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Bédoins

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/03/2024

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En 2006, j’ai voulu traverser le désert avec des bédouins. J’ai donc décidé d’aller au Maroc pour quelques jours et de rejoindre une caravane qui devait rester plusieurs semaines en plein désert et en totale autarcie. Je me suis équipé comme je le devais, et en particulier j’ai utilisé leur habit traditionnel c’est-à-dire un gros burnous de laine, et comme il m’a été des montrés par plusieurs Marocains je portais en dessous, une sorte de djellaba en tissu très léger. Tout le monde m’a déconseillé d’utiliser des sous-vêtements de quelque sorte que ce soit.

J’ai fait plusieurs essais dans l’hôtel où je me trouvais et j’ai trouvé ça très agréable, particulièrement pour mes couilles et mon sexe qui pendaient librement. J’ai gardé ce vêtement pendant quelques heures je me suis promené dans la rue. Je me suis rendu compte que le frottement du tissu contre ma bite me provoquer une érection. Bien entendu couvert avec le burnous nous on ne le remarque pas spécialement. J’ai gardé cet accoutrement pendant plusieurs jours et pendant mes longues promenades j’avais des érections ininterrompues.

Quand le jour revenu, j’ai retrouvé le groupe de bédouins près de la porte de l’Atlas. Ils étaient environ une vingtaine, un seul d’entre eux parlait le français assez correctement pour que l’on puisse s’entendre. Il m’a donné des instructions précises en ce qui concerne la sécurité dans le désert. Il ne fallait jamais que je ne quitte le groupe et bien entendu que je reste près d’eux pendant toute la longue traversée au milieu du groupe. Lorsque j’ai porté mon regard sur le groupe, je n’ai vu que des yeux, magnifiquement bleus, sur des visages burinés par le désert mais d’une très grande beauté. Les bédouins, sont entre les commerçants et les guerriers. Ils sont tous bâtis comme des combattants, et même si on ne devine pas la silhouette de leur corps, on peut se rendre compte qu’ils sont musclés et aguerris. Déjà je fantasmais sur ces hommes entre 20 et 30 ans, avec j’allais partager de nombreuses semaines, à tel point que je me suis mis à bander fort et pour cacher mes érections, je me suis penché en arrière pour ne pas attirer l’attention. Mais sans slip mon chibre pointait de toute évidence sous mon burnous Je pense qu’ils ont tous vu l’effet qu’ils faisaient sur mes sens.
Le guide m’a expliqué qu’exceptionnellement ils avaient pris une grande tente. Parce qu’ils pensaient qu’un européen ne supporterait pas bien les grandes tempêtes et qu’ils préféraient en être abrité tous les soirs. Un jeune d’une quinzaine d’année était chargé de la monter à chaque halte. Il me l’a présenté. Il était grand très musclé et portait encore un vêtement qui s’arrêtait à mi-cuisse. En baissant les yeux sur ses cuisses je me suis rendu compte qu’il ne portait pas de sous-vêtements et par conséquent à chacun de ses pas je voyais très distinctement une énorme bite frapper son vêtement et rebondir sur ses grosses couilles encore imberbes. Il s’est assis sur un rocher adossé à une maison et pendant plusieurs minutes j’ai pu admirer son énorme bite qu’il se caressait sans aucune gêne sous mon regard. Au bout d’un certain temps, sans qu’il bande vraiment, j’ai remarqué une giclée de prèfoutre lui couler sur les cuisses en laissant des traces gluantes il devait avoir les burnes pleines à craquer. Tout le groupe a remarqué que j’observais avec une attention soutenue ce jeune garçon. Il s’est levé et a rejoint le groupe qui commençait d’avancer vers les chameaux. J’ai fait un bref détour pour passer devant la pierre et quand je me suis approché j’ai vu dés coulés de prèfoutre encore frais sur la pierre. Je n’ai pas pu résister et j’ai léché la pierre. Le liquide était très épais très fort de goût. Mon érection était au comble, j’ai même léché sol car il y avait une petite flaque blanche qui ressemblait du pré foutre. J’ai reconnu le goût et l’odeur âcre de cette éjection précoce.
J’étais quasiment en extase. Je me suis contenu et nous avons commencé à nous préparer pour le départ. Nous sommes allés à peu près 30 km de la ville avec les chameaux et nous avons planté le premier campement. il était déjà un peu tard, je n’ai pas arrêté de suivre ce jeune male de mes yeux essayant d’admirer le plus possible son énorme bite, qui pendaient lourdement entre ses cuisses. A un certain moment il s’est un peu isolé derrière un rocher en surplomb d’une dune. Je voulais découvrir ce qu’il faisait je me suis approché du côté de la dune. Il s’était accroupi et il a relevé sa toge et s’est mis à pisser des jets très puissants qui allaient à plusieurs mètres pendant un bon moment. J’ai pu admirer son entre cuisse mais surtout la puissance de ses jets. Au bout de quelques minutes il est resté encore accroupi et d’un seul coup, j’ai vu son chibre se dresser comme un dard. La bite était énorme mais c’est surtout le gland plus gros qu’un œuf de canard qui me faisait de plus en plus envie. Il m’avait vu arriver et attendait.

