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Aurégane, tante et tonton. 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/05/2023

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Aurégane a été élevée par son oncle Paul et sa tante Claudine. Les années en passées, elle a grandi, elle a un travail qui lui plait et un petit copain intime, tout semble parfait. Un soir très tard, elle rentre, elle est un peu éméchée, elle se laisse tomber dans un fauteuil. Claudine la regarde et lui demande, :

-ça ne va pas ma chérie ?

Elle hausse les épaules en faisant :

-Bof, Jérémy est un garçon formidable, mais au lit, il est nul, je dois me finir à chaque fois !
Ce qu'il me faut, c'est un homme, un vrai comme tonton, je t'entends certain soir gémir voir hurler de plaisir, je me dit ça y est, tante jouir encore comme une grosse salope, oh comme je t'envie de jouir comme une chienne, tonton doit être un bon coup !

Paul intervient :

-Aurégane c'est comme cela que tu parles à ta tante, excuse-toi immédiatement !

Aurégane se lève, enlace sa tante et lui donne plein de baisers sur le visage et dit :


-Excuse-moi tante, je ne sais pas ce qui m'a prise !

Elle regarde son oncle, relève sa jupe et lui demande en cambrant sa croupe :

-Tu le trouves comment mon cul tonton !

Elle se retourne et lui fait face, Paul voit la culotte légèrement coincée entre les grandes lèvres, elle lui dit :

-Regarde mon nid, ton oiseau n'aimerai pas il deposé ses œufs !


Paul met un certain temps avant de réagit, le bougre se rince l'œil avant de dire :

-mais qu'est-ce que tu fais Aurégane, cesse de dire des bêtises, vas te coucher !


Aurégane s'éloigne avec un déhanché de félin. Claudine se blottit contre son mari et lui dit en riant :

-Eh bien mon chéri, quand tu veux, tu culbute Aurégane !


Paul répond un peu agacé :

-Mais c'est ma nièce !


Claudine approche sa bouche de l'oreille de Paul et ajoute toujours en riant :

-Oh, tu sais, un cul, c'est un cul !


Brusquement, elle plaque sa main sur sa queue, sursaute et dit en éclatant de rire :

-Oh la vache, mais tu bandes, elle t'a excité la petite cochonne hein !


Paul répond en poussant un terrible soupir :

-Je ne peux pas dire le contraire, tu à la preuve en main !


Claudine fait glisser le zip de la braguette et extrait de sa cachette le membre tendu. Elle saisit fermement l'engin et le branle doucement, elle admire le gland qu'elle decalotte à chaque descente de sa main. De temps en temps, elle l'agace avec la pointe de sa langue, soudain, elle le gobe et commence à le sucer. Mais rapidement elle le delaisse saisit la main de son mari et lui :

-dit viens, allons nous coucher, Aurégane m'a excitée aussi !

La nuit fut agrémentée de gémissement bruyant suivit de jouissances monstrueuses. Le lendemain matin, Paul et Claudine sont à table, elle est nuisette, lui en pantalon de pyjama. Ils prennent leur petit déjeuner. Ils sont rejoints par Aurégane, elle les embrasse, puis prend place en face d'eux. Elle dit en souriant :

Cette nuit a été une nuit de débauche, Tante, je dois dire que tu es très expressive pendant la chose !

Paul est un peu gêné, il termine son petit déjeuner, puis saisit son journal et s'enfonce dans un profond fauteuil au salon. Aurégane, s'accapare, de la salle de bain, pendant que sa tante fait la vaisselle. Elle en ressort vêtue d'un peignoir qui lui arrive à mi-cuisse, noué à la taille par la ceinture éponge du peignoir. Claudine va rapidement prendre la place que sa nièce vient de libérer. Aurégane entre dans le salon puis dit :

-Oh merde, je me suis cassée un ongle !

