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Courrier pas si anonyme 9

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Lue : 2555 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/01/2016

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Je joue mon rôle de femme coincée par un pervers à qui je dois obéir ou risquer un scandale, comme elle me la dit maladroitement, il est évident que sexuellement, mon mari me manque, un peu le lundi soir, un peu plus le mardi, beaucoup plus le mercredi, horriblement le jeudi, etc. etc., les petit jeux avec son fils me font patienter, ils boostent ma masturbation, la rendant presque équivalente à une baise.

Le pervers donc, en scrutant de temps à autre le couloir, découvre mes jambes, puis mes cuisses, je retiens un peu le tissu en disant toujours tout bas, "là, ça suffit comme ça, tu vois assez", il dit, chut, laisse moi faire, personne ne saura rien, et puis je suis sûr que tu n'attend que ça.

Je m'en défends et je dis non, il me dit, "ouvre ton peignoir", je refuse, aller dit-il, montre moi, je dis, non, tu va en profiter, il dit non, regarde, je recule derrière la table, aller montre sinon je lui dis, jouant le jeu, je réponds, elle ne te croira pas, il dit, on va le savoir tout de suite en se dirigeant vers le couloir.

Je joue la femme apeurée prête à tout pour ne pas que cela se sache et après me l'avoir encore répété deux fois, j'ouvre mon peignoir, il me dit, le bas aussi, je mime non, il dit si, ça sera plus pratique pour le remettre si elle arrive, ce n'est pas faux, je me mets debout et il me le redemande, d'ouvrir tout, comme je fais celle qui refuse toujours, il insiste et il me l'ouvre, vaincu, je le laisse faire, il me voit en string et soutif, pas longtemps, car le temps à passé et elle revient.

On regarde le deuxième film, elle demande ce qu'il en est, je lui dis qu'on vient de zapper, on regarde le film, il me touche la fesse, je laisse faire, puis le film fini, on se dit bonne nuit, elle lui dit qu'elle l'attend pendant sa douche, après cela, ils vont de suite dans leur chambre, moi, j'ai éteint la télé, lui avant de la suivre, il a le temps de me mettre la main sur un sein.

Je suis tout excitée, je passe mettre mes boules, j'attends d'entendre du bruit dans leur chambre et rejoins leur fils, nos mains se tiennent et nos genoux se touchent, je ne le sais pas, mais je crois qu'il est nu aussi, je prends mon plaisir en prenant soin de ne pas avoir de cri comme la veille, il me posait une question et je n'y ai pas répondu, car je jouissais, il 'a dit, si on allait au ciné demain, j'ai dit non, trop risqué.

Le matin, il est encore couché, il commence son cours plus tard, son père est debout, pendant qu'elle est à la cuisine, il me demande de lui montrer mes seins, mais elle revient avant, je déjeune, je m'habille moi-même, le neveu n'a pas pu préparer, j'ai une main aux fesses en partant, le midi, je reviens manger avec eux, après le repas, il va aux toilettes et elle me dit qu'elle va descendre les poubelles, je lui dis qu'il va me peloter, elle me dit, "il va être a point, ça t'ennuie", je dis non puis on rigole en silence.

Elle débarrasse la table, puis au moment voulu dit qu'elle va descendre la poubelle, je lui dis, attend, j'y vais, elle dit "non, ça va me faire digérer, prend ton thé tranquillement", on l'entend qui descend par les escaliers, lui, il s'approche de moi, il se tient derrière moi et se colle a moi, je suis debout, ma tasse à la main, il m'enlace en mettant ses bras autour de moi et disant, tu m'a allumée, alors continu, regarde ce qui arrive à cause de toi.

Il me fait sentir son sexe, il continue en disant, le meilleur moyen pour qu'elle sache rien, c'est de me laisser faire, et je suis sûr que tu aimes ça, en même temps, il remonte ses mains sur ma poitrine, comme il ne voit pas mon visage du fait qu'il est derrière, je prends plaisir et instinctivement, j'éloigne la tasse de moi pour que ses mains passent, je dis, "non, il ne faut pas" en laissant presque faire, il les malaxe et en pinçant les bouts, il dit, toi, tu dis non, mais eux, ils disent encore, en me tripotant, il frotte son sexe derrière moi.

