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Archibald ou les Mésaventures du Maître du Temps

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Lue : 377 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/06/2021

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Toc toc toc.

Trois coups avaient été frappés à la porte, ces trois coups, bien que légers, étaient en réalité une source d'agacement et d'ennui pour moi, la personne qui avait effectué cette série de coups ne faisait que me prévenir de l'horrible calvaire que j'allais subir. Je m'installai plus confortablement et m'enveloppai plus profondément dans ma lourde couette et je rejetai intérieurement l'existence de ces trois coups.

Toc toc toc toc !

Les trois coups avaient résonné de nouveau sauf qu'un coup de plus avait été rajouté. Ce nouveau coup laissa place à un long silence pesant dans durant lequel je priai silencieusement pour que la personne derrière la porte finisse par se lasser et s'en aille sans insister.

Hélas pour moi, ma prière ne fut pas entendue, la porte s’ouvrit alors violemment laissant apparaître une ombre gigantesque sur le mur auquel je faisais face. Plus les lourds bruits de pas se rapprochaient plus l'ombre menaçante projetée contre le mur s’agrandissait.

Soudain la personne se stoppa net, un long silence s'est alors s’installa, sans qu'aucun bruit ne vînt le troubler quand et, d'un coup, une eau glacée se déversa sur moi, me faisant bondir tout en criant, d'étonnement et de colère.

J'étais trempé mais bouillant de rage ; je fis face à la personne qui se tenait à un pas de mon lit, riant à gorge déployée, un seau d'une dans une main et le téléphone dans l’autre, le flash activé. J’enlevai la couverture à présent trempée qui me couvrait, la repoussant au loin, je descendis de mon lit et je fixai la personne devant moi.

— Allez debout la belle au bois dormant, déclarait la personne en deux fou rire, tu as peut-être oublié mais t'as cours aujourd'hui !

—Le seau d'eau au petit matin était-il vraiment nécessaire ? demandais-je, en le pointant du doigt sans rompre le contact visuel.

—Bien sûr que oui ! Sinon qui serait venu me mettre de bonne hum… te réveiller je veux dire ?

—T'es vraiment pas nette, tu le sais ça ? lui lançai-je, en lui arrachant son téléphone toujours en train de me filmer, et le jetant avant de le jeter sur mon lit.

Elle poussa alors un glapissement de protestation et se précipita sur mon lit dorénavant mouillé pour le récupérer, puis procéda à une rapide mais précise vérification de son téléphone sous tous les angles possibles et inimaginables. Je poussai un soupir et me pinçai l'arête du nez, sentant naître une migraine, je dirigeai mon regard face à la petite commode en bois placée à côté de mon lit, où sur laquelle était posée une horloge électronique rectangulaire.

[ 6h35min34sec... Me réveiller à cette heure est était normal pour elle ??? J’avais encore deux heures avant d'aller en cours et cette petite peste me réveilla m’avait réveillé prétendant que j'allais être en retard. ]

Je me présente, je m'appelle Archibald B. Dulac, j'ai seize ans, actuellement lycéen en première général et déteste ma misérable vie. La raison me demandez-vous ? Ma famille, le lycée et mes tortionnaires.

Celle qui vient de me balancer un seau en pleine figure, en était est un parfait exemple. Elle était est la fille de la sœur de ma mère qui est décédée trois ans plutôt ; ma cousine.

Elle se nommait nomme Zoé Hadjimandi, était âgée de treize ans et est la benjamine de la famille. Zoé était petite de taille et avait une silhouette svelte et élancée, la peau praline et des cheveux mi-longs bouclés de couleur châtain foncé dont les pointes étaient blond-miel.

Elle avaient des sourcils fins et arrondis, une cicatrice figurant figurait sur le son sourcil gauche, des yeux marron foncé, un nez camard couvert d'un pansement, des joues pleines sur un visage en forme de diamant et des lèvres rose moyennement épaisses en forme de pomme.

Elle était vêtue d'un large tee-shirt gris couvert par-dessus d'un grand sweat-shirt gris à capuche zippé ainsi que d'un legging short long, deux en un, qui était noir et portaient portait à ses pieds des socquettes grises.

Capturant encore quelques photos à mon insu, la benjamine a finalement pris congé prit finalement congé satisfaite et laissé laissa la porte grande ouverte. Je poussai un soupir de fatigue et j'ai fermé je fermai la porte derrière elle, j’enlevai mes habits mouillés et les jetais au loin dans un panier marron rempli à ras bord de linges sales linge sale.