Je me suis présenté devant lui et avec son index énorme il m’a fait signe d’approcher. J’étais juste au-dessous de lui à peine 30 cm j’allais le sucer mais dès que j’ai saisi son bâton raide et dur, que je pouvais à peine entourer de ma main, il m’a giclé en pleine gueule une cascade de foutre. J’avais le visage entièrement recouvert de ce foutre chaud et qui sentait très fort. Je me suis mis à genoux je me suis badigeonné de reste du visage, le cou et les cheveux avec ce sperme que je comptais bien garder sur moi sans me laver. Il s’est levé et moi aussi. Il s’est avancé vers moi et sans aucune gêne il a soulevé mon vêtement léger et ferment il m’a mis l’index et le majeur dans l’anus. J’ai ressenti une puissance extraordinaire. Il a fait quelques va-et-vient avec les doigts, puis m’ayant retourné il m’a enfoncé sa bitasse dans le cul. J’ai senti une brûlure très intense et au bout de quelques secondes il m’a enfoncé complètement et là je sentis un flot de foutre comme un lavement. Il s’est à peine retiré laissant son gland sur la rondelle de mon anus il a continué à me sabrer. En quelques secondes il m’a arrosé l’anus et l’entrecuisse. Puis il s’est retiré très vite sa bite est redevenue flasque normale et pendante. Je me suis agenouillé pour finir de lui nettoyer le gland et en profiter pour lui lécher les énormes couilles imberbes et emplâtrées de foutre. Il avait un pubis fourni noir et un filet de poil lui montait déjà au nombril, j’ai pu lui caresser le ventre qu’il avait dur comme de la pierre Il a ri et il est parti. Je suis resté dégoulinant du cul son foutre qui a commencé à s’écouler le long de mes jambes. J’étais décidé à garder ce foutre gras le plus longtemps possible. Je me suis donc avancé à nouveau vers le campement avec une forte odeur de foutre sur moi. Un chameau-même commencé à gargouiller en me sentant passer près de lui. Les autres nomades n’ont pas fait attention à moi, mais je pense qu’ils avaient compris que je venais de me faire enfourcher par le jeune.

