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Appui logistique

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Lue : 896 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2013

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J'ai la réputation tenace d'une sotte. Je souffre du préjugé des blondes. On veut à tout prix me faire payer le prix que je sois jolie. Je suis une aimable potiche. Le plus dur est ce jour où ma belle-sœur m'a rapporté que son frère m'avait épousé pour le seul ornement que j'apportais à sa carrière et à son standing. Il était d'autant plus heureux que les autres le jalousaient d'avoir à son bras un beau lot. J'ai mis ce propos sur le compte d'une femme amère et frustrée qui ne supportait pas que la nature l'ai moins avantagé que moi. En attendant le coup a porté. Elle m'a blessé. J'ai reconsidéré mes premières années de mariage. J'ai peur qu'elle n'ait eu raison. Mon mari depuis la naissance de nos deux seuls enfants me délaisse. Je lui crois une maîtresse à son bureau.


Je n'aurais pas dû accepter ce job. Cependant mon mari crut me faire plaisir en me pistonnant pour ce boulot. Je devais assister des commerciaux de haut vol. Ceux-ci avaient besoin d'une sorte de secrétaire ou d'appui logistique. Ce taf pouvait ne pas paraître compliqué. Il relevait beaucoup d'un certain feeling. Mon mari vit surtout que je pouvais organiser mes horaires, mes plannings et que le salaire fixe était généreux. Surtout il fallait que je sorte de ma relative oisiveté et ne me confine pas à demeurer une stupide mère de famille. Il est vrai j'avais cru devoir me donner à fond pour l'éducation de mes gosses. Ce rôle je croyais me donnerait quelque densité. Ainsi à plus de trente-cinq ans je renouais avec le monde du travail. Il vaut mieux tard que jamais.


Tout partit sur les chapeaux de roues. M Panigel avait cru devoir faire plaisir à un ami et précieux collaborateur. Il tint personnellement à me recevoir le premier jour. Je vis que cet homme détestait mon mari et son cadeau n'était que poison. Il lui importait peu que je fus compétente. Dès la première seconde il me dragua effrontément. Je regrettais déjà que d'avoir mis une jupe trop courte et que des talons si hauts ressortissent ma cambrure et mon cul. A l'étage j'avais eu droit déjà aux regards admiratifs et vicieux de quelques hommes. De même le regard venimeux d'autres femelles me confortait en ma valeur et que je représentais pour elles une notable rivale. Globalement j'en conçus du plaisir. A mon âge je ne relevais pas encore de la casse.


M Panigel ne devait pas être à son coup d'essai. Il dit d'emblée qu'il aimait à éprouver lui-même la valeur des protégées. Il rajouta que la beauté d'une collaboratrice n'était pas pour lui un atout négligeable. J'éprouvais avec désagrément son regard coulant sur mes cuisses tandis que ses paroles étaient proférées telle des balles perdues. Je réalisais peu à peu que mon mari m'avait embarqué dans une galère. Que faire devais-je faire ? Planter là ce gros porc ? Je me souvins qu'une partie du business de mon mec dépendait de celui-ci. Il ne m'appartenait pas en petite sotte de tout foutre en l'air. J'envisageais même avec tristesse que tout fut peut-être convenu avec le mari. J'étais offerte en holocauste au Minotaure. Ce grand bureau n'avait rien d'un labyrinthe. J'eus pu m'en échapper.



Cet homme avait un sens remarquable de l'efficacité. Il ne disposait que d’une simple demi-heure qu'il voulut mettre de suite à contribution. Il voulait me sauter et n'avait pas son temps à perdre. Après qu'il se fut levé du bureau affectant de marcher pour mieux réfléchir et pérorer, il se présenta d'un coup derrière moi commençant à me caresser la nuque. J'eus comme une commotion. L'homme ne me plaisait guère, petit et gros. Je n'étais pas disposée à ce qu'il me pelota. Je fermais les yeux. Je priais en fait pour que tout fût vite achevé. Heureusement je perçus que le porc libérait sa queue. Sa braguette ouverte se signalait au niveau de ma bouche. Je pris hâtivement le sexe entre mes doigts et le branlais et finissais cela par une belle fellation. Je compris que je serais jugée sur la qualité de celle-ci. Impressionné le butor me poussa après contre le bureau.


Je fus besognée durant dix longues minutes. Mon mari ne m'avait guère limé de la sorte depuis un bout de temps. Je pris cela comme un dédommagement. Échange de bons procédés j’avais obtenu sa queue contre ma chatte. Nous nous quittâmes contents. M Panigel manifestant cependant le désir que je vins le voir souvent. Je fus affectée à l'équipe de Lambert, espèce de gorille. Coupe en cheveux de brosse. C'était un ancien militaire. Il croyait devoir gagner la guerre à lui tout seul. Il ne lui plut pas que Panigel m'eût choisi sur des critères incertains encore qu'il devina le traitement qui m'avait été réservée. Peut-être voulut-il s'en venger. Il ferma le bureau et en moins d’une heure j'étais encore à sucer et à me faire défoncer la chatte.


