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Le client 12

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Lue : 1110 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/05/2017

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Le client ne rentre pas, il retourne à la boite, j'écoute son répondeur, car il m'avait donné son autorisation, c'est le jeune qui m'a laissé plusieurs messages, je le rappelle en lui disant que s'il le souhaite, il peut venir se baigner, il est presque à la porte avant que j'aie fini de raccrocher, quand il arrive, il est content que je l'ai appelé, on se fait la bise.

Une fois dans l'eau, il me dit, "imagine, que tu me dises une chose en me faisant promettre de ne pas le dire, que dirais-tu, si je le disais quand même", je lui réponds qu'hier, j'ai fait un caprice et que j'étais en tort, je lui fais une bise pour parapher, je lui dis aussi, imagine, que je te dise que je vais me suicider dés que je serais rentré à paris, qu'est-ce que tu fais, pour respecter ta promesse, tu ne le dis pas à mon mari.

Non, bien sûr qu'il répond, alors je lui dis, hé bien, tu vois, le client, il est mal en ce moment, et je ne sais pas si je vais pouvoir l'aider, mais je vais essayer, lui, il ne dit rien, mais il a fallu que je le devine, alors que si tu me l'avais dit, je l'aurais su avant, et j'aurais fait comme si je le découvrais moi-même, je ne t'aurais pas mouillé.

Tu vois, des fois, il vaut mieux ne pas tenir parole quand c'est pour le bien d'une personne, car moi, je pensais que tu dealais ou avais volé cet argent que tu dépensais pour moi, alors j'ai eu peur hier soir, car pour ne pas que tu me le dises sous la "torture", c'est que cela devait être grave, il se défend de ne pas être comme cela, je lui réponds que je m'en doutais, mais qu'il me laissait le doute.

Tout en se parlant, nous étions proches, l'eau au niveau du slip, je le caressais doucement, il m'en faisait autant, comme ça faisait plus d'une journée d'abstinence sexuelle, je commençais à devenir ultra-sensible, il m'avoue que c'est le client lui a donné l'argent pour me sortir, je lui dis que je m'en suis douté après son départ hier et que je regrettais d'avoir douté de lui.

Me disant que ce n'est pas bien, d'avoir douté de lui, je réponds qu'il ne m'a pas aidé à penser le contraire, mais que je reconnais ma faute, disant cela, il passe derrière moi, il m'attrape les hanches et fait glisser ses mains sur mon ventre, il s'enlace ses mains, il me dit qu'hier, je l'ai torturé de façon inhumaine, sentir ses mains me fait frissonner.

Je fais amende honorable, reconnaissant tous mes torts, il m'enserre de plus en plus et ce que je sens appuyé sur mes fesses ne laisse aucune place au doute, je le laisse faire, il m'embrasse dans le cou et dit, oui, tu as été vilaine avec moi, je lui dis, oui, et tu voudrais que je me fasse pardonner, ben oui, pour être certains que tu regrettes dit-il.

Jouant le jeu, je lui demande ce qu'il faudrait faire pour qu'il me pardonne, il me demande ce qu'il a droit, je lui dis, demande toujours, je verrais, il me répond, non, tien, je le fais doucement et si tu dis non, j'arrête, d'accord dis-je, m'appuyant toujours son sexe sur les fesses, il me lâche et ses mains vont à l'agrafe du haut de mon maillot.

Je le laisse me le défaire, il me l'enlève complètement, il remet ses mains et les remonte tout doucement, m'attrapant les seins à pleine main, je frémis, je lui demande, je suis pardonnée, il répond à moitié, je lui dis en boudant, "non, ce n'est pas assez, je veux y être complètement", il dit d'accord, il s'accroupit et passe ses mains sur mon maillot qu'il baisse, en ne bougeant pas, je dis, "nonnn", heureusement, il ne m'écoute pas, il continue, arrivé en bas, je lève un pied puis l'autre, il le pose avec le soutif, sur le bord.

Il prend son sexe et me le met entre les cuisses, je dis un "non" ferme en me tournant un peu, mais il me dit, "comme l'autre nuit, juste entre", je me remets droite, je sens son sexe, il se branle sur mon entrecuisse, je lui dis, attends, viens, je l'entraîne hors de l'eau, pas question que si le client se baigne, qu'il patauge dans son sperme, on se met à la douche réservé à la piscine.

