ACCUEIL > Divers > Récit : Au bureau 3

Au bureau 3

+315

Lue : 3575 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 23/02/2017

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Le lundi est là. J’arrive au bureau avec deux minutes d’avance et me dirige directement vers le bureau de mon chef. Dans le couloir, je vois une fille assise, un gros sac de voyage à ses pieds : à peu près de mon âge, et, à vue de nez de ma corpulence mais à la chevelure noire de jais ; sa tenue laisse à désirer : jupette en jean froissé, leggins noirs, tee-shirt jaune froissé et délavé, cheveux assez longs mais mal peignés et attachés par un élastique rouge ! Je la salue au passage et continue.
A peine ai-je frappé qu’il me dit d’entrer.
• « Bonjour Gaëlle.
• Bonjour monsieur.
• Je n’ai que très peu de temps à vous accorder. Voilà donc votre programme et votre mission pour la semaine. Dès maintenant vous allez monter au cinquième étage, le Directeur veut vous rencontrer. A votre retour, vous accueillerez une jeune stagiaire comme vous ; elle est là pour cinq semaines et vous luis cèderez votre bureau à la fin de cette dernière semaine pour vous. Je vous charge de la mettre dans le bain de l’entreprise.
• Etes-vous son tuteur ?
• Oui Gaëlle !
• Dois-je lui apprendre vos manières ? dis-je en souriant
• Comme vous le sentez… Je vous recevrai toutes les deux à dix heures quinze et lui présenterai sa mission pour ses cinq semaines de stages. A tout à l’heure.
• Bien monsieur.
Je sors et m’arrête devant la fille du couloir pour lui demander si elle est la nouvelle stagiaire. Devant sa réponse affirmative, je l’emmène à mon bureau et lui dis que je vais la prendre en charge dès mon retour de la direction. Je monte chez le Directeur me demandant le pourquoi de cette convocation. C’est la bonne surprise de la journée : félicitations pour ma mission et récompense financière imprévue (les stagiaires ne sont pas payés). C’est très heureuse que je redescends faire connaissance avec ma collègue.
Elle se nomme Charlotte et vient de Dunkerque. Elle est arrivée la veille au soir et a dormi à l’hôtel mais, comme elle n’a pas les moyens de se payer 5 semaines d’hôtel, elle veut trouver une auberge de jeunesse (d’où le sac de voyage dans le bureau). Le courant passe bien entre nous et, sans son look ‘’j’m’en fous’’, elle serait plutôt mignonne à croquer. Je lui propose de partager mon studio pour ces 5 semaines en lui précisant que je n’ai qu’un lit en 140 ! Elle est un peu gênée mais, vu le gain financier, elle accepte en insistant pour payer la nourriture du soir pour deux. Je commence à lui parler de l’entreprise et lui dit qu’elle rencontrera son tuteur dans un peu plus d’une heure ; elle connaitra alors sa mission. Puis je lui dis qu’il va falloir qu’elle change son code vestimentaire. Elle a l’air surprise et inquiète. Je lui explique que nous sommes appelées à croiser des clients et que notre niveau d’étude nous prépare à être de futures cadres, d’où une exigence vestimentaire. Puis je lui demande ce qu’elle a de présentable dans son sac… Et là, surprise, rien de mieux que ce qu’elle porte à part un tee-shirt bleu marine avec col en V qui fait presque neuf. J’improvise et lui demande de changer de tee-shirt pour mettre le bleu marine, de retirer ses leggins qui font lycéenne et de détacher ses cheveux. Je la sens alors gênée et, timidement, elle me demande s’il y a des toilettes pour se changer. J’éclate de rire et lui dis qu’elle va vivre chez moi et que nous allons coucher dans le même lit pendant 5 semaines et qu’en conséquence sa pudeur est peut-être mal placée. Elle se tourne, et change de tee-shirt rapidement. J’ai le temps de voir un arrière de soutien-gorge rouge. Elle est obligée de défaire sa jupe pour enlever les leggins ce qui me permet de la voir en string rouge assorti au soutien-gorge ; j’en profite pour constater qu’elle a un très joli cul.
• « Tu es bien foutue et ton copain doit apprécier ce joli petit cul !
• Cramoisie, elle me répond « Je n’ai pas de copain.
• Bof ! moi non plus mais ça ne m’empêche pas d’avoir une vie sexuelle bien remplie.
• Pas moi ! (Elle est de plus en plus gênée)
• Tu n’aimes pas le sexe ?
• Je ne sais pas…