Je tournai les talons et me rendit vers le placard, saisissant au passage un nouveau pyjama, mais je pris un instant pour me regarder dans le miroir de la porte du placard. Je ne réalisa pas à quel point je changea depuis que j'avais commencé à vivre chez ma tante il y'as maintenant de cela trois ans trois ans plus tôt.

Je mesurais près d'un mètre quatre-vingt-quatre et pesais près de soixante-dix-huit kilogrammes. Je possédais un physique robuste et très athlétique, j'avais la peau blanche et les cheveux blonds mi-longs lisses et volumineux, coiffés en brosse. J’ai des yeux bleu clair, les sourcils droits peu épais, un nez grec, des joues creuses sur un visage ovale, et des lèvres moyenne rose clair.

— Le temps que je suis debout, j'vais en profiter pour me laver, dis-je pour moi-même en me reniflant l'aisselle.

Je saisis ma serviette accrochée sur la porte du placard, me chaussai de mes pantoufles noires et suis sortis de ma chambre, marchant dans un mince couloir et me stoppai devant la porte à ma gauche, ornée d'une plaque en bois, où y sur laquelle était écrit en majuscule : "SALLE DE BAIN".

Je toquai quelques coups pour m'assurer qu'il n'y avait bel et bien personne, mais aucun bruit ni même une parole ne me vint en retour. J’actionnai donc la poignée et entrai à la va-vite dans la pièce en refermant au plus vite derrière moi et verrouillai la porte, j’accrochai par la même occasion ma serviette sur les crochets fixés en haut de la porte mais me stoppai net.

Il y avait une grande et large serviette noire ornée, en son centre, d'une grande flamme bleue qui figurait sur l'un des crochets, je l’avais déjà vue à mainte reprise ou plutôt je savais qui était en possession de cette serviette dans l'appartement. Je me persuadai tant bien que mal que cette même personne avait juste oublié sa serviette ici vu que je n’avais entendu aucun bruit dans la salle de bain, mais je ne   pus en être certain puisque je n’avais pas pris le temps de vérifier la cabine de douche et que, par-dessus tous, les vitres étaient opaques de l'extérieur.

—Je ne savais pas que tu tenais tant à te prendre une raclée dès le matin Archie, siffla une voix grinçante à mon oreille.

Des frissons me traversèrent instantanément et mes mains devinrent subitement moites. Je tournai doucement ma tête tremblante puis fis face à la personne que j'avais soupçonnée et que je voulus le plus éviter dans cet appartement.

—B.. Bon... Bonjour Tamara, commençais-je d'une voix mal assurée, écoute je ne savais pas que tu étais là et je te jure que je n'avais pas de mauvaises intentions.

— Difficile à croire si tu ne me regardes pas dans les yeux, de un, et ta bite en train de bander, de deux.

[ Faut aussi dire que tu ne me rends pas la tâche aisée ! ]

Tamara Hadjimandi était l'aînée de ses sœurs et était âgée de dix-huit ans. Elle faisait une tête de moins que moi et avait un physique dodu mais musclé. La soeur aînée avait le teint brun couplé d'une chevelure mi-longue, cuivrée, épaisse et bouclée.

A cet instant cette même personne était totalement nue, dégoulinante d'eau et de vapeur, devant moi. Je pouvais difficilement tenter un contact visuel à cause de son alléchante poitrine, de ses courbes rondes sexy ou bien encore de son pubis grossièrement rasé.

Cela dit, je me forçai à la regarder dans les yeux et je vis instantanément ce qui me semblait être une lueur de folie meurtrière et de sadisme, dans ses yeux à moitié couverts de ses cheveux trempés, lui donnant un air encore plus féroce. Sans m'en rendre compte je me plaqua dos contre la porte et ma main, animée d'une volonté propre, cherchait désespérément la poignée et le verrou.

Bam !

Un rapide et puissant coup de poing fusa dans mon estomac et me fit hoqueter de douleur, je tombai lourdement sur mes fesses et ai saisis mon ventre meurtri à deux mains, essayant d'atténuer la douleur, sans succès.

—Tout ce temps passé à squatter chez nous et tu ne peux même pas résister à un seul de mes coups ? Pathétique ! cracha Tamara en me toisant d'un regard noir.

- Kof... Kof... Je suis déso... tentais-je en essayant de la calmer.

Bam !

Tamara ne me laissa même pas le temps de m'excuser, qu'elle me donna un coup de pied avec la même force dévastatrice, mais cette fois en visant ma cage thoracique. De silencieuses larmes de douleur coulèrent le long de mon visage et je me mis à cracher des filets de bave et renifla bruyamment.

