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Aventure extra-conjugale 1

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Lue : 14964 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/04/2012

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Episode 1 : Anna

J’étais affalé sur le canapé. Mes élèves avaient été particulièrement remuants ce jour-là, et m’avaient épuisé. Heureusement, nous étions mardi soir, et n’ayant pas école le mercredi, je pourrai en profiter pour me reposer. Et puis, il ne restait qu’une semaine et demie avant les vacances de Février. C’était ma 2e année d’exercice, et pour la 2e fois je trouvais cette période de l’année particulièrement difficile.

Je parcouru du regard mon appartement vide. Cela faisait maintenant 1 mois et demi que je vivais seul les semaines. Depuis le mois de janvier, ma femme était en mission pour 7 mois à Orléans, alors que nous habitions à Rennes. C’était la première fois que nous devions vivre séparés depuis plus de 4 ans. Mais nous nous en sortions très bien, d’autant plus que mon épouse revenait tous les week-ends. Le week-end qui venait de s’écouler étaient celui de la Saint-Valentin, l’occasion pour nous de fêter nos 6 mois de mariage. J’aimais ma femme depuis le premier jour, il y avait environ 7 ans. Pourtant, depuis quelques mois, notre couple vivait une passe difficile. En effet, mon épouse avait perdu beaucoup de sa libido. Nous ne faisions plus l’amour aussi souvent qu’avant, et je commençai à en souffrir. D’autant plus que je n’avais jamais vraiment été comblé au niveau du sexe, car ma femme était très traditionnel sur ce point. Du coup, c’était toujours la position du missionnaire, après quelques caresses, le tout en 15 minutes maximum. Et comme elle était la seule femme que je n’avais jamais connu …

Je fus sorti de mes pensées par la sonnerie de mon téléphone. C’était Anna, une copine rencontrée lors de ma dernière année d’étude. Dès notre rencontre, nous avions beaucoup sympathisé, et étions finalement devenus de bons amis. Contrairement à moi, elle n’avait pas encore réussi à avoir le concours. Elle le tentait une nouvelle fois cette année en candidat libre, et avait réussi à décrocher un petit boulot de caissière pour mettre quelques sous de côté.
Anna m’appelait rarement, aussi décrochai-je rapidement. A l’autre bout du fil, elle était en larme. Elle venait de se faire plaquer par son mec. Dur dur à avaler, surtout un lendemain de Saint Valentin. Sans hésiter, je lui proposais de passer chez moi, pour lui apporter mon soutien et en discuter. Elle accepta, et vint donc passer la soirée.

Elle arriva vers 19h30. J’étais en train de nous préparer un petit dîner simple. J’allai ouvrir la porte et la laissai entrer. Anna, 25 ans comme moi, n’était pas un top model, mais elle avait un certain charme. Ses cheveux châtains détachés tombaient sur ses épaules, et ses yeux marron étaient rougis par les larmes. Elle était plutôt bien faite, avec des courbes agréables, des fesses rebondies, et une poitrine généreuse. Mais surtout, ce qui en faisait une fille particulière, c’est qu’elle avait la réputation d’avoir une sacrée libido !!! Réputation qu’elle s’était elle-même créé, car elle avait la « fâcheuse » habitude de dévoiler avec beaucoup de détails sa vie intime. Son plus gros défaut, c’était son copain. Je ne l’aimais pas, mais ne l’avais jamais dit à Anna, pour préserver notre amitié.

