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Aventure extra-conjugale 2

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Lue : 8222 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/04/2012

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Chapitre 2 : Vers une relation durable ?

C’était le début du mois de mars, et les vacances scolaires venaient de débuter. Cela faisait plus d’une semaine et demie que je n’avais pas eu de nouvelles d’Anna. La dernière fois que je lui avais parlé, c’était sur le seuil de mon appartement, alors qu’elle s’en allait. Nous avions fait l’amour à plusieurs reprises. Mais depuis, plus rien. Je n’avais pas osé la recontacter, et elle ne l’avait pas fait non plus.
A vrai dire, je ne savais même pas si je voulais la revoir. Voulais-je recommencer ? Ou préférais-je qu’il ne se passa rien de plus ? Un peu des deux, en fait. Mais c’est la raison qui l’emportait, et je me contentais donc du souvenir de ces merveilleux moments.

22h. Je flânai sur internet depuis déjà deux bonnes heures quand quelqu’un commença à me parler. C’était Anna.
« Salut, ça va ? »
« Bien et toi ? »
« Oh la routine, j’ai terminé le boulot à 20h, je suis claquée.»
« Tu n’as pas de vacances ?».
« Si si, la semaine prochaine, la deuxième semaine des vacances scolaires. »
« Ah ben tant mieux »…

Cette discussion dura presque 20 minutes. Nous parlions de tout et de rien. Personne n’aurait pu deviner ce qui s’était passé presque deux semaines plus tôt à la lecture de cette conversation. Je ne savais pas trop ce que je devais en conclure. Avait-elle classé nos ébats dans la case « Aventure d’un soir », ou comme moi évitait-elle simplement le sujet ?
Alors que je lui disais que j’allais aller me coucher, elle écrivit :
« Est-ce que ça te dit de venir manger chez moi demain soir ? »
Une invitation ? Avec ou sans arrières pensées ? Je voulais en savoir plus, alors j’acceptai : « Ok ça marche, je serai là vers 19h30. A demain, biz, bonne nuit »

Le lendemain, j’allai acheter une bouteille de vin, pour ne pas arriver les mains vides. Mais surtout, je préparai quelques affaires pour la nuit. Je préférais prévoir.

J’arrivai chez elle à l’horaire prévu. Anna m’ouvrit avec un grand sourire. Elle était habillée simplement, avec un jean, un chemisier blanc et un petit pull noir.
- « Installe-toi sur le canapé, je termine de préparer le repas. »

Elle habitait un 30m3 plutôt bien conçu. Le petit hall desservait une salle de bain et débouchait sur la pièce de vie. Celle-ci était tout en long, avec dans un recoin l’espace cuisine séparé du reste de la pièce par un bar. Au centre se trouvait un canapé, une table basse et un petit meuble TV. Enfin, au fond, il y avait un grand lit 2 places (il y a peu de temps encore, son ex vivait là aussi) et une armoire. Son lit, perpendiculaire à la pièce, était mis de telle sorte qu’il pouvait servir de 2e canapé lorsqu’elle recevait du monde.
Anna posa sur sa table basse des petits fours, des crudités, quelques gâteaux apéro et des morceaux de cake.
- « Apéro dinatoire, ça te va ? »
- « Parfait »

Je débouchai la bouteille de vin, servis deux verres, et nous commençâmes à manger. Les sujets furent variés : l’école, son boulot de caissière, la préparation du concours, les projets pour l’été, l’actualité, son ex, etc…. Mais nous ne parlâmes toujours pas de notre aventure. Je gardais la ligne de conduite que je m’étais fixé : s’il ne se passait rien, tant mieux ; s’il se passait quelque chose … tant mieux aussi ?!
La bouteille de vin descendit rapidement, et je commençai à avoir chaud. Mais je n’étais pas le pire : Anna buvait rarement, si bien que les effets de l’alcool commençaient vraiment à se faire sentir chez elle. Elle riait plus et se détendait. Elle avait retiré son pull et déboutonné légèrement son chemisier. Quand elle se baissait, je pouvais apercevoir le haut de ses seins.

Pour garder mes esprits, je me levai pour aller faire la vaisselle, tout en continuant notre discussion.
- « Oh je t’ai pas dit, je suis allé faire les boutiques samedi » me dit-elle. « Je devais me racheter un ou deux pantalons, mais j’ai pas pu résister, et j’ai un peu cassé la tirelire. Tu veux que je te montre ce que j’ai acheté ?».

Allons bon, une séance « défilé de mode ». Il n’y a bien que les filles pour proposer ça. J’acceptai cependant, pour lui faire plaisir. Elle disparut dans sa salle de bain, me laissant seul. Après avoir terminé la vaisselle, je me rassis dans le canapé et attendis.

