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Un amour de tante 12

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Lue : 1431 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/06/2020

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Le confinement était terminé... Ma tante, son mari, son fils et son épouse, sont venus pour confirmer l'acquisition d'un pavillon pour le fils. Ils sont arrivés tous les quatre en voiture, ma tante et son mari venaient coucher chez nous et leur fils et belle fille ont loué un gîte pas loin de chez nous. Retrouvailles, dîner, visites de maisons avec un agent, elle comme moi, restions sages, excepté nos mains qui se caressaient, trahissant notre joie de nous retrouver. Nos regards étaient enflammés, je la sentais prête à me sauter dessus au moindre instant où nous pouvions être seuls. Je la retrouvais radieuse, heureuse, son allure de femme coquette avec ses cheveux blonds cendrés attachés avec une queue de cheval, son maquillage discret qui mettait en valeur ses yeux bleus et sa petite jupe fendue au milieu qui, en étant assise, laissait apercevoir une petite culotte blanche et transparente... et elle insistait discrètement pour me la montrer avec un sourire coquin... Son mari, tout comme ma femme, ne se doutaient de rien, nous parlions de chose et d'autre sans attirer leur attention, mais je devinais mon ex tante, prête à tout. Déjà, quand son mari et mon épouse sont allés dans le jardin, L a fondu sur moi pour coller ses lèvres sur les miennes pour me dévorer la langue en insistant, pendant que sa main partait en balade sur la bosse de mon sexe... Son corps se pressait contre le mien et son autre main a pris la mienne pour la fourrer sous sa jupe et me l'amener directement sur son bas ventre. Mes doigts ont fureté sur son petit mont de Vénus, j'en suivais le contour, devinant son sillon central et en dénichant son petit bouton bien dur... Profitant de ce premier instant de liberté, je profitais pour passer mes phalanges sous le frêle élastique de côté et ils parvenaient sur un duvet soyeux que je caressais rapidement. Je continuais mon exploration, retrouvant sans attendre, le chemin humide qui me guidait vers l'entrée de son vagin... et ma surprise a été forte! Elle mouillait abondamment, mes doigts étaient complètement englués dans une liqueur visqueuse, je continuais à pénétrer dans son couloir en feu... L a rugi de plaisir, se raidissant sur ma main, son visage partait en arrière, son souffle rauque devenait bruyant... j'ai eu peur que nos conjoints ne nous entendent, j'ai tout arrêté. Elle ne comprenait pas pourquoi j'avais décidé cela, ma seule issue a été de l'embrasser tendrement, ma main continuait malgré tout à caresser sa petite chatte, mais seul mon majeur bougeait sur son bouton sensible, ce qui l'a faite chavirer de bonheur. Je la branlais fortement, puissamment, appuyant sur le sommet du clitoris, ma tante était une pile électrique, sursautant à la moindre sollicitation de mon doigt. Elle râlait, sa bouche appuyée dans mon cou, ses jambes tremblaient, elle se laissait aller, elle attendait que je la fasse jouir sans attendre... j'aurais voulu... les voix de nos conjoints se sont approchées... nous nous sommes rapidement séparés, elle a ajusté sa petite culotte et sa jupe en une fraction de seconde, mais son visage, d'habitude si blanc, avait changé... ses joues avaient pris des couleurs! Son mari s'en est aperçu et lui a demandé si elle allait bien... L a répondu qu'elle avait eu chaud... le changement de climat, probablement! Mais j'étais dans le même état... Le soir est arrivé, L et son mari nous invitaient chez une amie qui fait table d'hôtes, leur fils et son épouse ont préféré rester au gîte pour se reposer. Tous les quatre avons pris la direction de la ville en voiture, ma femme ayant préféré passer devant pour guider son mari et nous deux derrière. Inutile de dire que le trajet a été fertile en... attouchements en tous genres! Sous le blouson que j'avais placé entre nous deux, nos mains s'étaient retrouvées, nos doigts