire monter mon plaisir sans lâcher la cuisse de Coralie. Nous avons joui simultanément, les doigts de Théo s’enfonçant dans la cuisse de Coralie au point de la marquer légèrement. Après quelques baisers à trois, Théo est rapidement passé par la salle d’eau et s’est sauvé ayant cours très tôt le lendemain. J’ai gardé un peu Coralie qui s’apprêtait à aller se coucher. Je l’ai caressée avec douceur, la faisant se tendre et lui ai demandé si ce dépucelage lui avait plu. Elle m’a tendrement embrassée en acquiesçant, ne pouvant pas parler car elle jouissait de nouveau. La nuit fut courte mais bonne.
Le week-end suivant, Théo est venu me voir pour me dire combien il avait aimé la soirée et me demander s’il pouvait revoir Coralie sans que j’en prisse ombrage… Je fus très étonnée mais n’en éprouvai aucune jalousie ressentant plus pour Théo de l’amitié que de l’amour. Je lui ai proposé de nous inviter chez lui si son colocataire, un certain Vincent, n’y voyait pas d’inconvénient ; il m’a répondu que je devrais lui plaire.
Le lundi soir, après une dure journée et alors que nous commencions à travailler, Coralie (toujours nue ou quasi en ma présence) m’a dit qu’elle tenait à me remercier pour cette expérience avec Théo et que, si je le voulais, je pouvais la lui faire refaire. Je lui ai aussitôt rétorqué que nous en reparlerions quand elle me déshabillerait. Au moment du coucher, après qu’elle m’ait dénudée comme d’habitude et alors qu’elle voulait me caresser, je l’ai stoppée et lui ai demandé si l’expérience de la semaine précédente elle voulait la recommencer avec n’importe qui ou seulement avec Théo. N’osant pas me contrarier, elle a commencé par dire que c’est moi qui choisirait mais que si c’était avec Théo elle préférait sauf si ça me fâchait. Par principe je l’ai légèrement fessée avant d’éclater de rire et de lui dire que je la trouvais très amoureuse tout d’un coup ! Elle a rougi (des joues après les fesses) puis nous nous sommes enlacées et avons donné beaucoup de liberté à nos doigts. Avant de nous séparer pour un sommeil réparateur, je lui ai dit qu’elle devait me réserver sa soirée du lendemain.
Le mardi, quand nous sommes rentrées à l’appartement, j’ai dit à Coralie que nous dinions à l’extérieur et que, pour l’occasion, je voulais qu’elle porte un string, sa jupe la plus courte possible, un tee-shirt moulant sans mettre de soutif ! Elle m’a regardée étonnée mais m’a aussitôt obéi. Quand elle s’est présentée à moi, je l’ai trouvée fort mignonne (à croquer) et me suis empressée de passer une main sous la jupe pour lui caresser les fesses. Pour ma part, j’avais choisi une jupe presque courte et un haut légèrement ample mais resserré à la taille par une large ceinture. Nous avons chacune enfilé une petite veste et sommes parties. Coralie ne savait toujours pas où je l’emmenais…
Arrivées chez Théo, j’ai sonné. Théo nous a ouvert, m’a embrassé plutôt brièvement et a pris Coralie par la taille pour l’embrasser avec passion, baiser qu’elle lui a aussitôt rendu permettant à Théo de commencer à lui caresser les seins ; il s’est aussitôt rendu compte de l’absence de soutien-gorge et, face à l’insistance de ses caresses, Coralie a éclaté de rire, m’a fait un clin d’œil, et a suffisamment soulevé sont tee-shirt pour que Théo comprenne qu’il pouvait passer la main dessous. S’en est suivi un troisième baiser très chaud. Pendant ce temps, je me suis avancée dans l’appartement. Vincent s’est présenté, j’en ai fait autant et il s’est penché pour une bise ; j’ai juste tourné légèrement la tête pour que nos lèvres se touchent sans plus. Comme il avait l’air de ne savoir que faire pendant que les tourtereaux s’embrassaient de la bouche et des mains (Théo avait déjà une main sous la jupe de Coralie), j’ai demandé à Vincent s’il pouvait me faire visiter leur appartement en lui tendant la main pour qu’il m’emmène. Arrivée dans sa chambre, j’ai défait ma veste et l’ai posée sur son lit ; il m’a regardée en n’hésitant pas à me déshabiller des yeux. Nous sommes revenus alors que Théo avait enfin fait entrer Coralie et qu’il l’emmenait dans sa chambre pour qu’elle puisse poser sa veste. De retour près de moi, Coralie semblait aux anges. Comme Vincent nous servait un verre de vin, j’ai demandé à Coralie si elle avait montré son joli string ; comme elle avait l’air d’hésiter, je lui ai conseillé de le faire immédiatement. Elle s’est levée et a légèrement soulevé sa jupe ; je me suis levée à mon tour, me suis approchée d’elle et lui ai dégrafé la jupe de manière à ce qu’elle tombe à terre. Théo a aussitôt ramassé la jupe et lui a caressé les fesses puis lui a demandé si elle voulait la remettre. Sentant combien elle l’excitait, Coralie a dit non et s’est tournée pour que Vincent profite aussi de son joli cul. Théo est alors allé chercher à manger, Coralie s’est aussitôt levée pour aller l’aider. Vincent qui était derrière moi, en train de finir de me servir du vin, a posé sa bouteille, a mis les mains sur mes épaules en me demandant si moi aussi je portais un string. J’ai ri et ai renversé la tête en arrière pour le regarder dans les yeux. Il s’est penché vers moi et a commencé à m’embrasser. Comme j’ai ouvert la bouche pour qu’il puisse me donner un