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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025
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Convoquée chez le directeur 3
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Quelques semaines plus tard, alors que Charlotte et Emilie recevaient régulièrement les honneurs de leurs deux dirigeants, la jeune comptable fut convoquée dans le bureau du directeur.
Lorsqu’elle arriva, elle constata l’absence de sa partenaire de plaisir, Emilie. Elle toqua à la porte du bureau du directeur et entra lorsqu’elle y fût invitée.
- Ha Charlotte ! quel plaisir ! s’enthousiasma M. Georgelin, le directeur.
- Bonjour Messieurs.
Outre le directeur, se trouvaient dans le vaste bureau l’habituel M. Loret, le DRH, et deux autres hommes qu’elle ne connaissait pas.
- Charlotte, je vous présente MM Martin et Esnault.
- Enchantée, dit-elle avec un sourire affable.
- Nous négocions avec ses messieurs pour un important partenariat commercial. Il y a encore des points d’achoppement avant de signer un contrat qui serait grandement bénéfique pour nous tous.
Charlotte regarda les deux hommes. Ils étaient plutôt séduisants. L’un de taille moyenne, la quarantaine, bruns avec de beaux yeux noisette. L’autre, plus grand et légèrement plus jeune, blond avec une fine barbe taillée avec soin et un visage souriant. Ils portaient tous les deux parfaitement leur élégant costume.
- Je leur ai alors parlé de vous et de votre dévouement envers votre direction, dit le directeur avec un regard convenu. Ils se sont alors montrés plus réceptifs à mes arguments. Cependant, ils avaient du mal à me croire. Seriez-vous d’accord pour étayer mes propos ?
- Bien entendue, monsieur le directeur, répondit immédiatement Charlotte que le situation excitait déjà.
La jeune femme avait beaucoup changé depuis quelques mois. Jusqu’à ce qu’elle découvre des plaisirs intenses dans ce bureau, elle se contentait de faire l’amour le jour prévu avec son mari, toujours dans la même pièce, dans les mêmes positions. Elle était heureuse et aimait son mari. Mais au fond d’elle, elle sentait bien qu’il lui manquait quelque chose. Et ce manque avait été assouvit dans cette pièce où elle pouvait réaliser des fantasmes qu’elle n’avait jamais osée s’avouer.
M. Georgelin fit signe à Charlotte de faire un tour sur elle même. La jeune femme pivota lentement, faisant légèrement s’envoler sa robe courte rouge à petits pois blancs. Elle vit avec satisfaction les regards pétillants des deux invités. Sans qu’on ne lui demande, elle attrapa le bas de sa robe qui lui arrivait à mi-cuisse et la remonta très lentement le long de ses jambes à la peau bronzée. Elle la retroussa si haut que son sous-vêtement devint légèrement visible. Elle s’arrêta là et savoura le visage hypnotisé des invités qui ne lâchait pas du regard le petit bout de tissus blanc qui venait d’aparaître.
Elle fit alors un demi tour pour leur tourner le dos. Elle se cambra pour faire ressortir son postérieur et retroussa sa robe jusqu’à la taille pour dévoiler complètement un joli tanga blanc en dentelle qui se perdait au milieu de ses belles fesses rondes. Elle laissa son public admirer quelques instants. Cela lui plaisait beaucoup de s’exhiber devant ces hommes. Les deux invités étaient au bord de l’asphyxie.
Après un moment à profiter mutuellement de la position, elle fit un autre demi tour pour à nouveau leur faire face.
- Magnifique Charlotte ! admit le directeur. Nos deux amis seraient comblés je pense de bénéficier de vos talents.
- Oui, monsieur le directeur, approuva la jeune femme en lui faisant un sourire complice.
Charlotte passe les mains sous sa robe et doucement, très doucement, fit descendre son tanga. Les deux inconnus avaient la bouche grande ouverte. Avec sensualité elle retira le sous-vêtement et le garda en main. Elle s’approcha de l’homme blond.
- Vous vous prénommez comment ?
- Alban, répondit l’homme dans un murmure.
- Tenez Alban, c’est pour vous.
