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Luc, le meilleur ami de mon mari

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Lue : 31475 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 14/04/2012

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Aux professionnels de l’écriture, je m’excuse si quelques fois mes phrases sont mal faites.
Je n’ai aucune prétention pour la qualité de mon texte, je veux seulement raconter mon aventure.

Je m’appelle Marie et je suis mariée depuis onze ans à Jean. Comme beaucoup de maris, Jean aimerai que l’on fasse l’amour à trois, avec un autre homme, il me dit parfois de m’imaginer que c’est la pine d’un autre qui est en moi. J’avoue que cela m’excite beaucoup mais nous ne sommes jamais passés l’acte. Très unis, nous avons tous deux encore et toujours une grande envie de sexe.

Malgré mes deux accouchements, je suis fière de mon corps, 1m69, un 90C et deux ou trois kilos de trop et Jean, 1m80, allure sportive. Nous sommes un couple avec deux enfants
Luc et Léa sont nos amis, ils ont également deux enfants. Luc travaille dans la même entreprise que mon mari et ils ont un régime 21 jours de travail suivi d’une semaine de repos. Ces sont des amis d’enfances.

Voici comme l’été dernier, j’ai trompé mon mari pour la première fois.
Un lundi soir, par une très belle journée d’été, après avoir mis les enfants au lit, j’ai pris une bonne douche rafraîchissante.

Devant ma garde-robe, je ne savais ce que j’allais mettre pour dormir. J’ai fini par choisir une chemise de nuit blanche que j’avais confectionné moi-même, piquée plus bas que le nombril, quelques boutons plus hauts, ce qui permet à mes seins d’être très libre, quant à la longueur, elle cache tout juste mes cuisses. C’est à la demande de Jean que je l’ai confectionnée, il voulait quelque chose qui au moindre de mes mouvements, laisse apparaître une partie de mon anatomie.

Lorsque je suis arrivé au living, Jean dormait dans le divan. Je le réveille car il était bientôt l’heure de partir au boulot. Me voyant dans cette tenue, il m’attire sur lui et l’on s’est embrassé. Sa main est partie à la recherche de ma chatte et il n’a pas hésité un moment pour titiller mon clitoris et enfoncer un doigt au fond de mon intimité. Ma main a caressé son sexe. Il m’a demandé d’offrir ma chatte à sa langue et c’est en 69 que l’on s’est retrouvé.

J’ai léché et pompé sa bite qui était très dure et il a très vite déchargé en quatre ou cinq fois son jus dans ma bouche. Et comme d’habitude je n’ai perdu aucunes gouttes car j’aime le goût un peu acre et salé du sperme. Quant à moi, il m’a mis le feu au cul sans que je sois satisfaite et mon clitoris ressemble à une petite bite qui attend plus de caresses.
- Voilà ta chatte est prêt pour demain matin lorsque je rentrerai.
- Oui, ou le premier qui passera la porte quand tu seras parti !
- J’aimerai être une petite souris pour te voir jouir dans les bras d’un autre.
- Attention, il ne faut pas trop me narguer quand j’ai la chatte en feu.
- Nous en avons déjà discuté et tu ne m’as pas encore accordé cette faveur.
Et pour m’exciter un peu plus, il me dit – et j’espère qu’il aura une grosse et longue queue !

Il m’embrasse une dernière fois avant de partir en me disant – je demanderai à Luc de s’occuper de ta chatte, lui en a une grosse, d’ailleurs à l’usine son surnom est « l’étalon » sa queue fait 21cm et tu ne sauras même pas la mettre totalement en bouche.

Deux minutes à peine se sont écoulées que j’entends que l’on tapote à la porte.
C’est certainement Jean qui a oublié quelque chose et sans le moindre souci j’ouvre la porte et commencent à dire qu’il avait la tête dans les nuages. Quel ne fût pas ma surprise en voyant Luc devant la porte
- Ah, c’est toi Luc, je croyais que c’était Jean qui avait oublié quelque chose

Le regard de Luc s’arrête sur mon sein gauche que je m’empresse de cacher et je me sens rougir de honte ou d’excitation je ne sais pas. Il entre en fermant la porte et me fait la bise.
- Entre, tu connais le chemin… mais lieu d’aller vers ma pièce de couture, il se dirige vers mon living.

Par politesse, je lui dis de s’asseoir et il me dit
- Oui, je viens de voir Jean, je lui ai dit que je venais rechercher le pantalon de Léa qui devait être raccourci. J’en apporte un autre mais celui-ci est le mien.

