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Bénévoles Touristiques Partie 6

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Lue : 378 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/08/2020

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L’année avait passé. Début février, la mairie m’avait contactée.
—Vous avez envie de rempiler pour une deuxième année de bénévoles touristiques?
—Plus que jamais.
—Je vous prépare les papiers. Passez quand vous voulez.
Et c’était ainsi qu’un jeudi matin, alors que je ne m’y attendais pas du tout, je m’étais retrouvée face à Mylène T. Redécouvrant cette envie intense qui n’avait jamais vraiment trouvé d’apaisement. Elle passait avec un dossier à la main. Elle avait apparemment une bonne mémoire, car elle m’avait reconnue, et elle était venue me saluer.
—Je n’ai pas pu être là à la cérémonie de remerciements, en octobre. J’aurais aimé vous dire merci au nom de la municipalité, mais madame la maire l’a fait mieux que moi. De nos dix recrues, vous êtes celle qui s’est le plus impliqué, je crois, et on a eu des retours très positifs. Vous êtes une perle et je suis heureuse de voir que vous vous proposez à nouveau de travailler pour nous.
Des images très crues défilaient devant mes yeux, images crées par une fille qui avait beaucoup d’imagination et très envie de sexe avec elle.
—Tenez, venez dans mon bureau, je vous offre un café. C’est le moins que je puisse faire.
Elle occupait, au rez-de-chaussée, une grande pièce baignée de lumière. Des dossiers s’empilaient sur une table adjacente au plan de travail, et dans un coin, au coeur d’une cafetière, du café finissait de se faire.
Je l’ai suivie du regard pendant qu’elle préparait deux tasses, une fois les dernières gouttes tombées.
—Du sucre, du lait concentré?
—Sans rien.
Elle est venue se poser sur le bord de la table. La jupe de son tailleur est remontée largement, s’arrêtant à mi-cuisses, dévoilant des jambes parfaites, gainées de nylon, et la surprise que ce nylon ne soit pas celui d’un collant, mais de bas stay-up dont je distinguais bien les accroches, autour de ses cuisses. Au-delà il y avait une zone d’ombre.
Je me suis vraiment surprise. Sans doute parce que j’avais évolué depuis un an, pris beaucoup d’assurance, justement grâce à cette expérience de bénévole touristique.
—La meilleure récompense que j’aurais pu avoir, même si tous ces cadeaux m’ont évidemment fait infiniment plaisir, c’est vous. J’ai rarement été aussi fascinée par une femme, et rien ne me ferait plus plaisir que vous m’offriez votre corps.
Elle m’a considérée un moment avant de dire:
—Je vous plais tant que ça?
—Vous êtes l’une des femmes les plus attirantes dont j’ai pu croiser la route. Je me suis branlée cent fois en pensant à vous.
—Vous savez, vous risqueriez d’être déçue. Je ne suis pas sûre que je correspondrais à votre attente.
—Laissez-moi en juger.
C’est sans doute parce que mon envie était aussi forte, et qu’elle avait été retenue aussi longtemps que j’ai eu le courage de passer des paroles aux actes. Je suis venue poser ma main sur son mollet. Un geste vraiment audacieux. Pourtant, elle ne l’a pas repoussée, et elle m’a laissée faire, alors que je remontais le long de son mollet, enivrée par la double sensation de la chaleur, intense, que dégageait son corps, et de l’électricité du nylon. Mon ventre s’est chargé de chaleur, et mon sexe s’est dilaté, mes jus intimes commençant à couler, et venant souiller le tissu de ma culotte. J’ai caressé son genou, avant de remonter plus haut. J’arrivais près de l’attache élastique quand elle a posé sa main sur la mienne.
—On ne peut pas aller plus loin ici…Il y a trop de monde, et on risque d’être interrompus à tout moment, à moins que je n’aille fermer la porte. Si vous n’avez pas changé d’avis, vous pourriez passer me voir ce soir. On dinera ensemble.
Elle a contourné la table et a griffonné une adresse et un numéro de téléphone sur un bristol.
