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Au bureau 2

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Lue : 5357 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 17/02/2017

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Il va de soi que, le lendemain, dernier jour de ma deuxième semaine, mes sous-vêtements étaient assortis et plutôt sexys mais invisibles sous ma tenue chique : corsage blanc à col « frou-frou », jupe rouge carmin s’arrêtant juste au-dessus du genou, soutien-gorge et tanga beige à dentelles noires discrètes. Je suis arrivée au bureau une heure plus tard et me suis aussitôt attelée à mon rapport et à mes propositions pour la société toulousaine. La journée m’a semblée rapide bien que je n’aie pas quitté mon bureau mais j’avais hâte d’avancer dans ma mission, mon stage ne durant que 4 semaines. Vers 15 h 30, le chef est passé me voir et m’a dit qu’à partir de ce jour, nos corrections commenceront toujours après 17 h. Il rajoute qu’en échange je ne commencerai qu’à 9 h… Je sais déjà comment cela va se terminer mais j’en ressens l’envie et, simultanément, j’ai honte. Peu après 17 h, je frappe à son bureau. Il répond aussitôt et me dit d’entrer. Je fais le tour de son bureau et pose ma production du jour devant lui. Il se tourne vers moi, me regarde de bas en haut et, d’un ton posé, me dit « Déshabillez-vous ! Vous pouvez garder vos sous-vêtements. » J’en suis abasourdie et reste immobile, bouche-bée. Il ajoute alors « Dépêchez-vous, ne m’obligez pas à vous fesser ! ». Un frisson me secoue mais je commence à déboutonner mon corsage puis je m’immobilise à nouveau. « Posez vos vêtements sur la chaise près de la table de réunion et venez ici. Je n’arrive plus à réfléchir et j’obéis comme une automate. « Voilà qui est bien » dit-il en se tournant vers son bureau non sans ajouter qu’il trouve mes sous-vêtements très beaux. Il saisit mon dossier et commence à le parcourir en l’annotant comme d’habitude et en ajoutant des commentaires oraux ; il est passionnant et concentré ne me caressant que l’arrière des cuisses. Il arrive bientôt à la fin des quinze pages de ce jour. Il se tourne à nouveau vers moi en me disant « J’apprécie vos efforts vestimentaires, vous êtes très mignonne ainsi et si, chaque soir, en arrivant dans ce bureau, vous vous déshabillez de vous-même, nous perdrons moins de temps. » Très disciplinée, je réponds « Oui monsieur. » Je suis face à lui, ses mains se posent sur mes hanches et descendent sur mes jambes jusqu’aux genoux puis remontent par l’intérieur de mes cuisses que j’entrouvre sans sollicitation ; je suis excitée mais je me demande jusqu’où il va aller. Il m’attire vers lui, remet les mains sur mes hanches, baisse légèrement ma culotte et caresse le haut de mes fesses en m’ordonnant de retirer mon soutien-gorge. Je le fais ; il se lève, met une main dans mon dos et, de l’autre, me caresse un sein qui s’empresse de se dresser fièrement… Je suis déjà en train de mouiller. Sans un mot, il m’entraine vers la table de conférence, me tourne face à la table et se plaque à moi, ses mains s’activant sur mes seins. Je sens sur mes fesses, à travers son pantalon, son érection. Il me dit à l’oreille « Etes-vous prête à vous faire mettre ? ». J’avale ma salive et, la voix un peu rauque, je lui réponds « Oui monsieur ». Il me dit alors de poser mes épaules sur la table et de bien écarter les jambes. J’obéis mais je crains une fessée. Il est derrière moi, je ne le vois pas ; je l’entends défaire sa ceinture et suppose qu’il se déshabille. Un bruit de déchirure me fait comprendre qu’il enfile un préservatif. Ses mains se plaquent sur mes fesses, les caressent et descendent vers mon sexe, ses doigts s’activent et se mouillent, remontent jusqu’à ma rondelle, la mouillent, l’ouvrent, la pénètrent sans pour autant jamais abandonner mon sexe qui est inondé… Je gémis et commence à onduler, il s’écarte et me claque les fesses en m’ordonnant de ne pas bouger. Je suis tétanisée et hoquette mon habituel « oui monsieur ». Il se plaque à moi et je sens son sexe se promener à l’entrée de mon vagin pendant que ses mains remontent vers mes seins. Je gémis de plaisir mais n’ose pas bouger, j’ai envie qu’il me pénètre. Sans prévenir, il s’enfonce en moi d’un