s'entremêlaient, se caressaient en toute discrétion. Une fois, tout en demandant des explications sur un site touristique sur le trajet, elle s'était rapprochée de moi jusqu'à se coller contre ma jambe et à partir de cet instant, sa main a saisi la mienne pour la placer entre ses cuisses toujours recouvertes par mon blouson. Mes doigts ont trouvé un sexe de femme sans aucun artifice vestimentaire! L avait retiré sa petite culotte juste avant que nous soyons partis de la maison et j'avais son sexe humide sous mes doigts... Les premiers attouchements ont trouvé une rivière de cyprine qui imbibait ses lèvres gonflées de plaisir. Mon majeur a, discrètement, palpé l'entrée ruisselante de son vagin, je m'y suis engagé... mon doigt était comme dans un fruit trop mûr, ses muqueuses remuaient autour de ma phalange, je continuais à engager mon doigt plus profondément dans son couloir alors que je sentais ses cuisses s'ouvrir de plus en plus tout en gardant mon blouson sur ses jambes... Mes yeux se sont portés sur son visage figé, impassible, probablement concentré sur la démarche de mes doigts qui fourrageaient dans son sexe en feu, mais je voyais bien que son regard ne regardaient plus les points de vue touristiques que ma femme expliquait. Elle se mordait la lèvre... fermait les yeux de temps en temps, je devinais sa respiration qui se raccourcissait au fur et à mesure que mes doigts bougeaient en elle... j'ai redouté son point de non retour... l'instant crucial où l'orgasme allait monter si haut qu'il ne serait pas possible de le refouler... j'ai dû ralentir ma caresse pour la laisser reprendre son souffle. Mais qu'elle était trempée! Je redoutais aussi qu'elle tâche sa jupe et les sièges de la voiture, j'ai même tenté de me servir de ma main comme une serviette! Mais j'étais heureux de la sentir frémir, elle s'offrait à moi sans aucune retenue et j'avais un peu peur des heures qui allaient suivre, vu son empressement à vouloir aller plus loin... Nous sommes enfin arrivés à destination... j'ai jeté un oeil sur le cuir du siège où était assise L, effectivement, il y avait une trace humide qui avait glissé sur le noir du cuir... mais aucune sur sa jupe, ce qui m'avait rassuré. Chez notre amie, après les présentations et un apéro avalé debout, nous sommes passés à table, nous étions face à face avec L, ma.femme et son mari aussi, notre amie au bout de la table, prés de nous. Tout s'est passé amicalement, le dialogue était sur le tourisme qui était au point mort. Sous la table, mes pieds étaient entremêlés avec ceux de ma tante qui écoutait sans vraiment être attentive...je devinais son empressement à partir au plus vite afin qu'on se retrouve dans les bras l'un de l'autre. Il y eut un seul rapprochement corporel, quand, à la fin du repas, L et moi nous sommes retrouvés seuls dans la cuisine pour débarrasser. Après avoir vérifié que personne ne viendrait nous déranger, elle m'a appelé pour que je vienne vers elle, dès mon approche, elle remonte sa jupe jusqu'à sa poitrine, dévoilant son bas ventre dénué de sous vêtement. Mon regard s'éternise sur cet écrin blond cendré, avec quelques boucles grises qui ornent son sillon sombre. Sa chatte m'attire, je me rue dessus en amenant ma bouche sur sa frêle toison et je m'en vais à la recherche de son bouton qui surgit sous ma langue. Je m'empresse de le sucer avidement, j'entends plusieurs sifflements qui émanant de sa gorge ouverte, ses mains pressent ma tête contre son sexe que je déguste comme un affamé... Ma langue parcourt sa vulve chaude et humide, elle va jusqu'à taquiner l'entrée de son vagin qui déverse une quantité importante de cyprine trop longtemps contenue, je n'hésite pas à m'y abreuver alors que L glousse de plus en plus... nous sommes fous! Notre envie nous fait perdre toute notion de lieu, de danger, nous ne vivions cet instant, que pour nous, au risque qu'on nous surprenne alors que nous étions trop absorbés par nos retrouvailles, je suis certain que nous n'aurions pas entendu l'approche des autres convives...Cette femme m'a toujours attiré quelque soit son âge