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Belle-mére délaissée.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 09/06/2023

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Ma belle-mère Magda est une femme pas grosse, mais bien charpentée, mariée avec Jean depuis de nombreuses années il ont eu une fille Cloé que j'ai épousé. Trop portée sur sexe, cette femme maitresse épuise son mari. Jean est sur les genoux, il n'en peut plus. Le manque de sexe tiraille Magda si fort que je l'entend gémir lorsqu'elle se masturbe dans sa chambre, parce que son mari a refusé de la satisfaire.

Volontaire ou pas, souvent, elle se frotte à moi, dans le couloir étroit qui sépare les chambres, elle descend de sa chambre en nuisette, rien en dessous, elle sort de la salle de bain en culotte et soutien-gorge en prétextant un oubli. À chaque fois, en me lançant un sourire ravageur. Je salive beaucoup en gardant son déhanché de panthère, que je me doute, qu'elle accentue en ma présence. J'ai des fois l'envie de la coincer dans un coin et de ma la faire. Mais c'est ma belle-mère donc je ne peux que fantasmer sur elle.


Ma femme est infirmière de nuit, donc je suis seul dans mon lit. Régulièrement, j'imagine Magda être ma soumise, je me fait des séances de masturbation monstrueuses, j'ai même fait l'acquisition d'un gode que j'utilise à merveille. Un soir, dans sa chambre, c'est plus tendu que d'habitude, le ton monte, elle claque la porte et sort de la chambre en marmonnant fortement. Je l'entends descendre l'escalier. J'attends quelles minutes puis sort de mon lit, j'enfile le boxer que j'avais jeté sur le plancher, car je prévoyais un branlage majestueux, mais il en est autre.


Je descend à mon tour l'escalier, la lumière du salon est allumée, je m'y dirige, sans trop faire de bruit. Magda est assise sur le canapé, ses joues coulent des larmes. Je m'assieds à côté d'elle et lui demande :


-Magda, je sais que cela ne va pas très bien entre vous et jean !
Mais, s'il y à quelque chose que je peux faire pour vous, il suffit de le demander !

Elle se jette dans mes bras, ses larmes redoublent, elle me serre si fort qu'elle me fait mal. Je sens sur ma joue son souffle chaud et l'humidité de ses larmes. Il appuie son corps brulant contre le mien. Je ravale ma salive, lui relève le menton avec deux doigts et lape doucement les perles salées qui glissent sur ses joues.
Je l'entends soupirer fortement, nos lèvres se frôlent, nos souffles se mêlent. Je la sens frémir, je la regarde longuement dans les yeux et me décide de tenter l'impensable, je désire tellement cette femme, que de plus, à cette heure
elle est à portée de mes mains. Je redoute son courroux, mais je la désire tellement, et de la voir nue sous sa nuisette transparente, je suis prêt à faire une connerie.


Mais, je crois que j'ai une chance et que c'est le moment propice, vu dans l'état de fébrilité qu'elle se trouve. Audacieusement, je pose mes lèvres sur les siennes, Magda accepte le baiser, nos langues se cherchent, se nouent pour un long baiser, nos cœurs battent à se rompre. Fiévreux nous basculant sur le canapé, je passe ma main sous la nuisette et par à l'assaut de son intimité. Mes doigts glissent sur le pubis, garni d'une fine toison. Mes doigts s'enfoncent dans les poils soyeux, glissent sur la fente, qui rapidement se met à suinter. Magda souffle comme un bœuf, sa respiration s'accélère. Je me redresse, elle se léve puis se tortille lorsque je lui ôte sa nuisette. J'admire son corps, je suis émerveillé, mes yeux ne savent où regarder tellement le spectacle est beau.

Magda, pose ses mains sur ma taille, regarde la bosse qui déforme mon boxer, s'agrippe à lui et avec une dextérité remarquable le fait descendre sur mes hanches. Petit à petit, elle dévoile mon ventre, découvre ma verge en érection plantée dans une foret de poils denses. Elle se penche, hume le manche de chair qui oscille sur mon bas-ventre. Elle ose donner un coup de langue sur la perle qui s'échappe du méat. Je frétille comme un gardon hors de l'eau, elle s'agenouille face à moi, me regarde un bon moment sans dire un mot puis, avec douceur, décalotte mon gland, l'odeur doit l'aguicher, car elle renifle plusieurs fois le membre tendu comme le fait un chien avec une chienne.

Elle s'empare de ma bite sans brusquerie, me jette un regard rapide puis, commence à la branler avec art. Je ferme les yeux parce que la douceur de ses doigts sur mon engin me fait soupirer de bonheur. La masturbation produit sur moi un effet magique, je gémis en serrant les dents pour ne pas ameuter le quartier. Soudain, je sursaute, la coquine vient de me gober le gland et se met à lui faire des choses que seule, elle connait. Je suis au summum du bonheur. Sa bouche donne des aspirations puissantes, pendant que sa langue tourne sur mon gland. Ce que ma belle-mère me fait est phénoménale, je m'accroche à ses épaules, en gémissant comme un agonisant. Magda sait que je vais jouir, Tout en dévorant ma bite, elle saisit mes couilles et les presse. Je pousse un hurlement et envoie dans la bouche extraordinaire de ma belle-mère, une giclée abondante de sperme, qui d'ailleurs manque de l'étouffer.

Elle rejette ma bite, ses yeux sont larmoyants, un filet de sperme s'écoule à la commissure de ses lèvres, qu'elle balaie d'un revers de la main. Elle me trgarde droit dans les yeux, et avale en déglutissant bruyamment ma semence. Avant de se relever, elle donne quelques coups de langue, sur mon gland visqueux. Je ne débande pas, je la couche sur la table du salon et lui ouvre largement les jambes, je ne peux détacher mes yeux du fruit trop mûr qui regorge de jus. Je plaque ma bouche sur l'abricot dont l'odeur m'enivre. Je suce les grandes lèvres bien dessinées, les étire pour faire gémir Magda. Elle se crispa en poussant un long gémissent lorsque ma langue pénètre dans son vagin. Je fouille la gaine comme un vorace, cherchant la moindre goutte pour apaiser ma soif de nectar. Magda gigote comme une hystérique en gémissant bruyamment.

Lorsque je lui gobe la perle, c'est comme si elle vener de recevoir un coup de laser, elle se cabre, s'accroche à ma tête, en agitant frénétiquement son large bassin. Ses râles sont ceux d'une bête agonisante. Je m'active sur sa vulve en feu comme un forcené. Elle se cambre comme un pont et jouit en hurlant de plaisir. Elle est secouée par des spasmes violents, qu'elle ne peut contrôler. Je continue de lui dévorer le clito qui est devenu reconnaissable. Ma belle-mère à plusieurs orgasmes à la suite, son corps tremble, elle a les yeux presque retournés. Enfin, je cesse de la brouter. Elle me regarde, sa respiration est très rapide, elle me dit entre deux souffles :

-Oh la vache, vous me faites mourir mon gendre !

Fièrement, je lui répond :

- Mais pour vous, belle-maman, rien n'est trop beau, je vous rassure, ce n'est que le début !

Elle sourit en regardant ma bite qui est secouée par des soubresauts violents.





















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Commentaires du récit : Belle-mére délaissée.

Le 10/06/2023 - 06:41 par OlgaT
Voici un gendre dévoué!
Le 09/06/2023 - 13:55 par michelle2
Ouah bien racontée cette histoire, comme du vécu, une suite s'impose, je crois.

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