Elle apparut dans l’encadrement de la porte, et je restai bouche bée. Elle portait maintenant une petite robe noire, toute simple mais très élégante, qui lui arrivait à mi-cuisse, dévoilant ses longues jambes nues. L’effet était accentué par de petits escarpins noirs. Plus haut, un large décolleté laissait apparaitre le sillon séparant ses deux seins. Je ne savais pas comment je devais réagir, et je lâchais bêtement :
- « Ah oui, en effet, entre la robe et les chaussures, tu as dû en avoir pour cher ! ».
Elle sourit, fit deux pas vers moi et répondis en chuchotant:
- « Et encore, tu n’as pas encore tout vu ».

Clairement, elle m’allumait. Mais je craignais que l’alcool y soit pour quelque chose, et je ne voulais pas en profiter aussi lâchement. Je tachai de conserver la tête froide et j’essayai de me persuader qu’elle retournerait se changer.
Mais au lieu de ça, elle s’approcha encore un peu plus de moi, et s’assit carrément sur mes genoux. Je sentis la chaleur de ses cuisses sur les miennes, et l’effet fut immédiat : je commençai à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. Elle se pencha vers moi, et me chuchota à l’oreille:
- « Si tu veux voir le reste, il va falloir m’enlever cette robe ».

S’en était trop. Au diable, mes bonnes résolutions. Je ne pouvais pas laisser passer ça. Je m’avançai vers son visage et l’embrassai, tandis que mes mains commençaient à parcourir son corps. J’embrassai son coup, juste à hauteur de mon visage, et je descendis lentement vers sa poitrine. Elle m’enleva mon tee-shirt, passant ses mains sur mon torse. Ce contact m’électrisa encore plus. J’attrapai la fermeture de sa robe dans le haut du dos, et la fis glisser vers le bas. Puis j’attrapai le tissu et commençai à l’enlever. Elle leva les bras pour ma faciliter la tâche, puis me dit :
- « Alors, ça te plaît ? »

La dernière partie de ses achats étaient maintenant sous mes yeux. Elle portait un ensemble magnifique, à la fois élégant et provocant. Son soutien-gorge était noir, avec des motifs rouges qui le traversaient de part en part. Le string qui allait avec reprenait les mêmes motifs. L’effet, sans doute recherché par Anna, fut immédiat. Je me jetai sur sa poitrine, la caressant, l’embrassant à travers le tissu. Puis j’attrapai l’attache du soutien-gorge et le lui enlevai. Elle était toujours sur mes genoux, tandis que j’embrassai ses tétons gonflés par le désir. L’une de mes mains caressa son string, et je sentis au travers du tissu sa chatte déjà toute humide.

Anna se redressa, me fis mettre debout, puis s’agenouilla devant moi. Elle semblait vouloir prendre les choses en main, et je la laissai faire. Elle déboutonna mon jean, et me le retira. Elle fit de même avec mon boxer, laissant enfin à l’air libre mon sexe en érection, à l’étroit depuis de trop longues minutes. Elle déposa un baisé sur le gland, mais se releva aussitôt. Elle posa une main sur mon torse, et me fit reculer … vers le lit. Elle m’y poussa, me forçant à m’allonger. Je ne bougeai pas tandis qu’elle retirait sensuellement son string, dévoilant une chatte fraichement épilée. Puis elle grimpa à son tour sur le lit, et se mis à genou au-dessus de ma tête. Ni une ni deux, j’embrassai immédiatement ce sexe ainsi offert. Elle poussa un soupir. Je m’appliquai à lui procurer un maximum de plaisir avec ma langue, jouant avec son clitoris, passant entre ses lèvres, à l’entrée de son vagin. Elle semblait apprécier.

Au bout de quelques minute, elle se déplaça, descendit vers mon sexe et s’empala dessus, pour notre plus grand bonheur à tous les deux. Ce fut elle qui imposa le rythme des va-et-vient. Elle avait le pouvoir, et j’en éprouvais un certain plaisir. Elle débuta lentement, et accéléra petit-à-petit, poussant des gémissements de plus en plus fort, jusqu’à pousser un cri de jouissance, contractant soudainement tout son corps.

Je pris alors le relai. Je me retirai, la fis se coucher sur le côté, et vins me placer derrière. Je la pénétrai d’un coup ferme mais sans violence. C’était désormais moi qui imposais le rythme, et il était soutenu. Je grognais, elle gémissait. Soudain je senti l’orgasme arriver, et elle le comprit. Elle s’enleva d’un coup brusque, se retourna et pris mon sexe dans sa bouche, tandis que ses mains me masturbaient. Au bout de quelques secondes à peine, j’explosai dans sa bouche en poussant un long râle. C’était la deuxième fois qu’elle faisait ça, j’en conclu qu’elle devait aimer.