Je lui proposai mon dîner, et elle accepta. Tandis que nous mangions, elle m’apprit que son couple allait mal depuis déjà quelques mois, et qu’elle s’attendait à cette rupture. Mais elle ne s’attendait pas à se faire plaquer le lendemain d’une merveilleuse soirée de Saint-Valentin. Il faut dire que comme pour moi, son désormais ex-petit copain était le seul homme avait qui elle était sortie (ils étaient ensemble depuis 8 ans !). Je réussis, au cours de la soirée, à lui remonter le moral et à la faire relativiser. Si bien que les larmes furent finalement remplacées par des sourires et même des rires. Vers 22h, elle se sentait réellement mieux.
Malgré tout, je lui proposais de rester dormir chez moi, car j’imaginais combien il lui serait pesant de dormir seule chez elle. Elle accepta avant que je ne me rende compte de ma bêtise : ma femme avait emporté notre canapé-lit à Orléans.
- « Ah zut, on n’a plus le canap’. Ben tant pis, tu vas prendre mon lit et moi je dormirai sur le matelas gonflable. »
- « Oh ben non, je veux pas non plus t’embêter » me répondit-elle d’un air gêné. « Ou sinon tu me fais juste une petite place dans ton lit. Sauf si tu as peur de dormir avec une autre femme » ajouta-t-elle avec un clin d’œil.
- « Euh, non non, ça va » balbutiai-je.
En réalité, je me sentais assez mal à l’aise. Je n’avais pas fait l’amour à ma femme depuis 2 semaines, et ce malgré notre week-end Saint-Valentin. En effet, par manque de chance, c’était tombé en pleine semaine de règles. J’étais donc assez à cran à ce niveau-là. L’idée de dormir à quelques centimètres d’une femme qui se vantait d’être très portée sur la chose me faisait donc craindre une certaine manifestation physique assez embarrassante. Surtout envers une néo-célibataire éplorée. Mais je ne lui en dis rien.

Quelques minutes plus tard, alors que je venais d’enfiler un bas de pyjama par-dessus mon boxer (pas du tout sexy, mais efficace pour camoufler une éventuelle gêne), Anna entra dans la chambre. Elle portait un vieux tee-shirt que je lui avais prêté. Celui-ci laissait deviner la forme de ses seins, sans pour autant en dévoiler trop. Elle portait également se petite culotte, et …. c’est tout. Comme si de rien n’était, elle s’approcha de moi, et me fit une bise sur la joue en me soufflant un « merci pour tout » à l’oreille. Puis elle se dirigea vers le lit en demandant : « je me mets de quel côté ? ». Je lui indiquais un côté, et elle se glissa sous la couette en me regardant avec un air innocent. Quoique, était-il si innocent ? Je n’avais pas bougé d’un pouce, et des questions commençaient à jaillir en moi: s’était-elle rendu compte de son attitude ? Avait-elle délibérément essayé de m’allumer ? Ou était-ce moi qui prenait mes désirs pour des réalités (ce qui n’était pas très correct au regard de sa situation) ? Quel que fût la réponse, l’effet était là: je sentais mon sexe se durcir dans mon boxer, et malgré mon pantalon de pyjama par-dessus, la bosse commençait à se voir. Et cela n’échappa pas à Anna, qui esquissa un sourire en coin en la regardant en biais.
J’eu la sensation de voir apparaitre sur mes épaules un ange et un diable. L’un me disait : « Méfie-toi d’elle, pense à ta femme et va gonfler le matelas dans le salon ». L’autre répondait : « Mais non, tu te fais des idées. Et puis si vraiment elle t’allume, il peut se passer des choses sympas, et personne d’autre ne le saura ».
Chassant ces deux intrus de mon esprit, je me dirigeai vers mon côté du lit, et je me glissai sous la couette. Elle s’approcha alors de moi et me dit :
- « Ça me fait bizarre d’avoir un autre homme dans mon lit, mais je suis content que ce soit toi. Et toi, ça te fait quoi ? »
- « Euh … ça fait bizarre » répondis-je, assez mal à l’aise.
Mais ne voulant pas plomber l’ambiance, et voulant me convaincre que je me faisais des idées, j’ajoutai, sur le ton de l’humour :
- « Mais quitte à avoir une autre personne que ma femme dans mon lit, je préfère que ce soit une jolie demoiselle super sexy en petite culotte qu’un gros costaud en marcel ! »

