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Astreinte de nuit partie 3

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Lue : 904 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 10/11/2021

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Il y a des moments dans la vie qui sont fastes. Les trois nuits qui sont venues, je ne les oublierai pas. Pas plus que tout ce qu'il y a eu autour.
Elle a tenu parole, et elle est bien réapparu. Petite, ronde, mais terriblement excitante et troublante, avec une appétence pour le sexe et une habileté qui me tordaient le ventre de désir quand elle n'était pas là et que j'y pensais. Trois soirs avec des plaisirs renouvelés, une profonde intimité, et un rapprochement qui s'accentuait jour après jour. Tessa débordait en tout cas d'imagination.
Il y a eu pourtant un retour d'une silhouette qui me hantait plus que je ne l'aurais admis. Le jeudi soir, c'était mon dernier soir d'astreinte, je savais que mon amante passerait, on s'était échangés nos numéros de téléphone, elle m'avait envoyé un mot pour me dire 'J'arrive d'ici une heure, en ce moment c'est le coup de feu...'
Pour accompagner son message, elle m'avait envoyé une photo de son sexe largement ouvert par la grâce d'un pouce et d'un index fichés dedans et écartés, laissant voir un intérieur tout rose. Elle m'envoyait des messages, et des photos d'elle, photographiant ses parties intimes, et se prenant dans des positions troublantes...Un lien qui ne me laissait pas indifférent.
Je suis parti sur le parking sur le coup de 23 heures. Je prenais toujours un petit sac isotherme avec moi le soir, si j'avais faim ou soif . et je l'avais oublié.
On avait un immense parking, bordé d'espaces verts riches de végétation.
C'est en marchant vers ma voiture que j'ai entendu le long gémissement. Immédiatement inquiet. J'ai pensé à quelqu'un de malade ou de blessé. On avait déposé déjà plusieurs fois devant l’hôpital des blessés, victimes de rivalités entre gangs.
Je suis parti dans la direction du gémissement.
C'est peu de chose de dire que je m'étais vraiment bien trompé.
Les blocs de végétation étaient ornés de bancs.
Elle était posée sur un de ces bancs avec cinq hommes autour.
La scène était parfaitement visible, dans toute sa crudité
Une chose était certaine, la voir de nouveau confirmait le premier regard que j'avais posé sur elle, ainsi que le trouble qu'elle avait pu m'inspirer.
Elle était vraiment magnifique. Il y avait en elle quelque chose de superbe que, sans aucun doute rien n'aurait pu souiller. Même couverte de boue, elle aurait été aussi désirable. Raison pour laquelle, d'évidence, elle était entourée par ces quatre hommes. Grande, fine, et pourtant avec des formes bien marquées, et un visage aux traits très purs.
Elle portait un tailleur, très classique, noir, avec dessous un chemisier blanc, dont les premiers boutons, défaits, laissaient voir des seins pleins, gainés par un soutien-gorge couleur ambre, auquel était assorti le slip nettement visible, parce qu'elle avait les jambes ouvertes, et que sa jupe, courte était remontée, laissant voir comme son slip, mais aussi des jambes superbes, gainées de bas stay-up.
Au moment où mon regard s'est posé sur elle, elle avait deux sexes d'homme dans la main, qu'elle masturbait. Elle s'est penchée sur celui qui s'était sur sa gauche, j'ai compris pourquoi dans les secondes qui ont suivi. Au mouvement vif de sa main sur la queue, a succédé quelque chose de plus lent, un simple aller-retour. Elle a ouvert la bouche, et j'ai vu les traînées blanches du sperme venir maculer le pourtour de sa bouche, ses lèvres et son palais. Elle a fermé sa bouche, a dégluti, et quand elle l'a rouverte, la semence avait disparu. Elle a léché celle qui maculait le pourtour de sa bouche, la cueillant de la langue et l'avalant. Elle s'est tournée très rapidement vers la deuxième queue, Elle a sorti la langue, et a tourné dessus, se concentrant sur le gland. Le type n'a pas tenu très longtemps. Il a poussé un gémissement s'est cambré, et a joui lui aussi. Elle a avancé sa bouche sur lui, et cette fois rien n'est sorti.