—Venez vers huit heures…
J’ai passé la journée dans un état d’euphorie. J’avais tellement rêvé de ce moment. Je me demandais toutefois ce qu’elle voulait dire par ‘Je risquerais de ne pas correspondre à votre attente…’ Je pensais au contraire qu’elle répondait totalement à mes attentes.
Tout comme pour la cérémonie, je me suis faite belle. Une jolie robe, longue cette fois, avec un bas volanté, très décolletée, des talons…Je suis arrivée avec un bouquet de fleurs.
Elle aussi était en beauté, avec une magnifique robe…
On est tombées dans les bras l’une de l’autre. Plaquées l’une à l’autre, on s’est embrassées longuement, des baisers avides, lèvres collées, langues se cherchant…Je sentais ses seins, lourds, contre moi, comme elle devait sentir les miens…Mon sexe était dilaté d’excitation, et je trempais ma petite culotte.
—Viens avec moi, on mangera après.
C’est elle qui a pris l’ascendant sur moi, me faisant basculer sur un canapé pour venir à l’assaut de mon corps. Elle a commencé par faire sortir mes seins de mon décolleté. Je n’avais pas un corps parfait, mais je savais que j’avais une belle poitrine, ronde et ferme, bien développée, avec de jolies aréoles, et aussi de jolis tétons. En tout cas, elle semblait lui plaire vraiment, à en juger par l’assaut qu’elle a donné à mes seins, multipliant les caresses qui ont fini de tremper ma petite culotte, les parcourant de la langue avant d’en avaler l’extrémité, et de venir en titiller les tétons de cette même langue. J’ai gémi sans fausse pudeur. On m’avait rarement fait ça aussi bien.
Dans un deuxième temps, elle s’est accroupie devant moi, et elle a soulevé, je l’ai aidée, tous les volants, parcourant mes jambes des doigts et de la bouche, séduite apparemment par les bas stay-up que je portais, avant de venir me caresser à travers ma simple petite culotte blanche. Elle m’a simplement frôlée de ses doigts, à travers le tissu, et j’ai cru que j’allais jouir… Mon slip s’est enfoncé entre mes lèvres, et est venu frotter mon clitoris.
Je me suis soulevée, pour qu’elle l’enlève. J’avais envie d’un contact à même la chair, de ses doigts, de sa langue. Elle a avancé son visage jusqu’à mon sexe, et elle s’est mise à me parcourir d’une langue aussi habile que ses doigts, tournant sur mes lèvres, remontant sur mon clitoris pour le travailler jusqu’à me faire crier, me pénétrant avec sa langue, la glissant en moi aussi loin qu’elle le pouvait, et buvant mes jus…J’ai totalement perdu notion de ce qui m’entourait, dominée par le plaisir qu’elle me donnait. J’ai joui plusieurs fois, jusqu’à ce qu’elle relâche la pression.
Je me suis redressée, et je l’ai faite basculer sur le canapé.
—A mon tour de te faire jouir.
—Tu vas avoir des surprises. Espérons que tu ne seras pas déçue…
Sa robe se boutonnait sur le devant. J’ai défait les premiers boutons, mettant sa poitrine à nu. Elle était aussi généreuse que la mienne, mais il était difficile de ne pas remarquer qu’elle devait son volume à la chirurgie esthétique. Mais ça ne me gênait pas. Naturelle ou artificielle, sa poitrine en avait tout autant de charme, d’autant qu’elle servait de support à des aréoles et des tétons qui eux n’en manquaient pas. Je l’ai caressée de la bouche, avant de continuer à défaire les boutons.
C’est sur les trois derniers que j’ai senti quelque chose d’incongru. Puis le tissu s’est écarté de lui-même, et j’ai vu.
Sous la robe, elle n’avait pas de slip, mais un collant à même la peau. Il était…Rempli, mais sans doute pas comme l’aurait été le collant d’une femme. Sous les yeux, j’avais une queue en érection, collée contre son ventre, le gland dépassant du collant, queue qui devait bien faire une vingtaine de centimètres, épaisse aussi, avec deux grosses couilles qui palpitaient.