On entend cette fois-ci l'ascenseur à l'étage, c'est elle qui revient, je vais à la salle de bains me rafraîchir et lui sur le canapé, je la croise dans le couloir et lui dis que je pars, en même temps, je lui fais signe avec le pouce qu'il est prêt à consommer, le soir en rentrant, c'est elle qui me fait signe avec le pouce en l'air et les yeux au ciel, le fils est au bureau, je vais un peu avec, et je reviens

Elle prépare le repas, on discute, lui, il me fait signe de venir, elle me lance des sourires en levant les yeux, je dis, ça a l'air bon ce que tu prépares, et tout bas, je lui dis qu'il veut que je vienne, elle me dit tout haut, "non laisse, tu rentres du boulot, va te reposer, sur le canapé", je fais celle qui veut rester, mais elle m'y pousse en disant, aller, aller, personne dans ma cuisine.

Je vais donc sur le canapé, lui, il est sur le fauteuil en face et il me fait le geste d'écarter les jambes, j'attends qu'il redemande, ce qui ne tarde pas et je le fais un peu, il demande plus et encore plus, ensuite, il se lève, s'assoit à cote de moi avec une revue et fait comme s'il me la montrait, sa main se met sur ma jupe que j'ai remise normalement,.

Il la remonte et avant que je dise non, il dit," c'est pour que je me taise", cette fois-ci, je lui dis non en écartant les jambes, il s'en rend compte en disant, mais si, tu n'attends que ça, sa main me touche le string, je serre les cuisses en étouffant un petit gémissement, des fois, sa femme me parle et je répond, j'ai les cuisses ouvertes et il me caresse de la tranche de sa main afin que si elle arrivait, elle nous voit dans le même sens à feuilleter la revue, le bruit qu'elle fait en cuisine nous indique qu'elle prépare le repas.

Je lui dis, non, il ne faut pas, on ne doit pas, il me dit de me laisser faire, que j'en ai envie, qu'on ne fait pas de mal, mais juste un petit plaisir, qu'il en a envie depuis longtemps, enfin, toutes les justifications déculpabilisant, il stoppe d'un coup, le fils arrive, je me lève et vais sur la télé pour faire celle qui l'allume et zappe, j'ai toujours l'impression que l'on voit sur mon visage ce que je viens de faire, je lui tourne donc le dos et coup de chance, il va se renseigner à sa mère ce qu'elle fait de bon à manger, j'en profite pour aller à la salle de bains.

Quand je reviens, je me sens mieux, je passe par le bureau, il me regarde et je remonte ma jupe, il me dit, la semaine prochaine, c'est nuisette obligatoire, je souris et retourne dans la cuisine où je lui dis que son mari est à point, mais que moi, je ne suis pas en bois, je lui donne les détails et elle dit le salaud en souriant, je lui dis, qu'heureusement que son fils est arrivé, elle dit, non, dommage plutôt, je dis, non pas dommage, car sinon, j'aurais fini par l'encourager au lieu de faire celle qui ne veut pas, elle me dit, et alors, tu as bien droit à une compensation.

Je lui dis, tu es folle, j'aurais pu jouir sur le canapé à côté et toi à faire la cuisine, elle répond qu'avec les avantages qu'elle en tire après, ça serait un juste retour des choses, je lui dis qu'elle est gonflée, là, je lui dis que ça ne risque pas, que je ne tromperais pas mon mari, jouer comme on fait, si ça la "dépanne" je veux bien, mais pas plus, son mari regardait la télé et entre chaque discussion, je mettais la table, le fils arrive puis nous nous installons pour dîner.

