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Bénévoles Touristiques Partie 2

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Lue : 941 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/08/2020

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J’étais à quelques centimètres de la porte quand j’ai entendu ce gémissement, et une voix, souffle court:
—Continue comme ça…C’est exactement ce qui me plait.
J’ai compris qu’il se passait quelque chose de particulier, et certainement de sexuel. Il y a des gémissements que l’on ne peut relier qu’à ça. Et la phrase elle-même était plus qu’évocatrice. Ou alors elle lui massait la nuque.
La salle avait deux entrées. Celle par laquelle nous étions passés était occupée par du matériel, des armoires, des tables, et des chaises qui avaient été mis de côté pour donner plus d’espace pour les activités. Ca m’a permis de me glisser dans le local, et de tout voir sans être vue.
En quelques minutes seulement, les choses avaient radicalement évolué.
Je ne suis pas une oie blanche, le sexe je connais, à vingt ans, j’ai vécu déjà pas mal d’expériences, et d’autant plus que je suis bisexuelle, mais je ne pensais pas tomber sur quelque chose d’aussi…Troublant.
Je ne pensais pas non plus que Gwen et Catherine étaient à de point d’intimité.
Ni qu’elles puissent offrir un spectacle aussi troublant, et qui m’a remuée au plus haut point.
Quand je suis arrivée, Gwen avait ôté son chandail, mais également son soutien-gorge, Torse nu, elle se révélait massive, charnue, mais il n’y avait rien de répugnant là, au contraire. Une femme pouvait être volumineuse et belle, et elle en était l’illustration parfaite.
Elle avait des hanches épaisses, et du ventre, mais aussi deux seins très ronds, et totalement fermes. Elle en englobait un d’une main. Il était pourvu d’un téton qui venait certainement de s’ériger dans les minutes qui précédaient, et apparaissait aussi long qu’épais, des dimensions assorties à son corps et que j’aurais été bien incapable de présenter, même avec les pointes des seins excitées.
Sa collègue, elle, était allongée sur l’une des grandes tables sur lesquelles, quelques minutes plus tôt, elles avaient étalé les piles de documents dans lesquelles chacun d’entre nous devait piocher un ensemble, pour approfondir, se documenter et se préparer. La manière qu’elle avait de s’abandonner disait clairement que leurs relations n’avaient pas démarré ce jour même, mais qu’elles étaient intimes, très intimes même, depuis un bon moment. La ravissante brune, jupe largement retroussée, avait descendu son collant, ainsi qu’un slip blanc, les laissant accrochés à une cheville, et offrait à sa blonde collègue, et bien plus que ça, son sexe totalement glabre, il ne restait pas un poil, une ouverture dans des chairs intimes rouge vif, qui apparaissaient nettement, la dilatation les ouvrant bien. Ses lèvres, longues, fines, s’étendaient au-delà de son sexe, gorgées de sang. L’ensemble luisait, arrosé par ses liquides intimes. C’était excitant de voir son sexe révélé. Ce qui l’était aussi, sinon plus, c’était le contraste entre la rigueur un brin guindée dont elle faisait preuve pendant le stage, et son abandon total, qui se manifestait autant par sa position, elle avait les jambes aussi ouvertes qu’elle pouvait les ouvrir, le bassin projeté en avant, que par son visage, qui disait nettement sa soif de plaisir, sa seule préoccupation en ce moment, plus que de nous apprendre les rudiments de notre futur métier, car c’était bien un métier, fut-il provisoire et bénévole, et ses paroles crues au possible:
—Baise-moi, en y mettant toute son énergie…Je ne veux rien de tiède venant de toi.