La jeune femme mit alors son tanga dans la main de son interlocuteur. Alban avait chaud. Charlotte se tourna vers l’autre homme pour lui demander aussi son nom.
- Mickaël, répondit-il tout aussi troublé.
- Approchez, Mickaël.
Les deux hommes étaient l’un à côté de l’autre. Charlotte s’accroupit et se mit à caresser le pantalon des deux mâles. Elle constata rapidement avec satisfaction la dureté du membre qu’il y avait à l’intérieur. Elle ouvrit les braguettes, impatiente de découvrir ce qu’il s’y cachait.
Elle en sortit deux belles queues. Celle de Mickaël n’était pas très longue mais très épaisse quant à celle d’Alban, elle était d’une taille plus importante mais surtout joliment proportionnée. La jeune femme fit un « humm » de gourmandise.
Charlotte se mit à masturber les deux membres avant de se mettre à les sucer. Les deux hommes n’en revenait toujours pas de ce qui leur arrivait. La fellation fut longue et gourmande pour le plus grand plaisir des trois protagonistes. Alban porta le tanga à son visage pour inspirer les effluves. Aucune odeur de sexe ne s’en dégagea mais uniquement le doux parfum de la peau de la jeune femme. Il était aux anges.
La jeune femme se redressa, retroussa sa robe pour dévoiler la douce toison châtain de son pubis et ordonna à Mickaël :
- Mets-toi à genoux et vient me bouffer la chatte.
L’homme se précipita à genou entre les jambes de la jeune femmes qui les écarta au maximum pour aider son partenaire. Elle se laissa envahir pour les douces sensations de la langue sur sa vulve de plus en plus humide.
Cela lui plaisait d’avoir cet homme à genoux devant elle en train d’exécuter ses ordres. Elle se découvrait un nouveau plaisir. Elle s’était surprise à aimer être soumise à son directeur, à obéir à ses injonctions. Mais elle découvrait qu’elle prenait du plaisir aussi à dominer ces hommes. Elle profita encore quelques minutes de la gourmandise de son partenaire qui ne semblait pas parvenir à étancher sa soif avec sa chatte juteuse.
- Rélève-toi, ordonna-t-elle.
Elle fit dos à Alban, releva ses cheveux dans sa nuque et ordonna à ce dernier :
- Défait ma robe.
Fébrilement, le grand homme blond fit descendre la fermeture éclaire de la robe, lentement. Fiévreusement, il attrapa la robe au niveau des épaules et la fit descendre le long des bras. Brusquement, la robe tomba au sol.
- Le soutien-gorge aussi, ajouta Charlotte avec un sourire désarmant.
Il dégrafa le sous-vêtement et avec un peu d’aide il rejoignit la robe au sol.
Charlotte était complètement nue au milieu de la pièce, entourée de quatre hommes tous encore habillés. Elle fixa chacun d’eux et y vit l’étendu de son pouvoir. Elle pouvait leur demander ce qu’elle voulait, ils le feraient, malgré leur airs de mâles dominants. Elle était persuadée qu’ils seraient tous prêts à se damner pour elle, à ramper à ses pieds, et cela l’excitait grandement.
La jeune femme alla s’asseoir sur le bord du bureau, posa un pied sur ce dernier et dévoila une jolie chatte toute lisse dont pas un des mâles présents ne ratait une miette.
- A ton tour, vient me montrer comment tu dévores une chatte, ordonna-t-elle à Alban.
Ce dernier se précipita à genoux entre les jambes de la jeune femme et se mit à se repaître de ce délicieux abricot très mûr. Charlotte commença à pousser des gémissements de plaisir qui encourageait son partenaire à la dévorer de plus belle. Lorsqu’il s’acharna particulièrement sur son clitoris gonflé, Charlotte fut dévastée par un puissant orgasme qui lui fit trembler les jambes.
Remise de ses émotions, elle se releva et alla se mette à quatre pattes sur la petite table basse.
- Messieurs, venez me baiser maintenant.