vrai baiser, j’ai senti ses mains descendre sur ma poitrine. Laissant ses mains sur mes seins, il m’a redemandé si j’avais un string. Je me suis levée et l’ai invité à regarder ; il a soulevé ma jupe pour n’apercevoir qu’une sage culotte (il n’a regardé que les fesses, sinon il l’aurait découverte moins sage). Il a ri et m’a de nouveau embrassée en me disant que je n’avais pas les seins nus alors que les tétons de Coralie étaient bien visibles au moment même où elle revenait avec un plat. Je lui ai rétorqué que, tant qu’il n’aurait pas soulevé le tee-shirt de Coralie, il ne serait pas certain qu’elle soit seins nus… Il s’est retourné vers elle, a mis la main sur ses seins et l’a descendue lascivement vers le bas du tee-shirt en lui demandant s’il pouvait vérifier… Coralie a éclaté de rire et lui a répondu qu’il pourrait le faire quand il serait en slip ! Ni une, ni deux, Vincent était en petite tenue en train de soulever ce tentant tee-shirt. Comme il regardait sans toucher, Coralie a enlevé son tee-shirt, pris la main de Vincent et l’a placée sur sa poitrine lui demandant s’il aimait. Celui-ci, la caressant sans retenue lui a répondu qu’il appréciait énormément et l’a embrassée. Théo étant de retour avec son plat, nous sommes passés à table. Fin du plat, avant le dessert, Vincent se lève et débarrasse. Coralie que je découvre plus excitée que jamais se lève et demande à Théo de se mettre dans la même tenue que Vincent puis elle vient vers moi, se penche et m’embrasse à pleine bouche en passant la main sous ma jupe, entre mes cuisses et en me massant le minou ; je me suis aussitôt emparée de ses jolies fesses pour les caresser ! Elle me dit alors qu’elle me veut nue et, passant à l’acte, elle m’enlève mon tee-shirt puis mon soutien-gorge avant de s’attaquer à ma jupe au moment où Vincent revient avec le dessert qu’il s’empresse de poser pour me mater. Pour l’aider, je me lève mais l’arrête quand elle veut s’attaquer à ma petite culotte. Coralie déclare alors que je suis une petite salope qui a pris plaisir à la déshabiller devant deux garçons et que je mérite donc d’être entièrement nue. Comme je conteste, elle m’attrape les mains et dit à Vincent de me déculotter ; il vient aussitôt derrière moi et s’empresse d’obéir. Je les traite de salauds pervers et reçois de Vincent une claque magistrale sur les fesses qui me coupe la parole. Théo éclate de rire et me dit que j’ai une jolie chatte mais qu’elle n’est prévue qu’après le dessert. Nous nous rasseyons en éclatant tous de rire.
Nous débarrassons la table et alors que nous revenons dans la pièce à vivre, Vincent m’attrape par derrière en me tenant les hanches et me colle à lui. Je tourne la tête vers lui pour qu’il m’embrasse ; il le fait en promenant une main sur mon pubis pendant que l’autre s’attaque à mes seins. Un frisson me parcourt et je me sens toute excitée. Devant nous, Théo et Virginie s’enlacent et s’embrassent tendrement avec des caresses que je devine douces et peu hâtives. Sans changer de posture, Vincent me dit à l’oreille « T’es vraiment une jolie petite salope chaude comme une chienne en chaleur. Tu mérites de te faire baiser. Viens dans ma chambre ». N’attendant pas de réponse de ma part, il me lâche, s’écarte et me claque les fesses en me poussant vers sa chambre. C’est la première fois que je me fais insulter ainsi mais plutôt que de me révolter comme je l’aurais fait en temps normal, je trouve cela excitant ! Nous voici dans sa chambre, je veux me retourner vers lui. Il m’en empêche en me plaquant, ventre en avant, sur son lit et me dit : « une chienne je la veux à quatre pattes ! » en me claquant les fesses une nouvelle fois. Je ne dis rien et obtempère pendant qu’il se dénude. Il se place en côté du lit, je sens son sexe dressé contre mon ventre ; d’une main il m’appuie sur les omoplates pour je sois bien baissée et de l’autre se met à me fesser en me traitant de salope, de petite pute qui déshabille sa copine en public, de chienne en chaleur et tutti quanti ! Je gémis sous la fessée mais, au fur et à mesure que mes fesses rougissent, je sens une douche chaleur envahir mon ventre et mes cuisses s’écartent, trempées tant je mouille… La fessée cesse, je sens Vincent se mettre entre mes jambes, je l’entends enfiler un préservatif et, sans transition, il me pénètre à fond sans prévenir. De surprise je me tends. Il reste immobile et je sens ses mains glisser vers mes seins. C’est trop bon, je me mets à remuer comme une folle pendant qu’il me dit « elle est satisfaite ma petite chienne ? » Je lui réponds oui en gémissant de plaisir ; c’est à ce moment-là qu’il s’est mis à me pilonner violemment. Très vite nous avons joui, lui quelques secondes après moi ! Après, il m’a retournée, m’a embrassée et nous nous sommes caressés tendrement. Il m’a dit qu’il aimerait bien visiter tous mes orifices. Comme j’avais l’air de ne pas comprendre, il m’a demandé si j’accepterais de le sucer ; comme cela ne m’avait pas posé de problème avec Théo, j’ai acquiescé. Puis il m’a dit qu’après il m’enculerait. Face à ma réaction tendue, il m’a dit qu’il me préparerait mais qu’une salope comme moi devait absolument se faire enculer.
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