Bal compagnard 3

Charlène passe une nuit agitée, elle est tentée par l'invitation de Franc, mais elle hesite. Mais elle finit par se dire que c'est une occasion inespérée, de voir une orgie, elle qui est presque ignare question sexe. Elle prend son courage à deux mains et se rend à la ferme. Elle entre dans la grande cour, gros un chien arrive en aboyant. Pas très rassurée, elle descend de sa voiture Le chien la renifle puis commence à agiter sa queue, Charlène le caresse doucement puis se dirige vers la maison. Elle sonne, pas de réponse, elle ouvre la porte et entre. Elle avance dans le couloir, elle entend des gémissements terribles provenant de la pièce voisine.

La porte est entre-ouverte, elle la pousse et là, elle reste sans voix. Elle voit un trio nu, dont la femme se fait démonter la chatte par un homme qu'elle pense être son mari. La bougresse pendant ce temps suce la bite de Franc. Les trois regardent la nouvelle venue, ils cessent leur ébat. Franc dit :

-C'est la femme dont je vous ai parlé, mes amis !

La femme au nom de Joëlle répond en regardant Charlène :

-Je ne sais pas ce que vous lui avez fait, mais lorsqu'il est rentré du bal l'autre matin, qu'est qu'il m'a mis le cochon, il m'a baisé pendant de longues heures en prononçant votre nom, j'en étais même, jalouse !

Charlène rougit sans répondre. Franc l'embrasse fougueusement, et lui dit :

-Tu veux participer ma chérie !

-Elle repond un peu outrée :

-Non, non, juste me faire une idée de ce que c'est une orgie !

-Bon regarde, prends-en plein la vue !

L'homme se prénomme Paul, il ne dit pas un mot. Les deux mâles bandent durs. Le mari bascule sa femme sur le sol, il lui ecarte avec violence les cuisses et lui plante son mandrin profondément dans le ventre. Franc lui offre sa bite à sucer, Joëlle est une suceuse exceptionnelle, sa bouche gourmande fait un effet terrible sur le gland de Franc qui rugit comme un fauve en rut. D'une main, elle lui triture les couilles, lui taquine l'anus avec deux doigts avant de les enfoncer profondément dans le rectum de franc qui se cabre. La femme lui ramone le cul avec une telle ardeur que Franc lui remplit la bouche de son sperme visqueux. La soumise avale jusqu'à la dernière goutte la semence si généreusement offerte. Paul lui démonte la chatte comme un sauvage, sa bite ressort entièrement du fourreau de chair pour se renfoncer profondément dans son ventre accueillant de la femme avide de queue.

Charlène ne loupe pas une séquence, elle écarquille les yeux en serrant les lèvres. De temps en temps, elle soupire bruyamment. Maintenant Joëlle, subit les assauts des deux hommes. Ses orifices sont visités avec violence, la femme gémit fortement, sous les coups repères des soudards. Elle jouit comme une malade, elle agite son corps comme une dératée, sur les pieux qui l'empalent profondément. Elle hurle :

-Encore, encore, oui, encore !

Maintenant, Paul place son engin contre le trou déjà occupé, il pousse avec force, le vagin, se dilate et absorbe la queue avec un bruit de succion. Joëlle grince des dents, elle agite son bassin, en marmonnant des mots inaudibles. Les membres coulissent aisément dans la gaine habituée à ce genre de pénétration. Charlène n'en croit pas ses yeux, sa chatte se met à mouiller de plus en plus. Inconsciemment, elle passe sa main sous sa jupe et se caresse la vulve. Elle serre les dents pour ne pas gémir. Sa chatte est en feu, elle souffle en pressant fortement sa chatte dégoulinante. Soudain, elle sursaute, Joëlle pousse un hurlement, elle jouit comme une dingue en s'agitant comme une folle. Les deux hommes la défoncent sans ménagement avec une telle violence qu'elle sursaute à chaque coup de pilon des baiseurs. Paul lui triture les seins avec rage, il sait que sa salope adore ça. Franc regarde Charlène en souriant, et il dit :

-Mets-toi à l'aise mon amour, profite pendant que tu le peux le faire, la vie est si courte, tu sais !

Les yeux de Charlene luisent, elle sait que Franc a raison. Timidement, toujours en regardant Joëlle se faire défoncer, elle ote sa jupe, retire sa culotte mouillée, et fait tomber son corsage. D'un geste habile, elle degrafe son soutien-gorge. Ses seins lourds et généreux tombent sur son torse. De la cyprine s'écoule sur ses cuisses. Franc lui fait un clin d'œil complice. Elle lui sourit, mais elle est inquiète. L'envie est trop forte, aimerai passer à l'étape supérieure. Elle attend un ordre d'un des deux hommes.