Je tombe de haut et la pousse à m’avouer qu’elle est vierge, n’a jamais eu d’expérience sexuelle et n’a jamais joui ! Je lui parle alors de son futur tuteur, lui disant de bien penser à l’appeler ‘’monsieur’’ et à lui obéir… L’heure tournant, nous partons rencontrer le chef. Je la présente. Il se lève de son bureau, vient vers elle, lui serre la main puis me demande si je l’ai informée des codes vestimentaires de l’entreprise. Alors que j’acquiesce et que Charlotte reprend sa couleur cramoisie, il va à son bureau chercher une liasse de documents qu’il lui remet et l’invite à aller s’asseoir à la table de conférence ; elle nous précède mais fait tomber une feuille. Aussitôt elle se baisse pour la ramasser et sa jupe remonte assez haut pour découvrir le bas des fesses. Le chef s’empresse de relever la jupe et lui dit « Voyez ce que donnent des vêtements inadaptés… mais j’ai plaisir à voir que vous avez de jolies fesses ! » Je sens que Charlotte aimerait rentrer dans un trou de souris. Nous nous asseyons, il lui explique sa mission : vérifier la comptabilité d’une usine de Lyon qui n’a pas un assez bon rendement, s’assurer qu’elle est régulière et voir s’il n’y a pas moyen d’optimiser vu que les carnets de commande sont pleins. Elle doit partir deux jours à Lyon pour voir sur place l’organisation de la gestion ; il me demande de l’accompagner.
Retour dans notre bureau. Elle est en larmes. Je commence à la consoler et la prend dans mes bras. Elle pense qu’elle ne pourra plus lui parler maintenant qu’il lui a vu les fesses… Je la rassure et lui dis qu’elle est toujours entière, qu’il a pu constater qu’elle était belle et qu’elle pourrait même lui en montrer plus… et je termine en lui posant un bisou sur les lèvres et en passant une main douce sur ses fesses. Voyant sa tête, j’éclate de rire et lui dis « Non seulement j’ai vu tes fesses, mais je les ai caressées ! ». Elle rit à son tour. Je l’installe dans ‘’son’’ bureau, lui donne l’ordinateur que j’ai utilisé et lui dit de commencer à travailler pendant que je m’occupe du voyage à Lyon en la rassurant sur la prise en charge. Je file au service voyage et fait réserver une chambre d’hôtel avec un grand lit.
Il n’est pas très tard quand je dis à Charlotte que l’on s’en va car il faut qu’elle puisse s’installer chez moi, que je lui prête des vêtements et que l’on prépare nos sacs car on prend le train dès 8 h le lendemain.
Arrivées dans mon studio, je commence par me désaper et me mettre en sous-vêtements. Devant la mine étonnée de Charlotte, je lui explique que nous allons faire toutes les deux des essayages et qu’il vaut mieux qu’elle en fasse autant. Comme elle a l’air de nouveau gênée, je m’approche d’elle et passe une main sous sa jupette en lui caressant les fesses.
• « J’ai déjà vu tes fesses, je les caresse pour la seconde fois… Dois-je te déshabiller ?
• Nan ! »
Enfin elle a compris et fait tomber ses vêtements. Ses sous-vêtements sont assortis et tout en dentelle ne cachant rien de ses jolis seins aux grandes aréoles ni de sa foufounette bien fournie. Je la regarde avec insistance et lui dis qu’elle est belle. Comme elle rougit un peu plus, j’ajoute en riant que si elle veut voir mes fesses dès maintenant, elle peut baisser ma culotte. Je la sens vraiment empruntée ne sachant comment le prendre et je la rassure en lui disant qu’entre filles on peut se voir. Pour la détendre, on passe à divers essayages de ma garde-robe et elle prend vite l’habitude de se déshabiller devant moi. Je finis par lui trouver deux jupes à mi-cuisses et un pantalon bleu marine très moulant qui lui vont comme un gant ; je déniche aussi 4 hauts très colorés et bien décolletés qu’elle accepte un peu gênée car elle estime qu’on la voit trop. Je ris et lui dis qu’elle peut se le permettre et que comme ça le chef découvrira sa poitrine après avoir vu ses fesses. Elle rougit à nouveau. Alors qu’elle range ses affaires dans un espace que je lui ai laissé dans un placard, je remarque que tous ses sous-vêtements sont assortis et sexys. Je lui en fais la remarque. Elle me dit que c’est son seul luxe mais qu’elle le cache toujours. Elle me dit aussi qu’elle n’y met pas des sommes folles car elle a trouvé une boutique de vêtements pas chers à Lille où elle étudie. Nous nous rhabillons pour sortir faire des courses pour le repas et, comme elle commence à prendre ses leggins, je lui demande de ne pas le faire pour que je puisse lui caresser les fesses. Cette fois-ci elle rit mais me l’accorde ; j’en profite aussitôt pour lui mettre une main aux fesses. Elle me sourit en me laissant faire.