Sans allumer la lumière, il fait suffisamment clair, on reprend notre pose, il se branle à nouveau, le plaisir m'envahit aussi, l'orgasme est en marche, son sexe est entre mes cuisses et je l'appuie sur le mien, il souffle, et m'embrasse l'épaule et le cou, je baragouine un "pas de suçon", il éjacule en criant, je n'ai pas eu le temps de jouir aussi, je me mets sur mes genoux et je le suce en même temps que je me masturbe, mon orgasme est étouffé par son sexe.

Avant qu'il dise quelque chose, j'ouvre le robinet de douche, l'eau est froide et nous saisi au début, elle devient tiède, on se rince et nous retournons dans la piscine, nous chahutons, nous nous touchons, nous n'avons pas vu le temps passé, une voiture arrive, c'est le client, nous remettons nos maillots.

Le client me sourit et regarde le jeune de façon montrant qu'il n'est pas content, je vois cela à la tête qu'il fait, j'interviens en disant qu'il ne m'a rien dit du tout, que j'ai prêché le faux pour savoir le vrai, le jeune dit, oui, je n'ai rien dit, malgré toutes ses questions, elle croyait même que j'avais volé l'argent, je dis au client, c'est inutile de me mentir, je découvrirais toujours la vérité, je vais faire à manger pour trois.

Après dîner, pendant que le client va à la douche, je fais une pipe au jeune, lui disant que c'est pour qu'il dorme mieux, car demain, je ne serais pas là comme aujourd'hui, quand le client sort, le jeune s'en va chez lui, je file me doucher et me mettre à l'aise, on regarde le premier film en étant serré, le jeune m'ayant excitée et ma masturbation m'a juste calmé un peu.

Ma présence à son bureau lui a remonté le moral, il me caresse, et comme je suis comme un fruit mur prêt à tomber, mes gémissements et ondulations le motivent à s'occuper de moi de façon plus approfondi, il me fait jouir avec sa bouche, j'aurais bien demandé un deuxième service, mais je sens que s'il est mieux qu'hier, qu'il n'est pas comme d'habitude, nous nous endormons et un peu plus tard que la veille, nous partons travailler.

Sur place, il me donne un bureau, quand tout le monde est là, il les fait venir et leur dit, "je vous présente Mme Annie………, elle vient pour essayer de résoudre notre affaire mal partie, alors, vous vous mettrez entièrement à sa disposition", en scrutant tout le monde qui souriaient, un seul riait jaune, j'ai reconnu le trou de balle de notre première affaire.

Il me répond qu'il n'a pas été très correct et s'est comporté comme un idiot, je tends la main et dit, je n'en ai plus aucun souvenir, il me serre la main en me remerciant, en sortant, l'employée rentre, je consulte ce que j'avais déjà vu, mais cette fois, avec la vision exacte du lieu, je cherche, je fouille, je demande des renseignements sur le projet, en clair, je suis au boulot.

Je demande au client qui veut m'emmener au restau de me ramener une pomme et un yaourt, j'insiste et il capitule, je demande à l'employée, qui est-ce qui s'occupe du projet, et bien sûr, c'est mon nouvel ami, (le trou de balle), elle va me le chercher et il me renseigne sur les alentours, sur le projet, les différentes choses utiles à savoir.

La journée se passe ainsi que le soir où nous rentrons tard, rien ne se passe et le lendemain matin, dernière matinée, je retourne sur le terrain avec l'employée qui connaît un peu le projet, et par rapport au plan, je vois le problème du client et en même temps, je vois les soucis que vont avoir aussi une autre société juste en dessous au su de ce que mon nouvel ami m'a dit.
Je regarde le plan à nouveau et je vois une solution, je demande le pourquoi ne pas avoir acheté le lot derrière, elle répond, il n'y a pas eu moyen, le type n'est pas sociable, nous y rendons, elle reste dans la voiture, je regarde et je me dis qu'avec un bout de ce terrain presque vague de ce casseur, il y aurait des soucis en moins, je rentre dans cette casse, et de toutes les voitures, je remarque celle qui roulante.

Mon œil est attiré par la plaque minéralogique, ou plutôt, par la pub sur la plaque, un type arrive, bien aimable au demeurant, mais quand je me présente, il le devient moins, pour détendre l'atmosphère, je lui demande s'il vient de la banlieue parisienne, vous aussi dit-il, je dis, oui, et on a un copain qui se fournissait là (je montre la plaque).

