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Sexe et prospectus partie 2

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Lue : 856 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/12/2020

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Le lendemain matin, sur le coup de huit heures, j’aimais arriver tôt, je me suis présenté aux bureaux de STAR DISTRIBUTION. Dans une petite rue commerçante, cette filiale d’un groupe qui travaillait à travers la France était composée d’une grande salle, occupée sur tous les murs par des casiers remplis de prospectus et de magazines, avec en arrière-plan des bureaux.
Même si je n’ai pas cherché à ce que ce soit le cas, je suis arrivé silencieusement. La porte était ouverte, mais il n’y avait apparemment personne. Je me suis demandé ce que je faisais, si je rentrais ou si je restais dehors…J’ai finalement décidé de me glisser dans la grande salle…Une option entre les deux.
J’ai jeté un coup d’oeil aux casiers, un rien surpris qu’il y en ait autant, mais aussi qu’il y ait autant de prospectus, si divers…
J’étais en pleine découverte du local quand j’ai entendu les gémissements. Espacés, mais réguliers. J’ai eu une première réaction de panique, en me disant que quelqu’un juste derrière moi, était malade. Avant de comprendre que c’était plutôt des gémissements de plaisir.
Je me suis retourné. Devais-je faire comme si je n’avais rien entendu ou être indiscret?
La curiosité a été la plus forte. Je me suis avancé jusqu’à trouver un point d’observation qui me permettrait d’être discret mais en même temps de voir dans la pièce.
C’était effectivement une pièce aménagée en grand bureau. L’élément central, c’était une grande table de travail avec au centre un ordinateur portable, et des documents tout autour. Il y avait deux chaises devant, et un fauteuil de bureau derrière. Fauteuil de bureau très classique, avec un tissu rouge, un dossier haut, et deux accoudoirs. Mais la manière dont il était occupé était nettement moins classique. Hissée sur les deux accoudoirs se trouvait, dans une position très différente de la veille, mais qui sans doute rentrait dans le même cadre, celui de s’ offrir, la brune sexy qui m’avait questionnée. Mais cette fois, elle donnait son ventre d’une manière nettement plus ostensible, et intéressée. Elle portait un autre tailleur, rouge cerise, dont une partie était sur elle, et l’autre posée sur la table. Elle avait gardé le haut, avec un top noir dont sortaient deux seins généreux qu’elle massait de ses mains, se concentrant sur le haut des seins, les aréoles, et les tétons, et enlevé le bas, jupe rouge et slip noir.
La position qu’elle avait adoptée, sans doute un rien acrobatique, lui permettait de bien offrir son ventre à la personne face à elle, et contribuait sans doute à l’ouvrir mieux, même si c’était certainement la dilatation et l’excitation conséquente qui la faisaient aussi ouverte. Son sexe avait une apparence totalement différente de celle de la veille, il était bien dilaté, ouvert, ses lèvres nettement sorties et allongées, gorgées de sang, on pouvait même voir son intérieur, une muqueuse rosâtre, luisante des jus qui coulaient d’elle.
Si elle était aussi dilatée et aussi excitée c’était parce que, posée devant elle, une jolie blonde que je ne voyais que de dos, mais j’ai bien compris que c’était la fille qui nous avait accueillis la veille, la caressait avec une main qui virevoltait sur elle, rapide et habile. Elle était penchée sur elle. Le miroir qui était collé au mur, me donnait à voir son visage et sa concentration extrême, comme si ce qu’elle faisait était la chose la plus importante au monde, et pour elle c’était sans doute le cas.
Quand je me suis calé dans l’ombre et que je l’ai espionnée, elle tournait sur le pourtour du sexe de la brune, ses aines, et le relief de sa vulve, ses lèvres, remontant jusqu’à un clitoris qui saillait, seul élément que je n’avais pas aperçu la veille, long et rond. On voyait bien que la jeune blonde avait l’habitude de caresser des sexes féminins, et certainement de caresser la jolie brune. Il y avait, même sans qu’elles parlent, d’évidence, une réelle complicité entre elles. Ce n’était pas la première fois qu’elles prenaient du plaisir ensemble, et ce n’était sans doute pas forcément à sens unique. Ca devait être un rituel le matin. Elles devaient sans doute changer pour éviter la routine. Aujourd’hui, c’était la blonde qui caressait la brune.