qui, pour ses 75 ans, ne la prive pas de profiter du plaisir sexuel et, en particulier, avec moi depuis mes 16 ans où je l'ai découverte... Je tâche de profiter des moindres instants où nous nous retrouvons, j'ai peur qu'un jour, elle ne veuille plus que nous nous revoyions dans ces conditions... mais c'est tout le contraire qui se passe! Nous avons besoin de nous retrouver, de nous câliner, de faire l'amour dès qu'on peut...un vrai plaisir. Ce soir encore, j'étais encore là, à ses pieds, en train de dévorer son sexe, c'était un plaisir jouissif... et c'est toujours partagé. Mes lèvres n'avaient de cesse de goûter à sa chatte parfumée et onctueuse et L ne semblait pas vouloir que je m'arrête en si bon chemin, je devinais son envie... de jouir. Ma peur d'être découverts dans cette posture, m'empêchait de me livrer entièrement, je faisais attention au moindre bruit qui provenait du couloir et de la salle à manger où nos conjoints et notre amie discutaient sans noter notre absence anormale... Ma tante faisait tous les efforts possibles, vu la position debout, appuyée contre le mur derrière la porte, pour me laisser le champs libre pour que je puisse me plaquer encore plus contre son sexe déjà bien ouvert par ma bouche qui s'emboîtait parfaitement au galbe de sa vulve. J'entendais ses gémissements qui se faisaient de plus en plus rapprochés, tout comme ses gestes qui devenaient moins lents, ses deux mains me forçaient à rester dans cette position tant qu'elle n'avait pas eu cet orgasme tant désiré. Je restais malgré tout à alterner entre son clitoris qui l'électrisait dès que je le prenais entre mes lèvres et les tentatives répétées pour introduire ma langue que je sais très longue, dans son vagin trempé. Je ne sais plus combien de temps nous avons passé ainsi... quatre, cinq minutes? Mais ce qu'elle cherchait avant tout, elle l'a finalement obtenu... mes multiples caresses buccales lui ont fait perdre toute retenue, elle s'est raidie sur ses jambes pendant que de petits cris de plaisir sortaient de sa gorge, ses mains m'ont littéralement collé sur son bas ventre au risque que je m'étouffe et j'ai senti son ventre onduler, se durcir et, dans la même seconde, une rivière chaude a coulé sur ma langue, inondant mon visage... sa petite fontaine venait de se déclencher...Une longue complainte a fini notre ébat, L venait de jouir. Je levais mon regard vers elle, son visage était renversé, bouche ouverte, le souffle court, elle faillit fléchir sur ses jambes, je la retenais dans mes bras... Sa tête s'est posée sur mon épaule et elle m'a dit...
L "Tu me rends folle....toujours avec toi. Je suis heureuse là... je t'aime toujours autant"
Moi "Moi aussi, je t'aime... depuis toujours. Tu me manques quand tu n'es pas là"
L "C'est terrible... comment tu fais? Je suis folle...Bon... il faut y aller. On prend le gâteau dans le frigo pour justifier notre absence" Elle rajuste sa jupe, remet un peu d'ordre dans ses cheveux et nous revenons avec le gâteau. Tous discutaient sans vraiment faire attention à notre absence... sauf notre amie qui a eu un sourire du coin des lèvres et cela m'a un peu gêné. L, malgré son visage un peu plus défraîchi qu'au début de la soirée, n'a eu de cesse de me regarder et ses yeux parlaient pour elle. Ma femme avait un peu plus bu et ne se rendait pas compte de notre situation et son mari discutait de leurs vacances dans le Massif Central. La soirée se passait calmement jusqu'au café que je préparais quand notre amie est venue me rejoindre en me parlant tout bas
Elle "Dis donc... petit coquin... vous faites des choses en cachette?" Je tombais de haut... elle nous avait vus! Je devais tout faire pour qu'elle ne dise rien...
Moi "Ecoute... nous sommes amants depuis 50 ans! L, c'est mon ex tante et depuis nous n'avons jamais cessé de nous aimer et malgré notre âge, c'est toujours d'actualité"
Elle "Mais c'est dangereux ce que vous faisiez... quelqu'un aurait pu vous surprendre, son mari ou ta femme!" Effectivement, elle avait raison... si elle nous a surpris, quelqu'un d'autre aurait pu le faire.