A peine avais-je terminé ma phrase que ses lèvres étaient déjà sur les miennes. Mais au lieu de la repousser comme j’aurai dû le faire, je la laissai m’embrasser, d’abord timidement, puis avec de plus en plus d’assurance. Je sentis le désir monter en moi, un désir sexuel intense, incontrôlable. Je ne pus m’empêcher de répondre à son baiser. Mes mains commencèrent à parcourir son corps, avec une insistance croissante. Je m’attardai d’abord sur son dos, puis ses reins. Vinrent ensuite ses fesses, puis son ventre, et enfin ses seins. Elle répondait à mes caresses par des petits soupirs de plaisir, et ses mains se joignirent aux miennes. Elles parcoururent mon dos, mes fesses, puis très vite, mon sexe, désormais très à l’étroit dans sa prison de tissu. Repoussant la couette, elle m’allongea sur le dos, et descendit vers mon entrejambe. Elle enleva d’un geste rapide mon bas de pyjama, tandis que j’enlevai mon tee-shirt. Puis elle s’attarda sur mon boxer. Elle frôlait le tissu, le caressait, avec ses doigts et sa bouche.

Je savais qu’il était grand temps de tout stopper. Si je ne l’arrêtais pas, il serait trop tard. Il fallait que je l’arrête, c’était indispensable. Mais je ne fis rien. Je ne bougeai pas, la laissant faire.
Je senti ses doigts descendre mon boxer, dernier rempart qui la séparait de mon sexe. Ce dernier se tenait bien droit, attendant avec impatience qu’elle s’y attarde. Ce qu’elle fit sans se faire prier. Elle joua quelques instants avec ses doigts, puis très vite ses lèvres commencèrent à parcourir toute sa longueur. Je soupirai en reposant la tête sur l’oreiller. Je découvrais là des sensations nouvelles, ma femme ayant toujours catégoriquement refusé la fellation. Et quand Anna pris ma verge à pleine bouche, une sensation de bonheur m’envahit. Je pouvais maintenant affirmer que sa réputation était vraie : elle était douée !!! Sacrément douée !!!