Les choses ont évolué quand la jolie blonde a fait rentrer son index dans le sexe.Ce n’était pas vraiment compliqué, vu la lubrification et la dilatation de la vulve. Elles regardaient l’une comme l’autre le doigt fiché dans le sexe, comme si c’était quelque chose de miraculeux. Ca ne l’était pas vraiment. Ce qui l’a été sans doute plus, ça a été ce qui s’est passé par la suite, quand elle a fait rentrer, patiemment, méthodiquement, ses doigts en elle. Un doigt après l’autre. L’issue était nette, inévitable, et elle s’est retrouvée avec la main entière dans le vagin de sa supérieure. Il y avait encore de l’espace, d’ailleurs, tellement la blonde était dilatée. Je me suis dit, l’espace d’un instant, que j’aurais du m’avancer dans la pièce et venir rajouter ma main. On l’aurait caressée tous les deux, chacun avec son style, son rythme…Mais ce n’est pas comme ça que les choses se sont déroulées…La blonde, la main dans le sexe qui la gainait comme un gant peut gainer une main, s’est mise à la caresser…On ne voyait pas grand chose, la vulve s’étant refermée sur la main, mais les caresses internes devaient vraiment être très bonnes, à en juger par la manière dont la brune perdait le contrôle, peu à peu. Elle ne cherchait sans doute d’ailleurs rien d’autre. Les yeux clos, elle se laissait aller, frémissant alors que la main la fouillait. Elle ruisselait autour de la main, et ses sécrétions dégoulinaient le long de son avant-bras. J’ai remarqué, détail qui ne m’avait pas frappé au début, que la blonde avait glissé sa main sous sa jupe courte, noire, aujourd’hui, et que le geste circulaire de son bras ne laissait aucun doute quant à ce qu’elle faisait. Se caresser pour apaiser l’excitation que lui procurait l’exercice.
La brune a joui sans discrétion, se figeant et lâchant une longue plainte rauque, qui, sans nul doute, si elles avaient été dans un lieu privé, aurait été un cri interminable. Elle a eu des spasmes. Quand la belle blonde a enlevé sa main de son vagin, un flot de liquide a coulé d’elle, inondant ses cuisses. Quant à la main de la blonde, elle était maculée de sécrétions gluantes.
J’ai compris qu’il était temps de reculer, si je ne voulais pas être découvert. Je suis revenu me positionner, comme au début, devant les casiers et j’ai effacé ces dix minutes de ma mémoire. Enfin, je les ai mis de côté pour plus tard.
—Vous êtes déjà là?
Je me suis retourné. La jolie blonde se tenait à quelques centimètres de moi, totalement présentable. Elle s’était lavé les mains. Il y a du y avoir quelque chose dans mon regard, dans mon expression, même si j’avais voulu tout masquer, qui lui a fait comprendre que j’avais été témoin de quelque chose, car elle est devenue toute rouge. Pour se donner une contenance, elle s’est retournée vers le bureau et elle a crié:
—Christelle, l’une de nos nouvelles recrues est arrivée.
Christelle a surgi. Contrairement à la jeune blonde, elle avait beaucoup plus d’aplomb. Elle m’a fait un sourire chaleureux.
—Très bien. Je vois que vous êtes ponctuel. Ma première impression a été la bonne. Venez, je vais vous montrer vos zones.
La ville était grande. Elle m’avait assigné deux zones, soigneusement définies sur une carte. Je devais faire une zone le lundi et le jeudi, l’autre le mardi et le vendredi, avec des prospectus et le mercredi, mettre un journal gratuit sur les deux zones. C’était beaucoup plus rapide, et donc je pouvais faire les deux zones. Elle m’a tendu une deuxième feuille, avec un compte de boite aux lettres à remplir, établi par mon prédécesseur et expliqué que de toute façon, je prendrais plus de prospectus et de journaux, quitte à les ramener, évidemment et une troisième, qui détaillait pour la semaine quels prospectus je devais prendre. Enfin, je devrais en début et en fin de parcours émarger, comme preuve que je m’étais présenté au bureau. Elle m’a également remis un badge, au cas où elle n’était pas là, pour avoir accès au local. Elle m’a également remis deux sacoches, avec le logo de la société.
J’ai commencé à charger les sacoches de prospectus, en prenant un peu plus que le compte prévu. Les deux sacoches étaient pleines.
Selon le plan, je démarrais aujourd’hui sur la zone 1. Il fallait que je prenne mon véhicule, pour me rendre dans la partie sud. Je connaissais la ville comme ma poche, c’était un point positif. Je me suis garé sur une placette, et j’ai commencé à prendre mes marques.
