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Astreinte de nuit partie 2

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Lue : 897 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 10/11/2021

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C'est le lendemain après-midi que j'ai rejoint Baptiste. C'était mon collègue, plus âgé, installé là depuis pas mal de temps. Son partenaire était parti à la retraite et je l'avais remplacé. Il m'avait accueilli. On était installés au sous-sol, notre royaume pour ainsi dire, au milieu de tonnes de matériel. On avait de quoi s'occuper, es pas mal de sueurs froides, car les problèmes, dans un bâtiment qui était vieillissant avaient tendance à suivre la fameuse phrase 'les emmerdes, ça vole en escadrille...' mais on arrivait à s'en sortir malgré tout. Il avait énormément d'expérience, une expérience que je n'avais pas, et qu'il me partageait, heureusement pour moi.
Il m'a demandé s'il y avait eu des incidents pendant mon astreinte. Pour la nuit, on faisait une semaine chacun, avec la matinée libre jusque dans l'après-midi, sur des horaires glissants. J'ai évoqué l'incident des radiateurs et leur remplacement, sans aller plus loin. J'avais envie de lui poser la question, de savoir s'il avait déjà eu des rapports avec des filles ici. Nous étions totalement excentrés, dans le sous-sol, nous passions comme des fantômes dans les locaux, et j'imaginais plutôt, en illustration à la phrase ambiguë qu'il avait prononcée en tout début, des rapports, plus classiques, entre les autres corps de métier.
Mais je n'ai rien dit.
Il allait rester avec moi jusqu'à 17 heures, et je prenais la suite. J'avais l'esprit ailleurs, partagé entre la magnifique infirmière qui était venue me chercher pour avoir de l'aide, et Tessa, celle avec qui j'avais eu ce rapport qui m'avait enchanté, moins magnifique, mais intense car elle était formidablement expérimentée.
Le fait d'être ainsi en sous-sol, sans lumière extérieure conditionnait sans doute notre manière d'être. Difficile de faire une analyse pour deux personnes, mais on avait tendance à fonctionner dans notre monde, à la fois obsédés par tout ce qui était maintenance, avec une manière de penser qui tournait autour du bâtiment, des éléments qui le conditionnaient, et de leur santé, cette perception étrange de cette masse, de ses parties, comme un sixième sens, et des pensées plus personnelles, mais aussi plus sombres. Et par le sexe. Je n'étais pas très beau garçon, et je n'avais pas eu beaucoup de femmes dans ma vie. Avec des périodes d'absence durant laquelle l'obsession d'un corps de femme, le manque de sexe tournait en boucle dans ma tête. Je repensais en boucle à ce moment partagé la veille, comme un phare dans l'obscurité. Un moment qui comblait le vide.
Il était pas loin de minuit, et j'avais du monter régler des problèmes de cellule photo-électrique quand elle a fait de nouveau son apparition.
J'ai été vraiment très surpris. Je ne m'y attendais pas.
Tessa n'était d'ailleurs pas en tenue d'infirmière mais en civil. C'était pourtant bien elle, pas très grande, ronde, avec cette chevelure rousse qui tranchait dans l'obscurité des lieux. Elle s'est approchée en me faisant un sourire plein de chaleur.
--J'ai fini mon service. J'ai passé un bon moment hier soir, et j'avais envie d'en passer un autre.
Elle était extraordinairement sexy, la preuve qu'on pouvait l'être si on savait prendre soin de soi et sans être un mannequin aux mensurations affriolantes. Une jupe en jean courte, qui laissait voir des jambes gainées de nylon, prises par des cuissardes noires, un haut moulé par un débardeur orange sous un blouson. J'ai repensé au titre que j'avais lu dans un magazine 'le pouvoir de séduction des rondes'...C'était exactement ça...
Elle s'est approchée, en disant plus clairement :
--J'ai envie de sexe.
Sans doute pour me montrer que c'était bien le cas, elle s'est penchée sur moi. Sa bouche est venue accrocher la mienne, et elle a fourré sa langue dedans, venant à la rencontre de la mienne, pour la caresser. En même temps, elle a attrapé mes mains et elle les a fourrées sur ses fesses. Le nylon qui gainait ses jambes n'était pas celui d'un collant, mais de bas stay-up, et ses fesses étaient nues sous la jupe. J'ai pensé un instant qu'elle n'avait pas de culotte, avant de comprendre de sentir le tissu d'un string dans sa raie au bout de mes doigts. J'ai caressé la chair dure et chaude, pendant qu'elle continuait de me caresser avec sa langue. Elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, l'a trouvée raide...Se détachant de ma bouche, elle m'a dit :