Tellement doué que je senti la sève monter : j’allais lui éjaculer dans la bouche. Mais il était beaucoup trop tôt !
Je la repoussai alors, et j’inversai nos positions : je l’allongeai sur le dos, et me plaçai au-dessus d’elle. Je lui enlevai son tee-shirt, et commençai à m’attarder sur ses seins. Ils étaient un peu plus gros que ceux de ma femme, et je découvrais avec plaisir une autre poitrine. Je ne fus pas le seul à en éprouver du plaisir, à entendre les soupirs qu’elle poussait. Je descendis vers sa culotte, et commençai à passer ma main sur le tissu. Immédiatement, elle se cambra dans un long soupir, avançant son bassin pour accentuer la pression de ma main sur sa chatte déjà très humide. J’enlevai sa petite culotte, et découvris son sexe. C’était la première fois que je voyais le sexe d’une autre femme. Il était net, fraichement rasé. Je pouvais voir sans difficulté ses lèvres entrouvertes. C’était un spectacle inhabituel, ma femme ne s’épilant pas à cet endroit. J’étais comme subjugué, hypnotisé par ce que j’avais sous les yeux, et sans réfléchir, je m’avançai vers cette caverne aux merveilles. J’avais très peu pratiqué le cuni, car ma femme trouvait ça sale. Mais je me sentais comme inspiré devant cette chatte qui m’attirait à elle. Je commençai par embrasser le creux de son entre-jambe, tout autour de son petit minou. Je voulais la faire attendre, la frustrer, pour qu’ensuite elle me supplie de la faire jouir. Et ça marchait ! Je la sentais s’impatienter. Quand enfin je la sentis sur le point d’exploser, j’embrassai goulument ses lèvres et son clitoris. Elle poussa un petit cri de plaisir, et appuya sur ma tête avec ses mains, tout en avançant son bassin pour augmenter la pression. J’étais pris au piège, n’ayant pas d’autre solution que de parcourir toute sa chatte de ma langue. Je me laissais guider par ses soupirs, ses râles, ses mouvements de bassin. J’introduisis un doigt, puis deux dans son vagin. Tandis que mes doigts entraient et sortaient, ma bouche et ma langue continuaient leurs incessants mouvements, si bien qu’au bon de quelques minutes, Anna se cambra brusquement et poussa un long cri de jouissance. Tandis que je relevais la tête, elle me regarda droit dans les yeux et les yeux enflammés de désire elle me supplia : « Je n’en peux plus, vas-y, prends-moi, pénètre moi, fais-moi jouir encore et encore!!! ».
Il ne fallait pas le dire deux fois, tant j’étais existé. Je pris quand même le temps de lui indiquer la table de nuit, mais comprenant ce que je voulais elle me dit dans un souffle:
- « Nan, pas de capote, prends moi comme ça, c’est encore meilleur ».
Elle dut lire une légère inquiétude dans mon regard, car elle ajouta:
- « T’inquiète pas, je prends la pilule et j’ai fait un test récemment ».
Sans réfléchir plus, j’attrapai donc ses hanches pour la tirer un peu vers moi, et je la pénétrai d’un coup, sans la moindre difficulté. A putain c’que c’était bon ! Ça faisait des mois que je n’avais pas fait l’amour sans préservatif, car ma femme, dans l’optique d’avoir des enfants plus facilement avait arrêté la pilule juste après le mariage. Je retrouvais une sensation qui m’avait manqué. Je m’appliquai aussi à procurer à Anna un maximum de plaisir. Et j’y arrivais !!! Elle jouit rapidement, puis comprenant que je n’allais pas tarder à en faire autant, elle me repoussa, se redressa et attrapa mon sexe au bord de l’explosion. Elle le prit en bouche, et sans que je ne puisse rien faire, j’éjaculai dans un râle. Je n’avais pour ainsi dire jamais autant joui.
Quelques instants plus tard, sans dire le moindre mot, j’éteignais la lumière et je m’allongeais sur le dos. Anna replaça la couette et se blottit dans mes bras, nos corps nus l’un contre l’autre. Je sombrai aussitôt dans un profond sommeil.

Je me réveillai en plein milieu de la nuit. Anna dormait paisiblement près de moi. J’allumai la lumière à faible intensité, et je me levai discrètement. Je voulais faire le point. J’avais déconné, je le savais. Mais c’était trop tard. J’avais trompé ma femme. Allais-je lui dire ? Sans doute que non. Devais-je réveiller Anna et lui demander de rentrer chez elle ? Non, pas à cette heure-là. La meilleure chose à faire, c’était de me recoucher. Je mettrais les choses au clair au réveil, puis je la renverrais chez elle. On avait dérapé, mais ça s’arrêtait là ! Ma décision était sans appel. J’aimais trop ma femme pour risquer notre mariage sur une histoire de cul.