En trois heures, j’ai pas mal appris, et compris comment cela se passerait dans les journées qui viendraient. Je suis allé de boite en boite. On aurait pu penser que les catalogues de publicité, les prospectus, n’avaient aucune valeur, et cependant, certains les attendaient, et pas forcément des gens âgés, et sortaient les prendre dans les boites, ou me les demandaient; Après, il y avait les stop pub, mais ils étaient nombreux ceux dont cela égayait la journée…
Certains me guettaient, qui étaient devant chez eux, dans leur jardin, à la fenêtre, et,quand je glissais les prospectus dans leur boite, ils venaient les chercher et en profitaient pour discuter.
Et puis, et ça je l’ai très vite compris, il y avait aussi le sexe. C’était une partie incontournable du métier, même si je ne l’aurais pas imaginé.
S’il y a un moment que je devrais marquer d’une pierre blanche, une date, c’est sans doute ce vendredi sur le coup de 9 heures 45. J’étais arrivé dans une rue avec des maisons de plusieurs étages. Une rue déserte à cette heure de la journée. De rares personnes passaient. Je m’étais dirigé vers le bloc de boites aux lettres encastré dans l’immeuble. J’avais glissé les prospectus dedans.
L’appartement situé au rez-de-chaussée donnait sur la rue. Pour aérer ou parce qu’il commençait à faire chaud, les deux fenêtres étaient ouvertes sur une grande pièce à vivre.
C’est du coin de l’oeil, alors que je mettais les prospectus, que j’ai aperçu le jeune couple. Ils n’avaient pas conscience que les fenêtres étaient ouvertes, ou alors ils s’en fichaient, et ils étaient entrain de se rapprocher. Tous jeunes ils devaient avoir 25 ans au maximum. Lui plutôt fin, un hipster, avec une barbe, elle vraiment jolie, fine, avec de très beaux cheveux blonds et un visage délicat. Il était en pantalon de survêtement et T-shirt, elle en culotte et aussi un T-shirt. Ils étaient face à face.
—Je pars dans une demi-heure, elle a dit. J’ai envie de sexe avant que tu partes. Ca me mettra de bonne humeur pour aller travailler.
—C’est-à-dire que…
—Regarde, t’es pas intéressé?, elle a suggéré, en tirant bas son slip, pour dévoiler un sexe imberbe coupé en deux par une fente, sur laquelle elle a fait tourner les doigts, autant pour l’exciter lui que pour s’exciter elle-même. Son sexe s’est dilaté, ouvert, laissant éclore des lèvres roses qui se sont épanouies. Ca a été suffisant pour le convaincre. Il a totalement basculé quand, tirant le slip vers le bas, elle l’a enlevé, puis en a fait pareil pour son soutien-gorge. Nue, elle est venue se coller contre lui, et a pris sa bouche. Ils se sont embrassés longuement. Il a laissé ses mains glisser sur elle, l’a caressée, avant qu’elle ne l’entraine vers le divan un peu plus loin. Là, elle a basculé à quatre pattes devant lui, mais en plongeant la tête en bas, et en projetant ses parties intimes vers lui. Dans l’angle où j’étais, je pouvais tout voir, et c’était un peu comme si elle s’offrait à moi. Ses fesses bien rondes, ouvertes, tendues vers lui, marquées, au fond du sillon, par le plissement de son anus. Sa vulve, qui se dessinait avec le profil irrégulier de ses lèvres ouvertes. Il a mis sa queue à nu, et il s’est approché d’elle. Il a glissé en elle, et il s’est mis à la fouiller. Il me la masquait en partie, mais, ayant fini de remplir les boites, je me suis décalé, et j’ai pu un peu mieux voir. La tête enfoncée dans les coussins, elle gémissait, alors que le membre allait et venait en elle, dans un rythme frénétique…Ca a été très vite, deux, trois minutes. Il s’est retiré d’elle et il a éjaculé sur les fesses rondes, les maculant de trainées blanches.
Dans les semaines et les mois qui ont suivi, des scènes comme cela, j’en ai vu des dizaines. Des couples de tous sexes, qui laissaient une fenêtre sur leur intimité, par impudeur ou inconscience.
L’autre aspect, je l’ai vécu quelques jours plus tard. Sans doute parce qu’il fallait attendre et être observé avant que les offensives commencent.
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Histoire de JamesB

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