Quand son fils ou sa femme sont là, il ne tente rien, comme tous les soirs, le fils va à la douche, je le précède, j'ai mis une autre robe de chambre, un peu plus fine avec soutif et culotte, je passe par sa chambre et je lui montre, je passe dans ma chambre et retire le soutif et string et met porte jarretelle et bas que je justifie au fait que j'ai frais aux jambes à la télé, on regarde le premier film où j'ai juste sa main sur ma fesse, au deuxième, elle va à la douche et dés que la porte se ferme, il me demande autoritairement en joignant le geste.

De me lever et d'ouvrir ma robe de chambre, il le fait plus vite que moi et devant ce qu'il voit, il me dit, ça s'est un appel, je savais que tu en avais envie, il m'attrape un sein et me masturbe avec ses doigts, il me dit, tu en as envie hein, tu aimes ça, regarde-moi, je veux te voir jouir, tu es une petite salope sous tes airs de bourge, tu aimes que je te parle comme ça, oui, tu aimes ça se sent, moi, j'ai complètement déconnectée, et au bout d'un moment, je l'encourage en disant oui et encore, puis finalement après quatre jours d'abstinence, l'orgasme arrive, je jouis sur ses doigts, après cela, il me caresse mes cuisses et embrasse les seins, je lui dit, "c'est la dernière fois", il dit, "mais oui, c'est ça", il continue jusqu'à ce qu'elle arrive, moins de 5 minutes après, elle a été longue exprès.

Quand elle est là, il dit," le film est nul, je vais me coucher, tu viens", elle répond, oui, j'arrive, il va à la douche, elle me demande, je lui dis, tu ne le devines pas à ma tête, je lui donne les détails et elle me dit, tu me montres, je réponds qu'elle n'est pas bien, elle rétorque qu'on s'est déjà vue, nue aux douches, insistant encore, je dis bon, mais toi, tu ne me touches pas, elle dit, j'ai dit voir, pas toucher, je me lève et ouvre mon peignoir, elle dit, comment veux-tu que je lui en veuille d'avoir envie, je dis, justement, va récolter maintenant.

Elle est vraiment sympathique cette femme, on s'est entendue dés qu'on s'est parlé la première fois et là, elle me plaît encore plus (platoniquement), je ne vais pas faire celle qui ne fait cela que pour rendre service, j'ai aussi du plaisir, mais même sans plaisir, pour elle, je l'aurais fait, curieuse, après avoir été dans ma chambre retirer mes bas et insérer mes boules, je vais écouter à leur porte, j'entends que ça bouge, mais pas suffisamment audible pour savoir exactement ce qui se passe, mais je m'en doute.

Je rejoins le neveu en silence, me mets nue dans le lit, nos mains et genoux se touchent direct, on sent qu'il est content que je vienne, même juste que discuter en faisant contact, je reconnais que moi aussi, sauf que j'ai mes boules, mais rien ne me dit que lui ne se masturbe pas ensuite, nous discutons sous les draps, à un moment, il me dit qu'il me mettrait bien une fessée de le faire languir.

Je lui dis qu'à partir de lundi, il pourra faire ce qu'il veut, comme j'ai déjà joui, je suis beaucoup plus longue à venir, je bouge pour aller au-devant du plaisir, je sens qu'il s'en rend compte et je lui dis pour me justifier, que j'aurais dû aller aux toilettes avant de le rejoindre, m'a-t-il cru, mystère, en tout cas, je peux bouger un peu, mon neveu me parle et sa voix m'aide, il n'est jamais vulgaire et est timide.

Finalement, j'arrive à jouir silencieusement, je reste quelques instants encore et passe par les WC pour justifier encore ce que je lui avais dit, la nuit, j'ai eu une crainte que son père ne vienne, car il n'a quand même pas froid aux yeux, j'ai mise une chaise sous la poignée de portes, mais il n'a rien tenté, le matin rien de spécial, le fils et le père se lève en même temps, je pars en même temps que le fils.