En revenant dans la chambre, je découvris Anna allongée sur le ventre, le dos laissé à nu par la couette que j’avais dérangée, et je pouvais deviner la forme de ses fesses au travers. Elle dormait toujours. Cette scène ne me laissa pas indifférent. Pourtant je venais de faire les cent pas dans mon appartement pour me convaincre que je ne recommencerais jamais ce que j’avais fait. Mais à la simple vue de son dos nu, de son corps ainsi offert, à portée de mains, mes bonnes résolutions s’effondrèrent. Je bandais déjà comme un âne, et comme quelques heures auparavant, je m’apprêtais à céder. Après tout, j’avais déjà trompé ma femme une fois, recommencer changerait-il quelque chose à cela ? Sans doute pas.
Je me glissai donc sous la couette, et commençai à caresser ce dos offert. Elle ne se réveilla pas, mais elle émit quelques petits gémissements et soupirs qui en disaient long. Je soulevai alors doucement la couette et commençai à embrasser ses fesses et le haut de ses cuisses, tout en continuant à la caresser. Je vis ses cuisses s’écarter petit à petit, sans qu’elle montre pour autant le moindre signe de réveil, et sa petite chatte apparue. Ne pouvant résister, je la frôlais du bout des doigts. Mes caresses se firent de plus en plus intenses, et elle commença à sortir doucement de son sommeil. Mais ce qui se passait était encore flou pour elle, à la limite entre rêve et réalité. Elle ne chercha pas à comprendre et se laissa aller à mes caresses. Elle leva petit à petit ses fesses, jusqu’à se retrouver presque à quatre pattes, tout en écartant bien les cuisses, pour que je puisse accéder plus facilement à ce minou qui en demandait encore. Je me plaçai à genou derrière elle, et approchait ma verge en érection. Je caressai les lèvres avec mon gland, puis je la pénétrai d’un coup, avec une facilité déconcertante. Elle ne mit pas longtemps à jouir, et moi non plus. Mais cette fois-ci, je jouis en elle. Puis je m’affalai sur le lit et m’endormis, tout contre elle, sans même étreindre la lumière.

Lorsque j’ouvrai les yeux, le soleil était déjà haut. Le réveil indiquait 10h. Déjà ?! Zut, quel jour étions-nous ? Ah oui, mercredi, donc pas d’école. Ouf… Je me tournai, et découvris à côté de moi … personne ! Pourquoi n’y avait-il personne ? Où était Anna ? Avais-je rêvé ? Non impossible. Etait-elle partie précipitamment, prise par le remord ? Peut-être. Je me levai, enfilai juste une robe de chambre, et me dirigeai vers le séjour de l’appartement. Anna en pleine préparation du petit déjeuner. Elle avait enfilé le peignoir de ma femme, mais je devinai qu’elle ne portait rien en dessous.
- « Bonjour ! » me dit-elle d’un ton enjoué, avec son plus beau sourire. « je me suis permise de fouiller pour trouver de quoi préparer le p’tit dej. »
- « Tu as bien fait, en plus je meurs de faim ! » répondis-je.
Elle m’invita à m’assoir à table, et nous servit un bol de chocolat chaud et des biscottes. Elle s’installa en face de moi, et commença à manger. Le silence qui s’en suivit me mis mal à l’aise, aussi décidai-je de meubler un peu.
- « Tu ne travailles pas aujourd’hui ? »
- « Si, mais pas avant 14h. »
- « Ah ok, c’est cool, tu n’as pas à te presser comme ça … ».
Quelle remarque Thomas ! Digne des petits vieux qui te parlent du beau temps pendant la descente de l’ascenseur … Un nouveau silence s’installa. Elle dû lire mon embarra, car cette fois-ci, ce fût elle qui le brisa :
- « Tu veux qu’on reparle de cette nuit ? » me demanda-t-elle.
- « Oui, j’aimerais bien que nous mettions les choses au clair sur ce qui s’est passé ».
- « En tout cas, sache que je ne regrette rien ! » me dit-elle avait un clin d’œil.
- « Moi non plus, j’ai adoré. Mais … enfin … disons que pour moi, ce n’était que du sexe, c’est tout. Il n’y avait aucun sentiment ! » osai-je enfin avouer.
Elle éclata de rire.
- « C’est donc ça qui te tracasse. Mais ne t’inquiète pas, pour moi non plus, il n’y a aucun sentiment. Je t’aime bien, c’est vrai, comme ami. Ce n’était que du sexe pour moi aussi. Et qu’est-ce que c’était bon !!! »
- « Bon ben au moins tout est clair. Par contre, dans ce cas-là, je suppose que tu ne vois pas d’inconvénient à ne jamais en parler à qui que ce soit ! Je tiens trop à mon mariage pour ça ! »
- « C’est juré » répondit-elle avec la plus grande sincérité. « Jamais rien de ce qui s’est passé ici ne sortira. »
Tout à coup, mon téléphone sonna. C’était ma femme. Je montrai à Anna la photo qui était apparu sur l’écran en lui faisant comprendre qu’elle ne devait pas faire le moindre bruit. Tandis que je restai assis à table pour téléphoner, elle en profita pour débarrasser, et s’éclipsa dans la cuisine.
- « Bonjour ma chérie, tu vas bien ? Bien dormie ? … Oh moi oui, très bien ! Je viens de me lever. …. Tu es en pause ? …. Non pas encore, je bosserai cet après-midi … »
Bref, je vous passe les détails, il s’agissait d’une conversation anodine, tout ce qu’il y a de plus banal dans un couple. Tout en écoutant ce qu’elle disait, je m’appliquai à ne pas trahir le véritable scénario de la nuit. La conversation dura quelques minutes, car mon épouse m’appelait pour me parler de quelque chose de bien précis. Si bien que j’en avais presque oublié Anna. Mais elle ne m’avait pas oublié. Je senti sa main caresser l’intérieur de mes cuisses. Elle s’était glissée sous la table, sans que je ne la vois. Je sursautai, et poussait un grand soupir.