L’invitation ne pouvant se refuser, les deux hommes se précipitèrent. Mickaël fut le premier à prendre place derrière la jeune femme. Il enfonça son membre dur comme le bois dans la chatte en fusion de la jeune comptable. Elle poussa un soupir de contentement en sentant la large queue s’introduire en elle, élargissant les chairs sensibles pour s’enfoncer. Il imprima un agréable va-et-vient.
Quant à Alban, il présenta sa queue tendue devant le visage de la jeune femme qui s’en saisit avec sa bouche. Sans l’aide de ses mains, elle s’appliqua à sucer le membre du mieux possible. Au bout d’un moment, c’est son partenaire qui se mit à onduler du bassin pour baiser sa bouche.
Le directeur et le DRH observaient la scène avec attention. Ils étaient très excités aussi de voir leur comptable se donner ainsi, avec un homme devant et derrière elle. Au bout d’un moment toutefois, le directeur s’approcha du trio.
Il ordonna aux trois protagonistes d’arrêter. Les hommes, ne voulant pas se stopper en si bon chemin, c’est Charlotte qui, obéissant aux ordres de son patron, fit en sorte que les queues quittes leur orifice respectif. Une moue de déception sur le visage, elle porta la main à son clitoris pour se caresser pendant cette pause forcée.
M. Georgelin, posa un porte-document sur le bas du dos de Charlotte et dit à Mickaël Esnault :
- Avant de continuer, il va falloir signer notre accord. Et une fois partenaires commerciaux, nous pourrons si vous le désirez organiser régulièrement des réunions où ma comptable se fera une joie de nous honorer de sa présence. N’est-ce pas Charlotte ?
- Oui, bien sûr, Monsieur le directeur.
- Vous voyez, elle est impatiente de se faire labourer la chatte. Si vous voulez que cela arrive, je vous invite à signer maintenant.
- Signe Mickaël, signe ! s’empressa de dire son collègue.
M. Esnault se saisit du crayon que lui tendait M. Georgelin. Il se pencha sur le dos de Charlotte où se trouvait le porte-document avec le contrat. Il parapha chaque page et signa sur la dernière.
- Parfait, Messieurs, c’est un plaisir de faire affaire avec vous. Nous sommes maintenant associés. Vous pouvez continuer à baiser ma comptable, j’ai l’impression qu’elle vous attend avec impatience !
Pour leur plus grand soulagement, les deux hommes renfoncèrent leur queue dans les orifices chauds et humides que leur proposait Charlotte. Cette dernière fut toute aussi contente qu’ils eût signés. Elle aurait été fort déçue et frustrée si la rencontre s’était achevée ainsi.
Le trio reprit de plus belle. Les hommes avaient accélérés le rythme, de peur sans doute que le directeur ne vienne à nouveau les interrompre. Mickaël fur le premier à jouir. Il remplit le ventre de Charlotte de son épaisse semence. En sentant le liquide l’inonder, la jeune femme eu à son tour un orgasme. En entendant les gémissements de plaisir de la jeune comptable, Alban ne pu se retenir plus longtemps et déchargea de puissantes giclées dans la bouche de Charlotte.
Charlotte se releva. Elle était entourée de ses deux partenaires, toujours en costume et dont le membre à moitié débandé pendait au milieu du pantalon. Alors qu’ils étaient en train d’essayer de ranger leur sexe, le directeur et le DRH s’approchèrent de Charlotte.
- Messieurs, nous pouvons peut-être fêter notre nouveau partenariat, dit M. Georgelin en sortant, avec difficulté, son sexe bandé de son pantalon.
Il fut suivi aussitôt par M. Loret.
Le visage de Charlotte s’illumina en voyant ces deux nouvelles queues arriver. Elle s’accroupit et s’empara des membres de ses directeurs qu’elle se mit à branler et sucer avec gourmandise. En peu de temps, Mickaël et Alban ayant retrouvé leur vigueur se joignirent au trio.
Charlotte était entourée de quatre hommes et prodiguait ses caresses à tour de rôle. Sa chatte suintait abondamment, excitée comme jamais par cette profusion de sexe à sa disposition.
- Charlotte, allongez-vous sur la table, dit le directeur au bout d’un moment en désignant la table de réunion rectangulaire.