C’est le lendemain qu’elles nous ont donné, en filigrane, beaucoup plus de détails sur elles, et que j’ai compris un peu plus sur leur relation. Gwen était une ancienne employée de la mairie qui avait migré en détachement en communauté de communes, sa collègue elle était encore ici en poste, et elles se voyaient régulièrement pour coordonner les décisions urbaines et communautaires. Chaque rencontre, elles ne le dirent pas, mais il n’était pas difficile de le comprendre, étaient l’occasion de rapprochements charnels d’autant plus intenses qu’elles ne s’étaient pas vues pendant une période qui allaient de plusieurs jours à plusieurs semaines.
Si j’avais été à la place de Catherine, il est fort probable que je me serais contentée d’une caresse très classique, avec la langue, les doigts, ou les deux, mais la silhouette de Gwen offrait d’autres possibilités, auxquelles, d’ailleurs, je n'ai songé que lorsqu’elle a saisi son sein, et qu’elle s’est mise à balader le téton sur les chairs de sa partenaire. Habilement, elle n’est pas venue directement sur son sexe, mais à attaqué à mi-cuisse. J’ai été impressionnée par l’habileté avec laquelle elle manipulait son sein, on comprenait bien que ce n’était pas la première fois, loin de là, qu’elle s’en servait. En même temps, avoir une poitrine aussi charnue, c’était être plus ou moins condamnée à s’en servir. Je ne savais pas si elle était bisexuelle comme moi, mais des images s’imposaient à moi, où je la voyais caressant des verges tendues de ses seins, les frottant, les prenant dans son décolleté, se faisant arroser les chairs de sperme qui dégoulinerait sur ses chairs, jusqu’à s’accrocher à ses tétons et en ruisseler. Mais là, il s’agissait d’autre chose.
Ce n’était pas de son sein, en fait dont elle se servait mais de son téton, son sein étant pour ainsi dire le support, et le téton le moyen. Elle s’est approchée du sexe proprement dit et elle s’est mise à caresser les lèvres de la femme d’âge mûr. Une caresse nette, précise, habile, efficace et rapide. La jolie brune s’est cambrée en gémissant, perdant le peu de contrôle qu’elle avait encore, totalement à la merci du téton qui tournait sur elle. Caressant ses lèvres, remontant jusqu’au clitoris, qui, s’il n’était pas énorme, apparaissait en haut de ses lèvres, comme s’il avait décidé de sortir des chairs qui l’encapuchonnaient pour profiter de la caresse du téton.
J’étais figée, dans ce moment hors du temps, ne pensant plus rien, au stage, au travail de bénévole touristique, profitant du plaisir intense que me procurait ce spectacle. J’avais déjà eu bien des partenaires féminines, et à bien y réfléchir, il y en avait bien eu deux ou trois qui, pourvues de poitrines généreuses et de tétons volumineux, auraient pu me prodiguer la même caresse, mais c’était quelque chose qui n’était jamais venu entre nous. Nos relations avaient été plus classiques.
J’avais le corps tout entier embrasé. J’aurais donné cher pour être celle qui profitait de ce téton. A en juger par l’expression de la brune d’âge mûr, ce devait être très bon, et je ne doutais pas, même si chacun à ses préférences, que moi aussi, je ressentirais le même plaisir.
Incapable de me maitriser, et voulant me soulager, j’ai défait mon jean, et je l’ai descendu à mi-cuisses, pour glisser ma main dans ma culotte. Le tissu était aussi mouillé que ma chair, mon sexe ouvert, et j’ai glissé trois de mes doigts en moi pour les faire aller et venir. moins pour me faire jouir que pour apaiser la tension qui devenait intolérable. Je n’étais d’ailleurs pas la seule à ressentir cette tension, car j’ai remarqué que Gwen s’était légèrement tournée, de manière à ce que son bas-ventre appuie contre le rebord de la table sur laquelle sa partenaire était allongée, et elle se frottait dans un mouvement circulaire.