Le midi, je rentre manger avec eux, j'ai quitté un peu plus tôt, quand j'arrive, son mari était parti au pain en se promenant, on discute toutes les deux plus clairement de ce qui se passe pour elle, disant qu'il est différent, plus mâle dit-elle, plus vigoureux, je lui demande si je suis une bonne sexologue, elle me répond, oui docteur, après avoir plaisanté pas mal sur le sujet, je lui rappelle ce à quoi j'ai eu droit la veille, non sans crainte, car même des couples échangismes ont des comportements jaloux, quand on les rencontre, tous disent être libérés, les hommes surtout, mais au pied du mur, si leurs femmes jouissent plus qu'avec eux, ceux-ci font grise mine, même en essayant de le cacher, leur visage les trahit.

Nous les femmes, nous n'avons pas ce sentiment de jalousie, (sauf celles jalouses), mais bien souvent, certaines n'apprécient pas quand elles ne sont pas les plus belles, les mieux foutues ou que lors des ébats, leur mari s'occupe plus de l'autre, elles prennent ce qui est normal pour une préférence, mais bon, nos amis ne savent pas que nous sommes libertins, déjà là avec eux, on a franchi des limites que même ceux que nous fréquentons depuis toujours ne savent pas, eux connaissent deux de nos amis depuis le réveillon, mais ils ne se fréquentent pas et ne se fréquenteront pas, de plus, avec ce qui s'est passé avec lui, on ne les mettra plus jamais en relation, on ne mélange jamais nos relations coquines avec nos amis de tous les jours.

Nous passons à table, dés que son mari arrive, avant qu'il ne rentre, elle me demande si elle peut descendre la poubelle après manger, en clair, que je le chauffe pour qu'elle se fasse culbuter ensuite, j'ai juste le temps de lui dire, "ha, toi alors", à table nous sommes trop loin pour qu'il puisse tenter quoi que se soit, juste un regard l'air de dire qu'il va s'occuper de moi tout à l'heure, le repas terminé, bien sûr elle descend les poubelles.

Dés qu'on entend la porte menant à l'escalier, il me pousse vers le canapé, m'allonge dessus et me fait un cunni, devinant son attention, je me suis tout de suite laissé faire, j'ai pris beaucoup de plaisir, mais hélas, pas suffisamment de temps pour jouir, lui, il était super excité, quand on l'a entendu revenir, il m'a laissé me remettre et a filé à la salle de bains, je lui ai dit de se rincer la bouche surtout, je suis parti ensuite après mon thé, lui me souriait et elle aussi, mais pour des raisons différentes.

En marchant, je me dis que dans l'histoire, je suis lésée, c'est moi qui chauffe et c'est elle qui profite, moi je me retrouve sur le carreau, avec une envie que je dois contenir au boulot, avec des types qui me font comprendre en sous-entendu ou par leur comportement à longueur de temps que si je voulais, il me rendrait ce service.

Je me dis que ce soir, mon mari sera là et ça sera mon tour, le soir arrive, mais rien n'a lieu, son fils reste avec nous, il a le WE pour étudier, nous mangeons, puis on va à la télé après notre douche à tous les deux, son fils reste avec nous pour le premier film puis va au lit avant le deuxième, je reste droite sur le canapé, il avait pris un fauteuil qu'il a mis a cote de son père, rien ne s'est donc passé.

Pendant le deuxième, le fils couché, sa mère me demandent à quelle heure mon mari arrive, j'indique entre minuit et une heure, mais qu'on ne l'attend pas, lui, il va aux toilettes et elle me dit, qu'elle va aller prendre sa douche, je lui demande si elle ne veut pas prendre un bain plutôt, elle me dit "hé, tu y prends goût", je lui dis de se mettre à ma place, je chauffe et reste à brûler toute seule, que je n'ai même pas eu le temps de prendre mon plaisir à midi.

Peu après qu'il revienne, elle se lève en me demandant si elle peut prendre un bain, je dis en faisant celle qui hésite, mais ne peux pas refuser, " bien sûr", à peine la porte de la salle de bains se referme, il ouvre mon peignoir, comme le fils était resté, j'avais string et soutif, pas de bas, il me tripote, je me laisse faire et je lui redis "tu ne lui diras pas surtout", il dit, surement pas, je n'ai pas envie de scène, surtout en ce moment, elle a repris du tonus dit-il, je me dis que c'est plutôt lui qui lui en a donné.