Le soir venu nous nous sommes retirés tous dans la tente. Ils ont allumé un feu et commencé à jouer du tambourin et a chanté. Le jeune s’est mis à danser et sauter au centre, et chaque fois je voyais ses couilles en pleine danse. Puis on a mangé et bu. Un des gars a allumé une sorte de longue pipe dans laquelle il avait mis du chit. Quand mon tour est arrivé j’ai fumé et aussitôt j’ai senti l’effet. J’étais très désinhibé prêt à aller plus loin. Certains se sont mis à danser aussi et je pouvais deviner des massues entres les cuisses. Je triquais dur. Un des hommes et venu me chercher pour danser et j’ai dansé avec une énorme érection. Le gars m’a mis la main sur le sexe et m’a serré fort. Je lui ai palper les couilles sans gêne. Il a apprécié au point d’ouvrir les cuisses en grand. Les autres applaudissaient en chantant. Le jeune a soulevé sa tunique et s’est mis à se branler. En se rapprochant de moi, je voyais pendre ses grosses baloches et devant une queue prête à péter je jus. Quand il a été à 1 mètre de moi il a pissé du foutre sur mon visage en salve puissante. Le mec qui dansait avec moi l’a branlé encore une fois et m’a mis son énorme dard dans la bouche et j’ai eu droit à une autre puissante ejac. Mon gars avait la main emplâtrée de foutre dur, Il a souri en extase et s’est approché de moi. Je ne savais ce qui m’attendait et une fois les doigts bien gras il m’a enfoncé le doigts plein de foutre dans l’anus en frottant bien la rondelle. Puis il s’est rassis un bâton raidasse comme du fer. Je n’ai pas pu résister et je suis allé devant lui ; je me suis baissé et je lui ai sucé le dard sous la tunique. Ça n’a pas duré long ; au bout de trois vas et vient à la bouche il a pissé un jet de jure épaisse. Je me suis badigeonné la bouche avec un caillou de sperme énorme. Il s’est levé a soulevé sa tunique et j’ai vu la plus belle bite de ma vie raide devant la bouche je lui ai à peine gober le gland qu’il m’a gorgé de foutre.
Puis les gars se sont calmés. Le guide m’a dit que c’était le rite du départ vers le désert et la solitude dure des dunes. Il m’a prévenu qu’à chaque halte il aurait un rite différent. Sans pouvoir me contenir j’ai giclé sous la tunique en gueulant les cuisses ouvertes. Ils se sont tous levés et sont venus en chantant me palper le jonc ; Certains me frappaient les couilles de leur mains calleuses. J’avais les braises au cul exposée aux males. Pour finir le jeune est revenu il s’est placé derrière moi et d’un coup de reins insoutenable il m’a enfilé profond à tel point que je sentais ses couilles imberbes et soyeuses me caresser le cul. Il a pissé chaud. Les autres ont hululée me laissant trou béant devant eux, un après l’autre sont venus me lécher l’anus gras de foutre. Toutes ses langues musclées et râpeuse m’ont fait pisser loin. Deux d’entre eux ont trempé leur main dans les jets d’urine et m’ont enflé des doigts profondément. J’ai pu les toucher aux bourses poilues et surtout humer le male en rut
Puis chacun a regagné son grabat pour dormir. J’avais à côté de moi un male d’environ 30 ans, très beau musclé autant que je pouvais le deviner. Il s’est allongé en remontant sa tunique jusqu’au ventre, et il a commencé à écarter ses pates. Il était nu jusqu’à la taille. Je sentais son odeur acre m’envahir. Je pouvais admirer ses cuisses poilues ses pied énorme et sa paire de couilles qu’il se flappait à coup de paume de la main. Le bruit me rendait dingue. Je me suis penché et j’ai remonté moi aussi la tunique légère exposant mon cul lisse et imberbe. Il a fait semblant de ne pas remarquer ma nudité mais il s’est mis à bander dur. Un chibre de toros raide bien moulé un délice de vue. Puis sans rien me dire, il a rapproché son grabat de moi en se levant et j’ai vu ses sacs poilus rougis par les claques. Il s’est recouché à quelques centimètres de moi je sentais son gland frôler mon anus. Il m’a parlé en arabe j’ai rien dit sauf oui ouiiiiii . J’avais déjà l’anus humide de glaire anal Il a dû comprendre car j’ai senti soudain la rondelle éclater par son gland je lui répété baise moi Quand il a poussé le gland j’ai cru m’évanouir de plaisir ; Lentement il a enfoncé le pieu et lentement il a commencé son va et viens ; Il ne s’est pas rendu compte que je lui caresse les bourses frénétiquement ; Il m’a retourné les cuisses ouvertes sans me désarçonner et couché sur le dos il m’a littéralement violé. Plus il m’enculait, plus Il me sabrai, ’plus je m’ouvrais Dans sa folie. il m’a fait jouir dix minutes de la prostate. Il m’a bâillonné avec sa paluche pour que je fasse moins de bruit mais je savais que 20 gars se masturbaient en m’entendant. J’ai passé ma main sous sa tunique pour tâter sa poitrine poilue velus et dure comme un roc. Je ne bandais plus tellement l’anus était ouvert. Puis soudain il m’a foutu des coups de butoir insoutenable je me suis mis à hurler de plaisir. Il a murmuré des mots en arabe et d’un seul coup il a lâché la purée ; J’avais l’anus qui chiait du jus alors qu’il me sabrait encore. Il m’a limé la rondelle mais je ne sentais plus rien sauf son gland qu’il rentré et sortait en cadence. Puis il s’est avachi sur moi m’enfonçant encore son pieu jusqu’à la prostate ; je l’ai embrassé partout. Il s’est endormi le jonc toujours raide et il est resté comme ça tard dans la nuit. J’étais écrasé et cloué à lui sa bite gonflée du gland ; son néat boursoufflé me chatouiller insupportablement profond mais je suis resté immobile subissant l’assaut le plus violent de ma vie. J’avais enfin été baisé par un mâle
Je savais déjà que ne pourrai plus m’en passer. Épuisé le trou en feu, je me suis endormi. A l’aube j’ai remarqué un peu de vas et viens. Je me suis levé et je suis sorti de la tente pour voir le jour se lever. J’ai remarqué un silhouette près des chameaux. Je me suis avancé et j’ai reconnu le jeune. Qui commencer à sceller les bêtes. Il m’a vu et il a ri. J’ai remarquer qu’il était totalement nu. Je me suis approché près et comme il avait déjà sceller les chameaux, il s’est assis sur le sable, cuisses très ouvertes et je voyais son dard mou et se énormes couilles posées sur le sable. Il s’est couché sur le dos pour se reposer. Puis il a commencé à se frapper les couilles pour les gonfler de foutre. Le guide me l’a dit après. C’est une pratique de jeunes mâles. Quand il a eu le dard bien raide je me suis vraiment mis à côté et je lui ai caresser les couilles en les lui frappant un peu fort come il avait fait. Il a grogné. Je me suis penché sur la bite pour la lui sucer. Elle était comme un bâton raide et droite. Et soudain il m’a giclé sur la gueule des cascades de foutre, plus liquide que le veille mais même goût même odeur. J’ai laissé couler le foutre à ma bouche et je l’ai gobé. Il m’a caressé l’anus et il a ri. Je voyais son tuyau pendre et ses lourdes couilles vidées plomber sa marche. Je suis revenu à la tente et personne ne m’a fait chier. Tout le monde était en train de se préparer à partir. J’ai fait de même. J’étais tellement en manque de foutre qu’en gémissant je me suis couché sur mon paquetage, les pates ouvertes et devant tous les mecs je me suis masturbé. Au bout d’une minute, un étalon de mâle s’est mis au-dessus de ma tête Il s’est mis lui aussi à se taper une tige lorsque sous sa tunique j’ai senti gicler un jet puissant de foutre et m’arroser la bouche d’un foutre de qualité fort, puant et gluant, chaud et collant. Je savais que j’aurais d’autres mecs qui suivraient. Je ne me suis pas bourré. Aussitôt après lui un jeune de 20 ans s’est lui aussi positionné et sans même se la branler et se la toucher, les bras derrière la tête il a littéralement pisser du foutre en jets lents continus et fournis. Il m’a douché au foutre. J’ai pu la lui sucer avant qu’il reparte. D’un coup j’ai eu droit à un jet de foutre clair fort au fond du gosier. Le troisième lui s’est accroupi devant ma bouche le dard prêt à péter et lui encore sans se la masturber, il a commencé à se taper des claques aux couilles et en quelques secondes il ‘a enfoncé la bite à moitié dans la bouche et il a lâché la purée. Pour l’achever, pendant qu’il jouissait grave, je lui ai foutu une tarte monstre dans le baloches qu’il avait relâchées Il s’est cambré sur ses cuisses monstrueusement belles et couvertes de poils drus, puis il a giclé l’équivalent en foutre d’une grosse orange.