Nous nous préparons un repas type pour étudiantes : une salade composée ; c’est rapide et diététique. Nous nous apercevons que nos goûts sont proches. Petite soirée boulot et dès dix heures je me déshabille entièrement pour aller prendre une douche. Voyant son étonnement, je lui dis que de toute façon elle me verra nue puisque je couche nue. Elle a l’air de se trémousser. De retour, je me mets au lit avec un bouquin pendant qu’elle occupe la salle d’eau. Elle revient entourée de sa serviette et commence à sortir un pyjama en s’asseyant sur le bord du lit, me montrant son dos. Je m’accroupis derrière elle, mets mes mains sur ses épaules nues et lui dis qu’elle sera mieux nue, qu’à deux elle ne risque pas d’avoir froid. Tout en lui parlant, je fais tomber sa serviette et l’allonge en la regardant droit dans les yeux. Je crois qu’elle a compris et elle se laisse faire. je baisse la couette, lui dit de s’allonger et l’aide à enlever la serviette de toilette qui tombe au sol. Je suis allongée à côté d’elle, appuyée sur un coude et ne la quitte pas des yeux. Elle me regarde avec un air interrogateur. La main du coude me servant d’appui caresse sa joue ; je plie une jambe et pose le pied entre ses jambes qu’elle écarte légèrement pour me laisser faire. Mon autre main se pose alors sur un sein que je caresse doucement. Il ne tarde pas à se raidir. Je me penche vers elle, tout doucement et vais à la rencontre de ses lèvres. Elle me laisse l’embrasser mais je dois lui demander d’ouvrir la bouche pour la pénétrer avec ma langue gourmande. Très vite elle me rend ce baiser et met une main sur ma nuque comme pour mêler un peu plus nos lèvres. Je suis un peu essoufflée lorsque je relève la tête. Pendant ce temps-là ma main n’a pas chômé et en est à lui caresser les cuisses qu’elle écarte de plus en plus. Je la sens encore sursauter lorsque ma main se pose sur sa vulve mais un regard suffit à ce qu’elle se détende. Elle ferme les yeux et laisse le plaisir monter en elle. Ses lèvres s’écartent tout de suite sous la pression de mes doigts qui glissent sur sa cyprine. Elle se tend comme un arc dès que je touche son clitoris du pouce. Aussitôt j’introduis un puis deux doigts dans son vagin sans cesser de passer mon pouce sur son clitoris bien gonflé et très rapidement je la sens jouir. Je laisse mes doigts en place et la laisse se détendre. Elle rouvre les yeux, me regarde et me sourit en me disant merci. Je me penche et l’embrasse puis je lui demande de me faire jouir. Je vois qu’elle en a envie mais n’ose pas, sans doute craint-elle de ne pas m’emmener au septième ciel. Je m’allonge et l’attire sur moi. Elle m’enjambe en s’asseyant sur mes cuisses et commence à me caresser les seins de ses deux mains. Je suis déjà très excitée et l’encourage à continuer puis je lui indique de le faire avec sa bouche. Elle m’écoute et, sentant mon plaisir, s’enhardit. Je pousse légèrement sur sa tête pour qu’elle descende plus bas. Elle la lève et me regarde. Je lui dis de tout embrasser. Elle descend sur mon ventre, contourne mon pubis et m’embrasse l’intérieur des cuisses que j’ai grandes ouvertes. Je prends sa tête dans mes mains et la guide vers mon sexe. Elle accepte enfin ma demande et commence à me fouiller avec sa langue bien chaude. Voyant que je me caresse le clitoris, elle écarte mes doigts et me caresse ; je ne tarde pas à gémir d’importance et à jouir. Sentant mon abandon total, elle me regarde et son sourire m’exprime son bonheur. Je l’invite à se blottir contre moi, relève la couette et nous nous endormons rapidement enlacées.
Réveil difficile le lendemain matin mais Charlotte n’arrête pas de me sourire. Elle se pare d’un ensemble de sous-vêtements gris pâle ne cachant rien, enfile une de mes tenues en choisissant un décolleté à faire se damner un saint ! Départ précipité vers la gare. Une fois assises dans le train, face à face, je la questionne sur nos ébats. Elle rougit un peu mais m’avoue qu’elle a beaucoup aimé et a hâte de recommencer. Je lui propose, pour ce soir, de lui faire le maillot et de lui apprendre les joies du 69. Elle se trémousse sur son siège et me dit qu’elle est pressée de se retrouver dans mes bras.
