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Hervé...et Jessica

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Lue : 1708 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/06/2021

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Je suis fou de rage, sur le chemin de retour, quand avec Jessica, ma ravissante épouse, rentrons chez nous.
En effet, ce soir, nous étions invités à une soirée organisée par la société de ma femme, à l’occasion du lancement d’un nouveau parfum. Ne faisant pas partie du personnel, j’étais invité en tant que mari d’une employée.
Je passais le plus clair de mon temps au bar, tandis que mon épouse discutait avec des collègues de travail. Ce qui m’inquiétait, c’est que je connaissais la réputation sulfureuse de certains collaborateurs, qui n’hésiteraient pas à se taper ma femme s’ils en avaient l’occasion. Inutile de vous dire, qu’on est pas pote.
La façon qu’ils ont de tourner autour de Jessica, m’impose d’être très vigilent. En plus, sachant que je suis jaloux, Jessica joue de ses charmes, les provoque d’un sourire dévastateur, qui met en valeur ses lèvres pulpeuses.
D’autant que je décèle, ça et là, quelques gestes déplacées.
Pour couronner le tout, ils n’arrêtent pas de l’inviter à danser, entourés d’autres danseurs, qui me cachent la vue. Je devine même, quelques baisers volés. Quand la foule se dissipe, Plus personne.
Un jeune cadre passe devant moi, s’interroge quant à l’absence de Jessica. Il lui répond qu’elle est monté à l’étage, avec Karl et Fred.
Je monte à l’étage, ouvre toutes les portes des bureaux.
Je les découvre dans un salon privé, assis sur un canapé, des dossiers posés sur la table basse. J’ai juste le temps de voir des mains se retirer des cuisses de mon épouse. Surprise, cette dernière me demande ce que je fais là, si je la surveille.
Je suis en train de passer pour un con, planté devant le groupe de travail.

Une fois dans la voiture, je bombarde Jessica de questions.

-C’est quoi ces manières. Tous ces mes qui te tournent autour, tu crois que ça me fait plaisir. Tu veut me faire passer pour un con…
-Mais qu’est-ce que tu vas chercher mon chéri, tu sais bien que c’est toi que j’aime. Puis il ne c’est rien passé.
-A oui...et ces deux connards qui te tenaient par la taille, quand je suis sorti des toilettes. Avoue qu’ils te serraient de près.

Effectivement, en sortants des toilettes, je remarque que deux mecs, non seulement la tiennent par la taille, mais l’un d’eux a glissé une main sous sa robe, et lui murmure à l’oreille.

-Karl et Fred, mais mon amour, tu n’es pas jaloux d’eux, ce sont deux collègues de travail.
-Des collègues de travail...qui te parlaient à l’oreille. Je me demande ce qu’ils pouvaient bien te dire. Ils te draguaient...c’est ça?
-Eh ben oui...ils me draguaient...t’es content.
-Salope...je suis sur que ta chatte est toute mouillée. Fais moi voir.
-Hors de question...tu conduis…
-Oh là…t’as quelque chose à te reprocher. Liasses moi toucher.
-D’accord...vas-y...touches…
- Mais c’est quoi ça...t’as pas de culotte. Et t’es toute trempée. Que s’est-il passé…
-C’est Fred qui me la quittée, pour que Karl puisse mettre un doigt dans la chatte.
-Sale pute...et tu t’es laissé faire.
-C’était tellement bon mon chéri. Se faire branler au milieu de tous ces gens, se faire doigter la clito...de jouir sans que personne ne s’en rende compte, à part eux….quel pied.

Je rentre sous le premier parking souterrain d’un super marché, afin d’avoir une explication sur son comportement de ce soir.
Je vois un filet de lumière sous la porte du vide ordure. Je la tire par les cheveux, bien décidé à calmer ses ardeurs. Et là...surprise.
Un SDF est allongé sur des cartons, à moitié endormi. Il sursaute quand il s’aperçoit que je tiens méchamment Jessica par le cou. Il se lève d’un bloc.