Je m’assoie en amazone en face de lui en faisant attention à ne pas dévoiler mon intimité.
Pour sortir un peu de ma confusion, de mon trouble, je lui demande des nouvelles de sa petite famille. C’est ainsi que j’apprends que sa femme Léa qui est infirmière travaille toute la nuit jusqu'à huit heures demain matin, et que ses enfants sont chez ses beaux-parents.
Mon sang a fait un demi-tour lorsqu’il me dit droit dans les yeux et avec un petit air câlin, « cette nuit je suis en congé ».
Pendant un instant, je n’ai vu que des flashs de sexe et mon bas ventre a pris un coup de chaleur.

Pour fuir quelque peu mon trouble, je lui propose à boire, il me demande un gin coca.
Je prends la bouteille de Gin dans le bar et me dirige vers la cuisine. Je suis certain qu’il n’a pas lâché mes cuisses des yeux.
En allant chercher la bouteille de cola à la cave, je reprends mes esprits et me dit que je n’allais pas continuer à être confuse et que je devais prendre les devants car ma chatte était en feu.
Je verse le coca dans les verres et lui demande s’il veut beaucoup de Gin. Avant de le rejoindre je décide d’ouvrir les deux derniers boutons de ma chemise. Les deux verres à la main je vais vers lui et il ne quitte pas mon entrejambes des yeux, je suis sûr qu’il a vu ma petite toison. J’ai la chatte rasée et un tout petit triangle de poils orne mon bas-ventre.
Je dépose lentement les verres sur la table basse et je vois son regard sur mes seins qui sont maintenant on ne peut plus visible.

En voulant m’asseoir dans le fauteuil, je constate qu’il y a une traînée humide sur le cuir à l’endroit où je m’étais assise. Faisant comme s’il n’y avait rien je m’assois en face de lui mais cette fois dans son angle de vision. Maintenant je vois que c’est lui qui est quelque peu troublé et une bosse se dessine au travers de son short.
Parlant de tout et de rien, nous sommes revenus sur le sujet de sa visite et il m’a demandé de raccourcir le pantalon de toile qu’il avait dans son sac.
Je lui demande si les marques pour le raccourcir avaient été faites et il me répond que non.
- Alors tu dois l’enfiler, et je vais prendre les mesures.
- Le short que j’ai mis à un caleçon intégré, je peux le garder ou je dois essayer sans.
- A toi de savoir….
- Va mettre ton pantalon et appelle-moi quand tu seras prêt

Il se dirige vers la pièce de couture avec une très grosse déformation dans le short.
Pendant ce temps ma main va caresser ma chatte qui est toute trempée.
- Voilà, Marie, je suis prêt.
- Ok j’arrive

Mais je passe d’abord par l’armoire à pharmacie pour prendre un préservatif que je mets dans la poche que j’ai sur la poitrine car j’avais bien l’intention d’offrir à ma chatte un autre sexe que celui de mon mari.
J’entre dans la pièce et il fait face au grand miroir qui est fixé sur le mur du fond et je vois qu’il a enlevé son short. Ma chatte reçoit une giclée de cyprine supplémentaire.
Son érection avait l’air d’être moins forte. Je m’agenouille devant lui pour mettre les épingles dans le bas. Avec la position que je donne à mon corps, à l’avant il peut voir mes seins sans problème et par le miroir il doit avoir une vue superbe sur ma chatte qui est maintenant détrempée.
Alors que les aiguilles sont placées, je lui demande de retirer son pantalon.
-Attention aux aiguilles et pour ne pas te blesser je vais tirer sur les jambes de ton pantalon.

Lorsque je me suis redressée, je me retrouve face à une véritable colonne de chair surmontée d’un gland rose totalement décalotté. Sans hésiter un instant, de mes deux mains j’ai empoigné ce gros sexe, je le regarde dans les yeux et il me supplie de lui pomper la queue.
C’est avec peine que je lui suce la queue tellement elle est grosse. D’une main je tiens sa bite et de l’autre je lui masse les couilles totalement dépourvues de poils. Je m’acharne sur cette queue qui prend encore de la raideur et du volume. Mon entrejambe est en feu et je sens la cyprine coulé le long de mes jambes. J’aimerai tant avoir cette queue dans ma chatte. Je le sens se raidir et dans un râle profond il m’envoie une première giclée au fond de la gorge et les suivantes s’écrasent sur mes lèvres et ma poitrine. Je reprends sa queue en bouche pour récupérer son sperme qui dégouline de sa queue.