La jeune femme, qui avait reprit son rôle de soumise, s’exécuta sans discuter. Elle s’allongea sur le bord de la table, jambes écartées pour offrir sa brûlante intimité à ces hommes. Les quatre mâles firent une file. Le directeur fut le premier à plonger sa queue dans le vagin bouillant de la jeune femme. Il lui laboura la chatte avec vigueur, la tension n’ayant fait que grimper à force de n’être que spectateur. Il laissa sa place à son DRH. Chacun défila à tour de rôle entre les jambes de Charlotte.
La jeune femme gémissait de plaisir, d’autant décuplé à voir tous ces hommes défiler pour la prendre.
Le même jeu se poursuivit sur le fauteuil de M. Georgelin. Il fit se mettre à genoux Charlotte qui s’appuya sur le dossier. Les hommes l’entourèrent. Le directeur la prit ainsi en levrette, son bassin tapant contre les fesses de la jeune femme.
Au bout d’un moment, il se retira et fit faire un quart de tour au fauteuil. Ce fut au tour du DRH de labourer la chatte de Charlotte. Elle fit ainsi le tour pour chacun puisse prendre du plaisir. Soumise avec plaisir, la jeune femme s’amusa de ce jeu sexuel. Elle savourait juste les queues qui s’enfonçaient en elle pour lui faire du bien ! Lorsque le tour du DRH arriva à nouveau, il entreprit de prendre la jeune comptable par le cul. Il lui prépara son petit trou puis appuya doucement son gland sur le petit orifice qui s’ouvrit facilement pour le laisser passer. Une fois sa bite complètement enfoncée, il ramona la jeune femme avec vigueur. Il fut imité par les autres hommes qui s’engouffrèrent dans ce passage ouvert.
Lors des tours suivants, Charlotte ne savait pas si le membre de son partenaire du moment allait s’enfoncer dans sa chatte ou dans son cul. La surprise était agréable et elle accueillait avec plaisir la queue dans l’un ou l’autre des orifices.
La jeune femme gémissait de plus en plus fort dans ce manège sexuel. Les assauts des mâles étaient vigoureux, l’un lui labourant la chatte, l’autre lui ramonant le cul. L’orgasme montait en elle jusqu’à l’explosion. Elle gémit alors qu’Alban était agrippé à ses hanches et s’enfonçait profondément dans son vagin.
Les hommes approchèrent à leur tour du sommet de leur plaisir. Le directeur n’eut pas à la prendre longtemps avant de ressortir sa queue et de se branler au dessus de ses fesses. Il éjacula dans un grognement et répandit sa semence sur la peau douce de Charlotte. Il fit tourner le fauteuil et chacun leur tour expulsèrent des jets de sperme sur les fesses de la jeune femme. Alban fut le dernier à jouir sur le postérieur de la jeune femme.
Charlotte tourna la tête et vit ses fesses maculées de liquide blanchâtre. Des gouttes de sperme s’étaient aussi perdues un peu partout sur son dos. Elle passa son index sur ses fesses pour récolter un peu de liquide. Elle le porta à sa bouche et le lécha avec gourmandise. Elle recommença plusieurs fois devant les hommes satisfaits.
Les hommes rangèrent leur membre, Charlotte s’essuya les fesses avec un chiffon et se rhabilla.
- Messieurs, c’est une satisfaction de vous compter parmi nos partenaires. Cela va permettre à nos entreprises respectives de se développer. Je reviendrais vers vous dans quelques temps pour une réunion de suivie. Charlotte, vous vous joindrez à nous ?
- Avec plaisir ! monsieur le directeur, s’empressa de répondre la jeune femme avec enthousiasme.
- Je n’en attendais pas moins de vous. D’ailleurs, devant l’investissement qu’est le vôtre depuis quelques temps et la conclusion heureuse de ce nouveau partenariat à laquelle nous vous devons beaucoup, je vous accorderai une prime substantielle.
- Merci, monsieur le directeur.
- C’est on ne peut plus mérité, Charlotte.