Elle a fini par pénétrer sa partenaire avec son sein. Un mouvement en avant, et le téton et le bout du sein ont disparu dans le sexe dilaté. La brune, ainsi pénétrée, a basculé en arrière, s’abandonnant totalement, pendant que la blonde opulente la fouillait. J’aurais aimé avoir une caméra à l’intérieur du vagin conquis pour voir ce qu’elle y faisait, mais ses mouvements l’indiquaient plus ou moins. Elle a semblé d’abord tourner dans le vagin avant d’esquisser un mouvement plus classique de va et vient. Le sein libérait de l’espace quand il reculait, et laissait sortir des coulées de liquide qui venaient couler sur les chairs de la brune mais aussi graisser le sein. La brune a fini par gueuler:
—Je vais jouir.
accrochant ses mains aux rebord de la grande table. Sa partenaire a choisi de se retirer et de consacrer les dernières secondes avant la survenue de l’orgasme à une caresse renouvelée du clitoris qui avait pris du volume… Agitée par des spasmes, la brune a craché des jets d’un liquide sans doute lié à ses orgasmes, blanc, épais et surtout abondant.
Gwen, qui n’avait apparemment pas jusqu’alors eu d’orgasme, même si son visage disait clairement le plaisir qu’elle pouvait éprouver à baiser ainsi sa collègue, a accentué le mouvement de frottement de son sexe contre la table, et fini par jouir.
Un peu comme Cendrillon qui se rend compte que minuit approche et qu’il est plus que temps de partir, j’ai réalisé que je ne pouvais pas rester là… D’ici une poignée de minutes, les deux femmes allaient quitter la salle. Elles auraient pu passer par l’autre entrée mais elle était encombrée, donc c’était forcément celle-ci.
J’avais continué de me caresser, et je me suis rendue compte, alors que je voulais simplement me raboutonner, que j’allais jouir. Sans m’en rendre vraiment compte, j’avais amorcé un orgasme dans ma chair, et celui-ci était trop avancé pour que je puisse le repousser. J’ai voulu conjurer le sort en remontant ma culotte, et refermant mon jean, mais j’ai été emportée par un orgasme d’une rare violence, auquel je me suis laissée aller. J’en aurais profité plus longtemps sans doute si la peur n’avait pas contré ce qui avait été un de mes meilleurs orgasmes. Je me suis glissée à l’extérieur. Avoir des baskets m’a permis de courir jusqu’à l’escalier. Au moment où ma tête disparaissait à l’étage au dessous, j’ai senti qu’elles sortaient de la salle. Arrivée à ma voiture, j’ai plongé à la place du passager, et j’ai attendu qu’elles soient parties avant de démarrer pour rentrer chez moi.
Le lendemain, le deuxième jour de formation a été celui des surprises.
La première ça a été que Mylène n’a finalement pas fait son apparition de la journée, contrairement à ce qui avait été annoncé. Son intervention était annoncée sur le programme pour quatorze heures. J’attendais ce moment depuis la veille, et encore plus intensément depuis le matin, mais alors que nous nous rassemblions, sur le coup de 14 heures, Catherine a eu un appel.
J’ai tout de suite compris. Quelques paroles échangées avec la personne au bout du fil, de simples ‘oui’ de ce côté, puis elle a soufflé quelque chose tout bas à Gwen, qui nous a dit:
—C’est bien dommage, madame T… ne pourra pas se déplacer. Un conseil d’urbanisme auquel elle doit participer.
Mais je n’ai pas vraiment été déçue. J’avais autre chose en tête, qui serait une sorte de compensation.
Ca s’était produit le matin, à la pause de dix heures. On faisait une pause d’un quart d’heure et on s’éparpillait sur l’étage, pour discuter par affinité, pour aller boite un café.
Comme la veille, je m’étais calée sur un pôle d’accueil situé un peu plus loin, mais vide pour le moment, tabourets et chaises hautes. Sur un comptoir, une masse de quotidiens et magazines.