seul coup. Je suis tellement mouillée que c’est un plaisir immédiat qui m’envahit. Mais il ressort aussitôt et je suis frustrée. Sa queue se frotte à ma rondelle. J’ai un peu peur n’ayant jamais été prise par là. A nouveau il me pénètre, laisse le préservatif s’imprégner de mon jus et ressort alors que j’aie envie qu’il me pilonne. Là je le sens pousser sur ma rondelle, je gémis un petit non mais il m’ordonne de me taire et pousse un peu plus fort. Il s’insinue en moi, sentiment de brûlure mais, doucement, il s’enfonce de plus en plus, ses bras posés sur mes hanches et ses mains me caressant le minou. Quelques larmes mouillent mon visage mais en même temps je gémis sous ses caresses… Arrivé au plus profond, il s’arrête et se contente de me caresser. Je recommence à gémir de plaisir et ne peux m’empêcher de bouger le bassin. C’est alors qu’il en fait autant, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je ne sens plus de douleur, juste sa queue qui me défonce le postérieur et ma jouissance qui monte. Mes râles se font plus rauques et plus forts et j’entends son souffle s’accélérer. Je le sens se vider dans le condom et je jouis à ce moment-là. Il reste quelques instants immobiles puis me quitte. Alors que je me relève, il est déjà en train de se rhabiller, je n’ai même pas vu ce sexe qui vient de délicieusement m’initier à la sodomie. Il me regarde, s’approche, me caresses les seins et me demande si ça va. Comme je lui réponds par l’affirmative, il retourne à son bureau, s’y assoit et me dit de m’habiller. Quand j’ai terminé, il prend mon dossier, me le rend et me dit que j’avance vite et que mes propositions lui conviennent parfaitement d’autant plus que je prends bien en compte ses remarques. Il rajoute que, vu l’état d’avancement de mon dossier, je pourrais le finaliser pour le mardi et partir mardi soir sur Toulouse, le présenter et voir les aspects pratiques de la mise en œuvre mercredi et jeudi avec retour vendredi. Quant à la quatrième semaine, il a déjà une idée d’une petite mission qui serait dans mes cordes. Je suis enthousiaste et j’accepte, promettant de travailler ce week-end. Il ajoute alors qu’il m’accompagnera pour bien montrer que mes solutions sont officielles. Je calcule rapidement : 3 nuits où il me possèdera. Mes sentiments sont mêlés : refus d’être son objet, envie de jouir car il sait s’y prendre avec mon corps. Mais j’ai été éduquée avec un profond respect de la hiérarchie et ne peux que répondre mon sempiternel « oui monsieur ».
Le lundi, j’arrive à 17 h dans son bureau, pose la fin de mon mémoire sur son bureau et, sans qu’il ait parlé, me déshabille. Alors que j’avance vers lui en sous-vêtements, je remarque un préservatif dans son emballage posé sur le bureau. Il me regarde et me répète qu’il me trouve mignonne à souhait puis se tourne et se met au travail : lecture, annotations, commentaires et caresses sur mes cuisses et mes fesses. Il me faut beaucoup de concentration pour suivre sans me laisser envahir par le plaisir tant ses mains sont douces. Le temps passe et j’ai de plus en plus de mal à suivre tant mon bas ventre s’échauffe… Enfin, il finit les derniers feuillets, se tourne vers moi, me regarde avec envie, les yeux brillants. Ses mains se posent sur mes hanches et descendent ma culotte. Je comprends qu’il me veut nue et défait directement mon soutien-gorge. Il se lève, se colle à moi et m’appuie sur les épaules. Je m’agenouille devant lui, lui défait son pantalon et sort sa queue déjà bien raide puis la suce avec délectation. J’ai l’impression que je viens à peine de l’enfourner qu’il se retire. Il me relève, me plaque les fesses sur son bureau, attrape le préservatif, l’enfile rapidement et aussitôt me pénètre en attrapant mes seins à pleines mains. Nous jouissons tous les deux très rapidement. Il se retire en souriant et continue à me caresser en m’informant que le lendemain nous partons vers 15 h et que je peux prévoir une tenue plus détendue et légère pour le vendredi car nous ne repasserons pas par le bureau. Alors que je me rhabille, il me précise qu’il jettera un dernier regard à mon mémoire dans le train et que, pour raison d’économie, il n’a pris qu’une chambre d’hôtel avec deux lits : un grand et un petit. Me voilà vraiment sa maîtresse.