Il me prend par les épaules pour me redresser et me dit que je suis une très bonne suceuse et il m’embrasse en pleine bouche. Nos salives et son sperme se sont mélangés et sa main caresse mes seins surmontés de tétons excités et très sensibles.
Il me fait reculer quelque peu et me demande de lui montrer mon trésor. J’enlève ma chemise et je me retrouve pour la première fois de ma vie nue et très excitée devant un autre homme que mon Jean. Il me soulève pour m’asseoir sur la table et tout en m’embrassant me couche sur le dos. Son torse s’écrase sur ma poitrine, quitte mes lèvres et se met à sucer et pétrir mes seins. Il les suce avec vigueur et les pince entre les doigts. Je me tortille de plaisir et j’ai mon premier orgasme.
- Tu as les tétons très sensibles
- Oui, surtout après ce que tu leurs as fait.
- Et ta chatte est-elle aussi sensible
- Je t’en prie occupe-toi d’elle
- Oh mais dit donc, ton clitoris ressemble à une petite bite c’est la première fois que je vois ça et de plus ta chatte n’est pas mouillé mais inondée
- Suce-la au lieu de parler, j’ai une folle envie.

Il relève mes jambes sur ses épaules et commence à bouffer mon intimité. Deux doigts dedans et trois coups de langue ont suffi pour avoir un deuxième orgasme. Malgré mes cris, il ne lâche pas prise, je le repousse car mon clitoris était devenu tellement sensible qu’il était intouchable.

Luc ramasse son short et il en sort un préservatif. Avant qu’il le déballe, il a déposé sa queue qui était de nouveau au garde à vous sur ma chatte, je la tiens en main en faisant de mouvement de va et vient. Après avoir enfilé la capote, Luc présente sa queue devant ma grotte et me pénètre lentement. Ma chatte se dilate sans problème et je sens sa queue butée bien au fond. Je ferme les yeux pour mieux savourer sa grosse matraque. Il commence par faire de longs et lents mouvements jusqu'à ressortir sa queue, il la frotte quelque fois sur mon vagin et clitoris et me pénètre de nouveau.
- Luc, je t’en prie, fait moi jouir.
- Ah, tu aimes avoir une grosse qui te lime la chatte
- Oui, vas-y plus vite, oh oui , accélère….ouiiiiiiiiiiii

Mon troisième orgasme n’en finissait pas, et lui qui n’avait pas encore joui, il continuait ses coups de butoir. Je lui suppliai d’arrêter mais au contraire il me butait de plus en plus fort. Il attrape mon clitoris et le fait rouler entre ses doigts. J’ai senti sa première explosion en moi, il a sorti sa queue, arraché son préservatif et a déversé le reste de son sperme sur tout mon corps.
Il avait la tête et les yeux levés au ciel comme s’il remerciait le ciel de son éjaculation.

Il m’aide à me redresser de la table et on s’enlace encore une fois.
Je essuie son torse et son sexe qui était devenu flasque mais toujours aussi gros.
Il fallait que je mesure sa queue car elle était pour moi vraiment impressionnante.
Avec mon mètre de couturière, je mesure 18cm de circonférence. Et pour la longueur 21 cm me dit-il.

On se dirige vers le living et on s’assied l’un en face de l’autre, sans plus aucune gêne.
- Dis-moi Luc, tu as toujours une capote dans tes poches?
- Presque toujours et quand Jean m’a dit que tu étais chaude er en petite tenue, j’ai pris un préservatif que j’avais dans la voiture car j’avais envie de te baiser.
- Et bien…tu étais aussi sûr de ton coup ?
- Aucune femme ne m’a résisté jusqu'à présent !
- N’est –ce pas un peu de vantardise ?
- Jean m’a même déjà dit que lorsque vous faite l’amour, il te dit parfois d’imaginer que c’est moi qui te baise et que cela t’excite très fort.
- Demain matin, je vais avoir une petite conversation avec lui… !
- Marie, puis-je te poser une question très intime ?
- Avec ce que tu m’as fait aujourd’hui, je ne pense pas ce qu’il y a encore quelque chose de très intime entre nous deux.
- Léa et moi aimerions faire une partie de jambe en l’air à nous quatre mais nous n’avons jamais osé vous le demander.
- Euh…je ne sais pas si Jean sera d’accord…peut-être que oui !
- Léa est bisexuelle et aimerai lécher une femme pendant qu’elle se fasse baiser.
- Je n’ai jamais fait cela mais je pense que dans le contexte d’une baise à quatre je pourrai certainement l’accepter. Parle s’en à Jean et l'on verra.

Luc est parti en m’embrassant sur la bouche, il a mis un doigt dans ma chatte et l’a mis en bouche en me disant qu’il n’avait pas encore baisé une femme aussi mouillée que moi.

Je vous raconterai les suites car ces derniers mois ont été chauds...si vous le souhaitez

Marie

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Commentaires du récit : Luc, le meilleur ami de mon mari

Le 29/04/2012 - 14:04 par Lazarro
J ai vécu un truc similaire et j avoue que c était une de mes meilleurs parties !

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