J’en feuilletais un en buvant un café quand Catherine a fait son apparition. Elle restait fidèle à son style, des tailleurs bien coupés, celui d’aujourd’hui rouge cerise, ouvert sur un débardeur noir, avec une jupe de la même teinte, courte. Là où j’avais, et tout le monde d’évidence, même si j’étais la seule sans doute à avoir eu le ventre remué, remarqué une différence, c’était que la veille, elle était gainée par un collant, alors qu’aujourd’hui, elle arborait des bas stay-up, une jarretière de dentelle noire maintenant des bas sombres. Difficile de ne pas s’en rendre compte quand elle était assise, de même que de remarquer le mauve du slip qui cachait ses zones les plus intimes.

En prenant mes premières notes, le matin, je m’étais pris à rêver de lui faire ce que lui avait prodigué Gwen la veille. Ca aurait d’ailleurs été tout à fait possible, vu que j’avais une poitrine généreuse, même si je n’avais sans doute pas des tétons aussi érectiles. Mais je me voyais bien aussi la caressant d’une manière plus classique, de mes doigts ou de ma bouche. Elle avait le charme de ces femmes qui ne se font pas remarquer, que l’on côtoie un long moment avant de se rendre compte qu’elles sont vraiment séduisantes…
Elle était arrivée avec sa tasse de café. Elle avait dit ‘Je peux?’ et avait attendu ma réponse avant de se hisser sur le tabouret en face de moi. Dans le mouvement plus la mise en place, et d’une manière imparable, la jupe, déjà très courte à la base, avait glissé jusqu’à se retrouver tirebouchonnée à ses hanches, et j’avais pu en prendre plein les mirettes. Ses jambes, certes fines, étaient impeccablement dessinées, et les bas stay-up les réhaussaient, mais aussi ajoutaient une touche indéniablement érotique… Le slip qu’elle portait collait à son pubis et à son sexe en dessinant non seulement la forme, mais aussi les détails. Ca m’a tordu le ventre de la voir ainsi. Se rendait-elle compte du trouble qui m’inspirait?
La réponse était étonnamment oui. Elle a eu une phrase qui m’a étonné:
—Des fois il ne faut pas seulement vouloir mater, il faut aller plus loin et aussi toucher.
et avant que j’aie pu être réellement surprise par ce qu’elle venait de dire, elle a attrapé ma main, et elle l’a plaquée contre sa cuisse. J’ai été vraiment surprise, je ne m’attendais pas à ça, et sans doute un rien choquée aussi, pas tant par le geste, j’avais vu et fait bien pire, que par les sensations, qui m’ont envahie et remplie totalement. Une peau plus que chaude, brulante, mais dont je ne pouvais apprécier la douceur pour le moment, car j’avais entre la peau et la mienne la sensation du nylon du bas, sensation très agréable cependant, de quelque chose d’électrique. Si j’avais été un garçon, ma verge se serait gorgée de sang, durcie et allongée. J’étais une fille, et le sang a aussi afflué à mes parties intimes, faisant gonfler et sortir mes lèvres, durcir et s’allonger mon clitoris, et s’épanouir ma vulve.
—Gwen et moi on est amantes depuis de nombreuses années. Il y a entre nous une attirance sexuelle très forte, mais on est tout à fait partantes pour d’autres expériences. Si tu as envie de rester jouer avec nous ce soir, aucun problème. Ce sera une manière sympa de fêter la fin de cette session: avec une stagiaire.
Est-ce parce qu’elle voulait donner plus de force à cette proposition, au cas où je refuserais, parce que ça lui plaisait de sentir ma main sur elle, ou simplement pour aller dans la suite logique des choses qu’elle a fait glisser ma main plus haut, sortant d’une zone enveloppée de nylon pour passer sur une zone nue? J’ai eu enfin l’information que je voulais, et sa chair était effectivement infiniment douce.