-Mais monsieur, que faites-vous...lâchez cette dame, vous êtes en train de l’étrangler.
-Cette dame, comme vous dites, c’est ma femme, et c’est une pute. Ce soir, elle a offert sa chatte à deux mecs, devant moi.
-A bon, et vous croyez qu’il n’y a pas d’autres moyens de la punir.
-A oui...et lesquels par exemple.
-Vous pourriez la punir en la mettant toute nue, et enl’obligeant à me sucer. Il y a si longtemps qu’on pas tailler une pipe…
-Vôtre proposition est très alléchante. Voir son épouse sucer un clochard, ça doit être très excitant. Qu’en penses-tu ma chéri.
-Jamais ça, s’oppose ma femme...rentrons maintenant, s’il te plaît.

Je passe derrière mon épouse, prend le bustier, et le fait passer, par dessus sa tête. Je caresse les seins bien ferme, aux bouts érigés, les fait rouler entre mes doigts. Lentement, je fais glisser la robe, qui finit sa course au sol. Jessica se trouve entièrement nue, offerte à la vue du SDF, qui n’a pas assez dieux pour la comptempler.
Soumise, elle ne bronche pas, quand l’inconnu avance une main, et commence à la caresser.
Par dessus l’épaule de Jessica, je lui fais signe d’ôter son pantalon. Surgit alors un sexe énorme, qui nous laisse, Jessica et moi, sans voix. Voyant nôtre surprise, un rictus apparaît au coin de ses lèvres.
Tel un automate, Jessica avance une main, et saisit l’énorme queue, qu’elle prend bien soin de décalotter, et la branle. A force de caresses, le membre se développe, pour atteindre une totale érection.
Tout en fixant le sans abri, Jessica s’agenouille, et prend le calibre en bouche. L’inconnu du vide ordure, jette sa tête en arrière, profite de cet instant, qu’il croyait à jamais perdu. Aussi, ne tarde-t-il pas à donner des signes avant coureurs de jouissance, annongant une éruption, que je devine volcanique. Et elle l’est.
Maintenue par des mains fermes qui bloque sa tête, Jessica ne peut se retirer. Elle prend de plein fouet, le sperme qui gicle par jets puissant, dans sa bouche.

-Alors ma chérie, il est bon son jus...avale et nettoie moi tout ça.
-Tu es un enfoiré Hervé. Obligé sa femme à tailler une pipe à un inconnu, faut être un salaud.
-Arr^tes de faire ta sainte ni touche. Avoue que tu as aimé, salope. Allez, brave homme, elle est à toi pour la nuit...profites en……………



Je sors du vide ordure, entièrement nue, supplie Hervé de ne pas me laisser plantée là, au main de cet inconnu. J’ai juste le temps de voir les feux rouges de la voiture, qui quitte le parking.
Je regagne l’intérieur du local, afin de récupérer mes vêtements. Je suis happée par les bras musclés du sans abri, qui me colle au mur. Il serre mon cou, tandis qu’une main parcours mon corps, des seins à la chatte. J’essaie de le résonner pour camer ses ardeurs. Mais il me dit qu’une telle occasion, ne se représentera certainement plus, et qu’il veut en tirer profit. Lentement, il s’allonge sur les cartons, m’entraînant avec lui. Sa queue, dressée au plafond, est impressionnante de vigueur. Il me prend par les hanches, me force à descendre, jusqu’à ce que je m’empale sur son calibre. Je reste amarrée sur ce colosse de chair, sans bouger. Mais mon corps réagit. L’acte dégoûtant du départ, se transforme en montée de désir.
Petit à petit, je me déhanche, prend du plaisir, même si je ne veux le faire voir. Mais je ne peux retenir l’orgasme qui se prépare en moi. Mes cris résonnent dans le vide ordure quand je l’atteint. Je m’écroule sur lui, lui prend les lèvres.

-Il faut y aller maintenant, jolie dame. Vôtre mari doit s’inquiéter.
-Merci de m’avoir donné du plaisir, dis-je en l’embrassant.

Une fois libre, je me rhabille, tout en quittant le sous sol. Il est une heure du matin. Je me mets à la recherche d’un taxi. Aucun à cette heure tardive. Je me dirige vers un un bar afin de pouvoir téléphoner à une amie. Et là...surprise. Accoudé au comptoir, Karl et Fred.

-Hey...regardes qui est là, dit Fred.
-Mais c’est nôtre Jessica. Que fais-tu dehors à cette heure ci.
-Mon jaloux de mari a surpris nos petits jeux. Il m’a larguée.
-Quoi...il sait qu’on ta branlé la chatte...ouah, c’est pas bon ça. Tiens, prends un tabouret, et commende un verre, ça te remontera.
-Merci, j’en ai besoin.