• « Ce soir, à l’hôtel, je te ferai le maillot et nous ferons tu apprendras le 69.
• Le quoi ?
• Le 69 : tes lèvres sur mon sexe en même temps que les miennes sur le tien !
• J’ai hâte d’y être. » (son sourire en dit long)
• Deviendrais-tu une petite salope en chaleur ?
• C’est de ta faute. Tu me dévergondes. Mais j’aime ce que tu me fais…
• Très bien. Pour poursuivre ton éducation, il va falloir te faire dépuceler et j’ai une idée… d’autant plus que j’y assisterai ! »
Charlotte ne fait plus la fière. Je la sens déstabilisée et hésitante. Ce n’est que plusieurs minutes après, alors que je continue à la regarder avec un sourire moqueur, qu’elle me répond :
• « Je te fais confiance mais je veux savoir.
• Nous sommes mardi, ce sera jeudi, au bureau, avec un homme d’expérience qui trouve que tu as un joli cul !
• Le chef ? Mais ça va pas ! Pour qui va-t-il me prendre ?
• Du calme ! Nous serons ensemble et si tu fais tout ce que je te dis, tu verras, ce sera un moment fantastique. Par contre, d’ici là, tu dois bosser pour avoir quelque chose à lui présenter. Comme moi, il te verra chaque soir après 17 h pour t’aider à avancer dans ton bouleau. Grâce à lui, j’ai fait un tel boulot que le patron m’a fait verser une prime de stage.
• Pour le travail c’est OK d’autant plus s’il y a une chance de se faire payer. Mais pour le reste je ne pourrai jamais !
• On verra ! Tu pourras si tu veux être une vraie salope ! »
Charlotte rougit et nous finissons le voyage dans le plus grand mutisme. Arrivées à Lyon, une voiture de l’entreprise nous attend. Charlotte file à la compta pendant que je rencontre la DRH ; on ne sait jamais, j’aurai peut-être une piste pour l’aider. La journée défile à une vitesse folle et après un repas du soir dans un bistrot, direction la chambre d’hôtel. Je fixe un horaire de travail à 22 h maximum et mets mon téléphone à sonner.
Nous sommes surprises par la sonnerie. J’oblige Charlotte à tout ranger et la dénude aussitôt non sans l’embrasser. Je me déshabille aussi et l’entraine vers la salle de bain pour un joli rasage intime : je dénude sa vulve mais laisse une jolie toison bien taillée au-dessus. Elle se regarde dans la glace, me sourit et me dit que ça lui plait. Nous nous embrassons et je l’attire vers le lit qui n’attend que nos corps. Elle se laisse faire et je l’installe sur le dos et commence à m’occuper d’elle avec ma bouche : cou, seins sans oublier de mordiller les tétons bien raides, ventre et cuisses. Quand j’en suis là, je me positionne sur elle pour lui offrir mon sexe dont elle s’empare sans hésiter en me caressant les fesses. Je commence par humidifier mes doigts avec sa cyprine puis lui dévore la moule tout en forçant de mes doigts humides sa jolie rondelle où je finis par rentrer mon majeur ; son goût et son odeur m’excitent au plus haut point et très rapidement nous jouissons presque simultanément. Un dernier baiser où nous mêlons nos goûts intimes et nous nous endormons fourbues et heureuses.
Le lendemain matin, Charlotte me réveille en m’embrassant les seins. Les sentant durcir, elle veut descendre vers mon sexe. Je retiens sa tête et lui murmure de le faire avec sa main tout en m’embrassant. C’est délicieux cette jouissance du petit matin qui n’est pas aussi intense que celle du soir mais qui éveille tous vos sens en douceur. Je l’emmène à la douche et la lave en la caressant. Elle jouit aussi. Quel plaisir que de pervertir une douce innocente qui s’avère finalement très chaude !
La journée à l’usine passe aussi vite que la veille ; Charlotte m’a dit les renseignements dont elle avait besoin en sus des chiffres de la compta. Nous reprenons le train à 17 h et arrivons à l’appartement à 20 h en ayant grignoté un sandwich salade. Boulot, sexe rapide et dodo.