Il m'allonge sur le canapé, il veut m'embrasser, mais je lui dis, "ça non, tout le reste si tu veux, mais je n'embrasse pas", il me met les jambes par-dessus ses épaules et il me suce, je me laisse entièrement faire, l'encourageant même, il me fait mettre en levrette ensuite et me suce l'anus, il me chuchote, "tu aimes ça salope, dit le que tu aimes ça, dis le sinon j'arrête", joignant le geste à la parole, il arrête.

Comme je ne suis pas loin de l'orgasme, je lui dis, "non, continu, va-y , oui, j'adore, il me refait mettre sur le dos, il me suce le clito en me mettant un doigt dans l'anus, j'attrape un coussin pour étouffer ma jouissance, il me boit directement à la source à chaque spasme de plaisir, j'avais envie de le sucer, mais je n'ai pas voulu le vider afin qu'elle ait quelque chose, il a continué à me caresser partout, je l'ai laissé faire.

Dés qu'elle sort de la douche, ils vont se coucher, j'en fais de même en allant rejoindre leur fils quelques minutes, mais sans les boules, car j'étais comblée et mon mari arrivait, il est d'ailleurs arrivé avant minuit et s'est soulagé, le lendemain, petit déjeuner au lit pour mon mari et moi, son mari s'était levé sur la pointe des pieds pour aller chercher des croissants.

Comme ils savent à quelle heure on se lève en principe, ils nous ont fait la surprise, c'est elle qui est venue frapper, disant qu'ils arrivaient dans deux minutes avec le petit-déjeuner, le temps qu'on mette quelque chose sur nous, après nous nous sommes levés.

J'explique à mon mari, le ménage fait, la lessive faites, le repassage fait, les vitres aussi, et là, le petit-déjeuner au lit, à dix heures, le copain artisan sonne pour voir si je peux l'aiguiller sur une démarche à faire, voyant qu'on a du monde, il a voulu repartir, mais le lui ai dis que j'ai une petite heure, après l'avoir aidée, s'excusant encore, il est reparti, je lui ai dit, qu'il avait eu raison de passer, et s'il a encore des choses qu'il ne comprend pas, qu'il ne doit pas hésiter.

Le père me dit, c'est le genre de type qu'il vaut mieux avoir comme ami qu'ennemi, je lui dis que c'est un brave type qui essaie de s'en sortir, à midi, quand elle a voulu faire à manger, j'ai dit non, resto, ils ont dit non, mais je leur ai dit que j'avais déjà réservé et que ça l'apprendra à me piquer mon ménage, lessive et autres.

Nous reprenons les mêmes places en voiture, leur fils conduit avec mon mari à côté, moi au milieu, la copine à ma droite, le mari à ma gauche, il m'a juste frôlée un peu plus que d'habitude, mais sans plus, au resto, rien du tout, on a beaucoup marché ensuite dans Paris, mon mari les a emmené aussi dans certains endroits où il a fait les 400 coups, ceux dont il leur avait parlé dans des conversations, montrant des endroits ou avant, c'était de la verdure et maintenant du béton, la laideur avait tout remplacé, et ce, dans tous les domaines.

Le soir, on a voulu les emmener en bateau-mouche, mais personne n'avait vraiment faim avec le repas du midi assez copieux, on a donc été dans une crêperie ou là, ils ont insisté pour payer, on a laissé faire pour ne pas les vexer, après cela, on a visité en voiture, car ma copine et moi en chaussure à talons, on avait mal aux pieds, il m'a tripoté les cuisses et un sein tout le trajet, profitant de ma robe fendue ainsi que de l'obscurité, je l'ai laissé faire, j'ai même écarté un peu les genoux, mais il n'était pas trop à l'aise non plus, nous avons traîné très longtemps, car nous somme rentrés vers deux heures.

