Au bout de ses fantasmes

Nous nous sommes rencontrés sur un site de rencontres coquines sur Internet. Enfin rencontré... pas exactement. Juste deux messages échangés pour s’assurer d’un minimum d’affinité et de respect, mais surtout pas plus. Il fallait rester inconnu l’un à l’autre. Pour vivre un moment magique, pour aller au bout de nos fantasmes. Nous étions prêts alors, à nous rencontrer selon ma proposition :

Nous avons convenu d'un endroit assez discret, à l'extérieur, où tu dois m'attendre...
J'arrive et reconnais ton signe distinctif. Tu sens ma présence dans ton dos mais ne te retourne pas. Notre émotion est à son comble. Alors je m'approche et commence à mettre ma main sur tes fesses. Je les caresses doucement, puis plus fermement. Tu n'en peux plus et alors tu te retournes et nous nous embrassons intensément. Puis nos caresses se laissent aller. Mes mains viennent empoigner tes seins, les tiennes descendes vers mon sexe déjà bandé. Je n'en peux plus et viens caresser ton sexe également... puis je glisse ma main à travers ta jupe que tu accueille par un soupir de satisfaction. Alors tu me rends ce plaisir en sortant ma queue que tu branles doucement.
Notre excitation est intense, nous sommes là assoiffés de sexe à nous caresser dans un endroit public. Le risque de se faire surprendre déchaîne nos émotions.
Mais nous voulons aller plus loin et ici nous ne pouvons pas. Alors nous nous rendons chez toi et heureusement tu habites proche.

Nous arrivons et la porte claque derrière nous. Annonçant que maintenant le sexe est roi et que nous allons jouir sans limite, sans retenue. Nous nous sautons dessus à nous caresser avidement.
Plus rien ne retient cette soif de sexe que nous devions contenir depuis de trop longues minutes, avec ces regards et ces mains baladeuses dont nous ne pouvions profiter pleinement. C'est une libération de notre frénésie sexuelle.

Au bout d'un moment, alors que nous ne somme pas encore complètement dévêtus, je sens une humidité tiède en dessous de la taille. Tu es en train de pisser ! Tu t’es lâchée, libérée. Tu as osé. Cela m'excite au plus au point et je me laisse aller également. Nous nous mouillons l’un l’autre. Et nous frottons alors frénétiquement nos sexes l'un contre l'autre pour laisser se mélanger nos liquides dorés. Cela nous excite terriblement.

Puis tu baisses mon pantalon, et je me retrouve la queue à l’air, raide et chaude. J’en fais de même avec toi, passant ma main sur ta chatte trempée.

Et là je te soulève et te pause sur le fauteuil. Ton cul se présente à moi. Je suis prêt à te prendre en levrette. Cette position nous excite tellement, parce que sauvage, animale.
Tu bouges tes fesses à la recherche de ma queue, impatiente d'être pénétrée. Je ne fais pour le moment que t’effleurer. Tu n'en peux plus et cambre encore plus ton cul. Je n'en peux plus et viens te pénétrer dans une extase libératrice.
Je commence alors mes assauts et nous somme possédés par nos regards se croisant dans le miroir à côté de nous. Cette vision de te voir offerte ainsi aux assauts de ton amant t'obsède. Tu te sens si cochonne, si salope...

Puis je commence à masser tes fesses, et doucement me rapproche de ta raie. Je te fais alors lécher mon doigt puis je viens caresser ton anus. Tu adores. J'appuie un peu plus et mon doigt doucement commence à te sodomiser... Mais tu en veux plus... Tu veux que je t'encule...
Tu es si excitée, c'est le genre de moment où tu es prête à t'abandonner, entière, à la domination de ton amant.
Un souffle de satisfaction vient accueillir mon doigt. Tu sais combien montrer cette envie là m'excite. Tu sens ma queue durcir encore plus au fond de ta chatte, prête dans quelques instants à te prendre tout entière, à te prendre de façon animale, sauvage, presque perverse...
Tu me dis alors ces mots "encules-moi". Ces mots raisonnent... tu sais combien ils font de moi une bête assoiffée de sexe. Et tu es toi même traversée de tout ton corps par cette excitation totale de t'entendre les prononcer... tu te sens à cette instant salope et je viens concrétiser ce sentiment au moment où je présente ma queue, dure comme jamais à l'entrée de ton cul. La sentir pousser ainsi te fait devenir si chaude, tu cambres encore plus tes fesses pour mieux l'accueillir... C'est à mon tour de te parler "j'aime de prendre le cul ainsi, ma douce salope". Ces mots viennent te toucher dans ton abandon sexuel, ton souffle s'accélère d'un coup et un frisson te parcours le corps. Tu es plus que jamais offerte et tu aimes cela. Les assauts que nous avons connu jusque là ont rendu nos corps humides et glissants.... alors tout de suite mon gland s'immisce... tu te sens écartée, tu sais combien j'aime avoir ma queue serrée dans ton cul...c'est si bon...

Nous poursuivons notre baise sauvage, jouant entre tes deux trous. Et puis je sens tes râles de plus en plus saccadés, et toi de plus en plus abandonnées. Tous ces bruits, cette vision, ces odeurs, ces sensations se combinent pour nous rapprocher de l’orgasme.

Et d’un coup tu t’arrête, ton corps magnifique se cambre dans un râle devenu presque un cri. Un cri de jouissance. Je te vois dans ce moment magique. Tu es si belle, si vulnérable et si envoûtante à la fois. Ton orgasme emporte le mien. Je sens ma queue se libérer au fond de toi ma reine…
Nous venons de vivre une jouissance terrible, nous étions en transe, véritablement. Tout en nous était sensualité, sexe, et un peu de perversité aussi. Nos émotions ne se contienne plus et nous partons entre fou rire et sanglots de bien être… un moment magique.
Après quelques instants nous nous dirigeons vers la douche pour nous remettre de nos émotions. Mais la vision de l'eau ruisselant sur ton corps est excitante. Alors je me j'agenouille devant toi et viens goûter ta chatte dont je ne connaissais pas encore le goût.... Et ma langue vient lécher ta vulve, de ton clitoris à ton anus sur lequel je m'attarde d'abord. Puis je reviens à ton petit bouton, tout en te pénétrant avec mes doigts dans chacun de tes trous.
Cette séance sous la douche ne nous a pourtant pas calmé.... Nous sommes fous de sexe, en voulant toujours plus.
Et en nous dirigeant vers l'autre pièce, c'est toi qui me coince contre le mur. Tel que le fait d'ordinaire un homme avec une femme. Tu fais alors passer tes doigts sous mon sexe jusqu'à mon petit trou et tu ajoute : "je vais t'enculer là, contre le mur. Retourne toi, présente moi ton cul, je reviens."
J’attends là, fébrile, un instant
Et c'est avec un sexe dresser autour de taille que je te vois revenir...