Sous la table, Anne commençait à approcher dangereusement ses mains de mon sexe, qui n’avait pas mis longtemps à retrouver sa raideur de la nuit passée. J’essayai de rester concentrer tant bien que mal sur le fil de la conversation, mais cela devenait de plus en plus difficile à mesure que ses mains s’approchaient de mon entre-jambes. Et ça se compliqua encore plus lorsque je sentis sa bouche attraper mon sexe tout entier. Ses lèvres allaient et venaient le long de ma bite, et je commençais à perdre pied. Ma femme le perçu, et me demanda ce que j’avais.
- « Rien rien, désolé, je regardai un mail en même temps ».
Et là, à mon grand soulagement, elle m’annonça qu’elle devait retourner travailler.
- « On s’appelle ce soir. Bisous je t’aime » lâchai-je avant de raccrocher puis de pousser un long soupir de plaisir.
Car sous la table, Anna continuait son œuvre bienfaitrice.
- « C’était quand même pas très malin de faire ça pendant que je téléphonais, même si j’apprécie énormément »
- « Désolé, je voulais te rendre la pareil après ce que tu m’a fait pendant la nuit ».
Je savourai cette pipe pendant encore quelques instants, puis je reculai ma chaise pour la forcer à sortir de sous la table. Je la fi se redresser, défis le nœud du peignoir et celui de ma robe de chambre, et l’invitai à me chevaucher sur la chaise. Elle ne se fit pas prier, et s’empala joyeusement sur mon sexe. Contrairement aux deux premières fois, c’est elle qui imposa le rythme des va-et-vient. Pendant ce temps, j’embrassais ses seins, caressais ses fesses. Mais au bout d’un moment, la position devint inconfortable, le dossier de la chaise me faisant mal. Sans pour autant me retirer, je la soulevai et la déposai sur la table. Je pouvais lire la tension sexuelle et le plaisir dans son regard, et cela me donna encore plus de vigueur pour la pénétrer. Mes coups de reins devenaient de plus en rapide, et nous jouîmes à peu près en même temps. Elle jeta sa tête en arrière tout en poussant un long gémissement, tandis que je poussai un grand râle en lui éjectant de grandes giclés de spermes dans la chatte. Et de trois !


Après le déjeuner, elle m’aida à ranger puis se prépara à partir. Sur le pas de la porte, elle me déposa un baiser sur le coin des lèvres, et me souffla : « Merci pour le réconfort ». Puis elle disparut dans l’ascenseur.

Qu’allait-il se passer désormais ? Allais-je la revoir prochainement ? Allions-nous recommencer ? Etait-elle devenue ma maîtresse ? Ou bien n’étais-ce qu’un moment d’égarement de deux êtres en manque de sexe ? Autant de questions que je me posais, mais dont je n’avais pas la réponse …

A suivre …
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