Quelques verre plus tard, je sens un présence derrière moi. Des mains remontent ma robe sur mes hanches, caressent mes fesses. Je me cambre pour faire rebondir ma croupe, puis un objet dur contre ma cuisse.
C’est une queue qui se dirige vers mon petit trou, ma chatte étant inaccessible dans cette position. Surgit alors un vieux fantasme, irréalisé à ce jour.
Celui de me faire prendre par derrière, sans savoir par qui. Il me baiserait, puis repartirait sans un mot. Mais ce fantasme ne se réalisera pas ce soir. Dans la grande glace du bar, je reconnais Karl.
J’appuie mes coudes sur la barres du nar, me cambre d’avantage pour mieux me faire sodomiser. Je trouve mon pote, ma foi, assez bien monté. Quand à Fred, il ne reste pas inactif. Il est parvenu à glisser une main sou mon ventre, s’amuse à caresser ma chatte, fait tourner un doigt sur mon petit bouton. Je suis prise d’un désir fou.
Entre cette queue qui me fouille le ventre, et ces doigts qui me caressent, je ne peux me retenir d’avantage. Je hurle de plaisir quand je jouis, attirant le regard d’autres clients. Dans la glace, je m’aperçois qu’un attroupement s’est formé. Certains s’octroient même le droit de caresser mes seins.
Je suis sauvée Par Fred, qui me propose à l’oreille, d’aller prendre un dernier verre chez Karl. Je le regarde en souriant, pour lui montrer que je ne suis pas conne, et que je devine leurs intentions. Je réponds favorablement à la proposition de Fred, en sachant très bien, que j’allais passer sur le billard. J’ai malgré tout, une pensée pour mon mari, que je rends responsable de cette situation.
Arrivée chez Karl, il me propose de prendre une douche. Il me fourni même un peignoir. Je m’installe entre eux sur le canapé, et on trinque.

C’est la première fois que j’ai une relation avec deux hommes, sur doués, increvable au lit, et qui me donnent énormément de plaisir.
Ils me prennent dans toutes les positions imaginables, par tous les trous. Chatte, petit trou, bouche, en double. Toue le catalogue hard existant à ce jour. Ils tirent un maximum de mon corps en chaleur.
Après deux heures intenses de baises, Fred décide de rentrer chez lui. C’est donc avec Karl que je finis la nuit. Il voulait à tout prix, me mettre une deuxième couche. Mais ou puise-t-il toutes cette vigueur.
Il est cinq heures du matin, quand Karl me ramène chez moi, après cette nuit de stupre et de fornication. Il me dépose à cinquante mètres de chez moi, au cas ou mon mari surveillerait mon arrivée.
Avant de me quitter, il me donne un tendre baiser, et me demande s’il y aura une prochaine fois. Malgré cette nuit torride, je ne l’encourage pas dans ce sens, bien au contraire.

Même s’ils m’ont donnés énormément de plaisir, je reste une femme mariée, certes infidèle pour une nuit, mais qui aime son mari.
J’avoue ne pas avoir été présente auprès de mon mari, au cours de cette soirée, et mes faits et gestes laissent à penser que j’étais proche de Karl et Fred. Et sur certains points, Hervé n’avait pas tort.
Il ignore toutefois ce qu’ils s’est passé dans le salon privé, avant et après nous avoir surpris.
En effet, je me suis faite baiser par mes deux collègues de travail. C’est un employé qui m’a prévenu que Hervé avait pris les escaliers.
Après son départ, je les ais copieusement sucé, chacun leur tour, jusqu’à ce qu’ils vident leurs couilles dans ma bouche.
C’est quand même grâce à eux, si j’ai obtenu ma dernière promotion. Je leur serais toujours reconnaissant pour ça.

Après cet intermède érotique, je rejoins mon mari à la voiture. Pendant toit le trajet, j’ai eu droit à toutes les insultes.
A l’instant présent, je m’attends au pire en rentrant, car je ne sais pas l’accueil qui m’est réservé, et quelle excuse vais-je trouver, pour me justifier. Lui dire que j’ai passé la nuit dans le vide ordure, à me faire baiser par le sans abri. Est-ce vraiment crédible.
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Histoire de Aurore34

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