La jeune femme prit congés, la chatte et le cul douloureux, mais impatiente de participer à la prochaine entrevue avec ces quatre messieurs.
Lorsqu’elle arriva, elle constata l’absence de sa partenaire de plaisir, Emilie. Elle toqua à la porte du bureau du directeur et entra lorsqu’elle y fût invitée.
- Ha Charlotte ! quel plaisir ! s’enthousiasma M. Georgelin, le directeur.
- Bonjour Messieurs.
Outre le directeur, se trouvaient dans le vaste bureau l’habituel M. Loret, le DRH, et deux autres hommes qu’elle ne connaissait pas.
- Charlotte, je vous présente MM Martin et Esnault.
- Enchantée, dit-elle avec un sourire affable.
- Nous négocions avec ses messieurs pour un important partenariat commercial. Il y a encore des points d’achoppement avant de signer un contrat qui serait grandement bénéfique pour nous tous.
Charlotte regarda les deux hommes. Ils étaient plutôt séduisants. L’un de taille moyenne, la quarantaine, bruns avec de beaux yeux noisette. L’autre, plus grand et légèrement plus jeune, blond avec une fine barbe taillée avec soin et un visage souriant. Ils portaient tous les deux parfaitement leur élégant costume.
- Je leur ai alors parlé de vous et de votre dévouement envers votre direction, dit le directeur avec un regard convenu. Ils se sont alors montrés plus réceptifs à mes arguments. Cependant, ils avaient du mal à me croire. Seriez-vous d’accord pour étayer mes propos ?
- Bien entendue, monsieur le directeur, répondit immédiatement Charlotte que le situation excitait déjà.
La jeune femme avait beaucoup changé depuis quelques mois. Jusqu’à ce qu’elle découvre des plaisirs intenses dans ce bureau, elle se contentait de faire l’amour le jour prévu avec son mari, toujours dans la même pièce, dans les mêmes positions. Elle était heureuse et aimait son mari. Mais au fond d’elle, elle sentait bien qu’il lui manquait quelque chose. Et ce manque avait été assouvit dans cette pièce où elle pouvait réaliser des fantasmes qu’elle n’avait jamais osée s’avouer.
M. Georgelin fit signe à Charlotte de faire un tour sur elle même. La jeune femme pivota lentement, faisant légèrement s’envoler sa robe courte rouge à petits pois blancs. Elle vit avec satisfaction les regards pétillants des deux invités. Sans qu’on ne lui demande, elle attrapa le bas de sa robe qui lui arrivait à mi-cuisse et la remonta très lentement le long de ses jambes à la peau bronzée. Elle la retroussa si haut que son sous-vêtement devint légèrement visible. Elle s’arrêta là et savoura le visage hypnotisé des invités qui ne lâchait pas du regard le petit bout de tissus blanc qui venait d’aparaître.
Elle fit alors un demi tour pour leur tourner le dos. Elle se cambra pour faire ressortir son postérieur et retroussa sa robe jusqu’à la taille pour dévoiler complètement un joli tanga blanc en dentelle qui se perdait au milieu de ses belles fesses rondes. Elle laissa son public admirer quelques instants. Cela lui plaisait beaucoup de s’exhiber devant ces hommes. Les deux invités étaient au bord de l’asphyxie.
Après un moment à profiter mutuellement de la position, elle fit un autre demi tour pour à nouveau leur faire face.
- Magnifique Charlotte ! admit le directeur. Nos deux amis seraient comblés je pense de bénéficier de vos talents.
- Oui, monsieur le directeur, approuva la jeune femme en lui faisant un sourire complice.
Charlotte passe les mains sous sa robe et doucement, très doucement, fit descendre son tanga. Les deux inconnus avaient la bouche grande ouverte. Avec sensualité elle retira le sous-vêtement et le garda en main. Elle s’approcha de l’homme blond.
- Vous vous prénommez comment ?
- Alban, répondit l’homme dans un murmure.
- Tenez Alban, c’est pour vous.
La jeune femme mit alors son tanga dans la main de son interlocuteur. Alban avait chaud. Charlotte se tourna vers l’autre homme pour lui demander aussi son nom.