Puis nous avons repris la route, lentement sur le dos des chameaux. Au bout de plusieurs heures de chevauchée mon anus a commencé à me tourmenter et je commençais à avoir de plus en plus envie de me faire enculer. Pour m’exister encore plus je me suis remonté la chemise et je me suis assis le cul nu sur la selle pour mieux sentir les coups du chameau qui trottait. Au bout de plusieurs heures encore j’ai joui du cul, en lâchant une salve de foutre qui me restait des enculades de la nuit. Arrivé enfin au prochain campement j’avais le cul en flamme et j’attendais la deuxième initiation. Quand tout fut déballé et que le jeune a eu monté la toile, tous les hommes ont commençaient à chanter pendant qu’un repas de fruit se préparait J’en profitais pour parler avec le guide et je lui ai demandé l’âge du jeune. A ma grande surpris il m’apprit qu’il avait 19 ans. Je lui ai dit qu’il paraissait plus jeune et que je comprenais mieux sa fougue. Il m’a appris à dire 19 ans en bédouin et je suis allé répéter ce mot au jeune en lui en enfonçant le doigts sur sa magnifique poitrine imberbe. Il a compris et m’a fait de la tête : « oui » Je l’ai félicité et comme nous étions à l’écart je me suis dos face à lui et j’ai attendu qu’il me baise. En 20 secondes j’avais tout son bâton enfoncé et en quelques coup de butoir il a joui sur mon anus. J’avais les jambes trempées de son sperme gluant. Je me suis retourné pour finir de boire son foutre qui giclait encore en lui gobant le bite en feu Il m’a laissé encore plus affamé du trou Puis le repas a commencé. Le jeune a apporté une selle de chameau dans la tente et l’a posée au centre. Qu’est-ce qui allait se passer ? Quand tout le monde a fini son repas, on a fumé et en quelques minutes j’étais en transes. Le jeune est venu vers moi et m’a amené sur le scelle en me déshabillant complètement. Il a demandé surement aux autres de faire la même chose car ls sont tous foutus à poil. Le jeune m’a couché sur la scelle en prenant soin d’écarter mes cuisses avec des cordes. J’avais l’anus très exposé soumis aux regards des mecs. Je savais que j’allais me faire cloué par toutes ces bitasses. Puis l’initiation a commencé. Un mâle plus âgé que les autres est venu devant moi et a commencé à se masturber le jonc en se rapprochant de mon anus affamé. Il a joui très vite et m’a giclé des jets puissants au cul, puis il m’a empalé sans merci et une seconde fois il a joui dans mon trou profondément. Les autres ont applaudis et sifflé. Il a encore joui en moi et s’est retiré. J’hurlais « enculez moi à fond, mon cul est en feu, Baisez ma chatte en chaleur, allez-y, continuer à me défoncer comme des bêtes, j’en ai besoin »

Un autre s’est positionné en face de mon trou sans défense, car j’étais ligoté et je ne pouvais même me masturber mais j’avais la tige prête a sauter. Il m’a aussi sabré deux et il m » a laissé le cul béant coulant le long des couilles. J’ai demandé à parler au guide. Il est venu et il m’a mis sa matraque raide direct dans le trou. Je voulais simplement lui parler pour lui demander aux suivants de d’abord venir se faire sucer le gland et de l’enculer quand le précédent me lâcherait l’anus Il a trahi et tous en gémi d’approbation, tant en continuant de me sabrer comme un étalon qu’il était en fait, car sa bite était courte en comparaison de ce que j’avais toucher jusqu’alors.vu les hommes de ce pays, mais d’un diamètre énorme. J’ai dû le supplier de ne pas me plaindre, j’au lui ai même dit qu’il me dépucelait une seconde fois et en tout cas c’est ce que je ressentais. J’étais vierge une seconde fois tellement il m’a gonflé l’anus. Il m’a niqué trois fois pour finir par jouir sur mes petits testicules. J’au alors deux bêtes se mettre en ligne Il s’exécuter. Le premier a approché dès que le guide a grogné longtemps et il engagé sa bite dans ma bouche en se frottant le gland sur ma langue tirée. Ça s’était un Marteau piqueur ! Quand l’autre, le guide, a joui pour la 2 -ème fois il s’est retiré en s’essuyant le reste d’un foutre brulant sur les cuisses offertes et aussitôt mon défonceur m’a niqué. Il a joui quatre fois en moi, ce qui m’a permis de sucer le suivant, un jeune très basané de peau, , tellement musclé que j’avais l’impression d’une statue en marbre vivante. Il avait un tuyau si raide que j’avais l’impression de sucer une statue. J’ai eu la gorge en feu. Quand. le marteau piqueur m ’lâché et le nouveau mâle s’est attisé le gland sur la rondelle jusqu‘à ce que mon agitation culmine en douleurs et j’hurlais : « Fous moi là putain, va la laver dans les foutres des autres et tire moi fort, fais moi péter la rondelle en feu …..haaaaa je t’en prie enfonce moi ton dard de pute » Il m’a pas laissé pleurer longtemps et d’un puissant coup de butoir je l’ai eu enfoncé jusqu’aux couilles. J’ai retrouvé la sensation d’une bite en marbre au cul. Un outil de sculpteur vivant. Il lâché 5 fois du jus et la sixième, sans même se la masturber, il m’a giclé sur le visage puis il s’est mis à m’uriner dans la gueule pendant de longues minutes. Je comprenais que j’étais son territoire. Je lui ai tendu mon visage la bouche ouverte et il m’a lancé un mollard baveux, puissant et autoritaires me faisant comprendre que j’étais son trophée de chasse dont les autres seraient jaloux. J’étais enfin maquer à un male dominant du groupe qui déciderait de tout mais qui me baiserait à sa guise et à qui je ne pouvais plus désobéir. Car je le savais il me laisserait tomber comme u enculé, si je lui désobéissais une seule fois. Son foutre c’était le domination totale
A partir de là, les suivants m’ont simplement enculé et je n’ai pas quitter mon mâle des yeux, admirant ses pieds de géant musclé, ses balourdes énormes, ces cuisses d’atlas ; son entrecuisses et son pubis poilu, crépu, collant de foutre luisant, sa poitrine très large, ses bras d’acier, son visage brut, sa barbe d’un semaine, ses cheveux noirs acier qui retomber en magnifique boucles sur ses épaules que je devinais herculéen. Il est resté tout le temps devant mon visage jusqu’à ce que tout le groupe se soit soulagé en se frappant les couilles de ses paluches monstrueuses en granit. Une caresse de lui s’est comme une grosse bouffe sur des burnes en feu. Je le voyais bander et les autres me faisaient jouir l’anus que si je le regardais soumis. Après le dernier il s’est approché de ma bouche et m’a pissé à la gueule une urine fort qui sentait l’étalon qui se soulage. Le jeune est revenu et m’a détaché. Epuisé je suis allé me coucher le cul enfin bourré et bien bourré. Je me suis endormi sur le dos, les couilles pleines, les pates ouvertes.
Dans la nuit, j’ai été réveillé par un bruit de conversation proches très proches. Mon voisin semblait en colère mais il a commencé à bouger pour partir de là et il a pris ses affaires laissant la place vide. Le mec s’est installé à mes côtés presque à me toucher, puis il s’est allongé et là j’ai reconnu mon mâle dominant. Il était bouillonnant et la chaleur de son corps de pierre dure commençait à m’envahir. J’ai reconnu son odeur et je me suis entièrement détendu mais très émotionnellement agité. Allait-il vouloir me posséder seul ? Je lui donnais tout. Il m’a pénétré l’anus tendrement doucement et j’ai senti sa tige d’acier me forcer l’anus Il m’a rendu fou. Je lui répétais en français mais je pense qu’il a compris au ton de ma voix haletante et suppliante « encule moi, s’il te plait, baise-moi le trou tu me rends fou de désir je t’aime ; Puis il s’est lâché violemment et sans même s’occuper de moi il m’a sabré
Avec une force inouïe, je sentais ses énormes couilles me battre les fesses ; Elles étaient lourdes pleines et tellement odorantes que je sentais leur odeur de mâle en rut me monter jusqu’à la bouche. Il est parti comme une fusée me bourrant de foutre le fion que j’avais ouvert comme une huitre. Puis sans me désarçonner, un putain de barreau de chaise m’a limé doucement et soudain il m’a pissé au cul dedans et dehors, puis lentement me l’a remis au trou et d’un coup s’est endormi. Moi aussi je suis tombé de sommeil Le matin quand le jour s’est levé, sans même plus sentir ma chatte anale, tellement j’étais écartelé, il m’a joui encore une fois au fond du trou, il a retiré sa bitasse baveuse du fion et il m’a fait nettoyer le gland gonflé de foutre ,le marteau piqueur encore en mode encule, et ses baloches en sueur. Un régal ! J’ai enfin pu embrasser ses pieds nus et les lécher. Il n’a rien dit, mais en en remontant mon regard vers lui j’ai vu un filet de foutre pendre du tuyau flasque ; je me suis précipité sous sa tunique pour gober ce dernier jet de jute.

On a repris la route et pendant des heures il m’avait obligé de m’asseoir devant lui sur la scelle le cul entièrement dénudé, la tunique relevé bien au-dessus de la taille pour m’exposer aux autres qui parfois venaient se masturber à la hauteur de notre chameau. J’avais le droit de les contempler avec des yeux qui dévoraient leur tige que je commençais à bien reconnaître. Je les sentais me baiser comme des brutes sans qu’ils me touchent. Puis quand lui était assez raide pour m’enfiler devant eux, il me soulever de ses bras de fer au-dessus de la scelle assez haut et c’est le pas du chameau qui m’enfonçait le gland comme un fuck machine. Selon les terrains ça me sodomisait d’un coup et je sentais bien le gland profond en moi tellement les secousses étaient parfois violentes et entièrement inattendues puis en quelques minutes il me trouait le cul de sa barre à mine et pissé son foutre sur mes fesses. Je sentais bien son foutre gras couler jusqu’à l’anus et me mouiller la rondelle d’un foutre qui coulait lentement comme une caresse d’un doigt humide., puis il me mettait à l’envers ma tête coincée entre ses cuisses d’acier et le nez sur ses couilles qui coller de sa giclée de sperme. Ainsi les autres pouvaient admirer mon cul violement baise et gicler. Certains plus excités que d’autres, venait se placer prêt, prétextant que le terrain irrégulier les faisait rapprocher, sans qu’il ne le remarque trop et là d’un coup ils lâchaient leurs couilles pleines avec plusieurs jets très puissants qui m’emplâtraient la gueule et là encore je laissais le foutre me descendre des yeux du nez ou du front jusqu’à la bouche et je buvais cette liqueur de male. C’était pou moi l’humiliation suprême. J’aurais aimé qu’ils me foutent des bouffes. L’extase c’est quand ils crachaient un mollard très gras sur le cul ou sur la face