Quoi qu'il en soit le soir, les couples étaient en action aussitôt couchés, je n'ai pas entendu mon neveu venir, peur que ses parents le surprennent aussi, le lendemain matin, encore le petit-déjeuner au lit avec croissant, ils n'ont pas voulu manger le midi, ils se sont fait des casses croûtes et sont partit vers dix heures trente, la copine avait les larmes aux yeux, disant que leur maison nous est grande ouverte et que si mon mari travaille dans le coin, même en pleine nuit, il peut venir, ironiquement, je lui ai dit que j'espère les revoir aussi, car j'aurai du ménage à faire, congratulation réciproque et ils sont partis les yeux brillants.

Le midi, on a mangé tous les trois en silence ainsi que le soir, par contre avec mon mari, on a baisé prés de la porte, et ou derrière il nous écoutait, le matin de bonne heure, il s'en va comme toujours et une demi-heure après ma porte de chambre s'ouvre, et le neveu me rejoint dans le lit, nos mains et genoux se touchent, il me dit, enfin, vous êtes à moi pendant quatre ou cinq jours maintenant, je lui dis oui.

On papote et quand je me lève pour déjeuner, il reprend les habitudes, choisir mes tenues, et me regarder les mettre une fois mon string et soutif de mi, toujours pas de message dans la boite a lettre, je file au boulot, la semaine se passe de la même manière sauf que l'on dort ensemble, il se complaît de ma présence au lit, nous n'étions même pas sortie, il faut dire que le temps ne nous encourageait pas, mes tenues du soir était soit le déshabillé transparent soit juste en sous-vêtement avec bas et porte jarretelle, par contre il ne me demandait pas d'aller lire dans mon lit, je ne me suis pas masturbée, le mardi et mercredi soir, s'il n'était pas si avenant, je me serais dite que je ne l'intéresse plus, mais ses yeux sur moi et le contact au lit me rassureraient.

Devant cette routine, je me suis dite que je vais surement recevoir du courrier, et en effet, le lundi matin, il me dit de faire une sortie jeudi soir avec mon neveu en mettant le Plug, la sortie, c'est resto, je répond ok le lendemain matin, il ne m'a même pas demandé comment çà, c'est passé pendant son absence, le jeudi matin, je lui dis que j'irai bien manger dehors ce soir, il dit oui, on se quitte pour aller chacun a son boulot ou école, le soir, après une douche, il m'habille avec une jupe plissée sans string et un pull ample non décolleté et sans soutif, rien de très sexy.

Il choisit mon manteau également, avant de partir, je me mets le Plug, rien qu'il sache que je l'ai m'excite, on va au resto ou tout est normal, en sortant, il me dit qu'on va au ciné, je fais celle qui n'a pas très envie a cause du Plug, mais il insiste et me rappelle que je dois obéir, je le suis au ciné ou je me dis que malgré tout, il y a peu de chance que cela se reproduise, il avait trouvé un cinéma avec un film pas trop mal disait-il, on rentre et on se met comme les fois précédentes en rentrant au fond à droite, peu de monde, on est en semaine, le film commence et il me dit, si quelqu'un arrive, vous vous laissez faire aussitôt, je lui fais un signe "oui".

Tiraillée entre l'idée que je trouve plaisante et le fait qu'on me découvre le Plug en me tripotant, ça faisait à peine cinq minutes que le film était commencé, qu'un type arrive et s'assoit à coté de moi en me demandant de retirer mon manteau du siège, le ciné n'est même pas à moitié remplie que lui, il veut la place à coté de moi, le type devait faire 55 kg , ma taille et pas loin de la soixantaine, sans attendre vraiment, il remonte ma jupe, je me dis qu'il est gonflé le papy, à croire que c'est moi qui le lui demande, la main de mon neveu qui me tient la mienne me signale qu'il a vu et que je dois laisser faire, les fois d'avant, il n'y avait eu personne, et là, un type direct.