Le soir pour ne pas chagriner monsieur, j'affectais l’enthousiasme. M Panigel était un parfait gentleman et je n'avais qu'à me réjouir qu'il m'eut affecté dans une équipe d'élite. Je n'étais pas mécontent que ce fût un monde d'hommes. Je détestais la compagnie des femmes. Il ne me plaisait pas d'en être la petite reine. Au lieu de cela il apparut que ceux-ci me considéraient plutôt comme une soubrette. Tôt le matin je devais passer sous le bureau afin de contenter ces hommes. Ils avaient tous à déplorer que leur femme n’eut pas été à la hauteur la veille. Je devais donc compenser. Moi-même je n'osais leur avouer le fiasco marital et que j’avais au lit un paresseux. Vous m'eussiez étonné en qualifiant mon comportement de salope. Je pensais contribuer plutôt au dynamisme de l'équipe.



J'adorais par-dessus tout, les visites sur le terrain. Après une longue matinée studieuse, nous avions droit à un bon restau puis cela finissait indifféremment en une chambre d'hôtel ou aux beaux jours par une baise dans les bois. Je prenais de jour en jour un air plus garce. Je prenais quelques rides et un peu d'embonpoint. Je savais compenser cela par du maquillage et un vêtement plus sexy. Panigel perçut cela fort vite. Il me dit la chose explicitement : « Tu es autrement plus salope que l'autre fois. Je te veux comme maîtresse attitrée. Je prends mon pied davantage avec toi qu'avec une simple stagiaire » En effet j'étais l'une des plus demandées ce qui excitait la rage des rivales.
Mon mari semblait ne rien percevoir de mon évolution. Seul lui importait le chiffre d’affaires en expansion.



Tout cela eût été banal si ma carrière n’eut été pourtant ponctuée d'un haut fait d'armes. L'abruti Lambert faillit tout faire capoter d'une importante transaction. Le libanais en général est terrible en affaires. Il ne supporte pas l'à peu près et la médiocrité. A cet égard je pense qu'il y eut erreur stratégique de désigner Lambert comme négociateur. Baroudeur par ailleurs pétri de qualités, il souffrait encore en ce siècle de forts préjugés colonialistes. On eut du mal à faire entendre à ce type que le Liban n'avait rien à voir avec le Maghreb. Le client perçut assez vite l'hostilité et le racisme. Il se braqua. Je minaudais durant cet entretien tentant bien que mal de rattraper. Le type me plaisait. J'aime ces bruns à la peau mat. Peut-être cela acheva-t-il d’irriter et de déstabiliser Lambert.



Ce dernier était prêt d'appeler la direction pour annoncer la catastrophe. Il voulait en imputer la responsabilité à la partie libanaise autiste. Il savait manifestement qu'on ne le croirait pas. Il vit le moment où sa carrière en pourrait être compromise. Tout cela tournait à l'aberrant et au gâchis. Pris d'une lueur soudaine de lucidité, je dis à Lambert de différer son coup de fil. Je voulais jouer le tout pour le tout. Je courrais jusqu'à l'hôtel du libanais et surveiller le passage de celui-ci dans le hall. Une heure après je vis qu'il réglait sa note à la réception. Je m’approchais faisant mine de réclamer un taxi. Il sursauta me croyant parti. Je lui avouais que je m'étais engueulée avec Lambert qui m'avait planté là. Je devais rentrer tant bien que mal sur Saint Quentin. Il se proposa de me raccompagner.


Il était quinze heures. Nous traversions la vallée de Chevreuse. Le temps de Mai était magnifique. Mutine je dis que j'avais envie d'un verre. Khalil ainsi que se nommait mon brun avisât en bordure de bois une sorte d'auberge avec terrasse. Il était évident que je l'avais subjugué. J'avançais à dessein mes pions. J'expliquais crûment que Lambert était un imbécile et qu'il encourait sûrement un limogeage et que du coup moi-même j’allais être entraînée dans sa chute. Khalil en parut désolé. Il n'avait pas voulu me nuire. Il me dit qu'en fait le projet le séduisait mais qu'il n'avait absolument pas goûté les manières du gorille. Je lui dis que je pouvais tout arranger et lui donner tout à l'heure le numéro perso de Panigel. Celui-ci aimait à régler certaines choses en direct. Tout semblait devoir rentrer dans l'ordre.



Dans la voiture Khalil assuré que ma place allait être sauvée s'offrit quelques libertés. Sa main put outre la cuisse aller jusqu'à ma petite culotte. Je me gardais de lui dire que trois heures auparavant celle-ci avait été arrachée par Lambert et que ce dernier m'avait sauté dans ce même bois. Je découvris ce jour-là le parfum de la bite libanaise. Khalil avait une douceur de geste et son style contrastait avec celui de mon militaire. Je n'étais pas mécontente d'être baisée de la sorte. Je soupirais d'aise sous le dais bleu et lumineux du ciel. Un moment un petit écureuil suspendit sa course et affectant au milieu de sa figure une forme de rire. Il devait trouver singulier ce couple où l'homme s'échinait à sodomiser la femelle.
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Histoire de etendard10

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