Moi "Tu as vu quoi exactement?"
Elle "Eh bien... tu lui faisais un excellent cunni me semblait il! Et elle en a bien profité et... je pense que tu es doué, car elle a bien aimé je crois!" Elle avait tout vu
Moi "Ne dis rien... ça doit rester entre nous" J'ai aperçu un petit sourire sur son visage. Jany n'est pas très jolie, mais elle reste charmante et courtoise, toujours prête à rendre service. Petite, assez ronde, des cheveux courts bruns qui ornent un visage assez doux, des yeux noirs, une bouche fine, elle respire la sympathie. Nous la connaissons depuis quelques années depuis qu'elle a accueilli des membres de ma famille pour une cousinade. Son corps est bien proportionné avec une poitrine assez forte mais ferme et des fesses rebondies. Jany est venue près de mon oreille
Elle "Si tu es aussi doué avec ton ex tante... tu me revaudras la même chose prochainement!" Je n'en revenais pas... elle voulait que je fasse la même chose avec elle! Un chantage sexuel...
Elle "Tu me feras la même chose, tu as l'air d'être doué pour ça... j'ai vu. Et je ne dis rien... alors?" Je me sentais un peu pris au piège, c'est bien la première fois qu'on me fasse chanter en proposant un acte aussi intime avec une personne que je connaissais peu.
Moi "Si tu gardes ça pour toi... je suis d'accord, mais une fois seulement, d'accord?"
Elle "Je verrai...mais sache que tu ne le regretteras pas... je suis très active aussi." Et elle s'est éclipsée en silence. Toute la soirée, ma tante et elle n'ont cessé de me faire des clins d'oeil. Je n'en ai pas parlé à L, de peur de la stresser, je préférais garder cela pour moi. Nous avons pris congé de Jany tard dans la soirée, L et moi, derrière, dans l'obscurité, nous n'avons pas arrêté de nous caresser, elle était très excitée. En l'absence de culotte, je découvrais son intimité extrêmement humide, mes doigts n'ont pas cessé d'aller et venir dans sa grotte en fusion, L fermait les yeux de plaisir. Arrivés chez nous, ma femme a emmené nos invités dans la salle d'eau et leur chambre. Nous nous sommes séparés avec, dans nos regards, beaucoup de regret de ne pas pouvoir coucher ensemble avec L. Le matin s'est levé, je me suis habillé rapidement pour partir à la boulangerie pour acheter des viennoiseries pour le petit déjeûner, L était déjà là, assise sur le canapé, en train de lire une revue. Elle avait les cheveux en bataille
Moi "Tu as bien dormi? Moi, je te dis tout de suite... non. J'ai pensé à toi"
L "Moi aussi... et tu devineras que je me suis fait plaisir... c'était sûr! J a dormi tout de suite, j'étais tranquille" Ses yeux boursoufflés par le sommeil étaient beaux, son regard me transperçait. Discrètement, je me suis baissé vers elle pour lui faire un doux baiser sur ses lèvres, elle y a répondu tendrement.
L "Laisse moi faire" et elle a tiré vers le bas mon slip et s'est approché de mon sexe encore endormi.
Moi "C'est pas prudent... on risque de nous voir!" Elle a fait fi de mon explication et sans attendre, elle a avalé mon sexe en l'aspirant à fond
L "Enfin... tu es là.. j'en avais tellement envie... détends toi..." et elle s'est activée sur ma queue en la prenant d'une main pour la branler et serrer mon capuchon pour le sucer. Je surveillais le moindre bruit dans la maison, ma femme ou son mari devaient ouvrir une première porte de chambre, puis celle qui arrive dans la pièce principale, ça devait s'entendre... mais tout était silencieux. L s'activait sur moi, ses cheveux blonds cachaient son visage, ma main a accompagné sa tête qui montait et descendait. J'étais, on ne peut plus heureux... ma tante me suçait diablement bien, je l'avais retrouvée. Mon excitation est montée d'un coup et, sans prévenir, j'ai éjaculé dans sa bouche qui ne s'est jamais reculée pour éviter les giclées de mon sperme, elle avait déjà décidé qu'elle irait jusqu'au bout... j'ai juste entendu un gloussement quand j'ai joui, elle était satisfaite de son initiative. Son visage s'est relevé, ses lèvres brillaient, un peu de sperme était sur le coin de sa bouche, elle était essoufflée comme si elle avait couru un 100 mêtres. Sa langue a fini de me nettoyer en tournant autour de mon gland pendant que sa main remontait en le serrant pour faire sortir les dernières gouttes de mon jus.