Le jeudi, direction le bureau. Je veille à la tenue de Charlotte mais n’ai pas à m’inquiéter, elle a compris ce qu’on attend d’elle. Quant à ses dessous, ils sont tous hyper sexys. Je laisse Charlotte au bureau et vais voir le chef pour lui demander s’il la recevra comme moi chaque soir après 17 h. Il acquiesce et ne peut s’empêcher d’afficher un sourire gourmand en me demandant si elle sera aussi ouverte que moi aux suggestions. Je ne réponds pas et lui dit simplement que le vendredi il devra la laisser partir plus tôt car elle rentre chez ses parents tous les week-ends et son train est à 16 h 30. Il me dit que ça ne pose pas de problème. Pour le remercier, je l’embrasse à pleine bouche. Il en profite pour me caresser sous ma jupe et, quand nous nous lâchons, il est tout sourire. Je lui demande aussi de ne pas la caresser si elle est habillée. Il accepte mais est très étonné.
L’heure approche. Je dis à Charlotte de préparer un tirage papier pour qu’il puisse écrire dessus. Puis je lui dis qu’en entrant dans le bureau elle doit aller se positionner à gauche du chef, derrière le bureau et lui tendre ses feuilles. Nous partons et je sens Charlotte un peu nerveuse mais elle m’obéit. La séance de travail commence et les critiques et suggestions constructives s’accumulent ; Charlotte est concentrée sur le job et ne pense plus à rien d’autre. Voyant les feuillets défiler, avant que ça ne soit terminé, je me glisse derrière Charlotte et, alors que le chef annote le dernier paragraphe, je dégrafe sa jupe qui tombe au sol. Charlotte est saisie, comme tétanisée. Le chef lui dit qu’il préfère la voir ainsi et lui demande d’enlever le haut. Comme elle ne bouge pas, il répète :
• « M’entendez-vous mademoiselle ou faut-il que je me fâche pour que vous vous exécutiez ? »
Charlotte hésite encore. Une forte claque s’abat sur ses fesses et elle réagit enfin en me regardant, paniquée. Je l’encourage à obtempérer et elle m’obéit. Je demande au chef de l’excuser et lui explique qu’elle est vierge et qu’il va devoir lui apprendre la vie. Il sourit, se lève et regarde Charlotte qui est rouge comme une pivoine. Il lui caresse la joue, descend la main sur ses seins bien mis en valeur par sa tenue transparente et descend lui caresser les fesses. Puis il me regarde et me dit que je devrais déjà être nue. J’obéis sans me faire prier. Il parle à l’oreille de Charlotte tout en la caressant, il lui dit qu’elle est belle et qu’il va se faire un devoir de l’éduquer. Je la sens se détendre et je la rejoins ; je l’embrasse tendrement en lui dégrafant son soutien-gorge. Le chef continue à la caresser puis, profitant de la nudité de sa poitrine, lui embrasse les seins sans laisser ses mains inactives. Je basse son string puis commence à dévêtir le chef. Charlotte ressent ces caresses et, bien que gênée, commence à soupirer ; ses seins sont raides comme la queue du chef que je suce. Il me repousse et entraine Charlotte vers la table de conférence où il l’assoit pour un cunnilingus tout en douceur. Pendant ce temps, j’attrape un préservatif sur le bureau du chef, je le lui enfile puis je m’agenouille sur la table et embrasse Charlotte en lui caressant les seins. Je la sens se détendre et s’échauffer. C’est avec beaucoup de douceur, alors qu’elle gémit de plaisir, qu’il la pénètre et fait sauter son verrou intime. Elle n’a aucun moment de douleur et continue à gémir sous nos caresses ne tardant point à jouir alors que le chef n’y était pas encore prêt. J’ai commencé à le masturber et Charlotte a fini ; il s’est répandu sur le joli ventre de Charlotte. Elle me dira, le soir venu, qu’elle avait trouvé ça fantastique. J’en ai profité pour lui dire, tout en la câlinant, que, chaque soir, quand elle aurait posé son travail quotidien sur le bureau, elle devrait d’elle-même se dévêtir. Quand j’ai vu son sourire mutin, j’ai compris qu’elle avait vraiment pris goût au sexe.
C’était la fin de mon stage. J’ai repris les bancs de l’université mais j’avais appris à changer mon style vestimentaire ; ça se voyait et, visiblement, beaucoup de garçon me regardaient différemment ! Quant à Charlotte, je l’ai logée pendant tout son stage. Elle a réchauffé mon lit (et mon sexe) et m’a raconté par le menu ses nouvelles expériences…

Gaëlle.
315 vote(s)


Histoire de Thgirl

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Au bureau 3

Le 07/08/2018 - 00:40 par Leo4521
Quelle superbe histoire, magnifiquement écrite. J’ai aimé du début à la fin cette lecture, il me ferait plaisir de savoir si tout est vrai ou si une partie ou la totalité de ce récit a été inventé. En tout cas, merci Gaëlle pour ce bon moment de lecture.

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :