Belle-mère, d'amour 3

Renaud, suce un à un mes doigts de Laureen, elle pousse de soupirs profonds, elle n'a même plus la force de protester, la bouche voyage avec douceur sur chacun des doigts de la femme qu'il désire. Sa belle-mère respire en haletant, sa poitrine se soulève de plus en plus rapidement. Ses yeux s'embrument. Le beau-fils devient plus pressant. Il se lève, fait le tour de la table et prend la main de Laureen, qui contraire de se lever à son tour. Le suis sans résistance. Il l'emmène sur le canapé et la bascule dessus. Il cherche ses lèvres et l'embrasse fougueusement. La belle-mère souffle fortement, mais ne refuse pas le baiser. Les langues se nouent, un échange de salive se fait. Le baiser est extrêmement long, les souffles sont rapides. Renaud passe une main sous la jupe de Laureen qui frémit au contacte des doigts sur sa peau.



La main avance doucement pour atteindre son but. Plusieurs fois, les doigts effleurent la vulve au travers de la culotte avant de se poser dessus. Un doigt s'insère dans le sillon en entrainant le tissu. Le visiteur monte vers le clito. Un second doigt vient en renfort pour saisir la boule de chair et la branler minutieusement en l'emprisonnant dans le fin tissu. Laureen prend par le cou son beau-fils en disant :

-Ce que nous faisons mon chéri est immonde, nous sommes damnés !



Sans répondre, Renaud accélère le branlage, Laureen se cabre en gémissant. Elle serre très fort son jeune amant. Le bougre sait qu'il a gagné la partie, et que sa belle-mère sera à lui, elle vient de rendre les armes. Renaud se redresse et passe ses mains sous la jupe et attrape la culotte, il tire dessus pour la faire descendre. Laureen agite son bassin pour faciliter la descente du tissu. Une fois la culotte sur le sol, le jeune amant impatient lui écarte les jambes et lui lèche la fente qui est déjà trempée. Sa langue fait gémir la belle-mère qui pousse des :

-Oh mon chéri, mon chéri, tu me rends folle, oui, oui !

Il lui dévore le clito, lui fouille le vagin, avec voracité, c'en est trop pour Laureen qui pousse un long râle en jouissant. Renaud se redresse, ouvre le corsage et dégage les seins du carcan qui les emprisonne. Il pétrit les seins, les malaxe, en enfonçant ses doigts dans la chair souple. Laureen croit devenir folle, tellement elle est excitée, elle agite son bassin, en expulsant de sa chatte quelques jets de cyprine. Ses mamelons sont devenus monstrueux, le beau-fils met du cœur à l'ouvrage, il les tète, le suce, les étire, les roule entre ses doigts en faisant gémir sa belle-mère comme une bête malade. Le gredin bande comme un poney, il se redresse, baisse son pantalon et exhibe sa verge dressée comme un mât. Il l'avance entre les cuisses de sa belle-mère, qui se tend comme un arc, en attendant l'estocade. Il frotte son mandrin contre la fente puis pousse.


Laureen se cabre, le gland lui écarte les grandes lèvres, et s'engage dans le conduit brûlant. Elle s'agrippe à son amant en geignant. Lentement, Renaud pénètre sa belle-mère, qui pousse de longs râles rauques. Elle s'accroche à son jeune amant, en soufflant comme une bête qui se jette sur sa proie. Renaud, commence le va-et-vient, il cramponne les hanches de Laureen et lance les chevaux. Laureen gémit en se cambrant fortement :

-Oh mon chéri, c'est bon, continue, continue, fais-moi jouir encore !


Les assauts redoublent, la verge coulisse avec aisance dans le conduit, lubrifier naturellement par l'abondante cyprine. Les couinements de Laureen sont très bruyants, elle agite son bassin de plus en plus vite, elle donne des coups de reins puissants en poussant à chaque coup un han de bucheron. Soudain, elle pousse un cri inhumain et explose de jouissance. La queue de Renaud continue d'œuvrer, elle entre et ressort en prenant de la vitesse. C'est en poussant un grognement de fauve, qu'il envoie dans le ventre de sa belle-mère, plusieurs jets de sperme. Laureen jouit une seconde fois en disant :


-Oh mon Dieu, je suis une catin infidèle qui trompe son mari avec son fils, je suis damnée !
Baise-moi encore mon chéri, fais-moi encore jouir, je suis folle, c'est merveilleux, oh que ta queue et bonne !


Les deux amants se livrent à un délire total, les jouissances sont fabuleuses, les orgasmes monstrueux. Soudain, les deux amants entendent la voiture de George rentrer au garage. Laureen rabaisse sa jupe et ferme son corsage, elle n'a pas le temps de mettre son soutien-gorge, qu'elle glisse sous le coussin du canapé. Renaud lui remonte son pantalon et se jette dans un fauteuil en prenant une revue. George entre, il est souriant, il est satisfait de son travail. Sa femme est rouge pivoine, elle se jette dans ses bras et l'embrasse. Il raconte son intervention en prenant un verre. Soudain ses yeux se posent sur la culotte qui traine sur le sol, il la saisit, regarde sa femme et dit en souriant :

-Si c'est pour la perdre, il ne faut pas en mettre ma chérie !


Laureen ne sait que répondre, c'est Renaud qui lui sauve la mise en éclatant de rire. Laureen se met à rire aussi, les apparences sont sauves. Après le diner, George va prendre sa douche, Laureen refuse le baiser furtif que voulait lui donner son jeune amant, elle monte dans sa chambre. Elle enfile sa nuisette et s'enfonce dans les draps. Elle est soucieuse, même très agitée. George la rejoint, il semble en forme le coquin, il se plaque contre elle et la caresse. Mais lorsque sa main s'approche de la vulve de sa femme, elle lui saisit la main et lui dit :

-Mon chéri, j'ai quelque chose de honteux à t'avouer !


George la regarde et demande en fronçant les sourcils :

-Oh là ma chérie, tu as la tête des mauvais jours, raconte, qu'est-ce que tu dois m'avouer !


Elle pince les lèvres, te dit :

-Tu sais mon chéri, ce n'est pas simple à dire !


Elle croise les doigts et les serre très fort et dit :

-J'ai fait une chose abominable aujourd'hui, j'ai couché avec Renaud !


George reste un moment sans dire un mot puis réagit :

-J'aurais dû le deviner, lorsque tout à l'heure, j'ai trouvé ta culotte sur le sol et ta culotte humide hier. Cela dure depuis combien de temps, aller raconte donne au moins des détails !



Très embarrassée, Laureen répond avec des trémolos dans la voix :

-Depuis peu, pour la culotte humide, c'était hier, comme tu veux des détails, je n'ai pas compris ce qu'il m'arrivée, il m'a dévoré, j'ai réagi tardivement. Aujourd'hui, il m'a pénétrée avec sa verge, Oh comme je m'en veux, je suis une salope qui ne te mérite pas, je te demande pardon, je comprendrai si tu me quittais !


George reste un moment sans dire un mot, puis dit :

-Tu as joui ?


Laureen, en baissant la tête honteusement, répond :

-Oui comme une folle, je n'arrive pas à comprendre pourquoi je me suis laissé aller à une telle bassesse !


George lui relève le menton et lui donne un baiser sur les lèvres en soupirant fortement :

-Bon si tu as pris du plaisir, c'est déjà ça, maintenant, c'est fait, on ne peut pas retourner en arrière, mais dis-moi franchement si tu as aimé te faire prendre par lui !


Laureen se racle la gorge et dit avec émotion :

-Je voulais lui résister, mais une force étrange m'en empêchait, lorsqu'il a planté sa verge en moi, mon corps, ne voulait plus qu'il cesse de le pilonner, oh comme j'ai joui, j'ai honte, désormais, je mérite que tu me traite de pute !



George lui redonne un baiser très appuyé sur les lèvres et dit en poussant un long soupir :

-Tu es ma pute, je ne peux blâmer ta faiblesse, je suis mal, mais je ne t'an veux pas !


En disant ces mots, il passe sa main sous la nuisette et la plaque contre la toison, les poils sont rêches, le sperme de son beau-fils a laissé son empreinte. George enfonce trois doigts et constate que le vagin est encore gorgé de sperme, il dit en regardant sa femme :

-Oh la vache, le salaud, t'a bien rempli, mes doigts glissent bien dans, comment je dois dire, ta chatte de pute !


Laureen s'accroche à son mari, elle le serre fortement en répétant :

-Oui, oui, je suis une pute, une grosse pute mon chéri, punis-moi, corrige-moi, je ne mérite que ça !