- Mickaël, répondit-il tout aussi troublé.
- Approchez, Mickaël.
Les deux hommes étaient l’un à côté de l’autre. Charlotte s’accroupit et se mit à caresser le pantalon des deux mâles. Elle constata rapidement avec satisfaction la dureté du membre qu’il y avait à l’intérieur. Elle ouvrit les braguettes, impatiente de découvrir ce qu’il s’y cachait.
Elle en sortit deux belles queues. Celle de Mickaël n’était pas très longue mais très épaisse quant à celle d’Alban, elle était d’une taille plus importante mais surtout joliment proportionnée. La jeune femme fit un « humm » de gourmandise.
Charlotte se mit à masturber les deux membres avant de se mettre à les sucer. Les deux hommes n’en revenait toujours pas de ce qui leur arrivait. La fellation fut longue et gourmande pour le plus grand plaisir des trois protagonistes. Alban porta le tanga à son visage pour inspirer les effluves. Aucune odeur de sexe ne s’en dégagea mais uniquement le doux parfum de la peau de la jeune femme. Il était aux anges.
La jeune femme se redressa, retroussa sa robe pour dévoiler la douce toison châtain de son pubis et ordonna à Mickaël :
- Mets-toi à genoux et vient me bouffer la chatte.
L’homme se précipita à genou entre les jambes de la jeune femmes qui les écarta au maximum pour aider son partenaire. Elle se laissa envahir pour les douces sensations de la langue sur sa vulve de plus en plus humide.
Cela lui plaisait d’avoir cet homme à genoux devant elle en train d’exécuter ses ordres. Elle se découvrait un nouveau plaisir. Elle s’était surprise à aimer être soumise à son directeur, à obéir à ses injonctions. Mais elle découvrait qu’elle prenait du plaisir aussi à dominer ces hommes. Elle profita encore quelques minutes de la gourmandise de son partenaire qui ne semblait pas parvenir à étancher sa soif avec sa chatte juteuse.
- Rélève-toi, ordonna-t-elle.
Elle fit dos à Alban, releva ses cheveux dans sa nuque et ordonna à ce dernier :
- Défait ma robe.
Fébrilement, le grand homme blond fit descendre la fermeture éclaire de la robe, lentement. Fiévreusement, il attrapa la robe au niveau des épaules et la fit descendre le long des bras. Brusquement, la robe tomba au sol.
- Le soutien-gorge aussi, ajouta Charlotte avec un sourire désarmant.
Il dégrafa le sous-vêtement et avec un peu d’aide il rejoignit la robe au sol.
Charlotte était complètement nue au milieu de la pièce, entourée de quatre hommes tous encore habillés. Elle fixa chacun d’eux et y vit l’étendu de son pouvoir. Elle pouvait leur demander ce qu’elle voulait, ils le feraient, malgré leur airs de mâles dominants. Elle était persuadée qu’ils seraient tous prêts à se damner pour elle, à ramper à ses pieds, et cela l’excitait grandement.
La jeune femme alla s’asseoir sur le bord du bureau, posa un pied sur ce dernier et dévoila une jolie chatte toute lisse dont pas un des mâles présents ne ratait une miette.
- A ton tour, vient me montrer comment tu dévores une chatte, ordonna-t-elle à Alban.
Ce dernier se précipita à genoux entre les jambes de la jeune femme et se mit à se repaître de ce délicieux abricot très mûr. Charlotte commença à pousser des gémissements de plaisir qui encourageait son partenaire à la dévorer de plus belle. Lorsqu’il s’acharna particulièrement sur son clitoris gonflé, Charlotte fut dévastée par un puissant orgasme qui lui fit trembler les jambes.
Remise de ses émotions, elle se releva et alla se mette à quatre pattes sur la petite table basse.
- Messieurs, venez me baiser maintenant.
L’invitation ne pouvant se refuser, les deux hommes se précipitèrent. Mickaël fut le premier à prendre place derrière la jeune femme. Il enfonça son membre dur comme le bois dans la chatte en fusion de la jeune comptable. Elle poussa un soupir de contentement en sentant la large queue s’introduire en elle, élargissant les chairs sensibles pour s’enfoncer. Il imprima un agréable va-et-vient.