On avait encore quelques minutes. Elle m’a fait monter de plus en plus haut, jusqu’à je sois à la frontière séparant sa chair du slip mauve. Elle a attrapé ma main sous un autre angle, et elle l’a promenée sur son mont de Vénus, faisant en sorte que la pulpe de mes doigts soit la partie qui enregistre toutes les sensations. La matière du slip, lisse et élastique sous mes doigts, le renflement de son mont de Vénus, l’ouverture de son sexe, dont coulait un liquide humide, qui commençait à transformer le textile, et à le tremper, une trace sombre, encore infime, à peine visible, apparaissant, il fallait s’arracher les yeux pour la voir, mais grandissant au fil des minutes, et de plus en plus vite, et la forme, confuse, et la masse, épaisse, de ses lèvres qui gonflaient d’excitation. Elle a fermé les yeux, en partie prise à son propre piège, sans doute, voulant m’exciter, et m’inciter à venir vers elle, mais éprouvant un plaisir, qu’elle n’aurait pas imaginé être aussi fort, à sentir mes doigts sur elle, comme une caresse. L’idéal, ç ‘aurait d’ailleurs été que ça fonctionne dans les deux sens, et que sa main vienne sur moi. Le problème, c’était que j’avais un pantalon et que vu la situation, le défaire pour m’offrir à sa caresse, c’aurait été bien trop m’exposer. Nous étions seules, mais à la merci de la première personne qui passerait.
Les yeux clos, elle était sans doute très proche de l’orgasme quand elle a repoussé, sur un geste de volonté, ma main, pour me dire:
—Si ça te tente…
Elle s’est éloignée, d’une démarche assurée. La mienne l’était sans doute un peu moins, quand j’ai amené la tasse à l’évier, je l’ai rincée, mise à sécher, et j’ai traversé le couloir pour aller m’enfermer dans les toilettes. J’ai défait le jean noir moulant que je portais, et descendu mon slip à mes genoux. Le coton était marqué d’une large tâche sur l’entrejambes et en avant. Je me suis calée sur le siège, le ventre chaud, et la tête qui me tournait, extraordinairement frustrée. Elle avait allumé quelque chose en moi qui ne devrait trouver satisfaction que le soir même, mais je ne pouvais pas rester avec cette tension toute la journée. J’avais besoin de faire pipi, et j’ai commencé par me libérer de toute l’urine qui s’était accumulée en moi en me frottant le clitoris, qui s’était décalotté tout seul, hyper sensible, avant de venir sur mes lèvres… J’aurais aimé que ce soit elle qui me caresse, et n’ai eu aucun mal à construire la scène. Même si c’étaient mes doigts qui tournaient sur moi, en fait, c’étaient les siens, souples et habiles, beaucoup plus que les miens en tout cas. J’ai fini par glisser deux doigts en moi, et les faire aller et venir, pour jouir très rapidement, dans un apaisement qui m’a fait du bien.
Le soir, le stage n’en finissait pas de se terminer. Comme c’est souvent le cas, le dernier soir, les stagiaires restent, soient qu’ils veuillent poser des questions supplémentaires, soit exprimer leur gratitude pour un stage qui n’était sans doute pas si génial que ça, mais ils sont pris d’un élan d’émotion, d’attachement même au formateur, une sorte de syndrome de Stockholm. Moi, je me tenais un rien à l’écart, et je buvais du thé. Puis, il y a eu le moment où enfin, nous nous sommes retrouvées seules. Le regard de Gwen a glissé sur moi, regard qui disait sans nul doute l’intérêt qu’elle pouvait avoir pour moi. Elle portait ce jour-là une robe noire qui lui arrivait aux pieds, plutôt floue, mais qui était fendue très haut, jusque sur la cuisse, laissant voir qu’elle aussi portait des bas stay-up couleur chair. Je n’étais pas encore dans le moment, plutôt dans cette fin de stage qui s’éternisait, et me rendre compte que le moment était venu, celui d’un rapprochement avec deux filles qui étaient aussi attirantes l’une que l’autre m’a tordu le ventre et fait lâcher un long trait de mouille qui est venu poisser ma culotte.
—C’est bien de jouer les petits voyeuses, mais il faut savoir aussi passer à l’acte, a dit Gwen en s’approchant de moi.