Étonnée et surtout pensant que je bluffe, je lui dis le nom du copain artisan, il dit non d'étonnement, je dis si, je donne son prénom et son surnom, là, étonné toujours, il sourit, disant ce n'est pas vrai, je dis si, et je donne plus d'info, il me donne son surnom à lui, en effet, j'en ai entendu parler, il me dit, que le copain traînait des fois avec tel ou tel types, il me fait des descriptions dont l'un bien sûr, est mon mari.

Je le lui indique, et il me dit, j'en étais sur, quand j'ai vu que vous disiez vrai, tout le monde sait qu'il a une très belle femme, c'est donc vous Annie, je dis hé oui, nous discutons de ce sacré hasard, que devient machin, comment va truc, il veut me faire entrer dans son mobil-home, mais je lui dis que je suis accompagné en montrant la voiture et que je ne voudrais pas que ça jase, je comprends dit-il, mais dit lui de venir.

Je lui dis que je repars à paris cet après-midi, je lui demande, ou est le problème, pour arranger le différent avec les parties, car le projet un peu plus bas, a aussi certaines difficultés qui empêcheront peut-être d'aboutir ou de créer de couteuses modifications, je visite le terrain et dans ma tête une idée germe, je prend congé et lui dis que quand mon mari reviendra, qu'on passera.

Je demande qui est son voisin plus bas, il me donne le nom de celui qui s'en occupe, ainsi que le nom du groupe, hors, il se trouve que le nom cité me parle, je téléphone à ma boite et demande confirmation ainsi que le téléphone de celui que j'avais eu.

J'appelle, je me présente et lui demande s'il est bien concerné par notre sujet, il confirme en disant hélas, je me propose comme celle qui peut, peut être arrangé les choses, un rendez-vous est pris avec lui et mon client pour lundi après midi, j'appelle ma boite, en demandant si je peux rentrer que lundi en disant que l'après-midi, j'ai un rendez-vous avec un projet qui va me prendre plus d'un mois.

L'après-midi, je retourne seule voir le copain inconnu, nous discutons des modalités compensatrices pour qu'il soit arrangeant en cédant du terrain, pour finir, je dirais que j'ai réussi à faire gagner plus de fric, à mes deux clients, à ce copain, à ma boite et avec une prime au démarrage des travaux, et tous les WE de trois jours transports payé.

Ce fameux jeudi donc, je dis au client, que ses ennuis sont terminés, que pour moi, le projet est viable à 80 % et peut être à 120 %, si notre rendez-vous de lundi suit, j'ai l'avantage d'avoir avec ces deux clients, 100 % des projets aboutis et en plus, j'ai déjà travaillé sur une situation similaire, je suis super excitée (professionnellement), je dis au client, que je rentre, et il m'appelle un taxi pour qu'on me ramène.

Je suis contente de ma journée, j'appelle le jeune et ensuite mon mari pour lui dire que je ne rentre que lundi en expliquant pourquoi, et qu'il prévoit quelques vendredis ou lundi de libre, quand le jeune arrive, je suis déjà dans l'eau et nue, je lui dis de ne pas mouiller son maillot, il retire son slip devant moi sans complexe, je fais "hummmm" il se douche.

Il plonge, revient vers moi et plonge pour passer entre mes jambes, en revenant, il fait la planche, sexe dressé et s'approche de moi, je lui dis, tu fais le voilier, puis je lui attrape et le branle, en même temps, je lui demande ce qu'il va faire comme job en juillet, il me répond, travailler à la capitainerie, ce qui laissera des horaires variables.

Dans l'eau, on s'enlace, se caresse, on s'embrasse juste sur le coin des lèvres, on n'entend pas le client arriver, il voit que nous sommes gênés, il nous dit en souriant, ne vous occupez pas de moi, profitez en, c'est pas à mon âge que vous en aurez l'occasion, nous ralentissons nos caresses, nous nous tenons, c'est tout, il nous rejoint en maillot.

On s'excuse, il nous dit, de quoi, d'y avoir la beauté et la jeunesse dans une piscine de vieux con, non, c'est moi qui vous remercie, il me dit que je lui ai redonné de l'espoir et me redemande si je suis certaine de moi, je lui dis, que je saurais lundi, que je jouis d'une bonne réputation auprès de ce client, qu'il m'écoutera attentivement.

Son sourire et ses paroles me rassurent aussi, j'avais craint qu'il ait une sorte de jalousie avec le jeune, mais ça va, il me dira plus tard, que comme cela, j'aurai plus de raison pour revenir, dans la piscine, je tripote le jeune qui se sent gêné.