Quant à Alban, il présenta sa queue tendue devant le visage de la jeune femme qui s’en saisit avec sa bouche. Sans l’aide de ses mains, elle s’appliqua à sucer le membre du mieux possible. Au bout d’un moment, c’est son partenaire qui se mit à onduler du bassin pour baiser sa bouche.
Le directeur et le DRH observaient la scène avec attention. Ils étaient très excités aussi de voir leur comptable se donner ainsi, avec un homme devant et derrière elle. Au bout d’un moment toutefois, le directeur s’approcha du trio.
Il ordonna aux trois protagonistes d’arrêter. Les hommes, ne voulant pas se stopper en si bon chemin, c’est Charlotte qui, obéissant aux ordres de son patron, fit en sorte que les queues quittes leur orifice respectif. Une moue de déception sur le visage, elle porta la main à son clitoris pour se caresser pendant cette pause forcée.
M. Georgelin, posa un porte-document sur le bas du dos de Charlotte et dit à Mickaël Esnault :
- Avant de continuer, il va falloir signer notre accord. Et une fois partenaires commerciaux, nous pourrons si vous le désirez organiser régulièrement des réunions où ma comptable se fera une joie de nous honorer de sa présence. N’est-ce pas Charlotte ?
- Oui, bien sûr, Monsieur le directeur.
- Vous voyez, elle est impatiente de se faire labourer la chatte. Si vous voulez que cela arrive, je vous invite à signer maintenant.
- Signe Mickaël, signe ! s’empressa de dire son collègue.
M. Esnault se saisit du crayon que lui tendait M. Georgelin. Il se pencha sur le dos de Charlotte où se trouvait le porte-document avec le contrat. Il parapha chaque page et signa sur la dernière.
- Parfait, Messieurs, c’est un plaisir de faire affaire avec vous. Nous sommes maintenant associés. Vous pouvez continuer à baiser ma comptable, j’ai l’impression qu’elle vous attend avec impatience !
Pour leur plus grand soulagement, les deux hommes renfoncèrent leur queue dans les orifices chauds et humides que leur proposait Charlotte. Cette dernière fut toute aussi contente qu’ils eût signés. Elle aurait été fort déçue et frustrée si la rencontre s’était achevée ainsi.
Le trio reprit de plus belle. Les hommes avaient accélérés le rythme, de peur sans doute que le directeur ne vienne à nouveau les interrompre. Mickaël fur le premier à jouir. Il remplit le ventre de Charlotte de son épaisse semence. En sentant le liquide l’inonder, la jeune femme eu à son tour un orgasme. En entendant les gémissements de plaisir de la jeune comptable, Alban ne pu se retenir plus longtemps et déchargea de puissantes giclées dans la bouche de Charlotte.
Charlotte se releva. Elle était entourée de ses deux partenaires, toujours en costume et dont le membre à moitié débandé pendait au milieu du pantalon. Alors qu’ils étaient en train d’essayer de ranger leur sexe, le directeur et le DRH s’approchèrent de Charlotte.
- Messieurs, nous pouvons peut-être fêter notre nouveau partenariat, dit M. Georgelin en sortant, avec difficulté, son sexe bandé de son pantalon.
Il fut suivi aussitôt par M. Loret.
Le visage de Charlotte s’illumina en voyant ces deux nouvelles queues arriver. Elle s’accroupit et s’empara des membres de ses directeurs qu’elle se mit à branler et sucer avec gourmandise. En peu de temps, Mickaël et Alban ayant retrouvé leur vigueur se joignirent au trio.
Charlotte était entourée de quatre hommes et prodiguait ses caresses à tour de rôle. Sa chatte suintait abondamment, excitée comme jamais par cette profusion de sexe à sa disposition.
- Charlotte, allongez-vous sur la table, dit le directeur au bout d’un moment en désignant la table de réunion rectangulaire.