Il restait deux queues, et, je l'ai compris quand elle a attaqué la troisième, son intention était clairement de prendre chacune d'entre elles avec sa bouche, mais de manière différente. Un défi peut-être ? En tout cas une scène sacrément excitante, que je ne risquais pas d'oublier. Elle avait soulevé la queue érigée, baissé la tête, et elle était venu parcourir les couilles du type d'une langue dardée. On m'aurait fait ça, je crois que je n'aurais pas tenu très longtemps... J'ai eu envie de demander à ma rousse dodue qu'elle me le fasse...Ce qui a été très bon, en tout cas, ça a été de voir le sperme sortir, à ne sembler jamais devoir en finir, et maculer le visage de la brune de traits blancs et crémeux. J'ai cru un instant que j'allais me jouir dessus, tellement je trouvais cela excitant.
Il restait une queue...Elle a amené ses dents sur le gland du type, et elle l'a mordillé. Son sperme a coulé dans la gorge de la brune ravissante.
Elle savait que j'étais là depuis le moment précis où je m'étais posé devant le groupe, trop stupide et trop fasciné pour me mettre à l'écart. Son regard a accroché le mien, me disant clairement que si j'avais envie, elle était prête à prendre ma queue en charge. Avec une autre manière de faire ? Moi en tout cas, je n'y étais pas prêt. Je me suis éclipsé.
Il s'est passé une semaine et demi avant qu'on ne soit de nouveau en contact. Entre temps, les choses avaient radicalement changé pour moi. Avec la petite rousse, on avait compris que grâce et en même temps au-delà du sexe, on s'entendait vraiment très bien, et, passé ma première période d'astreinte, on s'était vus chez elle ou chez moi. Il y avait une sorte de magie dans notre relation. Des moments de sexe très forts, qui manifestaient une réelle entente, mais aussi un accord au-delà...Tessa avait de l'intelligence et le sens de l'humour...C'était plus qu'agréable.
J'ai eu une nouvelle période d'astreinte. Mon amante venait me rejoindre, en plus des moments qu'on passait ensemble hors de notre lieu de travail.
On avait des horaires glissants. Ce matin-là, mon astreinte s'est terminée à dix heures du matin. Baptiste est venu prendre la suite. Je devais revenir pour 18 heures.
Elle était sur le parking quand je suis sorti. La blouse sur l'épaule, elle partait devant moi. Elle portait une simple robe noire, mais qui magnifiait sa longue silhouette, assortie à des bottes hautes de la même teinte, plissées et luisantes. Sa chevelure captait les rayons du soleil. Même de dos, je l'aurais reconnue entre mille.
Elle a senti mon regard sur elle et elle s'est retournée. M'a reconnu et souri.
Elle s'est arrêtée et a attendu que je la rejoigne.
--Je rentre chez moi. J'ai envie de sexe. Ca te dit de m'accompagner? Je reviens dans deux heures. On a largement le temps de faire quelque chose. Je sais que je te plais. Je l'ai lu dans tes yeux à la première seconde.
Il y a des propositions auxquelles il est impossible de dire non. J'avais le sentiment de trahir Tessa mais je suis quand même monté dans sa voiture. Elle a démarré, passé les vitesses. Quand on a été sortis du parking, et qu'on s'est engagés sur la route, à vitesse de croisière, elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon. J'étais déjà bien dur. Une main sur le volant, l'autre allant de ma queue à la boite de vitesses, elle m'a masturbé d'une main souple et chaude.
--Tu as une belle queue. Exactement ce qu'il me fallait pour décompresser.