L "J'ai toujours envie de toi...tout le temps." Ses mots résonnaient dans mon cerveau. Je me disais toujours et, encore ce matin là, que malgré notre différence d'âge et le lien familial qui nous liait, nous aurions dû vivre ensemble et ne pas gâcher notre vie comme ça été le cas et perdre des années à nous reprocher qu'on aurait dû le faire... Bien sûr, elle a 10 ans de plus que moi, ce n'est rien, mais elle a été la femme de mon oncle et cela aurait été difficile à faire passer dans la famille. Notre secret est resté intact depuis plus de 50 ans! Une fois rassasiée, L s'est levée vers moi et m'a serré dans ses bras
L "Mon chéri... je t'aime. Ne m'abandonne pas" Je ne comprenais pas ses derniers mots... je l'ai compris plus tard... elle était atteinte d'un cancer du sein et on lui avait diagnostiqué cela trois semaines avant qu'on se revoit. Elle a eu de grosses larmes en me racontant comment cela s'est déroulé, les examens, la biopsie, la sentence...Elle doit être opérée en juillet. Je l'ai rassurée en lui disant que c'était courant et que cela se soignait bien à partir du moment où c'était détecté à temps. Son étreinte m'a ému, nous nous serrions comme des jeunes enfants perdus, je sentais une forte envie d'être rassurée...
Moi "Je serai là pour toi... je t'aime" Mes mots ont eu l'effet escompté
L "Merci mon chéri... je savais que je pouvais compter sur toi" Un dernier baiser a scellé une fois encore, un amour total, même parfumé de mon sperme encore perceptible, il nous réunissait comme jamais. Nous nous sommes séparés pour attendre nos conjoints et je suis parti pour nos viennoiseries. Au retour, je trouvais tout ce petit monde en train de rire, tous ont été ravis de l'arrivée des croissants chauds. Tout le monde a fait sa toilette, j'ai tenté en vain de rejoindre L discrètement dans la salle d'eau, mais nous n'étions pas assez tranquilles, inutile de risquer de briser notre relation pour un moment qui ne nous aurait pas satisfaits. Le programme a été établi pour la journée, visite sur les plages et nous devions retrouver leur fils pour le midi. Tout s'est passé de manière fort agréable, à partir du moment où nous étions ensemble, nous étions satisfaits. Il y a eu beaucoup de caresses dès que nous pouvions et je me suis aperçu que L avait omis de mettre une culotte, ma main a glissé entre ses cuisses quand nous montions l'escalier pour accéder à la terrasse du café. Elle a même marqué un temps d'arrêt quand mes doigts se sont faufilés entre ses lèvres, elle voulait profiter de cet instant intense, mais nos conjoints nous attendaient plus haut. Percevoir sa moiteur intime, la sentir vibrer au moindre attouchement, je ne pouvais guère être plus heureux, tout comme elle qui me faisait des yeux doux quand je lui montrais mon envie d'elle. Et dans l'après midi, alors que nous étions tous en train de visiter les abords d'une maison à vendre, L a lancé qu'elle avait oublié sa boîte de comprimés qu'elle doit absolument prendre à heure régulière... et nous étions assez loin de chez nous. J'ai proposé à son mari de rester avec leur fils et ma femme et que j'emmène ma tante chercher ses médicaments... la ruse avait pris! Je n'avais pas su qu'elle avait manigancé ça toute seule. Nous sommes repartis en voiture chez nous...
L "Tu ne m'en veux pas, dis!"
Moi "Tu l'as fait exprès d'oublier tes médicaments?"
L "Ben... oui" Nous arrivions chez moi, dès la porte d'entrée refermée, L baisse les bretelles de sa robe qui tombe au sol... elle apparaît avec un soutien gorge léger et sans culotte. On se prend dans nos bras pour nous embrasser tendrement, nos bouches sont avides de nous, nos langues ne cessent de s'enrouler alors que je sens son corps vibrer sous mes mains.