Elle est venue se plaquer contre moi, me faisant sentir son corps généreux, ses formes, une manière de possession, elle m’a totalement envahie, en même temps que sa bouche venait chercher la mienne. Je lui ai donnée. Nos langues se sont très rapidement rejointes et frottées. Mes mains, dans un réflexe, sont parties sur son corps, pour en mesurer les formes, les courbes…
La brune nous a rejointes, et elle s’est collée à nous. J’ai été un peu décontenancée, parce que pour moi, à trois, c était un plus un, plus l’autre qui regardait, et un glissement, et cette étreinte m’a troublée. Nos mains, à Gwen et à moi, sont venues s’égarer sur son corps la caressant,en même temps que nous deux bouches venaient chercher la sienne, prenant ses lèvres avant que nos langues rentrent en contact dans un ballet qui n’en finissait pas.
Les choses sont devenues sérieuses quelques secondes plus tard. Avec une expression et des mains avides, sans attendre, Catherine a sans doute fait ce dont elle avait envie depuis le matin, défaisant mon pantalon, et le tirant vers le bas, puis faisant suivre le même chemin à ma culotte quelques secondes plus tard, pour enfin, en s’accroupissant, plaquant ses mains sur mes fesses, venir parcourir mon sexe d’une langue souple et avide qui n’en était pas à son premier cunni. Elle m’a vraiment donné du plaisir, alors que, cambrée contre la table, je me livrais à sa bouche.
Gwen s’est elle aussi accroupie, et elles se sont mises à deux pour me caresser, me faisant perdre la tête, à force de me fouiller. J’ai été emportée par un torrent de sensations, sans me rappeler toutefois si j’ai pu jouir ou pas…Ce dont j’ai un souvenir net, par contre, c’est du moment où Gwen s’est redressée, le menton et la bouche luisantes de sécrétions, et où elle a dit:
—Bon,maintenant on va vraiment passer aux choses sérieuses!
Je me suis demandée ce qu’elle voulait dire par là. Catherine, elle, semblait savoir, et attendre ce moment avec impatience. J’ai imaginé un instant une nouvelle utilisation de ses seins, mais ceux-ci ont semblé devoir rester au repos, quand, se pliant en deux, elle a attrapé le bas de sa robe pour remonter celle-ci vers le haut. Elle avait un corps certes épais, mais celui-ci était vraiment bien dessiné, d’une manière troublante en tout cas. Difficile de ne pas éprouver du désir pour elle en la regardant.
Elle a pris le temps de nous fasciner en nous laissant découvrir ses jambes gainées de bas. Au-delà de la jarretière, il y avait la chair nue et un slip noir dont on ne voyait qu’une partie car il était masqué par un artifice. Une série d’artifices plutôt, rassemblés entre eux.
Je n’étais pas une oie blanche, autant parce que j’avais été très tôt curieuse de sexualité que parce qu’on pouvait aujourd’hui avoir accès à tout, et j’avais déjà vu des godes-ceinture. Dans des films pornos, dans un sex-shop, et sur une amie à moi, qui, lors d’une soirée entre filles, était passée dans la pièce à côté pour faire l’amour avec une jeune femme qu’elle ne connaissait pas une heure plus tôt, mais avec qui le coup de foudre avait été mutuel. Par la porte entrouverte, et parce que j’étais dans le bon angle, j’avais bien pu en profiter, et ça m’avait vraiment troublée. Sans grande pudeur, et certainement pas celle de fermer la porte de séparation, ma copine, une grande brune un rien chevaline, s’était équipée d’un gode-ceinture après avoir flirté avec la petite blonde qu’elle avait séduite. La petite blonde s’était foutue à poil pendant que la grande brune s’équipait. Entièrement nue, à l’exception de son soutien-gorge, elle s’était mise à quatre pattes, son attente récompensée quelques minutes plus tard quand la brune s’était approchée d’elle avec la bite de plastique entre les cuisses, et l’avait pénétrée en la faisant gémir. J’avais suivi l’évolution de leur rapport, la jouissance pas très discrète de la jolie blonde (mais apparemment, personne ne semblait entendre sauf moi) et les changements de position. La brune s’était finalement assise sur le canapé et la blonde était venue s’empaler sur elle avant de se faire monter et descendre sur la queue en plastique. La blonde avait joui plusieurs fois, avant qu’elles n’intervertissent leurs rôles.