Je le lâche, et me hissant de l'eau, je m'allonge sur le bord, le client s'approche et lui dit, elle est belle hein, sans répondre verbalement, il fait un signe de la tête, le client me caresse la jambe, le jeune regarde étonné que je laisse faire, je suis sur le dos, il remonte au genou, et dit au jeune, occupe-toi la main.

Le jeune le fait, l'excitation l'emporte, il m'attrape un sein et le caresse, mais je ne suis pas prête à dévoiler au jeune comment je suis, je dis, "ha les hommes, tous pareils", je me lève et plonge, on refait quelques brasses puis le client sort de l'eau, nous restons encore un peu et chahutons, nous nous tripotons aussi, le client revient et nous dit, un restau ce soir, pour nous changer les idées.

Le jeune rentre chez lui et nous appelle pour dire qu'il ne peut pas, car sa mère est seule ce soir, le client dit qu'elle peut venir, il nous dit qu'elle ne peut pas, excuse bidon pour ne pas venir, je dis au jeune qu'on arrive, j'avais déjà prise ma douche, et mettre une robe ne m'a pas pris longtemps, je me fais les yeux et nous arrivons chez eux.

Le jeune est prêt, sa mère lui a dit d'y aller, je vois dans les yeux de da mère, qu'elle a pleuré il y a peu, je la pousse a venir en disant que le client a des soucis a son boulot depuis quelques jours et qu'être avec du monde, ça va lui faire du bien, elle finit par accepter et met la même tenue que la dernière fois, je lui dis qu'elle est très jolie dans cette tenue.

Nous avons été à un restaurant moyen, le client voulait faire plaisir, mais je lui ai dit qu'elle risquait d'être mal à l'aise dans celui très classe, je lui dis en même temps, que quand l'affaire sera faite, il va avoir intérêt à prendre un abonnement à ce restaurant.

Après le repas, nous nous promenons et nous discutons entre femmes, le client a comprit mon signe de vouloir être seule avec elle, après quelques minutes de discussions anodines, elle se confit de plus en plus, le couple bat de l'aile, me disant qu'il se vide les couilles, qu'il ne la baise pas quand il rentre de mission, enfin, toute la panoplie de l'homme ayant une maîtresse, et incapable de fournir pour deux.

Elle me dit que son fils ne parle que de moi, je détourne le sujet en disant qu'a moi, il ne voit que par mon mari, ce qui est vrai aussi, je suis monté devant à l'aller, je lui dis de prendre ma place pour le retour, je me mets au milieu pour leur parler, le jeune profite de ma cuisse nue, passe sa main entre mes cuisses que j'écarte au maximum, il arrive à mon sexe qu'il appuie de sa main, je suis tiraillée entre la retenue et le plaisir, mais il a atteint la limite possible.

On les re dépose et nous rentrons, le client a repris du poil de la bête, il me donne trois orgasmes buccaux avec gode et je le fais cracher en finition, nous nous endormons ensuite, il va à son bureau le matin pour s'occuper des autres affaires délaissées, j'y vais aussi, mais plus tard, je prends tous les renseignements, je me constitue un dossier complet avec les plans, nous mangeons le midi ensemble et je rentre, j'appelle le jeune.

Nous chahutons pendant une demi-heure et fatalement, nous nous enserrons, nos mains se parcourent, je craque, je lui dis de venir, on se rince, on se sèche et nous allons dans la chambre, je lui dis de m'attendre et rapporte une boite de capotes que le client a mis avec les godes, je reviens sans lui montrer, je m'allonge sur le dos, et je lui dis, "je suis toute à toi", c'est la première fois que je me donne à un jeune de moi-même.

Je lui dis, on a toute l'après-midi, alors prend ton temps, il me caresse de la cuisse jusqu'aux seins, qu'il malaxe, titillant par moment les tétons, il les suce, m'embrassant le ventre, remontant jusqu'aux seins à nouveau, il redescend, j'attends le moment où il va me faire un cunni, mais la plupart des jeunes sont réticent à cela, pour le moment, il m'embrasse le corps.

Il me retourne, il m'embrasse des jambes à la nuque, en passant par les fesses, je profite de ses caresses, il met sa main entre mes cuisses, je les écarte, il passe sa main sur mon sexe, je pousse un petit gémissement, il me doigte, je bouge mon bassin, hélas pour moi, son inexpérience me laisse sur ma faim, il me retourne encore et continue à me doigter, je gémis, il décide de me baiser.