Elle pose son pied sur la petite table du salon pour constater les faits, le dégât, elle va prendre dans un tiroir l'outillage nécessaire pour réparer les dégâts. Elle etend sur la table un journal et pose son pied dessus. Pendant la manœuvre, les pans de son peignoir s'ouvrent, et dévoilent ses cuisses magnifiques. Paul est aux premières loges. Il est si près qu'il voit les grandes lèvres naturellement gonflées de la chatte. Il ne quitte pas des yeux le fruit défendu. Aurégane s'affaire à ses orteils avec minutie. Elle relève la tête et remarque que son oncle en prend plein la vue. Vicieusement et discrètement, mine de rien, ouvre encore plus les pans du peignoir en écartant un peu plus les jambes. Paul attrape une érection phénoménale, qu'il cache comme il, peu avec son journal. Il ne quite pas des yeux l'abricot que la coquine a pris soin de raser. Aurégane s'agite vicieusement, sa chatte semble s'animée, les lèvres vaginales se frottent l'une contre l'autre, à chacun des mouvements provoqués volontairement par la coquine. Paul ne tient plus, sa queue est devenue douloureuse, de temps en temps, il se la presse fortement sous le journal pour tenter, en vain, d'arrêter le flux sanguin.


Aurégane épie du coin de l'œil son oncle, elle remarque son agitation, la coquine sourit intérieurement et se dit tonton est à point, oh si seulement il voulait, je ne dirais pas non. Aurégane se redresse brusquement, sa ceinture mal nouée tombe sur le sol, le peignoir s'ouvre, et dévoile le corps sublime de la jeune aguicheuse. Paul croit devenir fou, il serre les poings, se lève et rapidement se place derrière sa nièce, il l'enlace et lui dit à l'oreille :

-Tu es une salope incorrigible !

Aurégane éclate de rire, se retourne brusquement pour faire face à son oncle. Elle le toise, et regarde la bosse qui déforme son pyjama, elle dit en riant :


-La salope t'excite hein, un petit cochon de tonton, profite s'en !

Elle laisse tomber son peignoir sur le sol. Les yeux de Paul ne savent où regarder tellement il y a de belles choses avoir. Le sans sans gêne et l'audace d'Aurégane incontestable. Elle saisit à travers le pyjama la verge tendue du tonton, qui se cabre, serrant les dents. Elle la presse fortement, Paul grimace, mais n'a pas la force de repousse la nièce culottée. Elle serre encore plus fort le membre qu'elle convoite, Paul souffle comme un bœuf en serrant les dents. Enfin, la coquine lâche sa prise, et s'agrippe au pyjama. Elle le descend lentement, sans quitter des yeux la bosse énorme. La queue jaillit hors du pyjama, et oscille un moment avant de se stabiliser. Aurégane écarquille les yeux en disant :

-Oh putain ce qu'elle est grosse, tonton, tu es monté comme un cheval !

Elle l'enserre dans ses doigts et commence une douce masturbation. Paul dit sans conviction :

-Arrêtes Aurégane ce n'est pas sain, je suis ton oncle !
Non, non, cesse ce jeu démoniaque !

Elle Le le fait tomber sur le divan sans lâcher la verge, elle reprend le branlage interrompu volontairement. Paul ne sait que faire, repousser ou céder à sa nièce, il opte pour la deuxième solution. Le poignet agile de la jeunette maltraite la queue du tonton qui pousse des gémissements qu'il ne peut contrôler. Aurégane regarde le gland qu'elle s'amuse à décalotter à chaque descente de sa main. La bite vivante de son oncle palpite dans sa main. Elle cesse de branler l'engin gorgé de sang, décalotte à fond le gland et le gobe. La succion est bruyante, les râles de l'oncle aussi. Soudain Claudine apparait nue, elle est rayonnante, elle s'assied près du couple, est sans formalités, triture les coquilles de son mari. Aurégane relève la tête et dit :

-Ah tata, tu es là !

