Une rencontre insolite dans le métro 5

Les jouisseurs ont besoin de recharger leurs accus, ils prennent place autour de la table pour un petit encas et une pause bien mérité. Pendant ce temps, dans la chambre, Sara et Charlotte se donnent du bon temps. Allongés l'une à côté de l'autre, Sara, la plus expérimentée, caresse Charlotte. Ses mains moites parcourent le corps fébrile de sa nouvelle amie.
Tout en la caressant, elle lui raconte son expérience libertine, en n'omettant aucun détails. Charlotte écoute avec attention la narration enivrante de Sara, la tension monte dans son corps, une main se pose avec douceur sur sa chatte dégoulinante de cyprine, et lui caresse la fente de base en haut pendant un long moment. Charlotte, agite doucement son bassin en gémissant faiblement. Soudain la coquine se cabre, la bouche de Sara vient de lui gober un mamelon et le suce comme le ferai un bébé pour s'alimenter. Souvent Sara change de mamelon.


Les bouts deviennent énormes, Sara prend plaisir à les mordiller. Tout en dévorant les tétons, elle saisit entre son pouce et son index la perle précieuse qui se trouve au-dessus des grandes lèvres. Elle le presse quelques fois avant de le branler délicatement. Malgré son jeune âge, la donzelle sait y faire. Charlotte et au bord de la syncope, elle haléte fortement, elle agtite de plus en plus rapidement son bassin. Elle se cambre comme un pont et jouit affreusement fort en se mordant la main jusqu'au sang tellement sa jouissance est intense. Les deux jeunes échangent un long baiser avant de redescendre rejoindre le reste de la troupe. Les quatre attablés regardent leurs enfants en souriant. Charlotte a les traits tirés, la mine défaite, son corps est en sueur, de sa chatte s'échappe le surplus de cyprine. Les deux se dirigent vers le salon, et se laissent choir sur le canapé. Sara propose à son amie une collation et un verre.

Les parents, après le petit encas, rejoignent les deux enfants au salon, et prennent place
dans de confortables fauteuils. Sara rappelle à son papa ce qu'il lui avait promis. Il se lève en souriant, il lui prend le menton et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres, et dit :

-Chose promise, chose due !

Sara se lève à son tour, son papa se penche sur son fondement et en appuyant sur la rondelle brune dit en souriant :

-Oh, il a besoin de soin ton petit trou ma chérie, papa va s'en occuper, mais avant, il faut que ma queue soit opérationnelle !

Sara la saisit, elle s'agenouille face à son papa et commence à branler la verge molle, petit à petit la queue paternelle se dresse. Sara décalotte le gland, ouvre la bouche et le gobe. Sara, suce comme une déesse. Rapidement, la queue de son papa reprend forme, elle la recrache puis sourit en disant :

-Voilà papa, elle est au top ta bite !

Vincent regarde Sandrine et Jean et dit :

-Regardez mes amis, comment je vais travailler spécialement devant vous, le trou du cul de ma salope !

Blondine sait ce que cela veut dire, elle va quérir dans un tiroir, un manchon de silicone, décoré de petits picots, assez souple pour ne pas blesser. Vincent l'encastre sur sa queue, l'engin parait redoutable, les invités ouvrent grand les yeux. Sara met à quatre pattes, et présente sa croupe au mandrin monstrueux. Le papa, consciencieux, enduit de salive la petite porte, qui doit déjà connaitre l'engin. Deux doigts s'enfoncent dans le rectum, le fouillent un moment pour l'assouplir le plus possible, Sara pose sa tête sur ses avant-bras, la position ainsi obtenue, permet à l'enculeur d'œuvrer plus facilement. Vincent s'accroche aux hanches de sa fille, c'est Blondine qui dirige l'étui garni de picot vers le temple de Sodome. Vincent pousse doucement, Sara grimace, elle serre les dents. Son muscle rectal cède, avale l'engin, qui s'enfonce millimètre par millimètre dans le rectum. Les yeux de Sara sont exorbités, sa bouche grande ouverte. Les picots qui lui labourent les muqueuses vaginales, la font se raidir. Lentement, le soi-disant engin du plaisir, prend place dans son rectum. Le papa, connaisseur et consciencieux, commence un très long va-et vient. Le corps de sa fille se met à frissonner fortement, les invités regardent avec de grands yeux l'engin voyager dans le cul de Sara.