Le mardi, j’arrive au bureau avec mon sac de voyage. Le chef m’appelle pour me demander de terminer mon mémoire revu et corrigé avant midi et de lui en faire deux tirages papier pour lui en plus de ceux que je garderai. Il me précise que je peux faire tous les tirages qui me sont nécessaires au bureau et que je peux les faire relier par son secrétariat. Puis il s’approche de moi, me prend par la nuque et m’embrasse tendrement pour la première fois. Il me lâche et me dis « Vous êtes un peu trop obéissante, j’aurais aimé vous fesser un peu plus. » et il me congédie. Je ressors estomaquée et me dis que j’ai bien fait d’obéir mais en même temps je me rappelle la douce chaleur entre mes cuisses lors de la fessée qu’il m’a donnée. Le temps passe vite, nous voilà dans le train, assis côte-côte. Tout en me caressant les jambes, par-dessus la jupe, il me dit que je peux profiter du voyage pour dormir. Et, tout en s’emparant de mon mémoire, il m’annonce tranquillement qu’il m’apprendra à être fière d’être une enculée. C’est en tremblant à l’idée de ce qui m’attend que j’acquiesce avec mon sempiternel « oui monsieur » mais en même temps j’ai hâte d’y être tant cet homme, que je ne trouve pas vraiment beau, me fait jouir. Nous arrivons à l’hôtel vers 18 h 30 ; nous avons le droit à une vraie grande chambre avec une magnifique salle d’eau avec douche à l’italienne. A peine arrivés, il m’ordonne de me déshabiller car il veut que nous nous douchions. Je pense que nous sommes tous les deux avec la même envie car nous nous retrouvons rapidement nus sous la douche à nous exciter mutuellement. Ses mains glissantes de gel douche me pénètrent les fesses, il me retourne en me faisant appuyer sur le mur et me sodomise presque aussitôt profitant de son savonnage intense ; en même temps, il s’occupe de mon clito excité. Il ne faut que très peu de temps pour que j’explose et que je le sente décharger dans mon cul. Il se retire et me rince abondamment y compris son liquide qui me coule sur les jambes. Après séchage, il me prend dans ses bras, m’embrasse et, me tutoyant pour la première fois, me dis « ton cul est un vrai plaisir. » et alors que je le remercie en souriant et en le caressant, il ajoute « continue à me vouvoyer et à m’obéir » tout en m’assenant une très forte claque sur les fesses. Les larmes me montent aux yeux et je lui réponds à nouveau « oui monsieur » ; je m’en veux mais j’ai envie qu’il m’emmène au septième ciel et je sais aussi qu’à son contact j’ai énormément appris tant au niveau sexuel qu’au niveau professionnel… Nous sortons dîner en ville. Il est charmant, prévenant et attentionné tout en restant distant comme un chef avec une subalterne. Il me parle de mon mémoire, me dit qu’il en a fait parvenir un exemplaire à la direction générale et que, le lendemain, je devrais présenter seule mon plan, lui n’étant qu’auditeur. Il me met aussi en garde contre toute erreur qu’il devrait sanctionner. Je ressens aussitôt une brûlure sur mes fesses… De retour à l’hôtel, il me demande de lui faire un striptease puis de me mettre en position de levrette sur le grand lit. Il ne m’a pas encore touchée que je mouille d’excitation. Il se place à côté de moi et me caresse ; je mouille de plus en plus et commence à gémir. Il me traite de chienne en chaleur et m’annonce qu’il va me prendre comme une chienne. Sa main va de mon vagin à ma rondelle qu’il lubrifie largement.
• « Es-tu prête à te faire enculer sale petite chienne ?
• Oui ! »
• Quelques claques s’abattent sur mes fesses. « Es-tu prête à te enculer sale chienne ?
• Oui monsieur !
• Voilà qui est mieux. Une chienne obéit et respecte son maître !
• Oui monsieur. »