L"Viens dans ma chambre, j'ai trop envie de toi!" Elle me prend par la main et nous allons dans leur chambre, elle découvre à la hâte leur lit et s'allonge sur le matelas en ouvrant immédiatement ses jambes. Je vois sa belle chatte blonde cendrée s'ouvrir, ses lèvres se décoller et son clito apparaître. Je défais ma ceinture et baisse mon bermuda et mon slip en même temps et je m'allonge sur son corps qui tremble, tout comme sa respiration qui devient courte...
L "Ohhh... enfin... vite, baise moi... je t'en prie, prends moi tout de suite, j'ai trop envie de toi..." Mon sexe a durci en percevant l'entrée vaginale humide, je n'ai pas atrendu plus longtemps, je l'ai pénétrée sans hésiter. Son cri rauque a envahi la chambre, ses mains ont attiré mon corps sur elle et elle a commencé à chanter dès que j'ai commencé à l'entreprendre.
L "Oh oui... oh oui... comme ça... oh oui... ohhhh que c'est bon de te sentir en moi... baise ta petite tante chérie... fais la jouir... je t'en prie." Tous ces mots m'excitaient, je bandais dûr et je maintenais la cadence alors que je suis, le plus souvent, précoce, là, je me concentrais sur les sensations charnelles de nos sexes qui se frottaient, mon cerveau, c'était ma verge qui la pénétrait. A chaque retrouvaille, en particulier, quand nous faisons l'amour, je sens en moi une sensation puissante inexplicable...apercevoir ma tante chérie se tordre de plaisir sous mes coups de reins, elle si classe, si délicate et si belle, voir ses seins encore fermes se balancer, son visage se détendre, bouche ouverte, je me sens invincible. Je sais qu'elle a eu, depuis notre dernière rencontre, il y a quelques mois, d'autres hommes qui se sont succédés en elle, mais me garder comme son amant préféré, cela me ravit au plus haut point! L gloussait sans retenue, laissant échapper des "Ahhhh" répétés, elle rugissait tout en me serrant le bassin contre elle, de mon côté, j'admirais mon sexe qui la pénétrait entre ses cuisses ouvertes et, à chaque sortie, il brillait de sa cyprine pour mieux la reprendre ensuite...quel délice! L s'est lâchée en encaissant mes coups de boutoir, elle s'abandonnait...
L "Ohhh...oui...vas y...baise moi plus fort...oui...comme ça...encore..encore!" Je la reconnaissais à peine à cet instant, elle qui était si délicate, si timide, je la trouvais radicalement transformée, délurée, peut être ses amants l'avaient certainement changée...Puis, son corps s'est tendu à l'extrême, sa bouche s'ouvrait, sa respiration se bloquait, les yeux clos, une longue plainte qui émanait de son gosier déployé a accompagné un orgasme torride qui l'a faite sursauter alors que je continuais à la besogner, je ne voulais pas que cela cesse, c'était un instant trop agréable pour tout arrêter...Mais je n'ai pas pu résister plus longtemps, j'ai éjaculé dans son vagin, à chaque giclée de mon jus qui tapait au fond d'elle, je plaquais mon bassin contre elle pour me déverser en totalité dans son ventre...L s'était un peu relâchée, le temps que je finisse de jouir, ses bras m'ont attiré contre elle et nos lèvres sèches se sont retrouvées pour un baiser langoureux. L gémissait encore sous mes derniers coups de reins, mon sexe glissait parfaitement bien en elle, je voulais faire durer cet instant indéfiniment, mais, je n'ai pu rien faire quand j'ai été expulsé de sa grotte complètement pleine de moi. Ses jambes se sont desserrées, je me suis retiré lentement, admirant le résultat de nos ébats... un flot de crème blanchâtre a coulé entre ses lèvres jusqu'à son petit trou...quel contraste et quelle fierté j'ai ressenti en regardant ma tante se relâcher sur le lit défait. Ses bras et ses jambes étaient en croix, elle semblait sommeiller, sa respiration était encore courte mais régulière...j'aurais voulu la prendre en photo...qu'elle était belle! Son beau sourire est revenu, mais son visage était marqué par l'immense plaisir qu'elle a ressenti, ses yeux étaient boursoufflés et ses paumettes encore rouges, quant à sa coiffure, elle était en vrac!