— Je ne me lasserai jamais de la merveilleuse sensation de t'avoir comme sac de frappe ambulant, pas toi ? Jubila-t-elle le regard lointain et rêveur, avec un sourire carnassier sur les lèvres.

[ Espèce de psychopathe attardée ! Je ne suis pas un de tes putain de jouet !!! Criai-je intérieurement. ]

Je peinai à essayer de lever ma tête et à la convaincre à nouveau de cesser ce massacre gratuit et sans raison quand, d'un coup, elle posa son pied sur mon entrejambe.

— Intéressant, murmura Tamara d'un ton songeur, tu bandes toujours alors que tu viens de te faire frapper.

[ Ça ne se contrôle pas aussi facilement que tu le penses sale garce ! ]

Tamara accentua la pression sur mon entrejambe et frotta de haut en bas mon pénis, de son pied. Je lâchai un mince gémissement de plaisir, de temps en temps, malgré moi, mais Tamara le remarqua et se mit à sourire de malice puis, sans prévenir, elle précipita ses mains sur mon pantalon et le tira violemment vers elle, enlevant à moitié mon pantalon et mon boxer par la même occasion, qui libéra mon pénis fièrement debout.

[ Gulp ! Elle compte sérieusement... me branler ?! ]

Mon pénis était à présent décalotté. Il était d'une grande longueur mais qui demeurait assez large, mon sexe avait atteint sa véritable forme et qui ne passa pas inaperçu aux yeux de ma cousine. Le gland était rougeâtre et virait presque au violet, le corps du pénis était parcourut dans l'ensemble de veines bombés.

Le sang pulsant à travers eux et battant à plein régime, mes testicules étaient grosses et lourdes, abritant quelques poils éparpillés non atteint par-ci par-là de même que sur mon pubis, indiquant le long temps passer à accumuler une grande quantité de sperme en eux.

Tamara se redressa subitement et ouvrit grand ses yeux de stupeur. Elle ne pouvait détacher ses yeux du spectacle qu'offrait mon phallus qui était tendu comme un arc. Après quelques minutes passant à le contempler elle approcha doucement son pied et s'est mis à le frotter de son pied cette fois-ci plus... sensuellement.

- Eh ben ! Qui aurait cru que dans ce corps de lâche se cacherait une bite aussi mastoc,
hein Archie ?

[ Elle est donc vraiment en train de me masturber avec son pied... et de plus elle semble du plaisir ??? ]

Tamara me fit un mince sourire entre l'amusement et le sadisme, elle trouva sans doute là situation à goût. Ma pensée se révélait être exacte car ses jambes, d'un coup, cédèrent et elle s'est mit à genoux courbant son dos. Elle me branlait de
sa main dominante et saisissait mes couilles et les broyaient fortement de l'autre.

Je retint un cri de surprise et de douleur en me mordant la langue. On passa d'une
situation sensuelle et érotique à la prise d'otage de mon sexe et l'écrasement sans
considération de mes testicules en même pas quelques minutes !

- Tu avais l'air de prendre un peu ton pied, Archie, alors je me suis dit, en bonne branleuse, que je vais te faire un massage que t'est pas prêt d'oublier de si tôt ! Déclara Tamara en resserrant son emprise sur mon sexe.

- T'es vraim... Aïe ! Je... ve... veux dire pas.... Ouille !!! P... pa... pas obligée tu le sais ?
Bordel ! Tu vas me les arrachée si tu continues ! Gémissais-je de douleur en implorant du regard.

[ Tu vas me rendre eunuque à ce train-là oui ! C'est pas une poupée Barbie avec laquelle on s'amuser en la secouant dans tout les sens !!! ]

Je tentais de la repousser, avec mes bras sur ses épaules, au loin mais anticipant mon geste, la Bête goba mon gland et marmonna.

- Tentes encore une fois de me repousser ou oses ne serait-ce que de me toucher et je te
jure que bientôt t'auras rempli l'une des obligations pour être juif !

[ Elle... elle plaisante j'espère là ? Elle ne vas quand même pas m'arracher le gland avec ses dents quand même ??!!! ]

Je retira lentement et calmement mes bras et les tendirent en l'air bien en évidence. Elle lâcha un grognement de satisfaction mais n'enleva pas sa bouche de ma bite pour autant.

Les secondes passaient et mon inquiétude de me retrouver eunuque grandissait, je lui jetai un coup d'œil, de tant à autre, vérifiant si elle ne s'était pas endormit sur ma bite mais ce n'était pas le cas et elle avait l'air plutôt en pleine réflexion.

C'est à ce moment là, que Tamara prit une longue inspiration via ses narines et qu'elle se mit à me faire une pipe.
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