A chaque étape suivante il a changé les jeux ? Ils choisissaient une bonne dizaine de males, que je les connaissais tous et qui étaient en général des brutes, et il me faisait larder toute la nuit à tour de rôle et plusieurs fois par ces mâles grossiers mais buteurs qui me foutaient le trou en feu par leur brutalité. Ça jouissait gras. Et de temps à autres il venait me lécher l’anus sans complexe pour m’aspirer une bonne gorgée de foutre du dernier, puis il alla se rassoir sur le sol les baloches en expo. Mais à l’aube il en appelait le foutre d’un super étalon qui l’avais rendu fou. Il se dépoilait complètement, il s’allongeait sur le dos, il écartait bien les pates montrant un trou poilu humide et dégoulinant de jus. Alors l’autre venait le saillir come un taureau et je voyais mon maitre soumis sous mes yeux gober du cul une bite en béton et il me regardait dans un sourire d’extase pour m’humilier, puis sans joui ordonnent à la brute de me jouir au cul pour me remplir de son foutre que mon maître avait pomper dans sa chatte avant de jouir ? Souvent je perdais connaissance de plaisir et je revenais à moi dans mon grabats le doigt bien enfoncé dans l’anus. Il me faisait comprendre que je ne serais jamais un mâle et que ma vie serait de servir un male ici ou ailleurs.

Nous sommes enfin arrivés dans la plus grande oasis de la route. Un croisement de caravanes faisaient de cette bourgade une ville important pour le mixage de la sociétés des caravaniers et ils y trouvaient tout, l’eau bien sûr les fruits, le repos, les échanges commerciaux, et mémé des petits restaurant éphémères, sorte de one man show , qui vendait des bouts de viandes grillée et des beignets Or pour les gens du sert c’est la fête ! Le guide m’a amené devant mon maître qui lui a parlé lentement mais sans s’arrêter, il profitait d’ouvris ses cuisses en grand pour me laisser voir ces couilles gluantes d’un jus qui lui sortait du trou par longues saccade..
J’étais tétaniser le regard hors des yeux, et j’ai commencé par sentir mon anus se dilater seul. J’aurais aimé qu’il m’encule violement en pensant à tous les mâles bruts qui lui avaient défoncé le cul juté leur foutre en lui niquant la rondelle en flammes. Il m’a souri pour me dire » tu comprends, non, »Je l’ai immédiatement rassuré avec le signe oui de la tête. Il a répondu par le même signe, puis il s’est levé et en passant il m’ a retourné et devant tous il m’a pissé de longs jets d’urine sur le raie du cul ;j’ai hurlé de plaisir puis il est parti. Le guide a dû me calmer. Il m’a entraîné dans une petite ruelle faite de tentes, il m’a soulevé la tunique et j’ai senti sa barre dans mon cul en train de s’enfoncer. Encore une fois j’a hurlé de plaisir. Il m’a suffisamment limé pour que je puisse continuer, le trou un peu apaisé. Nous nous sommes arrêtés pour qu’il me dise ce que mon maîtrelui avait ordonné de dire ; « Je devais être conduit dans la basse casbah dans une vraie maison appelé le repère du diable, je devais y rester jusqu’au départ de ma caravane, environ une douzaine de jours. La j’allais faire quelques dinars et je travaillerais peu en recevant beaucoup.il a ri en me citant les vrais paroles et il a continuait en disant : tu peux pas encore comprendre ! Puis il a continué son récit ainsi : tu seras nourri (il a à nouveau éclaté de rire) de dattes, d’eau, de pain, de parfums et ‘esclaves. Or je voyais là un traitement de courtisanes, celle que le maître avait choisie pour la reproduction et qui serait son plus beau jouet, lui qui tenait dans ses burnes retenues pendant des jours la descendance mâle qui allait lui assurer la dynastie. Ses couilles en feu sentent lourd En me réveillant de mon rêve, le guide me dit c’est là et il m’a laissé à la garde d’un marocains qui parlait bien le français ; une bête un torse nu des cuisses de gladiateur et un morceau entres cuisses qui remontait sous la long thares et qui faisait comprendre le morceau de premier choix pour des connaisseurs. Il m’a guidé dans une pièce où il y avait six lits bas. Il m’a montré un lit ou il avait une serviette et à coté deux boites en fer blanc, l’une repli d’eau, l’autre vide. Puis il s’est retourné assez vite et là j’ai vu le boudin flasher sa tête énorme entre les plis de la basse tunique, et son balancement rapide avait créé l’ouverture des plis. Un régal de fantasme. Il m’a dit : tes collègues t’expliqueront, il s’est encore retourné et il a ouvert la tunique en grand en me disant celle-là tu vas la sentir bien chaude au trou, trop brûlante pour ton petit trou de pédé mais dans quelques jours tu auras la rondelle faite prête à te la laisser ruiner la chatte par mon plantoir . Puis il m’a pisé un jet d’urine sur la gueule et il est parti.