Là il y avait quelque chose de plus élaboré et plus simple à la fois, du tout en un, une simple ceinture noire en tissu qui s’ajustait au corps, et à laquelle était accrochée, mais pouvait apparemment, tel que je le comprenais s’enlever, pour être remplacée, une bite de plastique noire, dont le dessin laissait penser qu’elle avait été copiée sur une queue réelle. Elle n’avait d’ailleurs rien d’hypertrophié, mais c’était quand même une belle queue d’une quinzaine de centimètres, suffisamment longue et épaisse pour donner du plaisir à la personne qui la recevrait entre ses chairs. Ca m’a fait tout drôle. Je me suis demandée si elle s’en était équipée pour moi, parce que l’invitation venait de sa collègue mais aussi d’elle, ou si c’était pour Catherine et si j’en profitais de manière collatérale.
Et puis je ne me suis plus posée la question, parce qu’elle est venue en moi. Nous étions toutes proches en fait l’une de l’autre. Elle a donné un coup de reins, et la queue de plastique est venue appuyer contre mes lèvres, et elle a pénétré en moi de quelques centimètres. J’ai senti sa présence en moi, et ces quelques centimètres qui me remplissaient m’ont faite chavirer. Nos regards se sont croisés, et elle a lu dans mes yeux que j’avais envie de plus.
Ca me plaisait bien qu’elle m’ait prise comme ça, sans ces sacro-saints préliminaires. J’aimais bien quand c’était direct. Ca m’a d’ailleurs tellement excitée que ma mouille s’est mise à couler, et a ruisselé sur la bite de plastique, facilitant ainsi la pénétration… Quoi que… Elle serait rentrée de toute façon. Se rapprochant un peu de moi, elle a poussé la queue dans mon ventre jusqu’à ce qu’elle soit aux trois quarts rentrée. La position ne permettait pas plus. Son regard planté dans le mien, avec des nuances dans ses yeux gris dont je ne pouvais pas forcément comprendre le sens, mais dont je pouvais deviner les raisons…Le plaisir intense d’être pourvue d’une queue et de pouvoir me pénétrer, comme un homme, de me faire jouir avec, de voir et de percevoir mes sensations… De sentir, en retour, les effets de la queue de plastique sur elle-même, dont la base la caressait…
Ca m’a ramené trois ou quatre ans en arrière à une soirée en famille où j’avais invité mon petit copain…Il y avait mes parents, deux oncles, une tante, leur famille…J’avais fait un petit signe de tête à mon copain, et on était sortis de table, on en avait assez d’attendre de manière interminable entre chaque plat, ma mère pensait qu’il fallait prendre le temps de discuter…
On s’était glissés dans le couloir, un long couloir, pour partir dans une de ses branches, sur la droite, qui conduisait aux chambres. Je savais qu’on serait tranquilles là pour quelques minutes. Je m’emmerdais à table, et j’avais envie d’un moment radicalement différent, en réaction. J’avais tendu la main vers son pantalon, et j’en avais sorti sa queue. Je m’étais mis à le branler. Ca lui avait bien plu. Tous les garçons aiment qu’on les branle. Il pensait sans doute que ça n’irait pas plus loin, que je le ferais jouir, voire que je le sucerais… Je l’avais fait bien dur, ça n’avait pas été difficile, avant de le gainer d’un préservatif, récupéré entre mes seins. Quand j’étais avec lui, j’en avais toujours car on ne savait jamais ce qui allait se passer.