Il se place derrière moi et m’enfile sans précaution. Je pousse un petit cri mais très vite je ne ressens plus que du plaisir. Il m’attrape par les hanches et me pilonne longtemps et de toute ses forces. Le plaisir monte en moi et je jouis en râlant. Il se retire sans avoir joui, me retourne en m’allongeant et part à la salle d’eau. Il revient le sexe humide, visiblement lavé. Il se positionne au-dessus de ma tête de façon à contempler mon corps et présente sa queue devant ma bouche. Je l’enfourne et il me dit qu’il veut jouir dans ma bouche. Je sens son plaisir monter au fur et à mesure que je le suce en lui caressant les valseuses. Il s’arc-boute et ne tarde pas à se laisser aller ; ne sachant que faire, j’avale son sperme. Il m’emmène à la salle d’eau où nous prenons une douche toute de tendres caresses mais en silence. Nous finissons notre toilette et retournons à la chambre. Il m’embrasse puis s’installe dans le petit lit, me laissant aimablement le lit double. Alors que je sors un pyjama, il m’ordonne de rester nue et me précise que je dois être disponible à tout moment. Je me pelotonne sous les draps et l’entends qui s’endort aussitôt.
Le lendemain matin, je me réveille découverte, les seins tendus sous ses caresses. Je souris car j’aime ce genre de réveil. Je me lève et vais pour m’habiller. Cependant il veut choisir mes sous-vêtements ; il m’impose un ensemble comportant un string en me précisant qu’il veut pouvoir ou me caresser ou me fesser rapidement. Je rougis mais obéis. Déjeuner rapide puis direction l’usine. Les réunions s’enchaînent en prenant à peine le temps d’un repas : comité de direction, représentants du personnel puis petit comité avec la DRH, Véronique, jeune femme brune de moins de 30 ans, un beau sourire et un corps à faire envie. Je vois que mon chef ne la quitte pas des yeux alors qu’elle n’échange qu’avec moi. Je remarque aussi qu’elle est très tactile car, à chaque déplacement, elle me touche : le bras, l’épaule, la hanche… Vers la fin de l’après-midi, alors que l’usine se vide, nous sommes encore tous les trois en train de finaliser quelques points de détail. Mon chef annonce que nous terminerons le lendemain. Je suis un peu désappointée car nous pourrions finir en une heure. Il vient derrière ma chaise, me prend aux épaules et tire vers le haut. Je me lève bien forcée. Véronique se lève et s’approche de moi en me prenant les mains et en me remerciant pour la qualité de mon travail et pour nos échanges. Simultanément, les mains de mon chef glissent dans mon dos, s’arrêtent sur la ceinture de ma jupe et la dégrafe ; elle tombe au sol et il me caresse les fesses. Je suis tétanisée et sens mes joues en feu ; j’aimerais être invisible. Sans me lâcher les mains, Véronique fait un pas en arrière et me mate en ajoutant à l’intention de mon chef :
• « Non seulement elle est pro mais en plus elle est mignonne.
• Je pense que vous n’avez rien à lui envier. »
Il me lâche alors qu’elle me tient toujours par les mains. Il se place derrière Véronique et commence à lui dégrafer son pantalon en lui demandant s’il peut vérifier. Elle éclate de rire et se laisse faire en me demandant de tourner sur moi-même. Incapable de réfléchir, j’obéis. Elle lâche une de mes mains, mettant l’autre en l’air pour que je tourne. Pendant ce tour, je sens qu’elle me caresse très doucement les fesses et je frissonne de plaisir. De nouveau face à elle, je vois mon chef derrière elle en train de lui caresser les fesses et le haut des cuisses. Elle m’attire vers elle et m’embrasse. La situation devient très chaude ! Mon chef arrête ses caresses, sourit en nous voyant et dit qu’il est temps d’aller manger ; il invite Véronique qui s’empresse de téléphoner à son mari pour le prévenir d’une rentrée tardive pour cause de travail avec moi. Nous nous rhabillons. Dîner dans un petit resto sympa avec service rapide… Direction l’hôtel. A peine dans la chambre, Véronique m’embrasse et me demande de me dévêtir. Simultanément nous nous retrouvons en sous-vêtements. Véronique et moi commençons à faire l’amour pendant que mon chef se déshabille puis nous rejoint en nous caressant l’une et l’autre. Les derniers remparts tombent et commence une superbe partie à trois. Cette fille est fantastique avec sa langue… Il est presque minuit quand Véronique part et que nous nous écroulons de fatigue !