Elle caressait vraiment très bien. Mais je n'avais jamais eu aucun doute à ce sujet. Un liquide gras s'est mis à couler de mon méat, d'abondance, arrosant sa main.
--Bon je vois que je te fais de l'effet. On va passer un moment agréable.
Deux femmes très différentes, une petite rousse et une grande brune, qui partageaient d'aimer énormément le sexe, et d'avoir énormément d'habileté. C'était intéressant au final d'avoir deux expériences aussi différentes.
Elle habitait une maison de plein pied, blanche, qui semblait toute récente.
--J'ai mis des années d'économie pour avoir cette maison. Elle a été achevée il y a trois mois. Flambant neuve.
Elle s'est garée, et penchée sur ma queue, la caressant d'une langue souple et habile, me rappelant la scène que j'avais surprise quelques temps plus tôt.
--Tu es capable de jouir plusieurs fois ?
Le genre de question à laquelle il est difficile de répondre. Je savais surtout, de manière sûre que si elle continuait comme ça, je n'allais pas tenir longtemps. Mon absence de réponse l'a convaincue de ne pas me pousser jusqu'à la jouissance.
Je me suis rajusté, et on a glissé dans la maison. Une belle entrée ouvrait sur un grand living baigné de lumière. Elle est venue contre moi, et a pris ma bouche, venant chercher ma langue dans une démarche qui n'était pas différente de celle de Tessa . Je sentais contre moi ses seins pleins, opulents..Elle m'a laissé faire quand j'ai fait glisser le haut de sa robe, dévoilant un soutien-gorge de dentelle rouge, tout comme quand je suis venu le dégrafer pour mettre ses seins à nu. J'ai compris quasi immédiatement, quand ils ont été dénudés, vu leur volume, qu'ils ne devaient rien à la nature, et tout à la chirurgie esthétique. Ca se voyait très nettement Paradoxalement, ça n'en était que plus excitant, dans ce contexte.
J'ai plongé dessus, venant prendre ses tétons dans ma bouche, et les caressant de la langue, pendant qu'elle allait récupérer ma queue, qui n'avait pas débandé, pour la masturber. Ce genre d'initiative, venir sur ses seins, que je n'aurais sans doute pas eu quelques mois plus tôt était à présent mien. Mon compagnonnage avec la jolie rousse avait changé pas mal de choses. Je suis allé d'un téton à l'autre. Ils étaient déjà durs, mais ma caresse les a fait encore allonger et épaissir. Et elle a gémi de plaisir. Je ne devais pas être si mauvais que ça au final. Ironiquement j'avais beaucoup progressé grâce à la jolie rousse...
La suite a été aussi rapide que déconcertante. Enfin, elle l'aurait été en d'autres temps... Mais j'avais beaucoup changé en quelques semaines...
Elle s'est un peu détachée de moi, et elle m'a dit cette phrase :
--Tu sais, je ne suis peut-être pas totalement ce que tu attends.
Je me suis demandé ce qu'elle voulait dire par là.
On avait glissé de quelques centimètres, pour venir se positionner devant un bar.
Elle m'a laissé faire quand j'ai tiré bas la robe, la faisant coulisser le long de son corps.
Et effectivement, une surprise m'attendant.
Pourtant le plus surprenant, ça a sans doute été que je ne sois pas si surpris que ça.
Elle avait un slip assorti au soutien-gorge, de dentelle rouge.
Il en émergeait une queue en pleine érection, volumineuse, dont un tiers dépassait, avec un gland bien décalotté, arrosé par un liquide d'excitation qui suintait de son méat.
Je me suis simplement dit que c'était vraiment curieux qu'elle puisse avoir une queue, alors qu'elle n'avait aucun signe de masculinité, que ce soit dans son corps, dans son visage. Et puis, sans aucun recul, j'ai plongé sur la verge, venant d'abord sur la partie qui dépassait, puis baissant le slip pour caresser toute la tige, et venir sur les couilles. Sans complexe, sans retenue. Elle a semblé ravie de mon attitude, peut-être redoutait-elle un rejet.. .J'étais au contraire troublé et excité par cette fille d'un autre genre, fille jusqu'au bout des ongles, mais pourvue d'une belle queue...