Avant qu'il se mette en position, je lui montre le préservatif, il comprend qu'il doit l'enfiler pour m'enfiler, une fois mis, il me baise en se couchant sur moi, je le serre dans mes bras, il me lime, son sexe est bien dur, je bouge mon bassin pour profiter au maximum de cette queue bien dure, je me dépêche de jouir avant qu'il ne le fasse avant moi.

Étant en manque de sexe, cela ne tarde pas, quand j'ai presque terminé, il jouit à son tour, en me disant qu'il m'aime, il m'embrasse dans le cou, je lui rappelle qu'il ne me faut pas de suçon en l'encourageant à se vider, une fois fini, je regrette que se soit terminé, il va se nettoyer, quand il revient, on se repose et discutons.

On parle bien sur de la nuit sous la tente, je caresse son corps, je l'embrasse partout, et fatalement jeunesse oblige, son sexe se remet à bander, je joue avec et le prends en bouche, au bout d'un moment, le plaisir lui arrivant, il me stoppe et me dit, mets-toi en position, je vais t'embrocher, pendant qu'il enfile une capote, je me mets à genoux sur le lit, lui tendant mes fesses, afin d'être prise en levrette.

Il me dit, "tu veux comme ça", je dis, " oui", il me répond, "ne te moque pas, c'est la première fois", je lui dis, "c'est pareil, tu verras", il me frotte son sexe sur la chatte et l'anus, je gémis, je mouille d'excitation, il répète plusieurs fois la même chose, puis je le sens qu'il se présente à l'entrée de ma rondelle, je me dis qu'il va s'apercevoir qu'il n'est pas à la bonne porte, mais d'un coup, il force et rentre, je pousse un "houups".

Je me dis qu'il est gonflé, il aurait pu me le demander, mais comme j'adore les hommes qui se servent sans me le demander, cela m'excite encore plus et je profite, apparemment, il en avait envie aussi, je l'encourage à me défoncer encore plus loin et plus vite.

Je me mets en appuis sur ma tête et de ma main, je me roule le clito, il me dit, " Annie, je vais….", je lui coupe la parole en lui disant, "attend, encore un peu, je te dirais", quand je suis prête a jouir, je lui dis, "maintenant va y rempli moi", il accélère, je jouis en criant et il jouit dans la foulée, une fois notre plaisir assouvie, on se laisse tomber sur le dos et on reprend notre souffle.

Quand nous recommençons à parler, il me dit que c'est la première fois qu'il fait cela, je lui réponds que s'il fait ça avec une fille, qu'il est préférable de lui demander avant, en fait, il a cru que je voulais la sodomie parce que je me mettais le cul vers lui, j'ai compris que c'était sa première fois en levrette, il veut s'excuser, mais je lui dis, non, au contraire, on a gagné une étape.

Nous parlons de son travail, du mien, de mes retours le WE et d'un jour en semaine, soit le vendredi, soit le lundi, cela n'est pas encore sur, mais il y a de grande chance, enthousiaste, je lui demande s'il serait d'accord pour passer un test HIV, de cette façon, plus besoin de capote, il me demande s'il pourra même me jouir dans la chatte, je lui dis que c'est le but du test.

On se lève, on se douche et je l'envoie aussitôt en lui donnant l'argent pour qu'il aille là ou il sait y avoir un labo, comme je ne veux pas rester seule, je lui dis de m'emmener chez lui, je serais avec sa mère, nous avons discutées, et se sentant plus en confiance, elle me raconte sa vie sentimentale, puis en vient à sa vie sexuelle, je n'ose dire la mienne, rien que déjà quand je raconte que celle que j'ai avec mon mari, c'est tout juste si elle me croit.

Avec mon mari, c'est cinq fois la semaine, sauf si nous ne sommes que tous les deux sans personne d'autre, cinq fois la semaine dit-elle comme si cela était un prodige, je ne m'étale pas sur les extravagances de mon mari, afin de ne pas nous faire passer pour des pervers, disant que son mari n'a jamais été entreprenant, ni innovateur, de son côté, elle n'étale pas non plus ses envies refoulées.

J'arrive aussi à lui parler de sa façon de se vêtir, de s'entretenir, disant que les hommes aiment avoir une femme élégante, sexy, lui disant que bien souvent, on se laisse aller, je lui dis cela ainsi, afin que cela ne passe pas pour un reproche, car je ne suis pas comme cela, je suis à la maison, pareille qu'au bureau, toujours habillé sexy, élégante, entretenue, elle me répond qu'au début, elle faisait des efforts, mais cela n'y faisait rien.