Les fameux collègues sont arrivés et miracle ils était français quelle joie pour moi ! ils étaient entièrement nus et ils ont commencé le discours. Ici tu vois c’est un bordel pour hommes. Y’a aucune femme dans l’oasis. Ça te parle ? Pas de femmes, on se débrouille t inquiète y a des hommes pour ça qui aiment !!!! et il a ri je ne m’étais jamais posé la question en effet ; Et oui nous on pouvait bien faire ce job aussi. Ils ont précisé le matériel, l’eau s’était pour se laver et l’autre c’était pour aller vider le cul du foutre tous les 10 types qui déchargent dans ton anus. A la fin de la journée un marchand de foutre passe et achète le foutre pour le revendre sur le marché. Il a le monopole et lui quand il vient il attend que dix mecs t’éjaculent au cul et il vient boire le foutre frais directement de ton trou. Nous on adore quand il te fouille le cul de sa langue râpeuse ! Max, c’était le mon du plus baraqué des deux, lui se met debout de dos devant lui et lui et lui pisse des jets de foutre dans la bouche. Moi je préfère me faire baiser par sa langue. Après dans la journée c’est un défilé constant de mâles en rut qui ne paient presque rien pour venir décharger leurs couilles pleines dans ton cul. C’est à la chaine ; tu es souvent sur le dos et ils viennent enfoncer leur matraque dans ton anus béant et jouissent en quelques minutes et une fois la semence lâchée , ils laissent la place au suivant. C’est du matin au soir non stop. Au début on comptait, on dépasser plus de 120 par jour avec des records à deux cents, le jour une caravane arrive, comme demain par exemple, et c’est pour ça qu’ils t’ont mis en renfort ; Tu dois être en manque aussi. J’ai répondu oui beaucoup j’ai le feu ! Ils ont ri en me disant : demain tu seras encore plus en transe après plus de cent teubs et crois moi ça jute gras et copieux. ; Quand une nouvelle caravane arrive il ouvre trois ateliers entre guillemet, un pour les enculeurs d’anus, un autre pour les suceurs de bites, et un troisième à l’étage pour ceux qui aiment se faire tabasser les couilles et qui te jutent en pleine gueule dès que leurs couilles n’en peuvent plus. J’adore celui-là mais on tourne sur les trois ateliers par quart de journée, tu commence par te faire enculer par trente mecs en rut, puis tu suces trente bâtons raides, et enfin tu massacre les couilles pleines de trente mecs costauds que tu peux et dois frapper des mains des pieds et des poings ? Il s’est arrêté là car un jeune mâle arriva aient. .Le plus musclé des deux français Kevin me dit à l’oreille : ça c’est un sabreur de fente qui te rend fou il te lime sans merci et en profite pour te foutre des bouffes graves. Tu veux te le prendre ? J’ai soupiré de plaisir et lui ai dit oui tout de suite. Je me suis allongé sur mon lit et devant les deux autres, je me suis offert nu l’anus qui coulait déjà d’envie. Le mec m’a approché lentement et il m’a caressé l’anus de son énorme gland de bois puis quand il a senti mon anus couler comme une cascade il m’a pénétré brutalement et m’a limé longuement. Je lui ai saisi les couilles qui pendaient toujours pour savoir s’il était prêt à jouir et j’ai compris que ce ne serait pas de sitôt. J’ai tellement hurlé de plaisir que les deux français un peu jaloux ont commencé é à se masturber et sont venus à côté de moi pour me parler. Tu aimes ça non ? Il te viole et tu ne peux plus lui résister, sa bite te soumets. Tu sens son dard te faire péter le cul touche lui les molles, elles pendent bien et tu sens le jus qui commence à bouillir ? Moi c’est le premier qui m’a foutu en cloque après deux heures de défonce, m’a dit Kevin. J’ai mis deux jours pour redescendre et chaque fois qu’il vient je pars du cul comme une femme. Régale-toi c’est un cadeau de bienvenue. T’en verras d’autres comme lui. Prête-le-moi une seconde stp. Kevin s’est couché sur mon lit et le jeune l’a enfourché sous mes yeux et en vingt secondes il lui a lâché au moins dix salves de jute au cul. Sans attendre Kevin est allé sur ma tinette à foutre et à chier longtemps le foutre du mâle qui était parti en long jets gluants épais presque solides et qui sentait tellement fort l’étalon Je suis allé lui nettoyer l’anus et j’ai gouté le plus puissant des foutres que je n’avais jamais eu Par surprise l’autre français m’a pris en sailli en me disant t’es trop chaud encore faut que te calme et comme un esclave je me suis laissé empaler sur son énorme bite en rut qui m’a plus incendié le cul plus que de me le calmer.

