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La guerre

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Lue : 1116 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/11/2013

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La guerre a des hasards extraordinaires. J’ouvre une porte avec mon arme. Une série de cris de femmes. « Eh, je ne suis pas un pirate ou un démon, un simple gradé d’une compagnie. Je ne vous veux pas de mal » Je ne sais pas à qui je parle. J’entre avec une certaine appréhension. Une pièce assez grande, avec deux lits, et deux femmes presque nues, de celles qui hurlent avant tout comme moyen de défense. Je ne sais trop comment les faire taire, quand il me vient l’idée de crier plus fort qu’elles. Bonne pioche, elles se taisent. Un bruit de moins. Une au moins jargonne le français. Elle comprend ce que j’ai dit, entre mes mots et mes gestes. Quand je demande des explications sur leur présence là, en milieu ennemi, la réponse est vaseuse. Je saisis qu’elles ne sont pas ici de leur plein gré. Je crois comprendre qu’elles ne veulent pas que je les quitte. Alors j’oublie la guerre, les armes, les morts, les blessés. Je range mon révolver dans son étui. Je ne tue plus personne.

Que j’ai eu raison de me désarmer. Elles agissent comme dans les films d’actualités montrant les villes libérées : elles me sautent dessus, m’embrassent comme des folles. Une d’elle se permet même de me toucher de près, très près. Je sens bien sa main sur ma bite. Elle me masse avec constance, presque avec amour. Qu’auriez-vous fait à ma place, comme moi sans doute : je la prends par la taille, la rapproche de moi. Elle ne comprend pas un seul mot de français. Il est des moments où le langage est inutile. Je l’embrasse sur la bouche. Malgré les cultures différentes sa langue répond à la mienne. Elle embrasse parfaitement.

L’ennui est qu’elle m’a donné envie de baiser. Je l’écarte de moi pour la regarder en entier. Elle se montre facilement : elle ouvre les guenilles qu’elle porte. Un corps divin apparait. J’ai de plus envie d’elle. Même si sa copine nous regarde. A la guerre comme à la guerre. Elle me veut aussi. C’est bizarre comme les choses se simplifient dans certaines circonstances : je te veux, tu me veux, baisons.

Je ne me jette pas sur elle comme un flibustier. J’y mets les formes en la couchant doucement, en lui faisant ouvrir ses jambes. Elle se donne facilement. Je ne tiens pas à la violer, je veux qu’elle ait sa part de plaisir. Je suis à peine torse, nus, couché sous elle. Ma langue commence le travail d’usure : j’embrasse ses cuisses, lentement. Je monte vers ses lieux sacrés. J’y trouve ce que j’espérais : un espace mouillé. Donc, elle ne se refuse pas vraiment. Elle accepte bien ma langue.

Je ne lèche pas de suite, je sens son odeur. Alors là, chapeau, une odeur de petite fille mal lavée, une odeur prégnante, agréable à un homme comme moi : comme un coquillage frais sortir de la mer. Pas possible, je vais déjeuner au lieu de baiser. Ma langue profite du gout mi salé, mi sucré. Je la passe de bas en haut. J’ai commencé sur le bord du con. Je monte doucement sur le rocher, sur le sommet de sa sexualité. Quand le bout, seulement le bout de la langue est sur son clitoris, elle gémit. Je ne partirais pas de cet endroit magique pour elle. Je donne du plaisir à une ennemie.

Je fais plus que donner du plaisir, je la fais jouir. Elle pousse un petit cri de souris à cet instant.

Je viens sur elle, ma queue bien dure cherche à peine son entrée. Je sens le prépuce rester en arrière quand le gland est juste en elle. J’aime cette sensation de début réel de baise. Ma bite s’infiltre dans son ventre.

Elle se soulève quand j’entre. Ses mouvements correspondent parfaitement à une bonne baise et pour moi et surtout pour elle.

J’oubliais la deuxième fille, celle qui marmonne quelques rudiments de français. Elle est tout contre notre couple. Elle voudrait elle aussi. Sa main caresse mon dos depuis les épaules en descendant. Quand elle arrive aux fesses, elle les caresse doucement, comme elle doit le faire à un bébé. Le bébé est gros pour elle. Sa main continue malgré tout, elle va jusqu’à venir dans la raie des fesses. Je crois savoir ce qu’elle y cherche. Mais voilà, je ne suis pas celle que vous croyez, Madame.

Elle ouvre ma belle raie, elle y passe sa main en entier. Elle cherche quelque chose, pas mon cul en attendant. Elle passe après le cul qu’elle frôle pour venir me caresser les couilles. C’est agréable d’avoir les bijoux de famille bien traités et la base de ma bite englobée dans une même caresse superflue. Je continue mon va-et-vient dans le con de sa camarade. Elle vient presque sur nous, elle me donne sa chatte moins odorante, mais aussi gouteuse que celle de son aime.

En avant, ma langue reprend son service particulier. Je passe d’un con à l’autre sans scrupule. Son sexe est plus bombé que l’autre. Ma langue a plus de place pour accéder aux endroits les plus sensibles. Elle n’a pas droit au même traitement. J’aspire son clitoris, je le lèche dans ma bouche. Elle gémit plus fort que l’autre.

Je suis bien obligé de ralentir mon rythme dans le ventre de la première. J’aime faire jouir les dames, alors un peu de calme s’il vous plait : je lèche un con. Sa propriétaire le rend bien en ayant la politesse de jouir dans ma bouche. Je reprends ma baise tranquille : la deuxième en veut plus, alors, elle pose ses fesses sur la figure de celle que je baise. Je vois tous les mouvements de la langue qui entreprend une attaque, sans déclaration de guerre, sur son amie. Je vois les effets de l’autre orgasme.

Nous avons joui. Je dois partir finir ma guerre ailleurs. Le temps de me rhabiller, de reprendre mon arme, je suis à nouveau l’ennemi. Je les laisse seules à leur destin de futures prisonnières ; Au moins elles auront eu un moment de bonheur.
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