Avec mon mari, c'est cinq fois la semaine, sauf si nous ne sommes que tous les deux sans personne d'autre, cinq fois la semaine dit-elle comme si cela était un prodige, je ne m'étale pas sur les extravagances de mon mari, afin de ne pas nous faire passer pour des pervers, disant que son mari n'a jamais été entreprenant, ni innovateur, de son côté, elle n'étale pas non plus ses envies refoulées.

Ce qui est faut, car quand nous "libertinions", parmi les hommes seuls, nous ne prenions que les célibataires, c'était une condition non-négociable et nous contrôlions en allant soit chez eux, soit a des heures ou les couples sont ensembles, maintenant, je ne dis pas, que certains n'ont pas passer au travers, en profitant d'une situation particulière dans leur vie avec leur femme.

J'ai eu aussi des exceptions, comme geppetto, mais c'était occasionnel et jamais je n'ai demandé à ce qu'ils divorcent pour me mettre avec, je n'étais pour eux qu'une gourmandise occasionnelle, qui bien souvent boostait leur couple.

J'essaie de lui dire qu'elle se fait des idées, mais elle appuie ses dires par des comportements, des odeurs, des absences à son travail, des performances sexuelles bien en dessous de la moyenne, en fait, elle ne le croit pas, elle le sait et n'ose pas lui dire pour son fils.

J'essaie de lui dire qu'elle se fait des idées, mais elle appuie ses dires par des comportements, des odeurs, des absences à son travail, des performances sexuelles bien en dessous de la moyenne, en fait, elle ne le croit pas, elle le sait et n'ose pas lui dire pour son fils.

Plus je tente d'éloigner une pensée coquine, plus elle me parle de lui, elle pense qu'il voit en moi une très belle femme me dit-elle, je réponds que je pourrais être sa mère, elle me répond que si elle était un homme de son âge, qu'elle me préférerait sans hésitation à ses copines qu'elle connaît, je fais celle étonnée, et elle me dit, "et alors, il aurait raison et puis, ça ne me regarde pas".

Plus je tente d'éloigner une pensée coquine, plus elle me parle de lui, elle pense qu'il voit en moi une très belle femme me dit-elle, je réponds que je pourrais être sa mère, elle me répond que si elle était un homme de son âge, qu'elle me préférerait sans hésitation à ses copines qu'elle connaît, je fais celle étonnée, et elle me dit, "et alors, il aurait raison et puis, ça ne me regarde pas".

Une fois qu'elle la, je lui dis, attendez, qu'avez-vous comme dessous, je la pousse pour qu'elle me montre, en effet, quand je vois ce qu'elle a par rapport à ce j'avais avant que mon client me fournisse, je choisis des bas auto-fixant, et un ensemble string et soutif, je lui fais prendre une paire de chaussures et elle prend une robe, j'ai une idée en tête, mais je lui réserve la surprise.

Son fils sait que si je ne suis plus là, il ira chez le client, nous partons et arriver sur place, je l'oblige à se mettre en maillot puis nous allons nous baigner, elle profite de la piscine chauffée et avec l'eau à bonne température, elle a un beau corps, des seins plus petits que les miens, mais qui sont beaux aussi, comme je vois qu'elle me mate et que je m'en aperçois, je lui dis, mais non, c'est un reflex féminin que de se comparer à une autre qu'on a face à soit.

Rassurée, elle me fait mon éloge, j'ai ça de mieux, ça aussi et encore ici également, je dis stop, vous n'êtes pas moche non plus, nous sommes un peu différentes, mais vous avez de quoi attirer un homme, la fois où on a mangé chez vous, vous avez dû remarquer le regard de mon mari, elle me dit, vous aviez remarqué, je lui dis que je ne suis pas aveugle, elle me dit qu'elle est désolée, je lui dis de quoi, vous lui avez fait plaisir, le plaisir des yeux.

Rajoutant que mon mari en plus est difficile, elle me demande si son mari n'a pas été trop insistant, car elle se doute, qu'il a du souvent me mater, je dis les hommes regardent tous par la fenêtre, mais jamais ce qu'ils ont déjà, en même temps que nous débinions les hommes, son fils arrive, surpris de me voir avec sa mère à l'eau, rejoint-nous lui dis-je.