La main du type a vite fait de me rendre docile et le fait qu'il va surement découvrir que je suis occupée d'un côté m'excite encore plus, j'écarte la jambe de son côté, je regarde vers lui du coin de l'œil et je le devine en train de surveiller mon neveu, afin qu'il ne se rende compte de rien, le type se contorsionne un peu et passe sa main sous mon pull pour me toucher les seins ou les tétons durcissent aussitôt, je tourne un peu la tête vers lui en ouvrant la bouche tellement la sensation est forte, de son autre main, il me frotte le clito et les lèvres, il va sur l'anus, découvre le Plug sans autre réaction, le type m'a caressé tout le long du film, me donnant un premier orgasme.

Après celui-ci, il me fait comprendre en m'attrapant ma main, qu'il faut que je m'occupe de lui, surement un habitué, car il enfile une capote, il a même surement compris que mon neveu est complice, car il se met en travers, puis il me tripote les seins sous mon pull de façon flagrante, je masturbe à ma droite et serre la main de mon neveu, à gauche, je serre sa main et de son autre main, il me tient aussi, l'air de me dire de me laisser aller au plaisir.
Après qu'il ait joui, il se nettoie puis me caresse encore les cuisses, le désir revient, le type le sent et me redonne un autre orgasme à une demi-heure d'intervalle, mon neveu a sentit mon plaisir quand ma main serrait les siennes, il est parti avant la fin, je me suis dite, voilà un tripoteur professionnel expérimenté, en fait, j'ai su longtemps après, qu'il avait trouvé le type par un copain d'école qui disait, le type là-bas, c'est un vrai vicelard, une copine l'a eu à coté au ciné et elle a été obligée de partir tellement il la tripotait.

Il a donc une autre fois parlé au type, lui expliquant qu'il sera a cote moi en chaperon qui ne verrait rien si cela se fait discrètement, il avait même prévu que je ne me masturbe pas pendant les 2 soirs afin d'être en manque, mais cela, c'est le type qui l'avait mis sur la voie en disant que si je n'avais pas d'homme à la maison, que j'allais m'envoler directe.

Le soir, après notre discussion sur ce qui s'était passé, je sais qu'il a été se soulager dans la salle de bains, le lendemain, il me prépare mes affaires, mais le soir mon mari rentrait pour dîner du fait qu'il avait terminé son chantier qui était à 200 km, il restait même le lundi où j'ai pris ma journée, car il travaillait le samedi suivant, et peut être le dimanche ce qui n'arrangeait pas mon neveu, mais comme je lui dis que le samedi, il ne sera pas là, il a eu le sourire.

Les trois jours avec mon mari se passent très bien, nous sommes sorties seuls sans le neveu, mon mari me dit en souriant, il t'a pour lui tout seul, la semaine, il peut quand même te laisser à moi le weekend, le lundi soir avant minuit, mon mari part en taxi jusqu'à la gare, comme il travaillait très loin, il a pris un train couchette payé par sa boite, comme il dit, sur place, il a le véhicule société et dormir pendant le trajet, il arrive reposé. Dés qu'il est parti, le neveu attend un peu et vient me rejoindre, la place était toute chaude, mon mari était venu se coucher, mais pas pour dormir.

Je lui avais dit qu'heureusement que le neveu est là, sinon je me serais ennuyée sans lui, il a fallu que cette année-là, sa boite ait eu plein de chantiers en commande, et comme mon mari dit, en déplacement, les heures, il faut en faire un maximum, faire 35 h en étant à l'hôtel, il avait dit non, alors comme la boite avait plein de boulot et qu'ils peinaient à trouver du personnel, ils s'étaient arrangés ensembles et mon mari s'occupaient de 2 équipes sur les 3, son salaire avait presque triplé.

Le mien presque doublé, les impôts se sont régalés, on a travaillé plus pour payer beaucoup plus, nous n'avons que très peu gagné plus par contre, car si en chiffre, celui-ci a été plus important, en pourcentage, mon mari a travaillé plus pour gagner moins si on divise par le nombre d'heures, pour moi, j'ai gagné plus, car je n'ai pas fait plus d'heures, mais bon, assez polémiqué, c'était pour préciser la situation.