-Oui, je vous observe depuis un bon bout de temps, je me demandais quand le coquin cèderai à tes avances, petite allumeuse !

Aurégane hausse les épaule et reprend en bouche le gland qui suinte. Claudine caresse les cheveux de sa nièce en l'encourageant :


-Oui ma chérie, suce bien la bite de ton oncle, il est si tendu qu'il va décharger, surtout avale sa semence ma chérie, c'est divin !

Aurégane tète encore plus avidement la queue raide de son oncle, ses hum, hum, prouvent qu'elle adore sucer. Paul se raidit en se cabrant, il envoie un flot abondant dans la bouche de sa nièce qui, avec difficulté réussie, tout de même à avaler le jus précieux. Claudine regarde Aurégane s'acharner sur la bite de son mari, elle dit en riant :

-Ne la mange pas, nous en aurons besoin tout à l'heure !

Aurégane délaisse enfin la queue, sa tante la serre dans ses bras, et lui donne une multitude de baisers sur le visage sans épargner ses lèvres. Paul en profite pour retire son pyjama, soudain, il fronce les sourcils, sa femme vient de basculer sa nièce sur le divan et commence à lui embrasser le torse. Elle aspire les mamelons qui rapidement prennent du volume, Claudine les dévore avec avidité. Aurégane qui ignorait jusqu'à présent les plaisirs lesbiens, se laisse aller sans rechigner, elle semble adorer ça. La bouche de sa tante la fait défaillir, ses bouts sont devenus très sensibles, et ses petits seins gonflés au maximum. Paul regarde les deux femmes s'aimer, il igorait les penchants lesbiens de sa femme. Aurégane pousse de petits gémissements en agitant son bassin. Sa chatte est trempée, sa tante s'en approche de plus en plus. Une fois que la bouche de tata entre en contacte avec sa chatte, Aurégane pousse un rugissement en se cambrant fortement. La langue agite de sa tante, s'enfonce dans sa chatte et la fouille longuement. Aurégane réagit au traitement exceptionnel que lui fait subir sa tante, elle dit en geignant :

-Oh tata, c'est trop bon, oui, oui, bouffe-moi, fais-moi jouir, oh, c'est merveilleux !

Paul bande comme un poney, il se masturbe doucement pour ne pas jouir trop vite. Il reste sans voix en regardant sa femme brouter sa nièce qui ne cesse de gémir de plaisir. Claudine aspire violemment le clito, Aurégane pousse un cri qu'elle étouffe en se mordant le poignet. Il s'avere que la tata est une experte en suçage de clito. La nièce soumise,
agite son bassin en appuyant sur la tête de sa tante. Un long râle rauque sort de sa gorge, elle se cabre, en répétant :

-Oui, oui, oui tata ouiiiiiiiiiiiiiiii !

Aurégane explose de jouissance sous les yeux hagards se son oncle. Un petit moment de récupération est nécessaire à Aurégane pour rendre le plaisir que sa tante vient de lui donner. Elle lui massse les seins qui rapidement enflent, lui agace les mamelons qui deveinnent énormes, il est vrai que Claudine à une belle paire de seins. la bouche de la jeune excitée, s'empare des bouts dressés et les dévore jusqu'à plus soif. Enfin elle place sa tête entre les cuisses de sa tante et plaque sa bouche sur la chatte qui suinte comme un fruit trop mûr. Aurégane avale tout se quelle peut avant de gober le clito et de le devorer sauvagement. Sa tante grogne fortement, enfin le but recherche arriva, Claudine se cabre en poussant un long râle et jouit fortement. Les deux n'en ont pas assez, elle se place tête bêche et se gouinent mutuellement jusqu'à la jouissance. Les anus ne sont pas épargnés, les deux jouissent du cul comme des hystériques. Paul dubitatif, se demande ce qu'il fait là.





































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Commentaires du récit : Aurégane, tante et tonton. 1

Le 24/05/2023 - 17:36 par OlgaT
Une nièce très cochonne!

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