La nature humaine est étrange. J’ai senti qu’elle redoutait une réaction négative de ma part. Or ça a été tout sauf ça, ce qui a paru la rassénérer. Ca a même collé à l’image que je me faisais d’elle. Elle avait une beauté décalée, différente des autres femmes, sans pourtant rien de masculin, et c’est pour cela que je n’ai pas été surpris de trouver cette verge dure, sur laquelle j’ai plongé pour la caresser de la langue et des lèvres. Rassénérée, elle s’est laissée aller en arrière, s’offrant à ma caresse…Je sentais sous ma langue, sous mes lèvres, sans même la prendre dans ma cavité buccale, la manière dont le plaisir la tendait. Du liquide pré-sécrétif, au gout amer, abondant, coulait de son gland, que j’ai lapé comme si c’était une gourmandise, et c’en était une. Quand je suis descendue sur les couilles gonflées elle a gémi.
La Mylène dont j’avais rêvé n’était sans doute pas celle que j’avais sous les yeux, mais c’était au final encore mieux. Elle restait la personne que j’avais convoité, et dont j’avais encore plus envie. J’espérait que ce ne serait pas un coup unique et qu’on pourrait se revoir. J’avais envie de faire un bout de chemin ensemble.
Je l’ai prise dans ma bouche, faisant doucement aller et venir celle-ci sur la partie du sexe que j’avais avalée. J’ai senti une tension dans son corps, et un premier trait de sperme, suivi d’autres qui ont coulé dans mon oesophage. Je me suis dit que je devais absolument l’empêcher de débander. Je voulais plus, et j’ai continué de caresser sa queue de ma bouche. J’avais d’ailleurs tout faux parce que jouir ne l’a pas empêchée de rester bien dure.
—Je n’avais pas imaginé que ça puisse être comme ça entre nous. Que pour me prendre, tu devrais utiliser un gode-ceinture. Mais ça sera aussi bien avec une vraie queue de chair, chaude et souple et capable de cracher du sperme.
Mylène s’est dégagée, et elle a récupéré une boite de capotes dans un tiroir. Elle me l’a tendue, et c’est moi qui ai posé la rondelle de plastique sur le gland dilaté, et l’ai fait coulisser jusqu’à ses couilles. Puis je me suis placée à quatre pattes sur le divan et j’ai attendu que Mylène me pénètre en observant dans le miroir le mélange inédit entre un corps féminin, pourvu de courbes, d’une poitrine parfaite, d’un visage finement dessiné et d’un sexe en pleine érection.
Elle a glissé en moi et elle a fouillé mon sexe avec une habileté qui disait clairement que ce n’était pas la première fois qu’elle pénétrait un ou une partenaire. J’ai fini par aller chercher la queue dans mon sexe, et je l’ai remontée jusqu’à ma muqueuse anale. Elle m’a sodomisée sans de faire prier, me fouillant bien avant qu’on tente d’autres positions…Ma jouissance, d’abord bloquée, s’est libérée quand j’ai senti le sperme jaillir en moi…J’ai crié tellement cet orgasme était bon.
J’ai quitté Mylène sur le coup de minuit, après une douche commune. Elle bandait encore, comme si les plusieurs orgasmes qui l’avaient agitée n’avaient pas vidé son énergie.
Je me rhabillais quand elle m’a dit:
—J’ai envie qu’on se revoie. Ca te dit?
Je l’ai regardée. Je la désirais toujours autant, même si j’avais découvert qu’elle n’avait pas une chatte, mais une grosse bite bien dure entre les cuisses. Unique à mes yeux, elle l’était encore plus.
Et c’était terriblement excitant de l’avoir enfin, après l’avoir tellement convoitée. Avoir toute sa singularité.
—Je suis libre après-demain soir.
—Je préparerai le diner.
Je suis sortie dans la nuit, avec, tournant dans ma tête, les images de cette soirée unique et délicieuse.
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Histoire de JamesB

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