Rajoutant que mon mari en plus est difficile, elle me demande si son mari n'a pas été trop insistant, car elle se doute, qu'il a du souvent me mater, je dis les hommes regardent tous par la fenêtre, mais jamais ce qu'ils ont déjà, en même temps que nous débinions les hommes, son fils arrive, surpris de me voir avec sa mère à l'eau, rejoint-nous lui dis-je.

Elle était gênée vis-à-vis de moi, je la rassure en disant, bof, c'est rien, ça, c'est la nature, elle retrouve son sourire en disant, quand même, je lui dis, c'est un compliment, à mon âge, de faire cet effet-là, c'est le seul exemple d'un homme qui nous dit la vérité, on rigole, son fils est gêné, je lui saute dessus et à l'abri du regard de sa mère, je lui attrape le sexe.

En le bousculant, je lui dis, voyez a quoi on passe notre temps dans l'eau, j'en profite aussi pour la chahuter, quand elle est dans l'eau, son fils en profite pour me tripoter, j'en fais de même de mon côté, par moment, je frôle sa mère, cela me permet de me rendre compte si elle ne serait pas réceptive au plaisir féminin, en tout cas, rien ne me l'indique, à force de chahut et comme sa mère ne s'en formalise pas, son sexe bandé ne le gêne plus.

Sa mère lui dit, "au moins, je vois que je peux être fière de ce que j'ai mis au monde et que mon fils est devenu un homme normal et en bonne santé", je plaisante en disant, "je ne sais pas si ce baromètre mesurant la santé, n'est pas bloqué, car il indique toujours qu'il fait beau", nous chahutons tous les trois, effleurant sa mère par moment, le tripotant lui, s'il me semble qu'elle se laisse faire, elle ne me rend pas la pareille.

Sa mère lui dit, "au moins, je vois que je peux être fière de ce que j'ai mis au monde et que mon fils est devenu un homme normal et en bonne santé", je plaisante en disant, "je ne sais pas si ce baromètre mesurant la santé, n'est pas bloqué, car il indique toujours qu'il fait beau", nous chahutons tous les trois, effleurant sa mère par moment, le tripotant lui, s'il me semble qu'elle se laisse faire, elle ne me rend pas la pareille.

Ce qu'il en ressort de cette discussion, c'est que son fils et moi, si on veut s'amuser ensemble, on a sa bénédiction, pour le test, il me dit lorsque sa mère part aux toilettes, qu'il a rendez-vous lundi matin pour le test, nous continuons de nous amuser, sa mère oublie ses soucis, le client arrive, disant que ça va lui faire drôle la semaine prochaine, sa maison va être triste.

Le lui dis, restau ce soir, tous les quatre, elle répond qu'elle ne veut pas s'imposer, nous sortons de l'eau, le jeune retourne chez lui se changer, je vais à la douche la première, elle y va ensuite, mais sans ses affaires, je lui donne un peignoir et emmène ses affaires dans ma chambre, quand elle arrive, je suis en dessous, elle fait "ho pardon", mais je lui dis de rentrer, je ferme la porte derrière elle.

Je lui dis de s'habiller et lui retire le peignoir en disant aller pas de chichi, on est entre femmes, je suis en petite tenue aussi, je la vois nue et je me dis que si un jour, elle se retrouve seule, mon mari va s'en occuper, je l'aide à s'habiller, elle n'est pas réticente à mes touchers quand je l'aide à ajuster son string derrière et que j'accroche son soutif, je lui aurais bien prêté un porte-jarretelle, mais mes bas sont trop petits pour elle.

Quand elle va pour enfiler sa robe, je dis non, j'en ai une qui est limite trop longue et ou je nage un peu dedans, je lui dis, enfilez ça, elle la met, elle lui colle un peu, cela reste raisonnable, je m'habille aussi, elle m'aide, mais ne me touche pas comme je le faisais, le client est à la douche, on se chausse afin d'être plus sexy qu'en chausson, une fois habillé, même si elle n'est pas au top comme ma copine marie (voir vengeance heureuse d'un cocu), elle n'a rien d'un thon, ou d'un cageot, c'est une femme dont on se retourne sur elle.

Quand le client nous voit, il nous dit qu'il va nous faire honte, quand le fils arrive, il s'écrie, "wouaa, maman", je lui dis, tu as vu ta mère, ce n'est pas encore une mamy, nous sortons et en voiture, elle monte devant avec le client, comme il fait jour, nous restons sages, nous arrivons à un restaurant classe, sans être ultra chic, rien de spécial au restau, nous allons ensuite dans un autre restaurant avec une salle de danse.