L "Mon Dieu, je dois être affreuse là, non? Il va falloir que je me reama quille et que je fasse une petite toilette! Tu m'as mis la dose!" dit elle en passant ses doigts sur l'entrée de son vagin...et elle prend un peu de sperme pour l'amener sur ses lèvres et le goûter...
L "Hmmm...c'est bon...tu es bon !" A plusieurs reprises, elle a plongé ses doigts en elle pour récupérer encore un peu de mon jus et le goûter et elle semblait vraiment beaucoup apprécier mon goût...Je l'admirais en silence, je buvais son corps de mon regard insistant, je l'aime vraiment beaucoup.
L "Ne me regarde pas comme ça, chéri...j'ai honte...je ne suis plus aussi jeune et j'ai changé!"
Moi "Tu es belle...sache le et je suis toujours amoureux de toi" Mes mots l'ont rassurée, elle m'a dit que j'étais le seul homme qui lui faisait envie, qu'elle désirait souvent m'appeler pour me parler, nous rapprocher, mais que, l'un comme l'autre, nous avions des conjoints, donc...Passé ces quelques minutes de confidentialité, L est allée prendre une douche, elle revenait plus belle que jamais, j'ai pensé qu'après avoir fait l'amour, elle devenait encore plus attirante, plus désirable. je me suis rendu compte que...je l'avais dans la peau. Elle représentait La femme dans tous ces détails, caractère, douceur, beauté et, j'étais très fier de la baiser comme il se doit de le faire et de la respecter. Le éléphone portable a sonné...son mari nous avertissait qu'ils allaient visiter une autre maison et il nous demandait de rester chez moi, de préparer un petit dîner pour le soir. Il était 17h30, je m'en souviens, nous avions encore du temps! Je suis arrivé dans son dos et je l'ai serrée dans mes bras, j'ai embrassé son cou, son oreille alors que mes mains pressaient ses seins. Elle a émis des petits soupirs en se laissant faire
Moi "Alors, dis moi...combien d'amants as tu eus depuis ces mois derniers?"
L "Heu...5, je crois! Mais, à ce jour, je n'en ai qu'un et toi! Celui que j'ai encore, c'est celui que tu as aperçu en vidéo, tu te souviens?" Et elle me raconte qu'ils avaient cessé de se voir, la femme de son amant avait eu des doutes...mais ils avaient renoué depuis peu. Elle m'a appris quelque chose, il y a deux mois, il l'avait invitée à un après midi chez lui, il y avait deux autres hommes, des collègues de travail et elle avait fait l'amour tous les trois...c'était une première pour elle! Elle m'a succinctement raconté qu'elle avait eu une double pénétration et qu'elle suçait le troisième...un moment inoubliable pour elle. Elle a eu plusieurs orgasmes avec ces hommes. La devinant très excitée en donnant de multiples détails sur cette expérience, je lui demandais si elle pouvait me raconter par écrit, comment cela s'est passé...
L "Ah bon! Tu veux que je t'écrive ça? Tu ne vas pas être jaloux?"
Moi "Bien sûr que non! Je voudrais savoir, c'est tout!"
L "Bon... si tu y tiens, je le ferai à mon retour, je t'enverrai tout ça par mail... mais bien sûr, ça reste entre nous! Je te fais confiance" Je lui donnais toutes les garanties possibles en la remerciant et ensuite, je l'ai embrassée tendrement.