--Ben dis donc, je te fais envie, c'est plutôt flatteur...
Elle a caressé doucement ma queue, pendant que je me glissais sous la bande de tissu qui masquait sa raie, venant glisser dans le sillon, sentant sa muqueuse anale au bout de mes doigts, descendant, sans qu'elle ne s'y oppose,. J'ai trouvé au bout de mes doigts le gonflement de sa vulve, auquel elle seule avait eu accès la veille. J'ai découvert, le renflement de son sexe, le dessin de ses lèvres, ma main arrosée par un jus intime qui coulait d'abondance. J'ai glissé, sans qu'elle ne s'y oppose, un doigt en elle, entouré immédiatement par la chaleur intense de son ventre, et la présence de sa muqueuse autour de moi. Une sensation très forte. Je me suis dit qu'il fallait que je profite de chaque seconde, de tout ce qui ne durerait pas, j'en étais certain. J'y repenserais dans mes longs moments de creux. J'ai fait bouger mon doigt en elle. Elle a gémi, lâchant une confidence surprenante :
--Je suis une femme divorcée, seule, en manque d'affection et de sexe.
J'aurais pu en dire autant. Je n'étais pas divorcé, mais seul, moi aussi en manque d'affection et de sexe.
Etait-ce parce qu'elle était en manque d'affection et de sexe qu'elle avait des préservatifs sur elle ? Avec l'espoir de combler ce manque...On était nombreux, sans aucun doute, à avoir des envies, des besoins qui n'étaient pas satisfaits...
A ce moment, nos envies coïncidaient. Elle a déchiré l'emballage du préservatif, et, regard posé sur ma queue roide de désir, elle a fait coulisser le latex dessus avec un petit sourire. Le bord du préservatif arrivait presque à la racine de ma queue. Elle a dégagé un peu plus le réservoir, avant qu'on regarde tous les deux, on est parfois fasciné par des choses simples mes troublantes, ses doigts écarter son string, venir le coller dans son aine, me donnant la première réelle vision de son sexe. Les mêmes poils roux fournis que j'avais pu voir la veille, mais j'étais de ceux qui trouvent qu'une toison pubienne, c'est beau, ses lèvres gonflées hors d'elle. Étalées, gorgées de sang, et son intérieur visible en partie, tout rose, comme une invitation à venir en elle. Elle a posé la pulpe de ses doigts contre ma queue, pour me guider vers ses lèvres. Mon gland est rentré...C'est venu tout seul ensuite...Mon sexe a glissé en elle, alors que les premières sensations s'exprimaient, pour elle comme pour moi, nous donnant du plaisir. Elle s'est cambrée en arrière, poussant un soupir de bonheur, alors que ma queue allait plus loin jusqu'à la remplir totalement. Elle s'est retrouvée assise sur moi, ma queue totalement avalée. La sentir autour de moi...C'était vraiment très fort. Mais sans doute que ça l'était aussi pour elle, d'ailleurs, elle l'a exprimé en me disant :
--C'est bon de se sentir remplie et caressée par une queue.
On est resté comme ça dans un moment entre deux, loin de ce qui nous entourait. Je suis finalement venu prendre ses fesses à pleines mains, et je l'ai faite monter et descendre sur moi, nos sexes se caressant mutuellement. Elle a remonté son débardeur, dégrafé son soutien-gorge pour mettre ses seins à nu. S'ils lui avaient servi à me donner du plaisir la veille, ils étaient apparemment aussi une source de plaisir pour elle, à en juger par la manière qu'elle a eu de les caresser, puis de les pousser vers le haut pour gober les tétons durcis, et les sucer doucement...C'était un spectacle hyper troublant, aussi bien cette caresse buccale que de voir les tétons, quand elle les relâchait, apparaître à chaque fois plus durs, plus épais, plus longs...Entre tout, je devais me retenir pour ne pas exploser...Elle a joui sur moi, avec une force que son orgasme n'avait pas eu la veille, et le fait qu'il ne s'est pas agi d'un seul orgasme, mais d'une série d'orgasmes, qui l'ont secouée, lui faisant totalement perdre le contrôle, se tordre sur moi en criant, et en crachant des jets de liquide intime...Au bout de ma course, ne pouvant plus rien maîtriser, j'ai joui, crachant mon sperme dans le préservatif, chaque nouveau jaillissement venant taper contre ses parois internes, et la faisant se tordre plus...
Le regard qu'elle m'a jeté avant de partir m'a laissé penser qu'elle reviendrait.
--Tu as combien de nuits de permanence encore ?
-Trois jours. Ensuite c'est mon collègue et je reprends au bout de six jours.
Elle a pris ma bouche à nouveau, caressant ma langue, avant de s'éloigner.
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Histoire de JamesB

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