Quelques instants plus tard, le silence s’était installé. On entendait les voitures et les bus passer sous les fenêtres, quelques dizaines de mètres plus bas. On pouvait également deviner des voix lointaines dans les appartements autour. J’étais allongé sur le dos, totalement nu. Anna, nue également, était allongée près de moi, la tête posé sur mon ventre. Je ne voyais que ses cheveux, car son visage était tourné vers mon entre-jambe. Elle jouait distraitement du bout des doigts avec mon sexe, devenu flasque. Nous restâmes comme cela quelques minutes.

Ce fut elle qui rompit le silence :
- «Je me demande combien de temps il te faut ? »

Tout en disant cela, ses doigts s’intéressèrent de plus près à mon sexe. Sa main parcourait sa longueur, caressaient mes bourses, revenait vers le gland. Il ne lui fallut que quelques secondes pour obtenir ce qu’elle recherchait : un sexe tendu vers elle, prêt à recommencer. Elle releva la tête, me regarda avec un sourire et dit :
- « Pas longtemps à ce que je vois »

Elle se redressa, e mit à quatre pattes et reprit mon sexe en bouche quelques instants. Je fermai les yeux pour savourer cette fellation, mais elle s’arrêta brusquement :
- « Mais dis-moi, il n’y a pas de raison que seule les femmes travaillent, ici ! »

Et sur ce, elle m’enjamba, mais à l’envers. Je me retrouvai de nouveau avec son sexe au-dessus de ma tête, tandis qu’elle reprenait sa fellation. Je n’avais encore jamais pratiqué la fameuse position du 69.

Je commençai par lécher ses lèvres et son clitoris, avec de plus en plus de vigueur. Puis j’insérai un doigt, puis deux. Je senti qu’elle me suçait avec plus d’énergie, et j’en conclu qu’elle appréciait mon traitement. J’accélérai le rythme de mes doigts dans son vagin, si bien qu’elle s’arrêta pour relever la tête et apprécier pleinement. Elle ondulait de plus en plus rapidement le bassin, en gémissant de plus en plus. Tout à coup, elle se releva. « Oh vas-y, prends moi encore, fais moins grimper au rideau ». Elle s’installa à quatre pattes, m’invitant à la prendre en levrette. Je m’installai donc derrière elle, et la pénétrai. Ayant éjaculé quelques minutes à peine auparavant, je mis plus de temps la deuxième fois. Cela permit à Anna d’atteindre un premier orgasme. Son deuxième orgasme arriva en même temps que le mien. Il fut plus intense encore que le premier, pendant que j’éjaculai directement dans sa chatte.

Nous nous écroulâmes sur le lit, épuisés. Elle me regarda et me dit en souriant :
- « Tu peux rester dormir si tu veux, par contre demain je me lève tôt, je travaille à 8h ».

J’acceptais quand même la proposition. Je me relevai pour me rafraichir, et revint me coucher après avoir éteint la lumière. Anna s’était roulé en boule et dormait déjà. Je ne mis pas longtemps à faire pareil.

Le réveil fut difficile. Elle prit sa douche la première, puis je pris la mienne pendant qu’elle préparait le petit déjeuner.
Pendant que nous mangions, je décidai de mettre les choses au clair :
- « Je ne sais pas si tu souhaites que ce petit jeu continue, mais si c’est le cas je suis d’accord » lui dis-je.

Elle me sourit :
- « En quelques sortes, après avoir vu des maîtresses pendant la journée à l’école, tu voudrais avoir une maîtresse le soir en rentrant ! Eh bien oui, je suis d’accord. »
- « Par contre, pour que tout fonctionne, j’ai quelques limites à poser. D’abord, ne rien faire qui pourrai mettre en danger mon mariage. Ensuite, sauf exception, je préfèrerai qu’on se voie donc le mardi soir, quand je n’ai pas de classe à préparer pour le lendemain, ou pendant les vacances quand ma femme n’est pas là. Enfin, ce serait une sorte de CDD. Car quand ma femme reviendra vivre avec moi au mois d’août, on devra tout arrêter. »

Pour moi, cette relation ne pouvait avoir lieu sans risque sans ces règles.
- « Ça me va. Par contre, moi aussi j’en ai une, de condition ! On se voit seulement le mardi soir, ok. Mais alors TOUS les mardi soirs !!! »
- « Marché conclu ».

Quelques minutes plus tard, je déposai Anna au travail, et je reprenais la direction de mon appartement.
Ainsi donc, après environ 7 mois de mariage, j’avais une maîtresse. Le printemps qui arrivait s’annonçait … chaud !


A suivre …

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Histoire de Thomas

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