Charlotte se demande comment un engin aussi monstrueux peut donner du plaisir, elle regarde avec intérêts, toutes les réactions de son amie Sara. Au fur et à mesure du lent ramonage, Sara commence à geindre. Son papa comprend qu'il faut qu'il accélére la cadence. Sa maman lui caresse le clito qui devient énorme sous les doigts habiles de la tripoteuse. Sara commence à agiter sa croupe, ses râles deviennent de plus en plus bruyants. Maintenant son papa lui donne de grands coups de reins pour bien la posséder. Quelques pointes de l'engin butent sensiblement sur le col de son utérus, Sara gémit en se cabrant à chaque coup de reins. Elle défaille, et encourage son enculeur :

-Plus fort papa, plus fort ça vient, je vais jouir, oh comme c'est bon !

Le rythme devient infernal, Sara agite sa croupe en grognant, comme en bête. Charlotte n'en revient pas, elle ne quitte pas des yeux le cul de Sara, que dilate la bite de son papa garnie du fourreau à picot. La chatte de Sara lâche en permanence sa cyprine. Vincent, retire sa bite du cul élargit de sa fille, pour la replanter violemment au plus profond de son cul. Le bougre réitère plusieurs fois se geste dévastateur, qui produit un orgasme fabuleux à Sara. La jeune salope jouit du cul comme il n'est pas possible, sa chatte crache sa cyprine avec force sur le sol. Blondine libère le clito et enfonce trois doigts dans le volcan qui crache sa lave, elle fait faire des demi-rotations à ses doigts, en les enfonçant le plus loin possible. Cela a pour conséquence, d'augmenter la jouissant de sa file qui tortille sa croupe en râlant affreusement fort.

Vincent retire son engin du cul accueillant de sa fille, retire la gaine de silicone qui l'enveloppe, et offre sa queue aux lèvres charnues de Sandrine, qui se jette dessus comme une affamée. Charlotte se penche pour mieux voir, elle pousse de nombreux soupirs, en regardant le trou béant boursouflé qu'à dévaster son papa. Sara s'écroule sur le dos en haletant, sa respiration est rapide. Jean bande comme un taureau, Blondine l'invite à baiser sa fille, qui git sur le sol en respirant bruyamment.

Jean chauffé à blanc prend place entre les cuisses de la jeune jouisseuse, il enfonce aisément sa bite dans la gaine brulante qui ne cesse de suinter. Sara s'accroche à son amant, sa chatte qui enserre le manche gorgé de sang, se contacte plusieurs fois, Jean à l'impression que la chatte lui suce la bite. Il est au nirvana, il geint de bonheur. Il demonte Sara jusqu'à ce qu'elle jouisse, la salope gicle de nombreuses fois, ses orgasmes sont fabuleux, elle grogne de plaisir. Jean serre les dents, il se tend comme un arc et remplit le puits d'amour de son sperme visqueux. Il se retire en regardant la chatte débordée de son jus.


Charlotte bien qu'épuisée se caresse la chatte, mais c'est sans compter sur Blondine, la bougresse se jette sur elle, la bascule sur le sol et lui dévore la chatte, sa langue habile lui fouille le vagin dans tous ses recoins. Charlotte gémit, en se tortillant, Blondine brusquement se place tête bêche sur la jeune salope et reprend son broutage de chatte, Charlotte se cabre, elle saisit le bas des reins de son amante et lui plaque sa bouche sur la vulve. Les deux, se gouines comme jamais, elle jouissent ensemble en poussant un hurlement inhumain.

Sandrine s'acharne sur la queue de son hôte, elle suce tète comme une affamée la verge noueuse. Le coquin lui appuie sur la tête et lui remplit la gorge de son sperme. Il retire brusquement sa queue et dit :

-Avale, avale, gave-toi salope de mon jus !

Épuisés, les baiseurs, s'enfoncent dans les fauteuils.

L'heure tourne, il est temps de prendre encore une douche et de rentrer.