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Après un accident

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Lue : 2374 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/04/2014

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La voiture d'en face à tort de ne pas s'arrêter au stop. C'est trop tard pour moi. Un grand choc. Quand je me réveille à l'hôpital mes parents mes amis viennent nombreux en prenant un air triste, à croire que je suis fini.

Je reprends rapidement du poil de la bête. La preuve, je commence à bander.
Essayez de rester allongée un long moment sans pouvoir vous décrasser ! Mon infirmier vient faire les pansements. Fort bien. Il passe un gant de toilette vite faite sur mes bras, mes jambes. J'ai un besoin urgent, je ne peux pas lui en parler (quoique peut-être il m'aurait soulagé) Il part en congé une huitaine de jour. C'est une jeune femme avenante qui le remplace. Je suis propre en haut et en bas, pas encore milieu. Elle soulève totalement les draps. Je me retiens comme je peux : je commence à bander.
Ah ! Je vois ce que c'est.
Excusez-moi.
C'est naturel de bander quand on en a besoin.
Je ne le fais pas exprès.
J'aurais préféré, ça montrait au moins que je faisais de l'effet.
J'ai raté mon coup. Je sens ma bite avoir des mouvements bizarres.

Elle me lave autour, le haut des jambes, les mollets, remonte encore. J'espère que ma bandaison ne va pas la décourager. Elle monte très haut, vers les épaules. Elle reste plantée là en haut. Sa main revient vers la tige. Elle passe doucement sur le ventre puis vers le pubis. Je la sens venir avec un doigt de chaque côté. Elle ne peut pas dire qu'elle ne n'a pas vu ma bite qui la nargue. Je soulève le pubis, je le lui montre bien. Qu'est ce qu'elle attend pour au moins me frôler ?
C'est pour moi ?
Oui.
C'est gentil. Je n'ai rien fait pour ! Si, vous me tripotez le corps.
Quoi, ces tous petits riens ? Je vais aller plus fort.
Chiche.

Elle va plus fort, comme elle dit : elle passe bien bas entre mes jambes. Trop bas. Elle attrape mes couilles en souriant, méchamment d'après moi. Un simple touché, et une remontée.
-Vous êtes handicapé ?
-Non, je ne crois pas.
Vous pouvez vous touchez la, euh, le, quoi, le machin.
Pas devant vous, je n'oseras jamais.
Menteur. Je vais voir.
Mais si vous, vous..
Moi ? Je ne touche la bite que de mes amants.
Dommage.
A moins que j'en ai envie.
Et là ?
Elle n'est pas mal.
Alors allez-y !
Oh, doucement, je finis ce que je fais.

Elle passe une serviette pour m'essuyer. Je reste toujours la pine dressée. Elle sait pourtant qu'elle me donne envie, que son sexe, sa bouche ou une main suffirait pour me satisfaire. Enfin elle pose la serviette. Un long regard sur tout mon corps.
Vous bandez encore ?
Branlez moi.
Je ne vous connais pas assez, on verra demain.

Quelle belle garce elle m'excite à mort pour ne rien faire. Elle a dit demain, comme beaucoup de femme. Demain, demain...
Demain est là, entre temps j'ai pu me branler. Je dois avoir des traces de semence sur le ventre ou le drap.
Elle le voit bien, la vache.
C'était bon ?
Quoi ?

La masturbation. J'aime ça moi aussi. Je l'ai fait juste avant venir travailler.
Elle se fout de moi en plus. Surtout elle me fait encore bander quand elle me découvre. Je dois bander plus fort qu'hier puisque je sens le gland sortir de sa cachette.
- Elle est plus belle qu'hier.
Alors prenez là.
Pourquoi faire ?
La caresser, par exemple .
Une simple caresse ?
J'ai mal au bras.
Avec l'autre, alors.

Elle le fait exprès. Si elle ne veut pas me branler, qu'elle le dise franchement, je le ferrais, tant pis.
Non je préfère avec la bouche.
Oui, j'aime ça aussi.
Et pas au con ?
On ne peut pas baiser ici.
Oui, après les visites. Je reviens.

Promesses, promesses. Elle ne reviendra pas, je le sais d'avance.
Le médecin et sa cour passent en vitesse. Je n'ai rien d'attirant, alors on fait vite. Et elle me fait un clin d’œil coquin.
Elle tient parole en fermant la porte pour que personne n'entre. Elle se penche sur moi : sa langue est vite contre la mienne. Elle me fait encore bander. Sa main glisse sous le drap vers mon sexe. Elle me tient bien : elle ne fait que frôler.
Enfin elle relève tout le drap, encore une fois je reste en bandant. Sauf qu'elle se met sur moi, m'écrase de son léger poids. Sa blouse s'ouvre : je la vois en entier, nue ou presque. Elle s'accroupit sur moi. Je sens ses jambes autour des miennes.

Elle a pris ma queue dans sa main. La voilà qui la frotte contre sa chatte. Je commence à prendre mon pied. Elle pose son entrejambes contre la bite. Elle nous branle ensemble. Nom d'un chien qu’elle sait bien me donner du plaisir. Visiblement s'est réciproque : elle lève sa tête vers les cieux. Son soupir n'est pas simulé pas plus que ses spasmes. Elle jouit sans moi dedans.

Je suis plus qu'excité quand elle revient, cette fois elle prend la queue à pleine main. Elle la passe une fois rapidement dans sa fente.
Et là, enfin elle se fait enfiler. Je sens le gland glisser en elle qui me regarde toujours. Elle jouit à peine un peu avant moi.
- Je reviendrais me faire mettre : tu es un bon. Tu me la mettras derrière.
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