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Astreinte de nuit partie 1

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Lue : 1560 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/11/2021

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La première fois que je l'avais vue, ça avait été sur le coup de deux heures du matin, quelques jours avant Noël. Elle était descendue dans les sous-sols et elle était venue me trouver parce que les radiateurs étaient froids. J'étais posé dans l'atelier, et je relisais LE SEIGNEUR DES ANNEAUX.
Le premier contact, ça avait été un contact sonore. J'avais entendu ses pas. J'avais été un peu surpris, par le bruit, ses talons tapant sur le sol en béton. Une femme donc. Je m'étais dit que ça n'était pas une infirmière, parce qu'elles portaient toutes des chaussons, justement sans talons.
Et pourtant, c'était bien une infirmière qui avait fait son apparition. Se présentant comme telle en tout cas.
Je ne la connaissais pas.
J'avais été sous le charme dès la première seconde.
Grande et fine, une cascade de cheveux noirs encadrant un visage allongé, elle avait une blouse blanche entrouverte. Dessous un simple jean et une chemise d'homme, suffisants pour souligner toute sa féminité. Il y avait eu un moment de flou, je m'étais demandé pourquoi elle venait, ce qu'elle allait me dire, et quelle attitude elle allait avoir. Elle m'avait déclaré simplement, un discours dépourvu de tout affect, quel qu'il soit :
--On a un problème en salle de garde des infirmières au second. Il fait très froid. Vous pouvez passer voir ? Je dois partir, j'ai fini mon service, mais mes collègues se pèlent...
J'avais été véritablement séduit.
Une trentaine d'années, peut-être un peu plus, elle avait un visage d'une rare beauté, avec une légère asymétrie qui lui donnait réellement tout son singularité, et un corps qui, mais en était-elle consciente, était marqué par une réelle sensualité. Il y avait des filles jolies qui n'avaient aucun sex-appeal. Elle, elle était jolie, et elle avait du sex-appeal.
--Je monte tout de suite.
J'avais pris l'ascenseur pour aller plus vite, arrivant à la salle des infirmières très rapidement. Elles étaient quatre, et elles m'avaient répété ce que leur collègue m'avait dit. Un coup d'oeil rapide aux deux radiateurs électriques m'avait permis de comprendre le problème. Sans grande surprise, parce que l'hôpital vivait sur du matériel vétuste, les deux radiateurs avaient rendu l'âme quasiment en même temps.
Je suis redescendu à l'atelier. Par chance, on avait deux radiateurs en réserve. Pas trois, deux. Une demi-heure de travail et le problème a été réglé. Elles semblaient ravies.
Il s'est écoulé une demi-heure avant que l'une d'entre elles ne descende en sous-sol. J'avais entendu son prénom quand les autres lui parlaient, Tessa. Tessa n'était pas très grande, ronde de corps et de visage avec une magnifique chevelure rousse.
--Il y a une tradition ici. On dit toujours merci quand on vous rend service.
J'étais posé dans un vieux fauteuil qu'on avait récupéré, et j'avais repris ma lecture. Ca pouvait paraître bizarre d'être à la fois passionné de maintenance, qui avait été le métier que j'avais choisi et de littérature, qui semblaient aux antipodes l'un de l'autre. On est tous faits de paradoxes.
Les filles m'avaient dit merci plus tôt, et je ne voyais pas très bien où elle voulait en venir. J'ai mieux compris quand elle s'est posée sur l'accoudoir du fauteuil, et qu'elle a tendu les mains vers mon bleu de travail. Elles se sont posées au niveau de mon sexe, et elle m'a caressé de mains habiles, habituées sans aucun doute à ce type d'approche, qui m'ont transmis leur chaleur. Chaleur qui m'a envahi le ventre, en même temps que ma queue se remplissait le sang. En la regardant, petite, boulotte, avec un visage tout rond, de magnifiques yeux bleus, j'ai repensé à ce que m'avait dit quelqu'un de plus âgé en d'autres temps...'Tu sais, ce ne seront pas les filles les plus belles qui te procureront du plaisir, et c'est souvent celles qu'on appelle les 'pas belles', même si je ne partage pas du tout ce terme, pour moi, toutes les filles sont belles, avec qui tu auras le plus de bonheur...Crois-moi, les filles les plus habiles au lit, les plus inventives ne sont pas forcément celles qu'on pense...'
J'en avais pour ainsi dire la démonstration...Elle a défait mon pantalon, mais sans s'attaquer à ma queue tout de suite, choisissant à la place de défaire la veste de sa tenue. Dessous, elle avait juste un soutien-gorge noir. Elle a amené ses mains dans son dos, et elle l'a dégrafé, révélant deux seins de toute beauté, hauts et fermes, dans un ovale marqué en son bout par une aréole bistre et un téton dont le durcissement disait que, si j'étais excité, elle l'était aussi.
Elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon. J'étais tout dur. Elle a eu un petit sourire et a dit :