Le moment suivant aussi m'a plu, quand elle a repris l'initiative et qu'elle est venue rapprocher sa queue de la mienne. On était tous les deux en pleine érection. Elle a caressé ma queue de son gland. Nos jus se sont mêlés. Elle les a finalement enveloppées d'une seule main et elle s'est mise à nous masturber d'un geste lent. Du sperme est sorti, tellement on était excités, de nos deux queues, et se mélangeant sur nos chairs, sans pour autant que nos érections diminuent.
Je n'oublierai pas les moments qui ont suivi. Ils ont été aussi intenses. Je crois bien qu'avec toutes mes partenaires, et même la dernière, qui pourtant n'avait pas froid aux yeux, je n'avais jamais connu pareille intensité. Des moments forts comme celui-là... Ils devaient rester gravés en moi à tout jamais.
Elle m'a guidé jusqu'à un canapé et a traversé la pièce pour récupérer une boite de préservatifs. Elle a gainé nos deux queues distendues de latex.
La suite est venue toute seule, naturellement, une preuve peut-être de notre accord. J'ai glissé sur le canapé, et elle est venue au-dessus de moi, guidant ma queue vers son anus.
J'avais déjà sodomisé plusieurs fois ma rousse adorée, mais c'était différent. Sans doute parce que j'avais sous les yeux cette queue volumineuse, qui, pendant que je me glissais par le passage de l'anus souple, a craché un jet de sperme comme preuve de plaisir...
Etre dans le conduit étroit, serré, sentir sa chaleur, avoir ce corps que je trouvais parfait dans sa différence sous les yeux... Je savais d'ores et déjà que je ne connaîtrais plus jamais rien d'aussi intense...
Elle s'est faite monter et descendre sur ma tige, avant de s'immobiliser, et d'attraper ma main et la guider vers sa queue, pour que je la masturbe. Mon membre fiché en elle, elle a de nouveau joui, remplissant le réservoir de sperme, sans pour autant, encore une fois, débander. Elle a remplacé le préservatif par un autre, s'est dégagée, et s'est posée sur le canapé.
Je suis venu me placer au-dessus d'elle, et son gland a appuyé sur ma muqueuse anale. Un plaisir que ne me proposerait pas Tessa sauf avec un membre artificiel. C'est une queue chaude et palpitante qui a glissé en moi. Je la voulais en moi jusqu'au dernier centimètre, et quand ça a été le cas, j'étais tellement excité que j'ai joui.
Elle m'a fouillé comme je l'avais fouillée, sa queue allant et venant en moi, brûlant mes chairs, me faisant à nouveau jouir très rapidement.
On a basculé sur plusieurs positions, et utilisé plusieurs préservatifs, crachant nos jouissances plusieurs fois, jusqu'à finie enchevêtres et épuisés sur le canapé.
On s'est regardés un peu surpris par la révélation d'un plaisir commun et d'une intensité qui n'auraient pas forcément été au rendez-vous.
Quand on est repartis, on avait une certitude...On allait se revoir.
Depuis ce moment, ma vie a suivi deux chemins parallèles. Il y a l'entente, la complicité, les plaisirs du sexe avec Tessa. Et puis il y a l'entente, la complicité, les plaisirs sexuels avec Irina. Deux relations qui pourraient sembler totalement différentes, et qui, pourtant, au final, ne le sont pas tant que ça. Je me partage entre les deux, et l'une m'est aussi indispensable que l'autre. Je serais bien incapable de choisir...Et je souhaite que ça dure encore longtemps comme ça...
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Histoire de JamesB

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