L "Toi alors... tu me fais faire des choses pas possibles! Je n'ai jamais été comme ça! C'est toi qui m'as changée... je suis sage d'habitude!" Il est vrai qu'elle avait bien changé ma chère tante. Mes mains n'arrêtaient pas de caresser sa peau sous la mince robe d'été qu'elle avait revêtue. J'ai senti en elle, un abandon à mes caresses, elle se laissait toucher et je ne voulais pas la laisser... ma main est allée plus bas, passant sous le frêle élastique de sa culotte et laissant mes doigts jouer avec les fins et soyeux petits poils de sa toison. J'ai senti qu'elle ouvrait ses jambes... j'ai laissé mon majeur suivre le chemin chaud de son sillon pour atteindre les abords humides de son vagin dans lequel j'ai pousse deux phallanges. L s'est détendue en disant
L "Oh toi... je ne peux pas te dire non... tu me fais envie... vas y mon chéri... doigte moi, j'ai envie de jouir comme tout à l'heure... profitons en!" Ses paroles et surtout le ton avec lequel elle s'adressait à moi, me choquaient... elle si fine et délicate, me parler ainsi, c'était à l'oppposé de ce que je pensais d'elle. Sans lui répondre, j'activais mes doigts dans son vagin tout en lui pressant son clitoris qui gonflait sur la paume de ma main, je percevais ses secrétions qui humidifiaient mes pénétrations, c'était chaud et remuant... L sifflait de plus belle en subissant mes caresses alors qu'elle ouvrait davantage ses cuisses tout en soulevant sa robe. L'absence de culotte favorisait mes pénétrations, plusieurs petits clapotis accompagnaient mes doigts, elle mouillait bien aidé par les restes de mon sperme qui résidaient dans son vagin, je continuais à la secouer en force en lui disant des mots plus crus...
Moi "Tu les sens, mes doigts? Tu mouilles bien... tu es bonne ma chère tante... imagine qu'on nous voit là et que des mecs approchent pour te toucher...imagine... leurs mains partout sur toi, tes seins, ta chatte... ils sont excités... tu les laisses faire?"
L "Si tu veux... oui... je sens leurs doigts dans ma chatte... ohhh que c'est bon..." Je ne rêvais pas, elle imaginait vraiment la scène et s'y croyait! J'ai eu cette impression qu'elle était encore plus excitée dans ce scénario... comme quoi, la petite expérience avec les trois hommes ont porté leurs fruits! J'ai continué à imaginer la scène
Moi "Il y en a un qui sort sa queue... tu veux la sucer?" Et elle de répondre
L "Oui... elle est dure et je la suce bien." Tous ses mots étaient entrecoupés de gémissements causés, à la fois par mes doigts qui la forçaient et par ce fantasme qu'elle imaginait.
Moi "Ouh... l'autre est passé derrière toi et il cherche à te pénétrer... tu sens sa queue qui entre en toi?"
L "Oh oui... je la sens bien... il me baise fort...c'est bon!" Après plusieurs minutes à ce rythme, elle a joui bruyamment, son corps se pliait sur mon bras qui la maintenait, ma main a reçu un flot de liquide chaud qui a fini par terre, L criait comme une folle, secouée de spasmes répétés qui se sont amenuisés lentement. Elle est restée ainsi prostrée un long moment, quand elle s'est redressée, son maquillage était un peu en désordre, elle avait eu un super orgasme, je le devinais à ce moment.
L "Là... j'en peux plus... je suis fatiguée si tu savais... j'irai bien dormir un petit moment pour me remettre. Tu m'as usée! Tu sais, je ne suis plus jeune... il me faut un temps de récupération. Si je te disais que lors de ma rencontre avec les trois hommes, j'ai mis trois jours pour récupérer!" C'est vrai que, en la regardant, elle était marquée... mais qu'elle était belle quand même! Nos conjoonts sont arrivés alors que nous avions tout préparé pour le dîner. Le soir, télé et dodo pour tout le monde. Le matin a été calme, L et moi n'avons pas pu trouver un moment ou un lieu pour nous retrouver en secret. Vers midi, tous sont repartis. J'ai eu le droit à un baiser tendre entre deux portes et ils sont bien rentrés. Un dernier mail de L
"Mon amour... que dire de ce week end? J'ai été heureuse de te retrouver. J'ai eu beaucoup de plaisir lors de nos petits ébats et j'en redemande... Je t'aime"
Elle m'a annokcé qu'ils comptaient revenir pour cet été et qu'ils voulaient un gîte pas loin de chez nous.
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Histoire de alma

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Commentaires du récit : Un amour de tante 12


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