Le réveil du jeudi a été difficile mais les plaisirs de la veille restent en moi. Retour à l’usine et finalisation du plan de redressement. A midi tout est bouclé et nous ne partons que le lendemain. Je me dis que je vais peut-être pouvoir aller découvrir la ville en bonne touriste mais, pendant le déjeuner, Véronique arrive et parle à l’oreille de mon chef. Il se lève rapidement et m’informe que je suis libre pour l’après-midi mais sans lui car il a une urgence à traiter avec Paris. Véronique s’assoit à ma table et me propose d’aller chez elle profiter de sa piscine. Comme je lui dis que je n’ai pas de maillot, elle éclate de rire et me confie que nous serons seules. Pendant le trajet, dans sa voiture, elle me demande si je peux être passive et me laisser posséder par elle. J’accepte en souriant tant j’aime ses caresses. Elle habite en périphérie une jolie villa avec une grande piscine. Arrivées au bord, alors que je regarde avec admiration, elle commence à me déshabiller. Je suis à peine en sous-vêtements que déjà une douce chaleur m’envahit et que mon ventre se contracte de plaisir tant elle est douce et sensuelle. Elle s’arrête, s’éloigne un peu et me fait un superbe striptease qui m’emplit d’envie de son corps. Nue, elle revient vers moi, se colle à moi pour m’embrasser. Je sens ses seins tendus qui me font envie et dois me retenir de les caresser mais j’ai promis d’être passive… Elle finit de me dénuder, m’allonge sur un transat et me fait longuement l’amour en me faisant jouir avec sa langue et ses doigts qui me pénètre et le vagin et l’anus. Puis elle se met à cheval au-dessus de ma tête et se caresse les seins en me demandant de la sucer. Très rapidement elle jouit. Elle me remercie, et m’invite à la suivre dans la piscine. Après un bon bain nous recommençons nos jeux. Il est plus de 18 h quand elle me dépose à l’hôtel avant de rejoindre les siens. Elle me remercie pour ces moments de plaisir. Un message m’attend à la réception : mon chef est reparti sur Paris, il me dit de profiter de mon vendredi et précise qu’il m’attend à 8 h lundi.

Il me reste une semaine de stage. Ma mission est terminée. En plus des qualités professionnelles acquises j’ai, pour la première fois : joui dans un bureau, me suis faite fesser, me suis faite sodomiser, participé à une partie à trois… Que me réserve ma dernière semaine ?

. Gaëlle
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Commentaires du récit : Au bureau 2

Le 03/04/2024 - 01:13 par alexandre8819
j'adore ton histoires si elle est vrai je rêve de te connaître je veux bien être to homme je te promets de te gâter zn t'imaginant avec toi je bande comun fou alexandre8819@yahoo.fr
Le 07/08/2018 - 01:02 par Leo4521
Ces 3 parties d’« Au bureau » sont sans nul doute là meilleure histoire que j’ai lue. Je ne sais si tout cela est véridique ou inventé, mais c’est passionnant de te lire Gaëlle.
Le 21/02/2017 - 03:17 par olivier1375
super tes histoires j ai lu les trois avec beaucoup de plaisir!

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