Baise à 5

Nous décidons de sortir vers un endroit bien connu où les gens à la recherche d’aventures viennent nombreux. Disons la vérité, c’est toi qui m’as poussé. Ton envie, voir les autre baiser et toi te branler: aujourd’hui tu as le feu au cul. Pour te préparer, déjà, tu t’es mise nue, regardée dans la glace, caressée ta poitrine, pincé tes mamelons un peu, juste pour te faire mal. Tu as regardé ton con, il a attiré ta main: tu t’es branlée avec ton index et ton majeur. Cette première jouissance ne suffisait pas; tu as recommencé cette fois en ajoutant deux autres doigts dans le cul. De temps en temps tu suçais un de tes doigts qu’ils sont devant ou derrière. Tu m’as fait bander. J’allais t’imiter en me branlant. Tu aimes tellement le sperme que tout en continuant à te branler devant et derrière, tu as trouvé le moyen de me sucer la queue. Je t’ai envoyé ma sauce dans la bouche. Tu as apprécié encore mon sperme.

Enfin tu t’es calmée, puisque nous ne pouvions aller dans le coin que vers 22 heures. Tu t’es habillée en véritable pute comme tu le fais souvent, puisqu’une fois tu t’es vendue uniquement par plaisir. Tu portes un tout petit t-shirt qui ne t’arrive qu’au milieu du ventre, au-dessus de nombril. Tu as mis ta jupe en cuir, la très courte qui t’arrive juste au niveau de ton con. En voiture tu commençais déjà à t’exciter en te mettant les mains pour te caresser l’intérieur des cuisses. Tu me faisais encore bander: tu aimes quand je bande devant toi, comme tu aimes quand je me masturbe devant toi. Cette fois je te demande de me laisser tranquille pour le cas où nous rencontrerions un couple ou même une fille que je pourrai baiser.

En effet quand nous arrivons, nous trouvons un couple pas mal: lui te plait bien: tu te vois déjà les cuisses écartées devant son gourdin et moi je rêvais déjà de son con bien ouvert devant ma bouche.

C’est en gros ce qui s’est passé, sauf qu’un autre homme seul arrivait. Cette fois ton sang ne fait qu’un tour: deux hommes, pour toi ça veut dire deux bites en toi et ça tu aimes depuis que tu t’ai faite mettre sur la plage, la dernière fois, par deux types qu’on ne connaissait qu’à peine.
En effet, tu t’approches du dernier arrivé et tu lui demande de te baiser devant les autres.

Pour ma part je suis en grande conversation avec le couple: la femme veut bien baiser, alors que lui cherche à baiser pour une double pénétration. Quand je lui dis que tu es partante, il va vers toi pour te proposer la botte.

Les choses se passe très vite: pour toi c’est facile, les deux sont d ‘accord pour te la mettre et l’autre fille est vite convaincue, surtout quand elle voit ma queue.

Tu embrasses les deux hommes l’un après l’autre: tu les fais mettre nus, pour toi c’est facile, juste ta « jupe » et ton t-shirt. Tu leur prends les bites qui te plaisent autant l’une que l’autre. Au moins tu n’auras pas de choix à faire, tu vas te farcir les deux. Avec celle que je vais baiser, nous vous regardons. Tu es debout, cette fois, Un devant et l’autre derrière, il te pelote partout, depuis tes fesses jusqu’à tes seins qui ballottent un peu. Tu arrives à les faire se baisser un peu: tu ouvres d’abord ton con pour récupérer ta cyprine, en te touchant légèrement le clito (ce qui te donne un avant-goût de plaisir à venir). Tu t’en tartine le cul. C’est à celui qui doit te sodomiser (que tu as choisis) que tu donnes tes fesses que tu écartes à deux mains. Il est entre tes fesses; tu mouille de plus en plus. Il pose son gland sur ton troufignard, lentement il entre dans ton cul. Tu le sens quand il est à fond à cause des poils de sa bite contre tes fesses. A ce moment-là seulement du donne ton con à l’autre. Sa pine y entre plus que facilement, trop facilement pour toi: tu as la place pour mettre ta main et te branler encore. C’est toi qui fais les allers et venues à ton rythme qui va en s’accélérant.

Avec ma compagne du moment nous nous branlons également à te voir ainsi prise des deux côtés. Nous arrêtons vite pour ne pas jouir, au moins moi, les femmes ont cet avantage sur les hommes, elles peuvent jouir plusieurs fois à la suite. Je prends la couverture de la malle de la voiture, celle où nous baisons souvent dehors. Elle se couche. Je l’embrasse et lui caresse les seins, plus petits que les tiens: ça me change un peu des tiens. Je suce ses tétons, et ma bouche part à la découverte de son con. D’abord son odeur est moins agréable que la tienne, par contre son clitoris est plus gros. Je peux le prendre dans la bouche comme une petite bite. Je la lèche continuellement jusqu’au moment où je bande trop, à avoir mal, et qu’elle aussi me le demande: je monte sur elle qui écarte les jambes. Ses talons viennent sur mes fesses, un peu comme tu fais avec moi, et d’autres sans doute. Je peux entrer dans son con ouvert comme est le tien au même moment. J’entends tes plaintes de jouissance souvent.

Elle donne un coup de rein pour que je la lui mette au fond. Elle aussi commence à se plaindre; elle jouit souvent, comme toi. Je me soulage en elle: elle jouit quand mon sperme gicle au fond de sa chatte. Quand je sors d’elle, elle me veut encore: elle prend ma bite dans la bouche, me met deux doigts au cul et soudain je bande à nouveau. Cette fois elle demande la bite au cul. Elle me demande de lui cracher au cul, ce que je fais, elle prend ma bite pour la mettre entre ses fesses et sur son trou. Là encore c’est elle qui fait mettre. J’avoue ressentir un grand plaisir en la sodomisant devant toi. Elle jouit plusieurs fois avec ma bite dans le cul. Comme tu le fais au même moment. Je ne peux plus tenir: je jouis dans ce cul plutôt bien fichu, comme sa propriétaire.

Nous prenons rendez-vous pour le lendemain après-midi, pas pour jouer à la poupée, ou plutôt si, à notre façon.

Pour toi les choses se passent plutôt bien puisque tu as rendez-vous également le lendemain après-midi pour te faire mettre par tes deux lascars. Finalement tu ne vis que pour la baise.