Je suis donc ce lundi soir au lit avec mon neveu, mon mari vient de partir, on papote et dormons ensuite, le matin, il me prépare mes affaires, me mate m'habiller, je lui demande s'il n'en a pas marre de me regarder, il répond, c'est quand je ne regarde pas que j'en ai marre, je pars au boulot en vérifiant la boite, mais rien, le soir, il a voulu qu'on se promène au bois comme l'autre fois, mais comme il faisait froid, je lui ai dit que j'allais être frigorifiée.

Il a répondu en se disant qu'il a dit une bêtise, "oui, c'est vrai", je suis toujours habillée comme le matin, tant qu'il ne me dit pas de me changer, je mange ainsi puis après avoir débarrassé la table, il me dit "à la douche", j'y vais et mets la tenue qui est prête, culotte, soutif, bas et porte jarretelle chaussure à talons aiguille, en revenant, je vais l'attendre sur le canapé.

Quand il arrive, il me dit en prenant son air "sévère", "vous ne voulez pas qu'on aille au bois parce qu'il fait froid, peur pour vos petites fesses, hé bien, je vais vous les chauffer, aller debout", je me lève sachant ce qui m'attend, il me fait mettre sur lui, il relève le peu de nuisettes que j'ai, comme l'autre fois, il me malaxe les fesses, je sens son sexe mieux que l'autre fois, peut être ose-t-il plus, il me donne une série de deux claques, puis une autre et encore une autre, il malaxe puis recommence, les claques sont fortes mais raisonnables.

Quand il claque, il commente en même temps, du genre "alors et là, c'est froid, ça chauffe maintenant, aller encore une série", etc. Etc., cette culote vous protège, ce n'est pas normal, vous méritez d'être bien punie," il continue de parler en redisant la même chose, qu'il va me la retirer, je suis tout excitée à cette idée, quand il m'attrape le haut de la culote, j'ai un frissonnement qui le stoppe, il hésite quelques secondes en ne bougeant plus, puis voyant que je ne dis rien, il continue tout doucement, attendant ma réaction positive comme négative pour stopper ou continuer.

Je mouille et lui, il bande, je le sens même s'il essaie de le cacher un peu, attrapant ma culotte et voyant que je ne l'interdis pas, il me la descend jusqu'au-dessous des fesses, il me les malaxe ou plutôt les tripote et claques encore, il claque, mais pas suffisamment fort, je ne dis rien, il recommence plus fort, je dis toujours rien, frappant encore plus fort, ou là, je réagis en faisant "houuu", il trouve la mesure, il me tripote et attaque une série de dix où je crie un tout petit peu, mais il continue.
À la fin, les fesses me cuisent un peu, mais je suis toute trempée, il me fait rasseoir la culotte baissée, me demandant si j'ai aimée, je répond "a ton avis" il dit, oui regardez", j'ai fait une auréole sur son pantalon de pyjama, la honte m'envahit, il me dit, c'est mieux sans culotte, ça claque mieux, le malin, j'étais tout excitée et je lui dis, que le temps que ça apaise la cuisson des fesses, je vais aller lire un peu, j'avais une super envie de me soulager avec le gode, sinon je risquais de lui succomber, bien sûr, il venait de suite derrière la porte, en me le faisant savoir, disant qu'il m'attend dans sa chambre après ma lecture.

Comme il n'y avait plus de courrier, je ne pouvais rien suggérer, mais quand cela a repris, j'eus une idée, quand il me demande un simili compte rendu, je glisse dans le courrier, que j'ai failli laisser ma porte de chambre entrebâillée, mais j'ai eu peur qu'il ne résiste pas et rentre, ce qui m'aurait obligée à tout arrêter, le soir, il me dit que non, qu'il n'osera pas rentrer, il doit savoir que vous ne voulez pas d'acte de ce genre, faites-moi confiance.

Je lui avais dit aussi pour la fessée, que j'avais aimé, il me répond, apparemment, vous aimez cela qu'il vous châtie, alors laissez le faire, cela me donne une idée, vous le découvrirez, le soir, à la masturbation, j'ai laissé la porte non clanchée, il a pu entendre comme s'il me tenait la main.

A suivre.
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Histoire de annizette

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