J’avais une jupe courte. J’avais descendu ma culotte, je l’avais fourrée dans la poche de la veste, et je m’étais plaquée au mur, la jambe ouverte sur le côté.
—Viens en moi, on n’a pas trois heures…
J’avais craint un instant, et lui aussi, apparemment qu’on ne fasse pas jonction, mais les choses s’étaient bien passées. Je l’avais senti glisser en moi, et il s’était mis à aller et venir en moi. Peut-être parce qu’il était conscient de l’urgence, ou parce qu’il était excité par la situation, ou les deux, il avait joui rapidement, remplissant la capote de sperme, trait après trait. Le fait de sentir la semence jaillir m’avait provoqué un orgasme.
Un souvenir qui faisait écho à ce moment, semblable, mais différent. Il n’y aurait pas de jaillissement de sperme, cette fois, mais sans doute des orgasmes intenses, à la mesure de notre excitation.
Catherine, toute proche, se masturbait fébrilement en regardant la queue de plastique rentrer et sortir dans ma chatte.
J’ai senti la jouissance approcher, à force de caresses internes. J’ai dit:
—Je crois que…
mais je n’ai pas pu aller plus loin. J’ai senti l'orgasme s’emparer de moi et me traverser, quelque chose de vraiment intense, qui m’a délicieusement surprise, d’autant qu’il a immédiatement été suivi par un autre. alors qu’elle aussi, triomphante deux secondes plus tôt, jouissait elle aussi, surprise de son plaisir.
On aurait du partir, mais on est restées tard dans la salle, échangent le gode, maculé des couches de sécrétions qui se rajoutaient, pour que l’une des autres devienne la maitresse du jeu, et donne du plaisir aux autres.
Après cette soirée, ça a été très vite. On était déjà fin mai, et début juin, les premiers vacanciers étaient déjà là. J’ai reçu un coup de fil de la mairie la semaine d’après.
—Bonjour, c’est le secrétariat. Vous pouvez nous dire à partir de quand vous êtes disponible?
J’avais terminé la veille mon dernier examen de BTS, et j’avais postulé pour une licence à 5O kilomètres d’ici.
—On a besoin de monde dès demain, et trois des personnes qui devaient devenir bénévoles touristiques viennent de démissionner.
Ca a été comme ça que je me suis retrouvée le lendemain matin, sur le coup de neuf heures, à accueillir le premier groupe de touristes. J’étais à vrai dire, l’une des rares disponibles immédiatement, et j’avais dit oui à un planning plein, jusqu’à dimanche, avec trois séances le matin, et trois l’après-midi, ce qui avait paru plaire à l’équipe municipale.
J’ai accepté immédiatement, heureuse que se matérialise enfin ce qui me faisait rêver depuis le mois de février: la possibilité d’exercer cette activité certes bénévole, mais qui me faisait envie.
Mais l’enthousiasme du soir a laissé place, à mesure que la nuit avançait à une certaine angoisse, qui ne m’a pas laissée bien dormir. Serais-je capable d’être à la hauteur? Il était de toute façon trop tard pour reculer.
Le lendemain matin, levée tôt, j’ai révisé, en prenant mon petit déjeuner, mes fiches. J’espérais surtout ne pas avoir de blanc…On ne sait jamais tout, et je redoutais les questions vicieuses…Certains aiment bien vous mettre au défi, vous humilier, en vous posant une question à laquelle vous êtes bien incapable de répondre. Je verrais à ce moment là ce que j’avais dans le ventre.
J’ai hésité au niveau vestimentaire. Je ne voulais faire ni trop fade ni trop sexy. J’ai finalement opté pour un jean rose que j’aimais bien, pimpant, et qui mettait en valeur mes formes, et une veste noire, sous laquelle j’ai mis un T-shirt rose. Je ne me suis pas trop maquillée.
Au moment où j’allais quitter l’appartement, j’ai entendu la voix de mon père, sortie de nulle part:
—Tu vas t’en sortir, t’inquiète pas!
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