--J'aime les queues...
Une phrase qui confirmait les paroles de quelqu'un qui, malheureusement, n'était plus.
Toujours perchée sur l'accoudoir, se penchant, elle est venue caresser ma verge gonflée de la langue. Le premier coup de langue m'a fait un tel effet que j'ai cru un instant que j'allais me jouir dessus. En tout cas, j'ai lâché un long trait de liquide, qui sortant de mon méat, a coulé sur mes chairs, et qu'elle est venue laper comme si c'était une gourmandise. Ca faisait quelques temps que je n'avais pas eu de rapports sexuels, et ce moment, totalement inattendu était comme une délivrance, mais aussi un moment d'excitation et de désir d'autant plus fort qu'il y avait eu une période de creux.
Dodue, avec des kilos en trop, elle était quand même très excitante. Peut-être même plus excitante, avec ses seins parfaitement formés. Elle s'est laissée tomber sur le fauteuil à genoux, il était immense, il y avait suffisamment de place pour deux et elle a fait glisser son pantalon, dévoilant un slip dont un grand morceau de la partie face était transparent, laissant voir une toison de rousse, assortie à ses cheveux, et le haut de ses lèvres. Elle a fourré sa main dans sa culotte, pour se caresser. Ce n'était pas cette vision qui allait me calmer. Le fait de ne rien voir était terriblement troublant.
Elle a tourné sur ma queue avec une mine ravie. C était comme si elle avait trouvé le Graal et c'était un peu ça en fait.
Quand j'avais été recruté, mon partenaire, plus âgé que moi m'avait dit évasivement 'Tu sais ici, c'est un monde très dur, alors ne t'étonne pas si les gens cherchent des moments de détente intense.' Quand il avait dit cela, j'avais pensé à des paradis artificiels...Pas des paradis plus réels...Ou alors les deux options étaient envisageables...
Elle se régalait en tout cas à parcourir ma queue de sa langue, et elle me procurait un plaisir très fort...
D'abord hésitant, j'étais venu frôler ses tétons. Les pointes, douces, s'étaient durcies au contact de la pulpe de mes doigts. Je n'avais pas réellement imaginé qu'elle puisse prendre du plaisir à se faire caresser les seins. C'était pourtant apparemment le cas, son corps frémissait, et elle frottait son sexe, que je ne voyais toujours pas, avec toujours plus d'intensité. J'ai compris quelques secondes plus tard qu'elle jouissait. Elle s'est cambrée en arrière, lâchant un petit cri.
Elle est restée quelques instants entre deux, avant de dégager sa main, luisante, à laquelle étaient accrochés des filaments de ses jus intimes, gras et épais, et elle est venue empoigner ses seins, en se redressant. Je me suis demandé où elle voulait en venir, avant de comprendre qu'elle voulait me caresser avec sa poitrine.
J'ai été un rien surpris, puis heureux. Finalement, ce simple geste de manutention, qui faisait partie de ma mission m'avait amené un moment de plaisir que je n'avais pas espéré, et en plus une caresse comme je n'en avais jamais encore expérimenté, ce genre de caresse qu'on voit dans les pornos, mais qu'on n'imagine pas pouvoir connaître dans la vraie vie. J'avais quelques souvenirs précis, alors qu'elle venait, dans un mouvement déterminé, englober ma queue et la faire disparaître entre ses seins, un mouvement qui m'a fait immédiatement ressentir leur chaleur et leur douceur, une peau douce, contre moi. Un plaisir très fort, qui s'est prolongé alors qu'elle me caressait doucement, en faisant monter et descendre ses seins sur moi. C'était très différent d'être dans une chatte, et en même temps semblable. Il n'y avait pas la délicatesse d'une muqueuse, mais celle d'une peau, et une sensation différente, mais qui au final se révélait aussi intense, comme quelque chose d'unique, de réservé, une sorte de privilège. Elle a dégagé un peu mon gland, qui était très congestionné, et elle a baladé la pointe de sa langue dessus. J'ai eu le sentiment que, dans une telle situation, je n'allais pas tenir très longtemps, mais je me forçais à me contrôler, parce que je voulais faire durer ce moment, que je n'aurais osé espérer et qui était Noël avant Noël...
Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a gainé mon gland et les quelques centimètres de ma queue qui dépassaient de son décolleté, et elle m'a laissé cracher, jet après jet, ma semence, la buvant avec avidité, la bouche bien close pour ne pas en laisser échapper une seule goutte.
C'est après qu'elle a eu un geste ultime... Elle a ramené sa main dans sa culotte, et, sans la baisser, elle s'est frottée rapidement pour se faire jouir à nouveau
, le corps secoué de soubresauts quand ça a été le cas.
Elle s'est rhabillée rapidement, de quelques gestes, et elle s'est éclipsée, retournant en salle de garde, maintenant chauffée, après ce moment de plaisir.
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Histoire de JamesB

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