Puis ils ont continué à m’instruire pour le lendemain, jour où devait arriver en fait deux caravanes. Nous sommes montés à l’étage où se tenait ce qu’ils pnt appelé les traitement de couilles. Là me dirent-t-il les mecs s’allongent sur le dos, couilles libres et c’est à toi à les faire jouir par les baloches sans les branler, tu dois les lécher, leur lécher l’anus mais pas la bite. En général ils attendent de se les faire tabasser dur. Y en a qui en s’allongeant se foute des bouffes sur le burnes en gueulant en arabe, massacre les moi , alors tu commences par des grandes claques vives et cinglantes sur les pendantes puis tu passes à la savate, qui laisse devant toi et tu les frappes à coup de semelle, et tu peux aussi prendre des cordelettes à nœuds fins pour les rougir à fond, tu verras des dards énormes pisser alors de jets de foutre en l’air sans aucune masturbe S’ils sont contents du peu lécher le foutre de leur ventre sur les bites sans la sucer, sur les couilles cramées et même sur leur anus car ils coulent des gros filets de jutes sur leurs sacs rougis par la baston qui glissent lentement sur leur chatte poilues. Tu verras il y en a plus que tu penses qui aiment ça. Il y a même ce qui se laisse caresser l’anus et parfois te prenne le doigt pour se masturber le trou du cul. C’est parfois délirant, de voir ces jeunes males se faire démonter les couilles t’en redemander.
En fait des gens de la nature et tout est naturel chez eux, t’enculer se masturber devant toi ou se faire tabasser les sacs, c’est leur envie animale qu’ils suivent sans tabous.
J’écoutais comme dans un rêve : j’allais être livrés à des mâle en rut et j’allais faire pisser des centaines de bitasses dans mon cul ; J’allais enfin être douché de jute, j’allais lécher des milliers de couilles, j’allais devenir un toy à mâles Je rêvais de ce bonheur lorsque je vis mon maître arriver entouré de dix nouveaux étalons de moins de vingt ans des sacs à foutre pendant car il étaient nus des pieds à la taille, seule un chemise fine couvrait le reste de leur corps que je devinais bronzé musclés comme de jeunes toros en manque et des pieds à faire jouir n’importe quel enculé !premier s’est foutu entièrement à poil et sans préambule m’a limé pendant au moins une demie heure ; J’avais l’anus tellement au-delà de la douleur qu’ un certain point il m’a arraché un orgasme de femme qu’il a su maintenir longtemps puis prêt à gicler il m’a frappé les couilles et il m’a foutu enceinte avec cette sensation merveilleuse d’une vierge qui vient de se faire dépuceler et celle de la femme qui sait que le mâle qui la défonce sera le père de ses enfants. J’ai hurlé pendant de longues minutes de joie ; J’ai compris qu’il avait ouvert en moi une éternité à me faire baiser partout par des mecs mâles et là je voulais rester dans ce bordel coûte que coute pour continuer à jouir de temps en temps si possible comme ça J’étais la vulve que le mâle sent vite.et si je restais quelques jours sans jouira comme ça, je sentais physiquement fort et bien sûr
Je me tapais des toros juste paour l’odeur. Quand tu sens une tête de nœud écarlate te percer l’anus tu ouvres un vagin pour un enculeur et cuisses ouvertes tu lui tends ta vulve pour qu’il s’y frotte fort avec son gland d’acier sur tes lèvres bouillantes et qu’il fait que ça pendant quelques minutes tu feule d’abord, ce qui est un bon signe pour lui puis soudain ta vulve s’ouvre en grand et tu orgasme en femme. Toujours tout le temps des orgasmes non stop, je leur palpe les couilles de cuir tellement elles sont tannées par les heures passer a chevaucher des chameau ; C’est du cuir de bétail avec cette bite qu’ils ont tellement soyeuse. Puis tu embrasses tout ce passe devant ta bouche des poils, un téton, un bras tu lèches l’aisselle, tu es soumis en plaisir de femmes et tout ça te fait péter orgasmes sur orgasme comme si ta vulve se vider pour faire de la place aux spermes. Quand il n’y a plus rien, il se prépare en t’ensemencer et tu sens arriver au climax de l’orgasme des orgasmes une glue brûlante épaisse qui sent jusque dans ta gorge par saccades de plus en plus violentes incontrôlées et bestiale et ça pendant de longues minutes et quand il s’affaisse sur toi tu reviens sur terre avec toujours planté au cul sa bite de bois.il te roule un patin avec ce sourire de victoire et de gratitude. Tu sais alors que tu as su faire jouir un mâle pur

Les premiers arrivés sont tellement en rut qu’ils te pénètrent à deux. En même temps et là il te faut endurer deux putains de bites énormes gonflées à bloc qui te ramonent le trou qui est déjà devenu une bouche à sucer de la teubasse. . Le premier jour j’ai eu l’extase de deux mâles ultra dominants qui m’ont littéralement livré aux mecs qui attendaient leur tour. Ils m’ont pris sur les épaules et me descendaient devant des ruts enflammés qui aussitôt à terre m’ont embroché J’ai ainsi été traité comme une pute d’abattage. Je prenais un plaisir fou à être re coincé entre deux brutes J’avais l’anus prêt à devenir un vagin lorsqu’un dernière fois Deux noirs m’ont aplati sur une table et j’ai eu des dizaines de joncs au cul pendant des heures. à chaque enculade j’avais la chatte en larmes ;Je commençais à sentir fort comme la moule qui coule. Enfin le flot d’étalons à baiser, et je suis resté des heures simplement niqué.

Quand je suis revenu sur mon grabats j’ai hurlé qu’on me calme l’anus qui començait à me brûler, alors un noir monté comme un cheval.et venu me baiser Il avait une bite comme un bras quand il est venu me l’enfoncer j’ai presque étouffé du cul puis une fois l’anus détruit j’ai senti son énorme gland me buter profond Je lui ai léché les lèvres en signe de soumission et je lui ai demandé de me laisser lui bouffer le gland ; il parlait français et il a compris il a sorti son bras du cul et m’a tiré la bouche. Il avait le gland plein du foutre de mes autres enculeurs qui pissait en permanence de l’anus béant Il a commencé un jeu. Il allait chercher du foutre au fond de mon vagin plein et il me le faisait gober Je sentais bien les gouts de foutre très différents les uns des autres un délice ! puis arrivé au point de gicler il s’est mis au-dessus de moi. Je voyais son dard énorme et sans se toucher il m’a douché de son foutre gras pendant quelques longues secondes. J’étais apaisé le cul béant bavant de foutre. En s’éloigna il m’a intentionnellement foutu un coup du plat de ses pieds énormes et dur comme du bois en pleines couilles puis il me les a écrasées grave entre ses deux panards puants ; J’ai eu mal pendant deux jours mais ça m’a fait bander sans arrêt comme un cerf. Je découvrais le plaisir des bastons.


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Histoire de bomaleenrut

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