On prend une table et les consommations, je l'invite en lui disant, on s'échauffe entre filles, en dansant, je lui dis, je peux vous confier un secret, elle me dit oui, je lui dis que le client a tendance à de façon très discrète bien sûr, d'avoir les mains baladeuses, elle fait celle surprise, mais je lui dis, que moi, j'aime bien, et qu'il est discret, il ne nous culbute pas sur la piste, il fait ça en cachette à l'abri des regards, elle me dit, quand même, je lui dis que son fils aussi a les mains baladeuses, et que ce n'est pas déplaisant de se faire frissonner.

Elle me dit, mais il fait quoi exactement, je joins le geste, je descends mes mains sur le haut des fesses, doucement, je lui dis, tu veux qu'il arrête, tu t'écartes légèrement de lui, il n'ira pas plus loin et quand tu veux qu'il gagne encore quelques centimètres, tu te rapproches de lui, c'est toi qui dose ce que tu désires, je lui dis, va-y, fais le que je voie.

Je descends mes mains, elle s'écarte, je lui dis, pas autant, sauf s'il continue, elle se rapproche, je descends encore mes mains, puis je les remonte, elle me dit qu'elle ne s'est pas écartée, je réponds, oui, mais il y a la discrétion, je lui remets en disant, là, personne voie, on tourne et en lui remettant plus bas, je lui dis, là personne ne voie à nouveau et ainsi de suite.

Ensuite, je lui dis, pour la poitrine, c'est plus direct, il faut le serrer plus, comme cela, il sera plus entreprenant, et une fois la danse finie, c'est terminé, il ne reparlera jamais de cela, posant des questions, je lui dis que c'est un code de la danse.

Aller y mettez en pratique dis-je, elle me serre plus, quand c'est possible, je commence à toucher le cote de son sein, elle se desserre, j'arrête en le laissant ma main-là, elle me serre, j'attends le moment et je pousse ma main un peu plus en frôlant son téton avec mon pouce, je sens un sursaut, elle veut se pousser, mais je la retiens et retire ma main quand elle est visible de la salle.

Elle ne me repousse plus et quand on tourne, je reprends son sein à pleine main, je lui dis, "ce n'est pas désagréable, hein", elle ne répond pas, je lui dis, laissez vous faire avec lui, ici, vous ne risquez pas le viol, la danse se termine, les suivantes sont pour les plus jeunes, à la table, je dis au client, au fait, votre dossier, est bien dans la voiture, ce matin, je crois que vous m'avez embarqué mon plan, il me tend les clefs, mais je lui dis que ne veux pas fouiller dans sa sacoche.

Il ne comprend pas, mais il y va, je le suis, à la voiture, je lui explique le code que j'ai indiqué à la mère, la discrétion d'abord, et ce qu'il doit faire, suivant son comportement, nous retournons danser, son fils m'a tripoté discrètement, mais de ce que m'a dit le client, sa mère a été très soft dans ce qu'elle lui a permis, j'aurais peut-être dû lui dire d'être plus insistant, mais ce qui est fait, est fait.

La soirée n'est même pas finie, que le client dit, "j'ai une idée, venez, on va ailleurs", je demande ou, et il me dit que c'est une surprise, nous y allons et devant la gare, il fait des appels de phares à un couple, comme je suis derrière, je ne vois pas parfaitement, mais quand ils s'approchent, je crie, "c'est pas vrai".

Ma copine et mon mari nous attendaient, ils avaient fait le voyage, de mèche avec le client, la copine avait réussi à prendre deux demi-journées en plus du WE, le vendredi après midi et le lundi matin, j'étais super contente, je dis au jeune, toi, c'est moto demain, il fait un "ouais super" peu convaincant de sa joie, nous rentrons, nous discutons, le jeune et sa mère nous quittent et nous allons nous coucher peu après.

Moi, avec mon mari, et la copine avec le client qui s'est occupé d'elle, le lendemain, comme j'avais prévu, motocross pour le jeune et mon mari, le client nous a emmenés en shopping soft, je lui avais dit de ne pas trop se démunir financièrement, de réduire son train de vie, bien évidemment, c'était une excuse pour ne pas qu'il dépense inutilement.

A suivre.
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Histoire de annizette

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