La jeune femme, qui avait reprit son rôle de soumise, s’exécuta sans discuter. Elle s’allongea sur le bord de la table, jambes écartées pour offrir sa brûlante intimité à ces hommes. Les quatre mâles firent une file. Le directeur fut le premier à plonger sa queue dans le vagin bouillant de la jeune femme. Il lui laboura la chatte avec vigueur, la tension n’ayant fait que grimper à force de n’être que spectateur. Il laissa sa place à son DRH. Chacun défila à tour de rôle entre les jambes de Charlotte.
La jeune femme gémissait de plaisir, d’autant décuplé à voir tous ces hommes défiler pour la prendre.
Le même jeu se poursuivit sur le fauteuil de M. Georgelin. Il fit se mettre à genoux Charlotte qui s’appuya sur le dossier. Les hommes l’entourèrent. Le directeur la prit ainsi en levrette, son bassin tapant contre les fesses de la jeune femme.
Au bout d’un moment, il se retira et fit faire un quart de tour au fauteuil. Ce fut au tour du DRH de labourer la chatte de Charlotte. Elle fit ainsi le tour pour chacun puisse prendre du plaisir. Soumise avec plaisir, la jeune femme s’amusa de ce jeu sexuel. Elle savourait juste les queues qui s’enfonçaient en elle pour lui faire du bien ! Lorsque le tour du DRH arriva à nouveau, il entreprit de prendre la jeune comptable par le cul. Il lui prépara son petit trou puis appuya doucement son gland sur le petit orifice qui s’ouvrit facilement pour le laisser passer. Une fois sa bite complètement enfoncée, il ramona la jeune femme avec vigueur. Il fut imité par les autres hommes qui s’engouffrèrent dans ce passage ouvert.
Lors des tours suivants, Charlotte ne savait pas si le membre de son partenaire du moment allait s’enfoncer dans sa chatte ou dans son cul. La surprise était agréable et elle accueillait avec plaisir la queue dans l’un ou l’autre des orifices.
La jeune femme gémissait de plus en plus fort dans ce manège sexuel. Les assauts des mâles étaient vigoureux, l’un lui labourant la chatte, l’autre lui ramonant le cul. L’orgasme montait en elle jusqu’à l’explosion. Elle gémit alors qu’Alban était agrippé à ses hanches et s’enfonçait profondément dans son vagin.
Les hommes approchèrent à leur tour du sommet de leur plaisir. Le directeur n’eut pas à la prendre longtemps avant de ressortir sa queue et de se branler au dessus de ses fesses. Il éjacula dans un grognement et répandit sa semence sur la peau douce de Charlotte. Il fit tourner le fauteuil et chacun leur tour expulsèrent des jets de sperme sur les fesses de la jeune femme. Alban fut le dernier à jouir sur le postérieur de la jeune femme.
Charlotte tourna la tête et vit ses fesses maculées de liquide blanchâtre. Des gouttes de sperme s’étaient aussi perdues un peu partout sur son dos. Elle passa son index sur ses fesses pour récolter un peu de liquide. Elle le porta à sa bouche et le lécha avec gourmandise. Elle recommença plusieurs fois devant les hommes satisfaits.
Les hommes rangèrent leur membre, Charlotte s’essuya les fesses avec un chiffon et se rhabilla.
- Messieurs, c’est une satisfaction de vous compter parmi nos partenaires. Cela va permettre à nos entreprises respectives de se développer. Je reviendrais vers vous dans quelques temps pour une réunion de suivie. Charlotte, vous vous joindrez à nous ?
- Avec plaisir ! monsieur le directeur, s’empressa de répondre la jeune femme avec enthousiasme.
- Je n’en attendais pas moins de vous. D’ailleurs, devant l’investissement qu’est le vôtre depuis quelques temps et la conclusion heureuse de ce nouveau partenariat à laquelle nous vous devons beaucoup, je vous accorderai une prime substantielle.
- Merci, monsieur le directeur.
- C’est on ne peut plus mérité, Charlotte.
La jeune femme prit congés, la chatte et le cul douloureux, mais impatiente de participer à la prochaine entrevue avec ces quatre messieurs.
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